Résumé de la série par ADN :
Izuku est face à son destin. Devant lui se dressent les murs du terrain B pour l'épreuve pratique de l'examen d'entrée au lycée Yuei. Lui qui vient à peine de recevoir son Alter va-t-il réussir à le maîtriser ? Pour Izuku, posséder un Alter est quelque chose de nouveau. Le jeune garçon qui n'a aucun repère va devoir faire preuve de courage...
Johnny Butler, plus connu sous le nom de Raven, rassemblait des personnes licenciées ou endettées afin de les faire participer à un jeu lui permettant ainsi de récupérer quelques années de vie. Les candidats devaient s’entretuer pendant une heure et les survivants empochaient alors la somme de 100 millions de yens (environ 815 000€). Étant donné que Raven est une personne préventive, il a protégé le lieu où se déroulait ce fameux jeu par des barrières psychiques empêchant Viktor d’y pénétrer de force. C’est là qu’est intervenu Gôta qui avait pour mission de participer au jeu afin que Viktor, usant de l’esprit de Gôta, puisse mettre fin aux agissements de Raven. Une fois cette mission accomplie, Viktor et Gôta ont repris la route, Gôta interrogeait Viktor sur ses propres peurs et ce dernier nous laissait une réponse un peu évasive attisant notre curiosité. C’est ainsi que se terminait le premier tome de Beyond Evil, voyons donc ce qu’il adviendra de notre duo dans ce second tome, disponible chez Kazé.
Après l’affaire Raven, Viktor descelle un certain pouvoir émanant de Gôta, celui-ci semble posséder des capacités à fort potentiel que Viktor compte bien exploiter. L’histoire suit son cours et met en scène, en début de tome, Yukari, une jeune lycéenne qui se fait harceler et qui souhaite mettre fin à ses jours. Gôta étant proche de la scène bondit pour tenter de la sauver avant que le train ne la renverse mais la voilà sauvée, semble-t-il, par un nouveau venu vêtu d’un costard cravate, plutôt stylé avec une belle dégaine répondant au nom de Kiyoto. Il va d’ailleurs aller se présenter à Viktor car il a établi un contrat sur son territoire.
Gôta se met alors dans tous ses états car il considère que Kiyoto a profité du mal être de Yukari pour lui établir un contrat en échanges de ses années de vies. Il demande alors de l’aide à Viktor pour mettre un terme aux agissements de Kiyoto, mais Viktor décline sa proposition. Réponse qui ne plaît pas à Gôta qui va foncer tête baissée hors du bureau de Viktor et se met alors l’idée en tête qu’il y parviendra seul. De fil en aiguille, Kiyoto va venger Yukari de sa camarade tyrannique finissant par la balancer du haut du toit de l’école mais Gôta la sauve in extremis. Cet acte aura de lourdes conséquences pour Gôta car après s’être frotté à Kiyoto il va malheureusement se rendre compte de son erreur le menant vers une tragédie dont il va devoir faire au péril de sa vie…
Ce second tome démarre d’emblée sur une scène, du même acabit que la scène finale du tome 1, piquant ainsi notre curiosité avec l’introduction d’un nouveau personnage, qui connaissait Raven. À peine les premières pages entamées, une certaine interrogation est soulevée quant à l’identité de ce « prisonnier » qu’a fait Viktor. Je me suis directement demandé s’il s’agissait de cette même personne dont parlait Viktor à la fin du tome 1, celle qu’il se dit avoir enfermée à double tour au plus profond de son être. Le mystère pèse alors et il persiste dans ce tome 2, sans apporter vraiment de réponse ou tout autre suspicion.
J’apprécie toujours autant le travail effectué par Ogino tout au long de ce second tome, digne du premier volet. Les traits sont toujours aussi appréciables, travaillés et percutant à bon escient. J’ai aimé notamment la scène finale de la clause 12, celle du passage à niveau, qui est bien mise en scène avec l’accélération de Gôta, où on ressent son stress au vue des traits et gouttes sur son visage. C’est aussi à ce moment-là qu’est apparu « le nouveau gars » et la scène où il est introduit m’a fortement fait penser à celle où Viktor sauve Gôta dans le tome 1, celle qui marque le début de leur « contrat », sans pour autant s’y attarder car on connaît le principe, cela ayant été mis en scène dans le tome 1. L’affrontement entre Kiyoto est Gôta m’a aussi bien surpris, je suis resté saisi de la tournure qu’a pris ce face à face. On ne voit pas venir une certaine action, l‘effet de surprise dans le scénario avec de bons rebondissements est encore bien mené par Miura dans ce second tome...
Vous en avez peut-être entendu parler et si ce n’est pas le cas, eh bien, vous voilà aujourd’hui informés. Une équipe de fans français vient de mettre à disposition un patch pour le fameux jeu Mother 3, sorti à l’époque sur GBA, précisément le 20 avril 2006 au Japon, ce qui lui vaut un 10ème anniversaire de qualité ! Dès aujourd’hui, vous pouvez donc profiter d’une traduction intégralement en français, fruit de plusieurs aficionados dont Lostindark, Jumpman, Krummi et Anthiflo épaulés par d’autres fans et béta-testeurs…
Le shonen manga My Hero Academia (lire ma chronique manga du tome 1) est reconnu et apprécié des lecteurs japonais. Cette licence phénomène ne compte pas en rester là et viendra s'installer sur 3DS grâce à Bandai Namco. Cet éditeur reconnu compte de nombreuses licences en matière de baston et My Hero Academia: Battle For All compte bien faire ses preuves aux côtés de One Piece, Naruto ou encore le dernier DBZ Extreme Butoden disponible aussi sur 3DS.
Le jeu sortira donc au Japon le 19 mai prochain, mais deux nouveaux trailers mettent aujourd'hui en avant les personnages Tsuyu Asui et Minoru Mineta...
Naître héros c'est génial, il faut l'avouer, mais en devenir un c'est encore mieux ! Mais voilà, dans ce monde, 80 % de la population possède un pouvoir qu'on appelle "alter", et qui dit héros aux supers pouvoirs dit vilains aux super pouvoirs aussi. Dans My Hero Academia, nous suivrons le parcours du jeune Izuku, fan incontesté du héros All Might qui est le plus puissant des héros ! Izuku n'a pas le moindre pouvoir et son rêve est d'entrer à la Hero Academia pour devenir un héros incontesté comme All Might. Aujourd'hui ADN nous propose de découvrir gratuitement le 3ème épisode en VostFR de cette nouvelle bombe shonen...
Résumé de la série par ADN :
Une lueur d'espoir renaît chez le jeune Izuku Midoriya grâce à l'intervention de son idole de toujours, le numéro un des super-héros, All Might ! Le jeune garçon, qui était la risée de tous, était pourtant sur le point d'abandonner son rêve pour se tourner vers une carrière plus terre-à-terre. Néanmoins le doute persiste... Par quel miracle un enfant sans Alter pourrait-il devenir un super-héros ?
Si je vous dis Yasuhiro Nightow, ça vous parle ? Et si j’ajoute Trigun ou encore l’anime Gungrave où il était le chara-designer ? Là je pique peut-être votre curiosité… du moins j’espère. Eh bien, sachez qu’une fois la série Trigun Maximum terminée au Japon en 2008, Yasuhiro Nightow a directement enchaîné avec Kekkai Sensen connu chez nous sous le nom de Blood Blockade Battlefront. Cette série composée de 10 tomes est disponible chez Kaze depuis le 6 avril dernier, c’est donc avec grand plaisir que je vous partage avec vous mon ressenti suite à la lecture de ce premier tome de Blood Blockade Battlefront.
Cela fait 3 petites semaines que Leonardo Watch, photographe débutant, a débarqué à Hellsalem’s Lot. Il y a encore 3 ans, cette ville n’était autre que la ville de New-York, mais désormais ce monde et un univers parallèle ne font qu’un en ce lieu suite à l’apparition d’un portail dimentionnel. Depuis l’ouverture de ce monde parallèle, des monstres débarquent à tire-larigot à Hellsalem’s Lot semant le chaos à tout-va. C’est un peu le bordel, on y trouve de tout : moult organisations terroristes, la mafia, une ribambelle de criminels en tous genres et même des sectes d’ordre religieux. Pauvre Leonardo qui débarque ici, histoire de réaliser un petit reportage et le voilà embarqué dans un enchaînement de péripéties, le faisant même intégrer Libra, une sorte d’organisation secrète qui tend à maintenir le bon équilibre en ville.
C’est d’ailleurs à Libra que Leonardo va faire la rencontre de Chain, Zapp et Klaus, des personnes qui sortent de l’ordinaire et c’est peu dire. À Libra on recrute des gars certes, mais des gars pas comme les autres et Klaus, entre autre, en est la preuve…
Je n’ai pas eu l’occasion de découvrir la série animée Blood Blockade Battlefront, qui est d’ailleurs disponible en streaming chez ADN, mais j’essaierai de corriger cela dès que possible. Toutefois, j’ai vu la série et le film Trigun, alors certes ce n’est pas l’œuvre manga originale de Yasuhiro Nightow mais l’univers et l’humour retranscrits dans ces adaptations me plaisaient assez. Du coup, je me suis dit que cette fois-ci je ne manquerai pas de lire Blood Blockade Battlefront, sa nouvelle série distribuée en France. Mais avant toute chose, j’ai procédé à quelques recherches de planches du manga Trigun, afin de connaître un peu les traits d’antan de l’auteur pour le comparer avec celle disponibles dans ce premier tome. Personnellement, je trouve que la différence n’est pas énorme. Certes Blood Blockade Battlefront est plus abouti que Trigun mais rien de transcendant. On reconnaît le travail de Yasuhiro Nightow qui reste malheureusement imprécis à de nombreuses reprises. Par moments on a l’impression que les traits sont vraiment faits à la va vite. Serait-ce une sorte de marque de fabrique de l’auteur ? Personnellement, ça ne me choque pas, mais cela pourrait en rebuter certains...
Hello, le manga My Hero Academia est enfin sorti officiellement aujourd'hui chez Ki-oon. C'est donc avec plaisir que je vous partage mon ressenti sur le premier tome de cette série shonen, digne successeur de Naruto.
Aussi, j'en profite pour vous parler d'une autre licence, celle de Ultraman que j'ai découvert et qui est disponible chez Kurokawa.
My Hero Academia
De nos jours la population n’est plus considérée comme humaine mais surhumaine, 80 % des personnes possèdent un super-pouvoir ce qui équivaut à dire que ne pas en avoir fait de vous une personne anormale, très banale. Toutefois, certains n’utilisent pas leurs pouvoirs à bon escient et au contraire en profite pour mener des actions malveillantes. On les appelle les Super-Vilains. Cependant, une personne a toujours fait face à ce fléau, un héros bien vaillant du nom de All Might. Ce dernier est très connu en tant que super-héros et adulé de tous et tout particulièrement de Izuku, il en est le plus grand fan et souhaite devenir à l’image de All Might un super-héros tout aussi puissant.
Mais voilà, pas de bol pour Izuku, il fait parti des 20 % de la population à ne pas avoir développé de pouvoir à l’âge de 4 ans. 10 ans se sont écoulés, aujourd'hui le rêve de Izuku est d’entrer à Yuei, le meilleur lycée pour accomplir sa destinée de super-héros. Autre souci pour Izuku, car il ne peut entrer qu’une personne dans cette école et Katsuki Bakugo compte lui aussi l’intégrer. Le rêve de ce dernier : surpasser All Might ! Les deux sont en conflit constant mais Izuku compte bien ne pas baisser les bras et aller au bout de son rêve. Une rencontre inattendu va alors bouleverser son quotidien quand il croise le chemin de All Might, en chair et en os ! Son rêve est sur le point de se réaliser mais pour cela il va falloir cravacher…
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, ce premier tome est une pure bombe atomique ! Bien qu’on passe un certain temps à le lire tellement il pullule de dialogues, et c’est un peu le reproche que je lui ferai, je n’ai toutefois pas décroché une seconde. On pourrait s’attendre à une énième série de baston à la sauce super-héros déjà-vu et bien croyez-moi ou non mais le mélange ici présent fonctionne parfaitement. C’est du shonen certes, mais du bon, ajouté à cela un thème et un univers qui est en vogue et vous obtenez une recette survitaminée. L’histoire ici n’est pas des plus banals, au contraire car même si elle traite des supers-vilains contre les super-héros, il n’en demeure pas moins que Kohei Horikoshi marrie habillement l’univers.
Izuku idolâtre All Might et ce depuis tout petit. All Might c’est tout de même THE super-héros du monde ! Et là l’auteur fait fort car All Might ressemble assez fort au genre de super-héros américain avec un corps gonflé à souhait. J’avoue qu’il a la classe, mais on le voit sous un autre angle au cours de ce tome et je dois avouer que j’étais plié en deux voyant sa carrure réelle. Mais ce n’est pas la seule chose qui a eu raison de mon humour, il y a une flopée de scènes bien tordantes à découvrir en plus d’une action menée sans faille. Et puis, c’est subtilement dessiné ! Les planches sont détaillées à souhait, la lecture assez dynamique malgré le fait, comme évoqué précédemment, qu’il y ait trop de vignettes à lire à mon goût pour un shonen. Mais rassurez-vous, cela se fond dans le déroulement de l’histoire et on apprécie pleinement la lecture à toujours en savoir davantage...
Un jour, il y a bien longtemps, un Géant de Lumière est apparu sur Terre utilisant Shin Hayata comme hôte humain pour devenir Ultraman. C’est ainsi qu’il protégea le monde de créatures titanesques. Sa mission terminée, il retourna d’où il venait laissant Shin Hayata reprendre le cours de sa vie oubliant qui il a incarné et les événements dont il a pris part. Aujourd’hui, le monde est en paix, Shin Hayata est devenu ministre mais lors d’une discussion avec Mitsuhiro Ide, son vieux compagnon de la patrouille S3, celui-ci se confie sur la période où agissait Ultraman et qu’il n’en a vraiment aucun souvenir. Depuis, il a une force surhumaine mais il ne se souvient pas de ce héros qu’il incarnait sans le savoir. C’est alors que son vieil ami lui confie qu’Ultraman a pris possession de son corps pour le bien de l’Humanité. Mais cela n’aura pas été sans conséquence, des gênes d’Ultraman ayant été implanté dans son corps mais pas que car une autre personne en a aussi hérité. Shinjirô, fils de Shin Hayata, a tout comme son père de la matière génétique d’Ultraman en lui.
12 ans se sont écoulés... Shinjirô a donc bien grandi et muri. Un beau soir alors qu’il errait, Shinjirô se pose et s’interroge sur la force qui émane de lui quand débarque tout d’un coup un certain ennemi prêt à lui répondre. Mais c’est sans compter sur son père qui arrive de nulle part pour affronter cette créature et qui profite de cette rencontre pour lui avouer qu’il est était autrefois Ultraman. Une fois cette déclaration faite, il envoie Shinjirô valser dans les airs pour le faire atterrir dans un hélicoptère. Le combat débute alors, mais Shinjirô refuse de laisser son père face à cet ennemi. Mitsuhiro Ide, présent dans cet hélicoptère lui dévoile être au courant de son pouvoir et qu’une exo-armure a spécialement été conçue pour lui. Shinjirô décide alors de porter un certain poids sur les épaules, celui de devenir à son tour Ultraman et sa première mission sera d’affronter la créature qui fait face à son père : Bemular !
Ce premier tome est une belle découverte et j’en suis ravi. J’avoue avoir eu un peu peur de me lancer dans cette série pour la simple et bonne raison que je ne connais pas plus que ça la licence d’autrefois. À l’origine, Ultraman est une série télévisée japonaise créée après celle d’Ultra Q (1965) par Eiji Tsuburaya. Comme je vous disais, j’avais donc une petite appréhension, mais une fois le tome en main j’ai vite changé d’avis. Pourquoi ? Eh bien, déjà avec la présence d’un « magazine bonus » dit UltraQlub intégré en fin de tome et qui se lit par contre dans le sens de lecture inverse du japonais. Ce bonus vous permet de découvrir l’œuvre d’antan de EijiTsuburaya et ses diverses origines. Une fois cela découvert, je me lance dans la lecture de ce premier tome d’Ultraman.
Aux commandes de cette série on retrouve au scénario Eiichi Shimizu quant aux dessins ils sont à la charge de Tomohiro Shimoguchi. Je vais commencer par vous parler des dessins que j’ai trouvés vraiment sensationnels ! Les traits sont à la fois fins et dynamiques, vraiment très percutants. Le détail ne manque pas et ce de manière générale mais lors des combats on monte vraiment en puissance. Les impacts sont vifs et bien précis, la gestion des effets d’ombre est maîtrisée, pas de doute là-dessus...
Après avoir été subjugué par la puissance hors norme de Saitama, Genos, lui aussi possesseur d’une grande force, le suit à la trace, souhaitant par-dessus tout devenir son élève. Force d’avoir dégommé une ribambelle de monstres, un scientifique s’intéresse de près à notre héros (je parle de Saitama bien sûr) et envoie des monstres afin de le capturer. Ni d’une ni de deux, il n’en fait qu’une bouchée et s’attarde sur Cyborgorilla afin de le questionner sur qui les a envoyés pour le capturer. C’est sur cette action que se terminait le tome 1 de One-Punch Man, voyons donc ce que nous réserve ce second tome, disponible chez Kurokawa.
Cyborgorilla explique alors à Saitama qui l’a envoyé et pourquoi. Il s’avère qu’un scientifique s’intéresse de très près à Saitama et plus particulièrement à ses aptitudes hors norme. Cela ne plaît pas trop à notre super-héros chauve qui, après avoir tiré les vers du nez à Cyborgorilla, décide alors de se pointer lui-même à la Maison de l’Évolution sur la proposition de Genos. Ce dernier échange quelques paroles avec Cyborgorilla avant de prendre la route avec Saitama. Direction la Maison de l’Évolution !
Tout juste arrivé à la Maison de l’Évolution, Genos décide de rependre les choses en mains et la fait disparaître en faisant tout exploser. Mais, le Professeur de la Maison de l’Évolution s’est réfugié au sous-sol et prévoit de lâcher son monstre le plus terrifiant : Scaravageur ! Un combat des plus percutants est alors sur le point de faire mouche mais c’est aussi à ce moment-là que Saitama dévoile un grand secret. L’histoire suit son cours, Roulette Rider, un super héros sans permis, se dresse face à gang appelé les « Chauves-Sourires ». Ces derniers menacent la ville et après un flash info télévisé, Saitama décide de prendre place au combat.
Ce second tome est toujours aussi bien dessiné par Yusuke Murata, la maîtrise des combats est tout bonnement géniale. Le plaisir de voir l’œuvre de ONE au travers de scènes toujours aussi rythmées est à son comble. On ne s’ennuie pas, l’action est menée tambour battant d’un bout à l’autre du tome. Entre révélation, combat, découverte de nouveaux super héros, tout est bien orchestré. Ce tome marque aussi l’arrivée de Sonic (pas le hérisson) dit le foudroyant. Un super-héros à la dégaine de ninja et bénéficiant d’un talent certain.
Ici, moins d’adversaires et donc des combats un peu plus longs, Saitama tend à se dévoiler un peu plus mais sans trop pousser. On découvre par contre un pourvoir assez impressionnant émanant de Genos. Je trouve le duo vraiment original car Saitama est vraiment balèze, cela ne fait aucun doute, mais Genos possède malheureusement certains points faibles. Toutefois, il n’en demeure pas moins très efficace dans certaines situations et est bien plus lucide que Saitama. Les liens entre nos deux héros se tissent davantage jusqu’à réaliser une chose en commun afin de s’épauler l’un l’autre...
Naître héros c'est génial, il faut l'avouer, mais en devenir un c'est encore mieux ! Mais voilà, dans ce monde, 80 % de la population possède un pouvoir qu'on appelle "alter", et qui dit héros aux supers pouvoirs dit vilains aux super pouvoirs aussi. Dans My Hero Academia, nous suivrons le parcours du jeune Izuku, fan incontesté du héros All Might qui est le plus puissant des héros ! Izuku n'a pas le moindre pouvoir et son rêve est d'entrer à la Hero Academia pour devenir un héros incontesté comme All Might. Aujourd'hui ADN nous propose de découvrir gratuitement le second épisode en VostFR de cette nouvelle bombe shonen...
Résumé de la série par ADN :
Izuku vient de rencontrer son idole, All Might, en chair et en os. Mais le super-héros a très peu de temps à lui accorder, d'autant plus qu'il est en pleine mission ! Le jeune garçon sans Alter a pourtant beaucoup de choses à lui demander, notamment à propos de son avenir, et de ses chances de devenir héros. L'avis de celui qu'il adule compte plus que tout... Mais ne risque-t-il pas d'être déçu par ce qu'il va entendre ?
Le phénomène One-Punch Man n'est pas prêt de s'arrêter de si tôt ! Après une diffusion de 13 épisodes sur le site ADN, c'est Kurokawa qui propose la version manga de cette série au succès planétaire. Ce qui rend Saitama, le héros de OPM, si connu c'est entre autre grâce à l'entraînement qu'il a suivi avant de devenir le héros qu'il est aujourd'hui. Un entraînement sans relâche pendant 3 ans : 10 pompes, 100 abdos, 100 squats et courir 10 kilomètres. Et dire qu'un français a décidé de suivre le même parcours. Il s'agit de William, 25 ans, qui vit à Paris. Il se fait appeler SaitamaV2 et a décidé de se lancer de un pari complètement fou, celui de suivre l'entraînement de Saitama...
Une petite brève pour les curieux...
C'est via le compte officiel et français de Yo-kai Watch sur Twitter que je prend connaissance la nouvelle nous invitant à découvrir le premier épisode en français de Yo-Kai Watch avant sa première diffusion sur la chaîne Boing. La série animée débutera sa diffusion tout d'abord sur la chaîne Boing, puis se sera au tour de Gulli de proposer les épisodes en septembre prochain...
Naître héros c'est génial, il faut l'avouer, mais en devenir un c'est encore mieux ! Mais voilà, dans ce monde, 80 % de la population possède un pouvoir qu'on appelle "alter", et qui dit héros aux supers pouvoirs dit vilains aux super pouvoirs aussi. Dans My Hero Academia, nous suivrons le parcours du jeune Izuku, fan incontesté du héros All Might qui est le plus puissant des héros ! Izuku n'a pas le moindre pouvoir et son rêve est d'entrer à la Hero Academia pour devenir un héros incontesté comme All Might. Découvrons cet animé, pure bombe shonen, en VostFR et ce gratuitement sur le site d'ADN tous les dimanches à 11H en commençant avec ce premier épisode...
Résumé de la série par ADN :
Super-héros, supers pouvoirs… On a tous rêvé secrètement de posséder une qualité hors du commun ou d'être LA personne la plus puissante de l’univers. Mais dans un monde où 80% de la population possède un super-pouvoir appelé alter, les héros font partie de la vie quotidienne. Et les super-vilains aussi ! Face à eux se dresse l’invincible All Might, le plus puissant des héros ! Malheureusement, 20% naissent sans alter. C'est le cas d'Izuku Midoriya, un jeune adolescent de 14 ans, fan absolu d'All Might. Son rêve ? Entrer à la Hero Academia pour suivre les traces de son idole. Tout va basculer lorsqu'All Might en personne, va choisir Izuku, contre toute attente, pour devenir son successeur. Le rêve peut devenir réalité ! Mais pour Izuku, le parcours du combattant ne fait que commencer...
On a récemment appris que My Hero Academia sera diffusé en H+1 sur ADN dès le 3 avril prochain à 11H ! Cette nouvelle bombe shonen est produite par le studio Bones, sera proposée en VostFR et comportera 13 épisodes de 25 minutes. Aussi, la diffusion sera gratuite pendant 1 an ! My Hero Academia est l'œuvre de Kohei Horikoshi dont les deux premiers tomes sortiront en manga chez Ki-oon le 14 avril prochain. Sur ce, je vous invite à découvrir les trailers 3 et le 4 en VostFR...
Plus d'infos sur le blog, accompagné du trailer 4.
Faire un contrat demande une grande réflexion et une bonne lecture des diverses clauses. Peu importe de quel type qu’il soit, il ne faut pas trop s’aventurer en terrain inconnu sans savoir de quoi il peut en retourner. Et quand il s’agit de faire un crédit, l’histoire est autre surtout quand l’enjeu est votre propre espérance de vie. C’est ce dont je vais vous parler ici au travers de mon ressenti après la découverte du premier tome de Beyond Evil, disponible chez Kazé.
L’introduction de ce premier tome se fait par une scène où on assiste à une partie de poker qui me semble un tant soit peu particulière, avant de faire la rencontre plutôt musclée de Gôta, jeune homme qui impose directement sa force de caractère. Gôta est un jeune lycéen qui aime venir en aide à son prochain et c’est ce qu’il fera à plusieurs reprises jusqu’à débarquer de force chez un prêteur sur gage où toutes personnes, dont son camarade Kenji, qui souhaitent contracter un emprunt signent un contrat avec son propre sang cédant par cette même occasion sa vie.
Afin de libérer Kenji de sa dette, Gôta va proposer à l’usurier une partie de poker mettant ainsi sa propre espérance de vie en jeu. Marché conclu pour Gôta et l’usurier, un contrat en bon et due forme est donc rédigé avant de procéder à la signature de ce dernier. Mais Gôta ne viendrait-il pas de faire une terrible erreur en vendant son âme avec cette signature ?
Le comportement de l’usurier est assez louche et c’est durant la partie de poker où il affronte Gôta que l’on en apprendra davantage sur le genre de personne qu’il est et qu’il est loin d’agir tel un humain. Le souci étant qu’il se retrouve face à Gôta, un jeune adversaire redoutable qui semble tout aussi bien cacher son jeu que ses propres cartes. Comment un humain peut-il faire face à un usurier qui n’est autre qu’un un être aux pouvoirs surnaturels ? La raison est simple, après avoir signé un contrat qui lui vaut la vie sauve, Gôta travaille désormais pour Viktor qui dispose lui aussi de pouvoirs surnaturels. Il va alors découvrir un univers sombre et violent où les faibles se font exploiter par les plus forts et les règles sont toutes aussi valables pour lui.
Je suis bluffé par la lecture de ce premier tome qui ne perd pas de temps à nous mettre dans le feu de l’action principale. On y découvre les règles, si l’on peut dire, et la mise en avant de la relation entretenue entre Gôta et Viktor. J’ai d’ailleurs trouvé très classe l’apparition de Viktor dans ce premier tome. Très charismatique, c’est aussi une personne qui dispose et respecte certains principes. Gôta lui n’a pas froid aux yeux, très serviable envers autrui mais aussi très sûr de lui. Il dispose d’un tempérament bien trempé. Le dessin de Ogino est très précis, notamment avec des traits de visages très expressifs, avec de bons effets d’ombres permettant d’atténuer certaines expressions faciales. Toutefois par moments, je trouve les trais un peu irrégulier, fait à la va-vite comme sur la fin du chapitre 6 avec certains plans de voitures, ou un peu après sur le toit d’un immeuble, pour ne pas trop en dévoiler.
Ce premier tome nous offre une bonne découpe au niveau des vignettes, avec des plans d’actions ou autres situations bien fournis en détails, autant sur les décors que sur les passages plus matures. Le côté graphique imposé ici par Ogino m’a énormément plu, je n’étais pas forcément convaincu à la vue de la jaquette, où figure Viktor, mais une fois en main, j’ai enchaîné la lecture. Il va sans dire que le scénario de Miura est très accrocheur, on ne s’ennuie pas. J’ai d’ailleurs été surpris à plusieurs reprises, en début comme en cours de tome, et l’histoire est bien ficelée. Le lecteur est amené à découvrir un univers profond, très mature et ce aussi bien au niveau des dessins que du scénario. Un très bon point !
Pour les dessins de fin par le scénariste, ajouter que ceux qu'il a imaginé et dessiné de ses propres mains font bien plus vieux que ceux du dessinateur. Les traits du visage font que Viktor et Gôta sont bien plus âgées.
La critique complète est disponible sur ce lien : Beyond Evil 1
Cela fait un petit moment que je n'ai pas fait le point sur les derniers ajouts disponibles sur Netflix. Du coup, je vais ici faire un peu autrement en vous proposant de découvrir ce qui sera ajouté au catalogue ce mois-ci. Les enfants seront privilégiés en avril avec un contenu en animation très intéressant mais les plus grands ne sont pas mis de côté avec l'ajouts de nouvelles séries TV ou manga. Parmi les nombreux ajouts nous pouvons compter : Raiponce, Le Livre de La Jungle 2, Iron Man 3, Mars Attacks!, The Ranch, Z-Nation, Kong : le Roi des Singes, Unbreakable Kimmy Schmidt ou encore Ajin - Demi Humain...
Lien pour découvrir en détails toutes les nouveautés qui arriveront ce mois-ci sur Netflix -> En avril sur Netflix