En 40 ans, huit générations d'objets magiques, capables de nous coller les fesses sur un canapé par une belle journée ensoleillée ou de nous faire rester une heure de plus aux toilettes pour finir un niveau d'Aladdin sur Gameboy. C'est ça les jeux vidéo, une belle histoire avant tout.
Mais il y avait aussi des ratés, des jeux aussi nazes que frustrants, souvent agrémentés de pochettes comme celles-ci :