Cette fois, on s'invite dans les écoles françaises un certain mois de janvier en l'an de grâce 1985
À cette époque, Laurent Fabius qui est alors premier ministre lance le « Plan informatique pour tous ». Le gouvernement souhaite équiper toutes les écoles françaises d'ordinateurs pour initier les jeunes générations à l'outil informatique, et accessoirement renflouer Thomson qui en avait bien besoin, nous y reviendrons.
Après un appel d'offres critiqué, c'est donc Thomson qui est retenu, une entreprise nationalisée en difficulté. Conséquence : c'est le MO5 lancé un an plus tôt aux capacités déjà dépassées qui servira d'outil d'initiation à la micro-informatique. À quoi ressemblait le premier ordinateur pédagogique de l'éducation nationale ? Qu'était-il capable de faire ? C'est ce que nous verrons en détail avec le thomsoniste d'M05.com, Fabrice Siravo !
Le MO5 n'a pas attendu la version Platini pour avoir un vrai clavier mécanique ! Il existait en vente dans le commerce avec le clavier méca et en noir !
Super Tennis on ne jouais pas Platini bien évidemment, Platini n'était la que pour faire vendre le jeu, tout comme numéro 10.
Il existait des jeux mieux réalisé que le 5 axe, je pense à Démonia édité par Microïds, ou encore Saphir par Infogram, ou encore Avenger.
Le langage de programmation du MO5 ce n'était pas le logo mais le Basic Microsoft 1.0 qui mine de rien était intéressant bien que laborieux, il existe encore des systèmes de nos jours qui reprennent en partie ce langage notamment quand on crée des boucles for, ça fonctionne quasi comme sur le MO5.
Le port manette à rajouter derrière la machine était bien plus que ça, il intégrait un processeur audio capable de faire des sont digitalisé ! C'était assez couillu à l'époque, même si le résultat pouvait peur, quand on entend ça c'était quelque chose, la machine "qui parle"
Le MO5 avait ses qualités, il faut savoir que parmi la concurrence de l'époque, il y bien avait mieux, je pense à l'Amstrad et son Z80, mais il y avait surtout bien pire que le MO5 !
Ce qui m'embête c'est qu'il n'ait clairement pas annoncé que le MO5 existait en 2 versions dans le commerce, l'un avec le clavier "gomme" et l'autre en version mécanique, la version blanche Platini est une version spéciale comme peut l'être la PS4 Star Wars ou MGSV
Super Tennis on ne jouais pas Platini bien évidemment, Platini n'était la que pour faire vendre le jeu, tout comme numéro 10.
Il existait des jeux mieux réalisé que le 5 axe, je pense à Démonia édité par Microïds, ou encore Saphir par Infogram, ou encore Avenger.
Le langage de programmation du MO5 ce n'était pas le logo mais le Basic Microsoft 1.0 qui mine de rien était intéressant bien que laborieux, il existe encore des systèmes de nos jours qui reprennent en partie ce langage notamment quand on crée des boucles for, ça fonctionne quasi comme sur le MO5.
Le port manette à rajouter derrière la machine était bien plus que ça, il intégrait un processeur audio capable de faire des sont digitalisé ! C'était assez couillu à l'époque, même si le résultat pouvait peur, quand on entend ça c'était quelque chose, la machine "qui parle"
Le MO5 avait ses qualités, il faut savoir que parmi la concurrence de l'époque, il y bien avait mieux, je pense à l'Amstrad et son Z80, mais il y avait surtout bien pire que le MO5 !
Mais merci beaucoup pour toute ces précisions.
Ce qui m'embête c'est qu'il n'ait clairement pas annoncé que le MO5 existait en 2 versions dans le commerce, l'un avec le clavier "gomme" et l'autre en version mécanique, la version blanche Platini est une version spéciale comme peut l'être la PS4 Star Wars ou MGSV