Voici 2014 venu, il est temps de se servir de la rubrique "Micro-Test". Donc voici mesdames et messieurs le premier d'un jeu Micro-Test pour :
Sortie sans prévenir la 20 décembre dernier sur Xbox One, le premier jeu console de Press Play (Microsoft Studios depuis quelques temps) convainc avec des idées sympathiques et plutôt bien trouvés malgré une facilité un peu trop prononcé tout au long de l’aventure.
Petit résumé sur cette épisode mettant en scène Max et son frère Felix au griffes du vilain Mustascho. Proposé à 14,90€, le titre s’établie déjà comme un des (le ?) meilleur investissement du Xbox Live de la nouvelle console américaine.
1. Gameplay
Les mécaniques de jeu résident en la résolution d’énigmes le tout dans un moule plateforme. Ici, nul besoin de sauté sur la tête de ses ennemis ou de leur tirer dessus pour en venir à bout. L’environnement est votre allié et c’est votre crayon qui cristallise tout l’intérêt du gameplay du titre. Son utilisation est assez intuitive et ne nécessitera pas un long apprentissage préalable.
2. Graphismes
Nous sommes face à un jeu très joli, soigné avec une direction artistiques simple et efficace. Ses chaudes couleurs et ses environnements divers et variés (on passe d’une forêt tropicale au désert aride en n’oubliant pas la grande lave devant l’éternel) suffisent à rendre le tout plaisant à regarder. Reste néanmoins le fait que Max a été pensé et donc développé sur Xbox 360. Ce qui limite de facto les hypothétiques effets visuels supplémentaires dû à la limitation des jeux typés « arcade » sur cette dernière.
3. Bande son
De son côté la bande son reste très discrète. Parfois un silence total règne. Mais rassurez-vous, cela sert le jeu. Seul, dans le noir, vous servant de votre crayon pour éclairer votre parcours. Croyez bien que le silence ou même une musique « d’ambiance » suffisent à vous tenir en haleine.
Autre détail important (ou non) Max et tous les seconds rôles parlent anglais. Le sous-titrage français est bien évidemment de la partie. Le tout est doublé de manière correcte.
Attention il s'agit d'un niveau avancé du jeu / Vidéo maison du niveau "Disparu en lave", qui, si vous le faites d'une traite vous donne 50G. Un petit couac technique, un bug quoi a ruiné la seule capture vidéo que j'ai faite du titre! epic !
4. Durée de vie
Compter 6 heures (en moyenne) pour venir à bout de l’aventure. Reste 75 œil de Mustacho à récupérer (pas très complexe comme tâche) ainsi que 18 morceaux d’amulette : ce qui prolonge (artificiellement oui, mais prolonge quand même) la durée de vie.
Parlons de re-jouabilité maintenant : il aurait été intéressant de pouvoir par exemple, utiliser des pouvoirs qu’on ne possédait pas lors de la première partie. Au fil de l’aventure vous débloquerez en effet, la possibilité de dessiner des lianes, des jets d’eau et autres boules de feu. Mais toutes ces capacités ne vous seront aucunement demandés lorsque vous recommencé le jeu depuis le début.
Reste que, si comme moi, vous chercher à réussir tous les succès (à l’écriture de ces lignes les 1000G sont bouclés pour ma part) il faudra s’investir un peu plus longtemps. Notamment pour 3 succès en particulier qui vous impose de finir certains niveaux sans mourir, comme le boss de fin. Bon courage !
5. Conclusion
En conclusion, le petit studio Press Play nous livre là un jeu solide avec de vrais arguments. Reste une difficultés globale très (trop ?) faible : les énigmes restent peu complexes et ne nécessiterons pas une grande et intense réflexion, cependant quelques succès mettront au défis vos nerfs, notamment avec le boss de fin particulièrement efficace lorsqu’il s’agit de vous faire perdre. Et c’est bien de « nerfs » dont il s’agit : plus vous vous énerverez moins vous y arriverez. Si vous êtes alter ego d’un moine bouddhiste cela ne devrait pas trop être un soucis pour vous.
Avec Max, on voit les prémices d’un « personnage icone » pour la Xbox, tout comme l’a été et l’est encore aujourd’hui le Masterchief, toutes proportions gardés. Mais nous sommes face aux balbutiements d’une licence qu’on espère revoir dans quelques temps : plus ambitieuse et ingénieuse que jamais.
Gageons que Press Play aille dans cette voie. Et n’oubliez pas, une version Xbox 360 est toujours au programme.
Ils vont jouer dans la cours des grands en abandonnant Symbian pour se concentrer sur Windows Phone 7 : il y aura même deux smartphones Windows Phone 7 de Sony Ericsson - le nouvel OS mobile de Microsoft a un haut potentiel et une véritable communauté de développeurs pour le soutenir.
Espérons que Sony Ericsson ait fait le bon choix avec WP7
En plus de la part de Sony ? c'était déja pas assez avec les ordinateurs ?
M'enfin ça leur permettra de rentabilisé la campagne markéting du Kinect
Espérons que Sony Ericsson ait fait le bon choix avec WP7