Petit run sur le Roi Lion sur SNES, connu pour être à s'arracher les cheveux. Je n'utilise pas de Continue, mais ne fait pas un sans faute pour autant. Avant le run une petite intro et un coup d'œil aux boites et manuels de l'époque
Mais je pense que c'est juste la luminosité qui donne l'impression, parce que j'ai utilisé un éclairage différent que le plafonnier pour cet épisode, ça rend mieux niveau ombrage et pour montrer les boites/manuel
Si je comprend, la difficulté du jeu vient pour toi surtout du deuxième niveau (qui, il faut admettre, est pas évident du tout !) J'avoue que ça me surprend un peu d'entendre qu'il est hyper dur (genre dans les top de jeux difficiles etc.), alors qu'il fait partie des rares jeux que j'ai fini à l'époque (certes, en galérant un peu), quand à côté j'avais jamais réussi à finir Megaman X, ou des jeux autrement plus difficiles et injustes sur la console comme Tintin au Tibet ou Astérix...
Après je dis ça, si je m'y remettais aujourd'hui je galérerais probablement...
randyofmana mmhh je trouves pas que MegaMan X est si difficile, après c'est surout l'ordre des boss qui fera la difficulté.
Le truc c'est surtout que les jeux capcom sont hyper bien foutu, peu de problème de hitbox ou gameplay carrément foiré.
Faut toujours faire la différence entre difficulté voulu et servi par un Gameplay aux petits oignons, et difficultés débile amené par un jeu complétement foiré par exemple
Je crois que j'en parlais dans mon Run sur Hagane justement, que le jeu est difficile, mais juste.
fdestroyer Pour un gamer aguerri, sans doute pas, mais pour un gamin de 12 qui n'avait jamais touché à la série, il l'était quand même un peu ^^' Après j'avais pas trop de mal avec les 8 boss (une fois que tu comprends leurs points faibles ça roule tout seul ou presque), mais j'avais sévèrement bloqué sur l'un des boss du niveau final (l'araignée, j'arrivais pas à comprendre son pattern), au point d'abandonner le jeu sans le finir. Rassure-toi, je me suis vengé depuis (même si le boss final est une purge !). On est d'accord pour le reste que niveau maniabilité et codage le jeu était exemplaire.
Les soucis de hitbox et tout qu'on retrouve dans Le Roi Lion, finalement on les retrouve aussi dans beaucoup de jeux 2D américains de l'époque... C'était visiblement leur manière de concevoir le JV, aux antipodes de la méthode de conception jap. Ca n'empêche que, passé le deuxième niveau (où la difficulté est surtout de comprendre comment avancer), je n'avais pas trouvé le jeu infaisable (ce qui ne veut pas dire que c'était une promenade de santé non plus), en tout cas je sais que je l'avais fini contrairement à d'autres jeux, comme je t'ai dit ^^ Après, il est aussi possible que j'avais bénéficié de guides ou d'astuces des copains, comme ça arrivait souvent à l'époque... (genre va comprendre tout seul que pour tuer Scar à la fin, il faut lui faire spécifiquement une choppe au bord du gouffre pour l'envoyer dans le vide...)
randyofmana Haha j'aime bien car je dis exactement cela concernant les hitbox, le jeu est fait aux USA, et donc n'a pas la précision d'un hagane (je dis ça pendant le niveau 1)
Mais je pense que c'est juste la luminosité qui donne l'impression, parce que j'ai utilisé un éclairage différent que le plafonnier pour cet épisode, ça rend mieux niveau ombrage et pour montrer les boites/manuel
ostream Merci beaucoup! tu commentes tout de même assez souvent je trouve!
Après je dis ça, si je m'y remettais aujourd'hui je galérerais probablement...
Le truc c'est surtout que les jeux capcom sont hyper bien foutu, peu de problème de hitbox ou gameplay carrément foiré.
Faut toujours faire la différence entre difficulté voulu et servi par un Gameplay aux petits oignons, et difficultés débile amené par un jeu complétement foiré par exemple
Je crois que j'en parlais dans mon Run sur Hagane justement, que le jeu est difficile, mais juste.
Les soucis de hitbox et tout qu'on retrouve dans Le Roi Lion, finalement on les retrouve aussi dans beaucoup de jeux 2D américains de l'époque... C'était visiblement leur manière de concevoir le JV, aux antipodes de la méthode de conception jap. Ca n'empêche que, passé le deuxième niveau (où la difficulté est surtout de comprendre comment avancer), je n'avais pas trouvé le jeu infaisable (ce qui ne veut pas dire que c'était une promenade de santé non plus), en tout cas je sais que je l'avais fini contrairement à d'autres jeux, comme je t'ai dit ^^ Après, il est aussi possible que j'avais bénéficié de guides ou d'astuces des copains, comme ça arrivait souvent à l'époque... (genre va comprendre tout seul que pour tuer Scar à la fin, il faut lui faire spécifiquement une choppe au bord du gouffre pour l'envoyer dans le vide...)