Un film qui se laisse regarder sans le son en pensant à la période "de sauver par le gong"

Pas vu. Mais ce soir y a baron noir saison 2. Excellent

Hier nous avions Total Recall. Cette claque quand même
En effet Showgirls c'est pas une réussite sauf pour se rincer l'oeil

Oui bof celui là. Pas nul mais dispensable et scenario bidon. Par contre le reportage d arte sympa hier soir

administrateur De mon souvenir il se laisse regarder.

tab quand j'écris ça, c'est par rapport à ce que se disait à l'époque de sa sortie.

tab grave

Sinon je le trouve pas mauvais moi ce film

Un vrai film de merde, de A à Z. Un OVNI dans la filmo de PV.

olive je pense que tu as comprit ce que voulait dire Paul Verhoeven.
"l’outrance hyperbolique revendiquée par Verhoeven est le choix esthétique le plus efficace pour atteindre la vérité de cette ville-mirage construite dans le désert, où tout n’est qu’apparences et vacuité. A revoir ce remake trash d’Une étoile est née, on reste sidéré par la manière dont le cinéaste détourne les codes de la comédie musicale hollywoodienne pour la priver de toute élégance, de tout romantisme. Dans son récit construit comme une boucle, la répétition des motifs et des situations révèle la violence, le cynisme d’un show-business avide de chair fraîche sans cesse renouvelée. Ce n’est pas forcément évident à la première vision, mais Showgirls est l’œuvre d’un vrai moraliste…"
Télérama
http://www.telerama.fr/cinema/films/showgirls,38775.php

nicolasgourry Merci, un film que j'avais vu déjà Starship troopers joue la satire avec brio, et on le retrouve un peu ici. Le film me fait penser à un mélange entre Mulholland Drive et Foxcatcher.

Las Vegas en tant que tel m'a laissé un souvenir tellement glauque, je trouve le film hyper réaliste. Un peu aguicheur quand même, il faut le dire ;-)

olive disons qu'il veut être le plus "réaliste" possible, donc même montrer ce qu'est en fait ce genre de show, d'ailleurs plusieurs fois l’héroïne dit qu'il n'est pas une prostituée (mais le film justement, joue l’ambiguïté sur ça aussi). Paul Verhoeven, tout est ambiguë, c'est ça qui fait sa force.