Je voudrais d'abord m'excuser auprès du membre Nicolasgourry m'être permis de lui avoir repris, tel quel, son questionnaire, sans le lui demander.
Donc, excuse-moi, et merci pour ce questionnaire, ma foi fort exhaustif et intéressant, que j'ai pris plaisir à lire concernant quelques membre de Gamekyo.
Je ne m'attarde pas plus, puisque je me présente quelques lignes plus bas.
Je vous mets juste le lien de mon profil comme dans les présentations ultérieures : https://www.gamekyo.com/member49933.html
Si vous êtes curieux, ouverts sur les autres, passionnés de jeux vidéo, que vous appréciez l'humour, et bien-sûr que vous aimez lire un tant soit peu, vous êtes au bon endroit.
Je vous suggère de mettre l'article en favori, ce n'est pas un pavé indigeste mais il y a de quoi lire ^^
J'ai d'ailleurs répondu au questionnaire en deux parties, afin de ne pas surcharger la lecture.
Bonne lecture à tous.
1 ) Est-ce que tu peux te présenter ?
Je m’appelle Ouabde (je développe cela dans la deuxième question), je suis né l’année ou sont sortis au cinéma, Midnight Express, Les Bronzés, Voyage au bout de l'enfer.
Je vis dans une ville située entre Villefranche-sur-Mer et Saint-Laurent-du-Var.
J’ai deux enfants (une ado lycéenne et un jeune adulte étudiant) et je suis en couple depuis … le dernier doublé de Lilian Thuram en équipe de France.
Mon honnête moyen de subsistance dans la vie ? Je fais le même métier que Franck Bardu (« écoutez, pour la luxure, un simple bandage suffit … y a pas besoin de … voilà ... d’autres questions ? ») Et 1 flexion et 2 flexion
Seuls plus vieux ou anciens membres du site me connaissent.
Je me suis inscrit sur feu JeuxFrance.com fin 2006/début 2007, avec comme objectif de passer du bon temps sur un site qui me permettait, conjointement, de suivre les informations vidéoludiques et d’en discuter avec des membres sympas, avisés, et passionnés, mais aussi de vraiment me marrer.
J’avais un blog, à mon image, c’est-à-dire respectueux et passionné, mais orienté dans la déconne diverses et variées. Et j’en garde d’excellents souvenirs, vraiment, de très bons moments sur ce site.
2 ) Pourquoi avoir choisi cet avatar et ce nom ?
Pour l’avatar, j’ai tapé sur google « beaux mâles musclés ».
Initialement, sur JeuxFrance, on avait un avatar évolutif, mais je n’ai plus de souvenir précis du mien. Puis sur Gamekyo, j’avais des femmes à forte poitrine (de mémoire) ou des images qui me parlaient … bref, pas d’avatar défini dans le marbre.
Pour le pseudo Ouabde, c’est assez simple. C’est un diminutif de mon nom de famille. Mon nom étant assez long et pas très franco-français donc, pour certains, difficile à prononcer, au collège, mon prof d’anglais m’appelait Ouabde afin de se simplifier les choses.
Dès lors, c’est resté et mes potes m’appelaient comme cela, même encore maintenant pour certains, et même parfois ma femme, c’est dire.
Certaines connaissances ne connaissaient même pas mon prénom, ne m’appelant que par ce diminutif (et tondu).
J’ai rajouté par la suite « Ascète irrévérencieux », j’ai trouvé cet oxymore (si on peut le qualifier ainsi) plutôt parlant, de circonstance et totalement singulier.
3 ) Imagine que tu rencontres une personne qui ne connaît pas les jeux vidéo, comment lui définirais-tu ?
Le jeu vidéo est un art, un loisir, une passion qui, au même titre que la littérature, le cinéma, la musique, permet de suivre un récit, mais aussi d’y participer, ou de vivre des expériences différentes, t'évader. Il faut être ouvert d’esprit pour en apprécier toute la palette, ses multiples dimensions. Il allie le design, la narration, la musique. Au même titre que les jeux de société/plateau, cela permet aussi de simplement s’amuser, en famille et/ou entre amis.
Ou je lui dirai de simplement jouer à Gorogoa, pour voir ce que les mots inventivité, créativité, level design, expérience, mise en abyme, revêtent quand ils sont si bien mis au service de cet art vidéoludique.
Quelle expérience
4 ) Quel est le premier jeu qui tu as eu dans les mains, le souvenir que tu en as ?
Je me rappelle surtout le premier jeu que j’ai eu entre les fesses, c’était une cartouche Néo-Géo de Fatal Fury 2, avec la boîte. Cela m’a fait réaliser deux choses : la proctologie est une spécialité fondamentale de la médecine, et le jeu dématérialisé n’est pas une si mauvaise chose en soi. Et encore, il n'y a pas la boite !
Sinon, je dirais que ce sont les Game & Watch de Nintendo, autour de 1983, avec Turtle Bridge, Donkey Kong I et Donkey Kong II.
J’en garde un souvenir concernant les piles qui ne duraient pas longtemps et que j’avais du mal à insérer correctement. Elles s’inclinaient, sautaient, tombaient de l’encoche, à cause de leur petitesse et du contacteur à ressort, puis le couvercle de 1cm2 n’aidait pas pour refermer, avec la pression des deux piles qui le repoussait). Je retiens aussi la musique bien stressante de Donkey Kong II quand ça accélérait franchement avec ces pu***** de corbeaux.
5 ) Est-ce que tu as déjà joué à des machines « arcade », si oui, est-ce que tu te rappelles d'un jeu en particulier ?
Si j’ai déjà joué à des machines d’arcades ? Mais j’y ai passé mon enfance et mon adolescence, un temps inimaginable, et j’ai inséré un paquet de pièces de 5 et 10 francs, clairement.
On est autour de 1988/89. J’avais même mon petit porte-monnaie à scratch (sorte de sac banane) que je mettais sur mon biceps gauche. Je prenais mon petit billet de 50 francs et j’allais à l’Automat du centre-ville squatter des heures. Quel plaisir d’insérer son billet dans le monnayeur et d’entendre toute ces pièces tomber dans le collecteur.
J’avais même trouvé un gosse de mon âge pour partager son argent, on jouait ensemble quelquefois, ça permettait d’être à deux et d’avoir plus d’argent à dépenser.
Parfois, quand une personne lâchait la borne avant la fin car il se faisait laminer à un Beat them all, j’appuyais sur le petit bouton rouge pour faire apparaitre le deuxième joueur et continuer la partie, gratuitement. Assez fourbe mais efficace.
Pour les jeux, avant de parler d’un seul et unique jeu qui m’a profondément marqué, je me dois de citer les jeux auxquels je jouais souvent, et qui ont contribué à forger ma passion pour le jeu vidéo.
Citons, pêle-mêle : Strider et Shinobi
Strider avec ses sauts aériens renversants, le singe robotique géant, son laser. Golden Axe et la pression pour voler le plus de fioles bonus aux nains/lutins pour aller le plus loin. Quand tu perdais ta monture aussi, la détresse, et les sauts sur le pont cassé fallait pas se louper. Ikari Warriors, sorte de Rambo au Vietnam ou le but était de tout défouraillé coups d’armes de guerre. Shinobi, avec son stage bonus ou l’adversaire avançait vers l’écran, et on devait le repousser à ses shurikens. Un jeu difficile pour moi à l’époque. Double Dragon, avec le fameux coup de coude à répéter en boucle (à droite, à gauche), les grands coups de latte dans la tronche à coups de genoux, pendant que je t’attrape par la tignasse, excellent. Le combat final entre les deux joueurs pour savoir qui repartira avec la fille, toute une époque. Rampage, avec la destruction de la ville par des monstres Ghouls ‘n Ghosts, la musique, l’ambiance, les décors qui bougeaient, LA difficulté de malade Final Fight de la bonne grosse castagne de rue Vigilante en vue 2D, arts martiaux, tu avances, tu cognes.
Golden Axe et son tabassage de lutins
Street Fighter 2 bien-sûr, incontournable en 1991/1992. Super Sidekicks, du foot basique mais quelle ambiance. NBA JAM, gros succès, du fun et du spectacle. Fatal Fury 1 et 2, avec la possibilité d’aller dans le deuxième plan. Viewpoint du shoot them up en 3D isométrique avec de la musique techno. Art of fighting, les Metal Slug, Toki le singe, Samurai Shodown, ses duels au sabres où l'on devait presser comme des fous les boutons, et son décor sur le front de mer avec les vagues se fracassant contre les rochers, The King of Fighters.
Je n’ai pas fini, j’ajoute Virtua Fighter 1 et 3 (j’ai un peu zappé le 2). Je me rappelle les graphisme de Virtua Fighter 1, plus cubique que ça, pas possible, les combattants ressemblaient à un agrégat de paquets de lessive, les ancienne, grosse, en angle droit. Sega Rally, Virtua racing évidemment, et d’autres que je dois oublier, la liste est déjà assez conséquente.
Maintenant, pour répondre à la question d’un jeu qui m’a profondément marqué et auquel je joue toujours, c’est Mortal Kombat.
Il faut véritablement avoir vécu cela pour en saisir toute l’émotion, la surprise, l’émerveillement, le CHOC que cela a été, lors de la découverte du jeu dans les salles sombres, éclairées au néon.
Nous sommes en 1992 à l’aire des 16 bits, la Super Nintendo et la Megadrive. Je pénètre dans la salle d’arcade et là, je vois un attroupement autour d’une borne. Je n’arrive pas à voir de quel jeu il s’agit, car s’amassent autour de ce dernier une quinzaine de personnes. J’arrive à m’avancer un peu, je me mets sur la pointe des pieds, et … le choc.
Des graphismes absolument jamais vus, et pour cause, ils étaient digitalisés, c’est-à-dire que des acteurs avaient été filmés et intégrés tels quels. Première mandale, qui n’annonçait pas les suivantes. Le deuxième effet Kiss Cool (expression ô combien stigmatisante) a été l’originalité, la violence des coups portés, mais aussi leurs représentations, cela associé à des décors singuliers et matures. Uppercut envoyant dans les airs, grappin dans ton corps te trainant, envoi de boule de glace, grand écart avec coups dans les parties, voix digitalisée d’outre-tombe, cris (Raiden et son élan à l’horizontal tel superman, une claque), musique et ambiance.
Pour m’achever, je découvrais qu’il y avait des fatalités, on pouvait littéralement achever son adversaire, avec une violence non feinte, affichée et assumée.
Bref, une révolution à bien des égards, qui tranchait totalement avec Street Fighter I et II, et tout ce que je connaissais d’ailleurs.
La sortie de Mortal Kombat II (MK II) peu de temps après en arcade, fin 1993 (que j’ai découvert par hasard lors d’une fête foraine) m’a achevé. Plus de combattants, l’ambiance, les stages, deux fatalités, les babality et friendships, le même jeu en plus développé.
J’avais même songé, autour de mes 18 ans, à me prendre une vraie borne d’arcade MK II chez moi, la même que dans les salles d’arcade, mais j’ai finalement jugé que ce n’était pas raisonnable.
J’ai donc un vécu et plein de souvenirs concernant les jeux d’arcade, qui est indissociable de ma passion pour les jeux vidéo.
Je terminerai ce chapitre par une petite anecdote : à un moment, toujours dans cette période où j’avais 10 ans, il y avait une personne d’un certain âge qui trainait dans la salle de temps en temps. Il m’avait un jour proposé de me donner quelques pièces, ce qu’il a fait, non sans frotter sa main sur ma cuisse. Quelques temps plus tard, il m’avait proposé de me raccompagner chez moi. Autant dire que j’avais compris qu’il fallait dire non, ce que j’ai fait avec insistance et prétextant tout et n’importe quoi. Je pense que je n’étais pas prêt, à cette époque, à reproduire la scène de Pulp Fiction dans la cave.
6 ) Quel est le premier jeu qui tu as acheté et pourquoi celui-là ?
Le premier jeu que j’ai eu a été Alex Kidd in Miracle World puisqu’il était inclus dans la Master System que j’ai eu comme toute première console, je pense, en 1987 ou 1988.
Le souvenir qui me revient concernant un jeu que j’ai véritablement acheté avec mes propres deniers (mon argent de poche), c’est Eartworm Jim sur Super Nintendo, à Micromania, pour la modique somme de 549 francs, fin 1994. Soit 83 € mais 133 € avec l’inflation.
Le titre faisait beaucoup parler de lui … dans les journeaux spécialisés, JoyPad, Console +.
Il y avait beaucoup d’humour, avec une chevauchée sur un hamster, des coups de fouets avec le corps de Jim, les animations cartoonesques quand on lassait le personnage sans rien faire, le lancer de vache … bref, du n’importe quoi mais je trouvais cela marrant.
Groovy !
7 ) Quelle est la première machine qui tu as achetée et pourquoi celle-là ?
La première machine que j’ai eue, c’est une Sega Master System pour Noël 1987 ou 88.
La première console que j’ai achetée avec mes deniers personnels, à l’époque mon argent de poche, ce doit-être la Super Nintendo, en 1992, le jour de sa sortie.
J’avais eu auparavant, respectivement, et probablement à Noël, la Sega Master System, la NES, puis la Megadrive. Comme je me moquais de savoir si telle ou telle constructeur était meilleur que l’autre, je me devais de prendre cette console, et Nintendo était une marque que je connaissait depuis la NES.
Pour l’anecdote, à l’époque, dans les magasins de jouets ou dans les grandes surfaces, il y avait la Nintendo NES en démonstration. On pouvait y jouer après avoir fait la queue, et j’ai énormément joué à Mario Bros 1, surtout le premier niveau … car la console se réinitialisait au bout de quelques minutes, et le jeu reprenait au début. J’y ai découvert aussi Punch-Out!!, Excitebike …
J’ai adoré cette console, déjà par sa manette avec ses quatre boutons colorés et les deux boutons sur la tranche, une révolution à l’époque.
Puis Zelda A link to the past, un chef-d’oeuvre, Le tout premier Mario Kart, Street Fighter II la grosse claque, Donkey Kong country avec ses graphismes et ses superbes musiques, Super Mario World bien évidemment, Mickey Magical quest, Mortal Kombat I et II, Flashback (put*** cette intro), Parodius (Shoot them up déjanté) … de la bombe.
Ca vous rappelle des trucs ?
8 ) Quand tu vois un trailer, qu'est-ce qui fait que tu peux tout de suite penser que tu vas accrocher ?
C’est vraiment aléatoire, attendu que cela dépend grandement du style de jeu.
Surtout la direction artistique mais pêle-mêle, ce sont l’ambiance générale, l’émotion procurée, la mise en scène, le côté épique, l’humour, le character design, la musique, le style de jeu qui font que je vais accrocher directement ou pas.
Par exemple, je ne joue pas aux FPS, donc cela peut-être la plus belle bande-annonce possible, ça me laissera de marbre.
Mais si vous voulez une idée de ce que j’adore, je vous laisse avec ce trailer que j’ai regardé, je ne sais combien de fois … tout est au top, c’est dingue, et le jeu est une merveille à mes yeux :
T'en veux du trailer qui tabasse ?!
9 ) Un petit exercice, est-ce que tu pourrais me dire un jeu qui te vient tout de suite en tête quand j'utilise les mots :
- Gameplay : Les jeux Mario, toujours un régal dans leur approche ludique globale, leur prise en main.
- Level design : Mario Galaxy 1 et 2, une tuerie intersidérale (notez le jeu de mot ^^). Cet enchainement dans des planètes, la tête en bas, avec un agencement parfait des ennemis et autres boutons poussoir. Tout est logique et cohérent, fluide. On reconnait vraiment la patte de Nintendo, l’école du gameplay et du level design.
Mention spéciale aussi à Zelda (A link to the past, Ocarina of time, Majora’s Mask et Wind Waker), Resident Evil 1 que j’ai fait 30 fois, Ico, Shadow of the colossus et Gorogoa.
- Character design : Mortal Kombat, surtout les deux derniers (Mortal Kombat 11 et Mortal Kombat 1). Prenez scorpion et Sub-Zéro, c’est vraiment la grande classe, avec les différents skins.
- Direction Artistique : Zelda Wind Waker, un coup de cœur totale, un jeu que j’ai plusieurs fois, je suis fan. Les expressions du visage, l’aspect cartoon et coloré, les embruns et les sillages de la mer avec notre bateau, les explosions et leurs volutes.
Mention spéciale à Cuphead.
- Animation : Prince of Persia en 1989, le tout, premier, mais ça date un peu ^^. Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous mets un lien, c’est assez marrant à voir. Regardez bien la date, pour comprendre mon ressenti : https://www.youtube.com/watch?v=ZW_eExHpTZI
Prince of Persia et Flashback
Je rajouterais tout de même deux autres jeux sur, Amiga : Flashback en 1992 avec ses déplacement, sauts et roulades vraiment bien rendus pour l'époque, mais aussi Panza Kick Boxing. Ce dernier avait des animations hyper réalistes, concernant les mouvements des boxeurs (technique dite du rotoscoping qui se base sur un traitement d'images de prises de vue réelles qui les convertit animations). On choisissait nos propres coups parmi un panel.
- Scénario : Final Fantasy X et VII je dirais, mais aussi Shenmue I et II. Shenmue est emprunt de mystères, de secrets, d’énigmes, de révélations, sa narration est agréable à suivre.
Ca m’évoque plusieurs choses qui sont paradoxales.
Je m’explique. Comme je l’indiquais plus haut, Nintendo c’est l’école du gameplay, de l’accessibilité, mais aussi du level-design. Leurs titres phares et iconiques sont chiadés, calibrés, ils savent où ils vont. C’est aussi un constructeur qui tente des choses, avec la 3DS, la Wii, la Wii U et la Switch. Ca m’évoque aussi la famille, l’insouciance, la niaiserie parfois, le fun, la simplicité, mon enfance et mon adolescence, des licences connues et reconnues.
C’est une valeur sûre, familiale et calibrée, qui m’évoque, aussi, le duel Sega/Nintendo des années 88/95.
Mais cela m’évoque aussi des prix qui ne baissent strictement jamais, même après … non, jamais, on dirait que le jeu vient de sortir, et pourtant il coûte autant qu’il y a … 7 ans. Je pense aussi à une prise de risque que je trouve faible quant à leurs nouvelles licences, trop peu nombreuses. Nintendo c’est Zelda, Mario, Donkey Kong et consorts, mais en aucun cas pour moi, c’est autre chose. J’achète Nintendo pour ses licences, mais absolument pas pour le reste.
Donc, Nintendo est, à mes yeux, complémentaire, mais ne saurait justifier de ne posséder que leur console.
Si je te dis Sony, ça évoque quoi ?
Ca m’évoque ma fin d’adolescence et ma vie de jeune adulte, d’adulte et de père de famille.
Les jeux cultes ou très bons en nombre. Je pense aussi aux grosses licences qualifiées de solo narratives, telles que les Uncharted, Last of Us etc. Les jeux à grand spectacle, les jeux indés, les cartes mémoires à emmener chez son pote, la console PS1 que je devais retourner à l’envers afin de lire les jeux, les jeux gravés sur ma PS1 et ma PS2. Je pense aussi à cette cultissime ambiance au boot/démarrage de la console.
C’est aussi une marque dont j’ai acheté toutes les consoles de salon (de la PS1 à la PS5), au contraire des autres marques.
Mais c’est aussi des travers, avec une communication parfois pompeuse et trompeuse, comme ce fût le cas pour certains trailers mensongers. Une PS3 à 600 € et un lancement catastrophique (je me rappelle sur Gamekyo les délires sur le blog à cette période).
Sony, la PlayStation et moi c’est donc une histoire qui dure depuis 1995, et qui, je l’espère, continuera ainsi.
Culte vous dis-je ! Vous pleurez, avouez.
Si je te dis Microsoft, ça évoque quoi ?
Ca m’évoque la première Xbox, moche mais avec laquelle j’ai pu jouer à rejouer Shenmue II et Oddworld : L'Odyssée de Munch. Une manette Xbox 1 tout sauf ergonomique, elle était énorme.
La Xbox 360 et le début de la HD, le jeu en ligne et le RROD qui a tué ma console.
Mais pas plus que ça. Les licences Xbox ne me parlent pas à 99 %, n’étant pas fan de jeux de courses, de FPS, TPS et ce qui est proposé.
Donc après la Xbox 360, je n’ai plus acheté de Xbox. A part Fable qui me plait dans son concept, aucun jeu ne me vient à l’esprit.
C’est une vision éloigné de mes goût vidéoludiques.
11 ) Est-ce qu'il y a un jeu qui a eu très bonnes presses auquel tu n'accroches pas et pourquoi ?
Oui, à mon grand regret, il s’agit de Zelda Breath of the Wild.
J’ai joué à l’ensemble des Zelda sur console de salon, sauf Twilight Princess, c’est vous dire si j’aime cette licence.
Je suis un grand fan de Link to the Past (une madeleine de Proust ce jeu), Ocarina of Time, Majora’s Mask, Skyward Sword et surtout Wind Waker.
Ils ont voulu changer d’orientation, offrir un monde ouvert à explorer.
Seulement, pour moi, ce fût difficile, j’ai tenu jusqu’à quasiment la moitié du jeu et j’ai laissé tomber. L’absence de donjons (une souffrance pour moi), la répétion des monastères, le monde ouvert qui ne m’attire pas dans cette licence, la redondance des ennemis, les armes qui se cassent ont eu raison de mon attrait pour cette licence culte. Et ce n’est pas faute d’avoir essayé.
12 ) Est-ce qu'il y a un jeu qui a eu très mauvaises presses auquel tu accroches et pourquoi ?
Pour être honnête, rapidement, là, je ne vois pas vraiment, donc je vais citer deux des jeux qui sont assez peu connus, ou dont on n’entend jamais parlé, ou très peu.
Et là, je remarque que la plupart des jeux ont une direction artistique singulière, une vraie patte, avec de belles musiques et mélodie, ou un gameplay atypique.
1/ Blacksad : Pont & Click tiré de l'excellentissime BD espagnole, Blacksad. Animaux anthropomorphiques, enquêtes, humour, Jazz, dans une ambiance de polar noir des années 50, à la Mike Hammer pour ceux qui connaissent.
2/ UFC 5 : graphismes photo-réalistes, jeu de lumière, muscles, gestion des dégâts hallucinantes (sang, coupure, gonflement, hématomes). Technique, intense et prenant. "Let's Get It On!"
3/ DeathSpank : La fessée de la mort. Quand les Monthy Python croisent Guybrush Threepwood (Monkey Island) dans un action RPG. Fendard.
4/ Candle The Power of the Flame : Sorte de Point & Click, avec narrateur nous accompagnant durant notre quête, de belles musiques, un univers singulier.
5/ Gorogoa : Quand le level design se met au service d'énigmes, de mise en abymes, de perspectives retorses. Peut et doit aussi se jouer avec des personnes totalement étrangères aux jeux vidéo. Unique et génial.
6/ Puppeteer : Superbe jeu de plateforme/aventure dans un univers théâtrale absolument divin. Tout se déroule comme si un spectacle (au sens littéral) s'offrait à vous. Un véritable conte interactif. Une merveille.
7/ Machinarium Quelle poésie, touchant et attachant. Un Point & Click avec une très belle direction artistique dans un univers ayant une forte identité. Le personnage principal ne vous laisser pas indifférent. Belle découverte.
8/ Armello Quand le jeu plateau prend vie devant vos yeux. Musiques envoutantes (Lisa Gerrard entre autres), différents moyen de gagner la partie, de superbes illustrations de cartes, un superbe environnement de jeu, des revirements de situations, tendu comme il faut, bel équilibrage. Ouvrez-vous, découvrez-le.
1/ Blacksad
2/ UFC 5
3/ DeathSpank
4/ Candle: The Power of the Flame
5/ Gorogoa
6/ Puppeteer
7/ Machinarium
8/ Armello
13 ) Le personnage de jeux vidéo préféré et celui que tu n'aimes pas, pourquoi ?
Je n’ai pas vraiment, instinctivement, de personnages préférés.
Mais pour répondre à la question, je dirais Guybrush Threepwood de la série de Point & Click Monkey Island, pour son côté Pierre Richard, gaffeur, naïf, touchant, aventurier.
Viennent aussi Nathan Drake d’Uncharted, pour son humour et sa soif d’aventure, Trevor de GTA pour son coté psychopathe, et Geralt de Riv (Witcher 3) pour le côté posé et classe.
Idem, pas vraiment de personnages détestés.
Peut-être les Mii sur la Nintendo Wii, je trouvais ces avatars vraiment quelconques, voire totalement ratés.
En creusant, peut-être aussi Birdo, de Nintendo, avec son nez en forme d'orifice.
Je suppose qu'elle doit s'accoupler avec Yoshi, je vous laisse deviner comment ...
Épisiotomie nasale dans 3 ... 2 ...
14 ) La licence que tu préfères et celle que tu n'aimes pas, pourquoi ?
Je dirais Resident Evil auquel je joue depuis le tout premier opus sorti en 1996 sur PS1.
Cette intro légendaire :
Bâââââry Buretôôôône !
Une claque à l'époque. Un genre nouveau (si on fait fi de Alone in the Dark), une ambiance oppressante, anxiogène, malsaine, enveloppé d'une musique calme mais non rassurante, inquiétante, mystérieuse.
Que s'est-il passé dans ce manoir ? Où est sont passés Wesker, Barry ? Quels esprits dérangés ont-ils pu dissimuler avec autant d"ingéniosité ces pièges et autres passages dérobés, dans quels buts ?
Le stress à chaque ouverture de porte, le cadrage des plans fixes habillement agencés, venant forcer notre imaginaire à envisager tout et n'importe quoi à l'autre bout de ce couloir, derrière cette colonne, ce recoin.
Je l'ai retourné dans tous les sens, tant avec Jill qu'avec Chris.
Son remake sur Nintendo Gamecube en 2002 fut un claque MAGISTRALE, seulement 6 ans après, pour le fan que j'étais et que je suis toujours. Indescriptible !
J'ai récemment refait les remakes de Resident Evil Zero (gestion de l'inventaire pénible mais bonne ambiance), Resident Evil 2 (un régal, la partie dans le commissariat, excellente, Mr X), Resident Evil 3 (bon jeu, le Nemesis). Très bon souvenir, de janvier 2000, sur Code Veronica.
Et l'excellent Resident Evil 4 Remake, un très gros plaisir, le début dans les bois, avec les volutes de brouillards, les corbeaux sur les arbres inquiétant, tortueux, l'entrée dans la première bâtisse, quelle ambiance.
Je me dois de citer tout de même Zelda (A Link to the Past, Ocarina of Time, Majora's Mask, Wind Waker , Final Fantasy VII et X, Uncharted (surtout le 2 et le 4) et Shenmue I et II, grosse révolution à l'époque.
Pour celle que je n'aime pas, je dirais Call Of Duty, les FPS, ce n’est littéralement pas mon truc.
Et voilà, c'est la fin de la partie 1 qui m'a littéralement pris plusieurs heures, tant sur la réflexion, le travail de recherche d''images, la mise en page que la rédaction à proprement parler.
Partie 2 en cours de rédaction.
J'espère que vous avez apprécié la lecture et suis en attente de vos retours.
Hello, petit copier-coller d'un texte que j'avais fait sur Limbo, qui prête bien plus à discussion que Brothers (qui est un bon jeu mais pas aussi captivant, à mon sens, que Limbo).
Salut, je préviens, c'est un peu long mais tout simplement littéralement personnel, et vraiment original. Prenez le temps de lire et donnez-moi vos avis, ça m'intéresse énormément, Limbo m’ayant juste subjugué de bout en bout.
Bon, je viens de le finir cette nuit à 3 heures du matin, j'étais crevé mais j'ai adoré. Je vais donc interpréter ce jeu juste somptueux.
L'enfant n'a pas pris conscience de sa propre mort. La lumière dans ses yeux symbolise la lumière de son cœur, l'amour de sa sœur, l'espoir de retrouver celle-ci qu'il adorait.
Le synopsis nous narre juste le fait que l'enfant veut retrouver sa sœur, on ne sait pas si elle est morte ou pas, lui non plus.
Il meurt sans cesse car il n'a pas conscience qu'il est mort, il est animé d'un quête, retrouver sa sœur, donc pour le moment, la mort n'a pas prise sur lui, il l'outrepasse outrageusement, provoquant la colère de ses habitants (les enfants) qui, eux, ont conscience de leur propre mort.
Dans ce monde, soit on reste à errer avec les yeux éteints, soit on sombre pour mourir totalement (l'enfant dans la cage avec le corbeau, ceux noyés).
Les autres personnages (les enfants) sont hostiles envers lui car il veulent lui faire accepter sa propre mort, lui faire accepter son trépas. Ici encore, ses yeux lumineux nous indiquent qu'il refuse la vérité (il ne la connait finalement pas).
Si vous n'avez pas vu le film "Les Autres" avec Nicole Kidman, ne lisez pas ceci :
Spoiler :
: Comme dans le film, les autres avec Nicole Kidman, cette dernière ne sait pas qu'elle est morte, et refuse même de le croire jusqu'à à finalement l'accepter
Au début du jeu, on est dans le flou (doit-on partir à gauche, à droite, quel est cet endroit inconnu et lugubre) car l'enfant vient de mourir et il refuse son sort (sans toujours vraiment le savoir), ou plutôt, son amour pour sa sœur lui permet de vivre (yeux éveillés, lumineux) dans ce monde noir.
Mais il ne sait pas où il est, tout comme nous, c'est pour ça que le synopsis tient en 1 ligne, préserver le mystère au début.
D'ailleurs, au départ, l'enfant est allongé, les yeux fermés.
Vous avez surement attendu qu'il se passe quelque chose pendant plusieurs secondes, mais rien. Cela symbolise le flou total. Si on ne fait rien, il ne se passe rien. C'est manette en main, nous, le joueur, qui nous étonnons de devoir appuyer sur un bouton pour commencer le jeu. Notre étonnement est ici donc aussi le sien : c'est vraiment hallucinant, on s'étonne manette en main de le faire se lever quand lui doit s'étonner de se relever de sa mort non acceptée.
Le vers blanc peut représenter les asticots qui nous mangent quand on est mort.
L'enfant refuse de se laisser faire (il devient un zombie incontrôlable) mais parvient là encore à se défaire de ces vers pour reprendre le contrôle de lui-même et retrouver sa sœur coûte que coûte, la mort n'a pas encore de prise sur lui, sa volonté est encore la plus forte.
A la fin, la réalité le rattrape, sa sœur sent sa présence (vous savez, comme quand on a des frissons dans tout le corps, on se dit que quelqu’un est près de nous) et a un sursaut.
Cette dernière se trouve au pied de la cabane où il est mort en chutant. Elle touche le sol, remue la terre et pense tendrement à son frère disparu qu'elle aime éperdument
L'enfant n'avance pas vers elle car il ne peut la toucher, ne faisant pas partie du même monde (je vais explique ça de suite)
Justement, le miroir traversé symbolise le fait que l'enfant s’échappe temporairement des Limbes, en brisant la vitre avec force. Il est sorti des Limbes. Pour preuve, en revenant à gauche, nous ne voyons plus les Limbes (on devrait normalement voir la vitre brisée).
Au contraire, nous voyons un petit étant calme, paisible.
L'enfant s'est échappé des Limbes pour qu'il puisse se rendre compte de sa propre mort et voir sa sœur une dernière fois, dans le monde réel.
Le sursaut de cette dernière marquant définitivement le fait qu'elle sait que son frère restera présent au fond de son cœur.
Lui devrait (ça, nous ne le voyons pas) maintenant se rendre compte de sa mort et retourner dans les Limbes, cette fois-ci avec les yeux éteints signe d'une mort définitivement scellée, apaisé de savoir que l'amour qu'ils éprouvent tout les 2 ne mourra jamais, sa sœur le gardant toujours au plus profond de son être, dans ses pensées.
Conclusion :
L'enfant est mort en tombant de sa cabane, il se réveille (grâce à sa volonté de retrouver sa sœur, sans quoi il resterai au sol, définitivement mort) étonné sans savoir où il est. Il n’accepte pas (sans le savoir) la mort (il est immortel dans ce monde, puisqu'il revit à chaque tentative des limbes de le tuer, au contraire des enfants qui meurent quand la presse les écrase, puis ses yeux sont lumineux).
Il s'échappe des Limbes temporairement (la vitre qui éclate, symbolisant la violence de la séparation entre le monde des vivants et celui des morts.
Il est dans le monde réel (il n'y a plus du tout de piège, il y a l'étang à gauche, lus de vitre et on voit sa cabane et sa sœur) mais sans pouvoir interagir avec lui.
Sa sœur se recroqueville (elle est donc bien vivante) sur l'endroit de sa mort et sent son frère, sa présence, chacun sait qu'il s'aiment malgré les 2 mondes qui les séparent.
Bon, j'aimerai bien que vous commentiez mon analyse, car elle est vraiment toute personnelle
Pas fait brother mais j'ai adoré Limbo. Les passages avec l'araignée c'est vraiment quelque chose. Je n'avais pas poussé ma réflexion jusque là mais j'étais a peu près sur la même longueur d'onde. Le jeu s'appelle Limbes après tout.
J'ai a-do-ré ce jeu
J'ai même fait le trophée où il ne faut pas mourir plus de 5 fois en une seule partie et celui qui se passe dans un niveau entièrement dans le noir (chaud).
J'ai pondu cet article à chaud il y a quelques mois car le jeu se prête à merveille à la réflexion sur cette "histoire" envoutante.
J'ai trouvé ce limbo sympa quand je l'avais fait il y a quelques années déjà, mais en revanche il m'a déçu sur certain point notamment le fait que les artworks montraient de superbes environnements inédits que l'on a jamais eu dans le jeu.
Par contre si tu n'as pas essayé joue à journey et tu m'en diras des nouvelles, pour moi ça c'est une vraie expérience inoubliable ^^
ouabde Sérieux? alors un jour ou un soir ou nuit ou tu pourras, prends toi 2h comme pour un bon film et plonge toi dans Journey et surtout joue y en ligne pour que l'expérience soit complète...! Il va te faire beaucoup réfléchir ^^
pour moi ce jeu est l'une (si ce n'est l'unique) des expériences les plus marquante de mon expérience de joueur. D'ailleurs il y a quelque similitude entre limbo et journey au niveau de la réfléxion sur la vie/mort/réincarnation...
Maxleresistant : j'ai kiffé DeathSpank, de Ron Gilbert, une petit pépite, les 2 Monkey Island (superbes remakes). Castle crashers c'est fendard.
Braid est proprement hallucinant, il te laisse sur le c** (histoire, musiques etc).
Limbo est un bon jeu.
Par contre, j'ai trouvé son gameplay trop classique mais son propos est vraiment bon.
A l'époque, j'avais lu dans des forums que la vitre brisé symbolisait un accident de voiture pour lequel il serait mort.
La soeur serait morte aussi car nous voyons deux nuée de mouche à la fin, soit deux corps mort.
Bref, l'explication de ce jeu se suffit à son titre. Limbo, les limbes.
Nous jouons un garçon plongé dans les limbes
ouabde
Tu as fait brother, parce que il est pas mal du tout. Un vrai de theme de la fraternité est abordée et c'est pas courant
Oui, j'ai fini Brothers il y a 2 jours. Bon jeu, l'absence de dialogue est un plus avec la gestuelle des personnages pour seule compréhension, on ressent de l'empathie. La fin est très poignante.
Mais le jeu est très court et un peu en retrait techniquement, c'est dommage.
lordkupo Un film, c'est toujours mieux au cinéma, un jeu c'est pareil. Surtout quand il s'agit, fait rare, d'une véritable œuvre, autant visuellement que ludiquement parlant.
poliof permet moi d'en douter, chacun trouve son confort a sa façon. T'es préférences sont les tiennes, je ne les partages pas, d'ailleurs je ne vais pratiquement jamais au cinéma, préfèrent un bon film sur le canapé, je suis bien équipé et vu le prix que ca coûte je rentabilise à mort.
Chacun sa vie, chacun ses goûts..
Super article ! J'arrive surement après la bataille mais avec mon groupe j'avais crée une chanson et les paroles sont inspirées de Limbo. La chanson suit un peu les différents passages et émotions du jeu.
J'ai même fait le trophée où il ne faut pas mourir plus de 5 fois en une seule partie et celui qui se passe dans un niveau entièrement dans le noir (chaud).
J'ai pondu cet article à chaud il y a quelques mois car le jeu se prête à merveille à la réflexion sur cette "histoire" envoutante.
Par contre si tu n'as pas essayé joue à journey et tu m'en diras des nouvelles, pour moi ça c'est une vraie expérience inoubliable ^^
pour moi ce jeu est l'une (si ce n'est l'unique) des expériences les plus marquante de mon expérience de joueur. D'ailleurs il y a quelque similitude entre limbo et journey au niveau de la réfléxion sur la vie/mort/réincarnation...
Perso sur PS3 je prends que les exclus, le reste c'est sur PS Vita pour y jouer tranquillement au pieux pendant que monsieur regarde la télé
Prenez un palmito lordkupo...
J'aime pas les Palmito.. Mais je refuse pas un Pépito
Braid est proprement hallucinant, il te laisse sur le c** (histoire, musiques etc).
Par contre, j'ai trouvé son gameplay trop classique mais son propos est vraiment bon.
A l'époque, j'avais lu dans des forums que la vitre brisé symbolisait un accident de voiture pour lequel il serait mort.
La soeur serait morte aussi car nous voyons deux nuée de mouche à la fin, soit deux corps mort.
Bref, l'explication de ce jeu se suffit à son titre. Limbo, les limbes.
Nous jouons un garçon plongé dans les limbes
ouabde
Tu as fait brother, parce que il est pas mal du tout. Un vrai de theme de la fraternité est abordée et c'est pas courant
Mais le jeu est très court et un peu en retrait techniquement, c'est dommage.
Chacun sa vie, chacun ses goûts..
Ca ce passe ici pour ceux qui veulent y jeter une oreille