"Ils poussent leur délire assez loin et font même du cross-média en faisant visiblement entrer le jeu dans le lore de la saga Nexus VI, c'est fou ! J'ai peut-être raté l'info mais on a une idée du style de jeu et des vidéos de gameplay ?"
"Haha cette chaîne Youtube est incroyable. Elle arrive à parler de jeu vidéo comme personne d'autre, a un esprit d'analyse fin et pertinent, et sort totalement des carcans habituels dans ses sujets. Cette vidéo était instructive et même un peu engagée."
"Bah il est difficile oui, j'en chie bien, mais c'est pas pire que le 1er je trouve. Le gameplay est un peu différent (attaque en piqué diagonale), et certains combats sont... pfiou, chauds ! Mais bon on s'accroche et ça passe. Là on est face au même souci que lors de la sortie de Sekiro : des gens qui ne connaissent pas la franchise sont montés dans le train de la hype à l'aveugle et se retrouvent face à un jeu qui ne pardonne pas l'erreur."
"Putain le grand public a vraiment des goûts de chiotte, épisode 845615468745. C'est un film d'animation lambda, avec des personnages clichés déjà vus 1000 fois, et dans lequel le public est métaphorisé par une bande d'idiots zombies.
Je comprend le succès public car c'est facile d'accès, etc... et c'est calibré pour plaire à tout le monde, mais c'est juste tellement creux. Vide."
"@sosky très bien résumé. Pas la peine d'essayer de raisonner avec ces gens qui, malgré un quasi-consensus scientifique et des alertes lancées depuis les années 1970, font comme si tout était normal.
Je savais que Gamekyo était pourri par les misogynes et les racistes. Disons que les climato-sceptiques c'est même pas étonnant de les retrouver ici aussi."
"@kikoo31 heuuu pas besoin d'être proche d'un haut fonctionnaire tu sais... Il suffit de se renseigner, de lire la presse et les bilans et audits des différents organismes. Bref, de se tenir informé pour éviter de dire de la merde comme certains."
"@cyr et bien merci, par ton commentaire, de confirmer le fait que ce ne sont pas les fonctionnaires (bouh les vilains) qui creusent le déficit, mais bel et bien les politiques budgétaires décidées... par les gouvernements successifs.
Allez je te le donne en mille : depuis 1980 ce ne sont que des politiques économiques libérales qui ont creusé le déficit. Oui, cela a commencé sous Giscard et Mitterrand a continué dans la même direction. Les vilains gôchiasses n'y sont pour rien. Déso."
"@Cyr Merci coco. Je suis fonctionnaire. Je sais comment ça fonctionne, je vois la machine fonctionner de l'intérieur. Alors elle est LOIN d'être parfaite c'est certain. Mais déléguer les services publics au privé, chose que les différents gouvernements font depuis les années 1980, n'apporte souvent que des déconvenues.
Petit cours pour toi : "privatiser les bénéfices, nationaliser les pertes" ça ne te dit rien je suppose ? La vaste majorité des services publics délégués reçoivent des aides de l'Etat pour rester à flot car elles ne sont pas rentables autrement. Eh oui ça coûte plus cher de vouloir faire du bénéfice mon gars.
Les impôts que tu semble détester payer, ça te sert à avoir des poubelles ramassées, à avoir des routes sur lesquelles marcher/rouler, à avoir de l'eau potable à ton robinet et j'en passe.
Pour info, la France n'a pas plus de fonctionnaires que ses voisins, par contre elle a en effet plus de travailleurs dans le public non titulaires que les autres pays. Pourquoi ? Parce que les collectivités territoriales jouent le rôle de filet de sauvetage pour moult emplois peu qualifiés et mal payés. De fait, les collectivités représentent et de loin la vaste majorité des travailleurs publics.
Tu ne connais rien au sujet. Si tu veux vivre dans un pays ultra libéral et voir comment ça se passe, émigre donc au Royaume Uni ou bien en Argentine et je te laisserai apprécier l'enfer administratif que ces pays sont devenus. Idem en Allemagne puisque visiblement il faut toujours se comparer au voisin Teuton qui semble être le parangon immaculé dont on devrait s'inspirer.
Le déficit public, il n'est pas dû aux fonctionnaires. Il est lié à la dette, et au fait que nos prodigieux décisionnaires, depuis 40 ans, privatisent les recettes et nationalisent les pertes."