J'aborde aujourd'hui le cas du dernier jeu estampillé Rare sur une console de salon Nintendo, j'ai nommé Starfox Adventures. Maintes fois critiqué pour son abscence de profondeur de jeu et un gameplay simplifié à l'extrême, certains fans du renard de l'espace ont apprécié, voire idolâtré cette nouvelle aventure. Rare a-t-il réellement pondu une perle ou un simple Zelda-like comme il en existe tant d'autres?



Comme l'indique le sous-titre du jeu, Fox abandonne presque son arwing, fidèle destrier qui l'accompagnait déjà dans les deux précédents opus de la série. Starfox Adventures arbore ainsi un côté A-RPG que les habitués de la série n'ont pas du tout apprécié, et ce en grande majorité. En effet, seules quelques phases en arwing ponctuent le voyage vers un nouveau niveau. Ces mêmes phases de jeu se révèlent extrêmement faciles et rapidement dominées. On se demande pourquoi Rare n'a tout simplement pas abandonné l'arwing pour se concentrer uniquement sur la partie aventure. Quoiqu'il en soit, si ce point noir vient gâcher la partie finale du tableau, le résultat n'en reste pas moins très convaincant.



Fox McCloud et son équipage s'ennuient à bord de leur vaisseau mère: Andros est mort et plus rien ne vient troubler la tranquillité du système de Lylat. Soudain, le général Pepper surgit sous forme d'hollogramme et propose à Fox et Cie de sauver une nouvelle fois la galaxie. N'écoutant que son courage et la prime promise si la mission venait à être réalisée, notre renard préféré enfourche son arwing et part vers Dinosaur Planet, où un certain Scales terrorise les paisibles habitants. Auparavant, la jolie Crystal se faisait capturer par une entité inconnue dans le palais Krazoa, sorte de temple sacré des dinosaures. Par ailleurs, c'est avec la jeune renarde que le joueur débute l'aventure.



D'emblée, on constate le véritable point fort du jeu, à savoir ses graphismes. S'il sera surpassé de ce point de vue là par Resident Evil 4, Starfox Adventures reste néanmoins une perle graphique, un monstre de puissance qui flatte la rétine à chaque niveau parcouru. L'épopée de Crystal, bien que très courte, a le mérite de poser les bases du gameplay en proposant diverses phases de réflexion, de plate-forme et de combat. Le jeu démarre fort, très fort, et bien que le joueur puisse se sentir frustré de ne pas retrouver Fox, il ne peut que reconnaître la majesté avec laquelle Rare a créé ce prologue.



Plus tard, Fox sort les armes et l'aventure commence réellement. Après quelques péripéties et après avoir sauvé la reine des earthwalkers, on nous propose de retrouver des pierres disparues et disséminées aux quatre coins de la planète. Ainsi, on découpera le jeu en trois parties: les joutes à bord de l'arwing, la recherche des différents temples, et la traversée de ces mêmes temples. Le jeu est superbement orchestré et, contrairement aux idées reçues, la linéarité ne prend jamais le dessus. De plus, la motivation de découvrir des paysages toujours plus beaux ne peut qu'inciter le joueur à finir l'aventure au plus vite. Aventure qui, et on ne peut que féliciter Rare pour le travail fourni, se révèle très longue et intense, ce qui est plutôt très rare pour un tel jeu.



Le gameplay est, il est vrai, plutôt minimaliste. A l'instar d'un Zelda, Fox récupère diverses compétences au cours du jeu qui lui permettent d'utiliser de différentes manières son bâton de combat. Ainsi, on pourra tirer des jets de flamme et de glace, se propulser en l'air à des hauteurs vertigineuses, revêtir un déguisement de sharpclaws et j'en passe... Chaque lieu apporte son lot de nouvelles énigmes et nouveaux artefacts, et les combats ponctuent les phases à terre. Armé de son bâton ( il a interdiction formelle d'utiliser son blaster ), Fox doit enchaîner divers combos afin de terrasser des ennemis plutôt diversifiés, eux-mêmes armés de boucliers, de massues et autres armes. Si certains joueurs reprochent une linéarité, c'est certainement dû à ces mêmes combats qui, s'ils permettent de se défouler entre deux énigmes tordues, ne proposent pas beaucoup d'enchaînements différents. Et là, je ne peux m'empêcher de citer un certain Zelda qui délaisse les combats impressionnats à l'épée au profit de l'originalité des combats contre les boss de fin de donjon par exemple. Ainsi, ce que certains qualifient de défaut impardonnable n'est en réalité q'un simple ajout de la part des développeurs afin de casser la monotonie des donjons.



J'avais parlé d'originalité, vous vous rappelez? En effet, certains évènements très originaux ponctuent une aventure déjà riche en moments intenses. Ainsi, Fox pourra chevaucher de gigantesques mammouths, combattre des sharpclaws à bord d'une sorte de moto vollante à propulsion, traverser un cauchemard en évitant de sombrer dans la folie, etc. Enfin, le célèbre renard s'alliera au jeune prince Tricky, petit dinosaure qui permettra à Fox de traverser des épreuves qu'il n'aurait pu endurer seul. Tous ces éléments constituent le véritable fondement du jeu: offrir au joueur une aventure sans prise de tête tout en lui permettant de s'adonner à quelques mini-jeux fort sympatiques. Starfox Adventures ne se prend pas vraiment au sérieux et innove de façon remarquable sans révolutionner le genre.

Conclusion: Finalement, on ne peut que remercier Rare pour ce magnifique -que dis-je- grandiose cadeau d'adieu qui vient se placer à hauteur de Zelda Wind Waker au titre de meilleur jeu d'aventure sur Nintendo Gamecube. Ce jeu est une perle comme il s'en fait rarement et, bien que mon test reste assez subjectif, je déplore les violentes critiques des internautes et des joueurs en général qui n'ont tout simplement pas su déceler la véritable magie qui émane de ce bijou.

9,4/10

Ce n'est pas tous les jours que l'on a sous la main ce que l'on appelle une Killer Ap. Ce n'est pas tous les jours que celle-ci tient ses promesses. Ce n'est pas tous les jours que l'on découvre un grand jeu. Ce n'est pas tous les jours Emergence Day.



Car oui, je vais être direct Gears of War est un grand jeu comme il en existe peu. Un jeu dont on se souviendra, peut être même le jeu qui lance enfin ce que l'on appelle habituellement la nouvelle génération.

Mais commençons par une petite présentation, Gears of War est un jeu de shoot à la troisième personne. Le principe du gameplay est de pouvoir (devoir) se cacher dans le décor afin de ne pas rester à découvert. Ce système de jeu fait que l'on assiste à des gun fight assez tactiques mais trop entre les humains et les locusts (les gros monstres).



Bon afin, de donner une contre partie à mon article, nous allons commencer par les points négatifs du jeu. Points négatifs ? Il n'y en a pas vraiment, plutot des peut mieux faire. L'histoire est ainsi un peu légère. C'est un peu dommage quand on voit le véritable de travail de back ground du monde de Sera. Les personnages ne sont pas très développés mais suffisamment intéressant pour qu'on s'y attache.
un autre peut mieux faire est la quantité de carte en multi joueur qui n'est que de 10 et le nombre aussi de mode multi joueur (3 pour être exact).

Sorti de là, le jeu est une merveille. Les graphismes sont les plus beau que vous verrez sur 360 ou même sur n'importe quelle console. Les textures, le nombre de polygone, les effets de lumière sont tous exceptionnels. De plus le level design fait vraiment plaisir à voir. On sent que l'on est en face d'un jeu soigné.



Point de vue son, c'est encore du très bon, encore une fois vive les systèmes multi enceintes. Dans un autre registre un très bon casque fait aussi parfaitement l'affaire. En tout cas, l'ambiance sonore est très prenante.

Mais là où j'attendais le jeu c'était au niveau de la jouabilité et là c'est du pur bonheur. Le système de jeu est simple et efficace. La petite astuce pour recharger plus vite est immersive. Mais là où le jeu excelle, c'est dans l'utilisation d'un bouton unique pour tout un tas d'action contextuelle. Bien sur, il arrive qu'on se fasse surprendre mais cela est si rare que je n'arrive pas à me souvenir d'une occasion particulière.

L'IA des ennemis est très bonne. Ils réagissent et ne se laissent pas descendre facilement. Mieux, ils utilisent assez intelligemment le décor afin de vous attaquez. Intéressant.

Tout à l'heure je critiquais le mode multi, sachez cependant que ce qui est livré est largement suffisant pour s'amuser pendant de longues heures. Pour moi, le jeu possède le meilleur mode multi joueur de ce type sur 360. Surtout, il possède un mode coop online qui permet de parcourir la totalité du jeu, online. Un bonheur sans nom.



Vous l'aurez compris ce jeu est un must, un jeu comme il n'y en a que quelques uns par génération. Non, il ne révolutionne rien mais il apporte quelques petites touches d'originalité par ci, par là (je n'ai même pas parlé de la tronçonneuse) qui font de lui un grand jeu. Tout simplement.

Il y a encore quelques années j'étais complétement allergique aux FPS consoles. Une maniabilté à des années lumières de ce que l'on pouvait trouver sur PC, des modes multi pas si multi que ça (mono console). Puis arriva Metroid Prime qui avec son système de lock permettait une prise en main satisfaisante. Enfin l'élu arriva, celui qui allait enfin me faire aimer ce genre sur console, Halo 2.



Mais revenons un an en arrière, à l'époque de la sortie de la 360. Deux FPS se partagent l'affiche Call of Duty 2 et Perfect Dark Zero. Et là, il n'y eut pas photo, CoD 2 était bien au dessus à tous les niveaux. Un jeu de lancement parfait s'il n'avait pas été multi support. C'est donc avec beaucoup d'éspoir que j'attendais la troisième mouture de cette série.

Call of Duty 3 va donc essayer de combler les vides du deuxième épisode, c'est à dire une certaine linéarité et un multi déplorable.



Commençons par l'aspect technique, CoD 3 est beau, très beau. En un an on voit que les développeurs ont appris à maitriser la machine, car le jeu est plus fluide et plus détaillé que l'an dernier. Un régal en 720p.

Coté son, c'est toujours aussi bon. On a vraiment l'impression d'y être. D'ailleurs je conseille au gens n'ayant pas de système 5.1 de faire comme moi et de jouer avec un bon casque. Immersion garantie.



La campagne solo n'a pas beaucoup évolué. Certes, il y a quelques éléments de corps à corps qui ont été introduits mais ceux-ci n'apportent pas grand chose au gameplay. Il y a bien quelques efforts de faits pour proposer plusieurs chemin possibles dans les missions, mais ceux-ci ne cassent pas forcément l'impression de linéarité du titre. Les actions sont toujours aussi scriptées ce qui a du bon pour la mise en scêne mais cela nuit à la rejouabilité du titre.

Par contre là où le jeu se distingue de son prédécesseur c'est par son mode multi joueur qui est enfin complet et digne de ce nom. Au moment où j'écris ce test, il y a quelques problèmes pour trouver des parties en ligne mais cela devrait être corrigé par un patch dans les jours qui viennent. Sachez en tout cas, que les différents mode multi bien qu'assez classiques sont très agréables à jouer.



Au final, vous l'aurez compris CoD 3 n'est pas une révolution par rapport à CoD 2 loin de là. Le jeu apporte avec lui un bon mode multi joueur mais son gameplay en solo n'a pas vraiment évolué. CoD 3 reste quand même un très bon jeu avec une immersion impressionnante et une durée de vie conséquente si l'on décide de s'adonner aux joies du multi joueur.

Il y a plusieurs points de passage dans une année quand on s'intéresse aux jeux vidéos. Il y a la période creuse de janvier à mars, la période de reprise de aux alentours avril. Il y avait l'E3. Un petit ruch pour les jeux avant les vacances d'été. Une reprise en septembre, la sortir de PES en octobre, et la période de noel.



Vous voyez que je fais ressortir de ce petit calendrier un seul jeu, PES. C'est dire si j'attendais ce jeu. Et là je vais être assez franc, le jeu n'est pas à la hauteur des attentes. Pour simplifer la situation, Konami nous l'a joué à la EA Sports. C'est à dire que la version que nous sort konami sur Xbox 360 n'est pas Next Gen pour un sous. Regardons cela en détail.

Commençons par le minimum syndical, c'est à dire les graphismes. Ici, il y a du ... Comment dire ? C'est pas bon, mais c'est pas désastreux non plus. Le
jeu est propre, mais il resemble plus à un jeu ps2 avec une résolution augmentée qu'à un jeu pensé spécifiquement pour la plateforme.



Coté ambiance, bien qu'il y ait un petit mieux du coté des supporters, on reste quand même très loin d'un FIFA. Parlons un peu des commentateurs. Toujours aussi mauvais et en retard sur l'action, ceux-ci sont à supprimer dès le premier lancement du jeu. Pour vous donner une idée, ils sont encore plus mauvais que dans PES 5.

Mais PES c'est avant tout un gameplay, une sensation. Et là encore c'est mitigé. Alors d'un coté, il y a un quelques améliorations coté animation qui rendent le jeu plus fluide. L'arbitre n'est plus aussi intrusif et c'est tant mieux. Par contre, le jeu donne l'avantage à l'attaque et les jeux en contre, si agréable sur PES 5, deviennent plus difficiles à mettre oeuvre. Un autre problème se situe au niveau de la sélection des joueurs en phase de défense. Celui-ci est souvent un peu lent et pas toujours calibré. On peut partiellement régler le problème en se mettant en manuel mais là encore une sensation de flottement se fait sentir lorsque l'on choisit de changer de joueur. Très désagréable lorsque l'on est en défense et à l'origine de beaucoup de buts ( de crevard, racro pour reprendre une expression en vogue).



Un autre point du gameplay qui est regrétable est le tir. Les attaquants ratent l'immanquable même lorsque l'on fait attention à son tir. Pour m'apercevoir de cela j'ai passé pas mal de temps dans le mode entrainement à répéter les mêmes gestes. Et là on s'aperçoit qu'il y a une sorte de coefficient chance un peu trop apparent dans le tir de nos attaquants. Pour ma part je me demande si ce coefficient n'est pas là pour que les matchs ne donnent pas des résultats à la FIFA 97 (des scores de baby foot).

Maintenant parlons du sujet qui fache le plus dans ce jeu. Le mode réseau. Ce mode bien que jouable change complétement le gameplay du jeu du fait d'une lattence particulièrement présente et qui accentue les défauts du jeu. Pour la 3ème fois consécutive, Konami n'a pas cru bon nous faire un vrai code réseau. Le stagiaire qui a du faire ce mode s'en tire pas trop mal mais on est loin des sensations de jeu d'un match avec deux manettes sur une console. Monsieur Konami faire un bon mode réseau est possible, par exemple Top Spin 2 sur la même plateforme propose un gameplay identique online et offline (hors problème de lag, assez rare).



Bon, maintenant avec tout ça le jeu n'est pas une catastrophe non plus (je passe volontairement sur le manque de modes, de stades, d'équipes, de PES shop), on s'amuse avec ce PES 6. Les parties entre potes sont toujours aussi agréables, mais il y a toujours ce sentiment que le jeu est moins précis que la mouture précédente tant en défense qu'en attaque.

Au final, oui je vais jouer à PES 6 online et offline. Mais je ne peux pas m'empécher de penser que ce jeu est un peu baclé. Vous vous amuserez, certes, mais vous attendrez avec impatience le 7 qui espérons le sera réussi sinon (si EA Sports continue ses efforts) je pourrais bien passer à l'ennemi la saison prochaine.

Passons maintenant à la Xbox 360 qui peut se targuer d'avoir maintenant une très bonne logithèque, très complète si l'on excèpte les RPG japonais. Mais ce mal devrait être comblé sous peu.


360 : Gears of War

Avant d'aller plus loin, sachez qu'il n'était pas possible de prendre de photos ou des vidéos du jeu. Que ce soit dans la présentation sur grand écran ou pendant le temps de jeu. Il n'y aura donc qu'un seul screenshot (pris avant l'interdiction).



Mon premier contact avec le jeu fut pendant une présentation sur grand écran du jeu. Le jeu y était présenté en temps réel (un présentateur jouait au jeu pendant la présentation).

Lors de cette présentation, on apprennait que le jeu serait jouable en coopération sur le live ou en écran splitté.

Le mode multi joueur se jouera en 4 contre 4 dans un mode très agréable (plus de détail plus bas).

Point de vue graphisme iln'y qu'un mot qui vient à l'esprit c'est Ouahhhhhhhhhh. La nouvelle génération graphique est là et ce jeu en est la preuve. Des graphismes très fins, des textures hallucinantes, des effets en tous genres.

Point de vue son, le jeu est tout aussi impressionnant avec des effets très bien sentis.

On l'aura compris d'un point de vue technique c'est un sans faute. Mais qu'en est il du point de vue gameplay ?

Ayant pu essayer le jeu en solo et multi pendant près d'une demi heure, voici mes impressions. Le jeu est parfaitement jouable c'est un fait !! Le gameplay pas du tout bourrin est apparemment très profond que ce soit en solo ou en multi !!!

Au final, le jeu tient toutes ses promesses, vivement le 17 novembre !!


360 : Dead or Alive Xtreme 2

Aimant la série des Dead or Alive je m'étais laissé tenté en occasion par Dead or Alive Xtreme premier du nom sur Xbox. Cruelle erreur que fut la mienne n'étant pas tellement intéressé par la collecte de maillot de bain et le matage de fille virtuelle.

C'est donc avec méfiance que j'ai essayé la suite de ce jeu au MGS. J'ai essayé une épreuve de course à la wave race et un match de beach volley.



Du coté de la course de scooter sur mer, le jeu est prenant la physique de l'eau est très bien rendue ce qui laisse présager d'une certaine profondeur dans le gameplay. Coté beach bolley pas de changement notable, un jeu toujours agréable mais dont on semble faire vite le tour.



Coté graphique le jeu est très agréable à l'oeil (et pas seulement à cause des pin up numériques), les différents effets visuels donnent pas mal de vie au jeu.

Au final, le jeu semble plus complet que le premier épisode maintenant reste à voir s'il n'a d'intérêt que pour les collectionneurs de maillots et de demoiselles ?


360 : Viva Pinata

Profitant du désintérêt général engendré par ce jeu j'ai pu m'y atteler pendant un bon petit moment, voyons voir de quoi il retourne.

Viva Pinata est le nouveau jeu de Rare pour Microsoft. Dans ce jeu vous devez faire vivre en harmonie vos Pinatas sortent d'animaux remplis de bonbons !!!

Pour cela vous devrez aménager votre jardin à leur convenance afin d'attirer de nouvelles espèces.



Le jeu se présente comme un jeu de gestion/construction en tout cas durant le temps que j'ai pu y jouer. Les menus sont clairs et compréhensibles, et une aide intéractive est là au cas où.

CLairement destiné à un public assez jeune, le jeu plaira sans doute aussi aux grands car il est simple, relaxant, amusant et semble assez profond.



Graphiquement, le jeu adopte un style vraiment sympa et unique. C'est sur que ce n'est pas le jeu qui va mettre la Xbox 360 à genoux mais le design est vraiment ... mignon. Oui c'est mignon c'est le mot.

Ce premier contact avec ce jeu a été positif pour moi, je me suis amusé dans ce monde coloré, maintenant reste à voir ce que ce jeu donne sur la durée et si son gameplay n'est pas trop enfantin pour satisfaire tous les publics.


360 : Call Of Duty 3

Voilà bien un jeu que j'attendais après la surprise qu'vait été pour le deuxième épisode. Explications.

Le jour où je suis allé chercher ma 360, j'avais reservé plusieurs jeux mais pas le fameux COD 2. Un pote qui est vendeur dans mon magasin favoris me dit que c'est le jeu à posséder sur 360. Sceptique je décide malgré tout de le prendre car il n'avait jamais été de mauvais conseil. Et là, en effet ce jeu fut un véritable bonheur. Tout ça pour dire que j'attendais de pieds fermes ce troisième épisode.

Du coté du mode solo, on pourrait dire simplement le même en mieux. Quelques petites améliorations dans le gameplay viennent renforcer l'immersion. En gros, on ne s'ennuie pas dans ce FPS et la mise en scêne est là pour vous rappeler que la mort peut frapper à chaque instant !!

C'est donc du coté du multi que les nouveautés se cachent car il faut bien l'avouer COD 2 n'était pas ce qui se faisait de mieux en la matière. Là, le jeu semble bien parti !!! Je n'ai pu jouer qu'à un mode de type team death match mais la différence avec le 2 est flagrante. Le jeu supporte plus de joueurs, lag moins, est plus jouable.

Voilà donc un jeu qui viendra enrichir ma collection et ce dès le 10 novembre.


360 : NFS Carbon

Dans un salon l'attente entre deux présentations vous laisse le choix. Sois vous glandez histoire de vous remettre, sois vous farfouillez un peu histoire de trouver un jeu à essayer vite fait, un jeu auquel vous n'auriez pas pensez. Et bien pour moi ce jeu fut NFS Carbon qui combla parfaitement le temps d'attente entre la présentation de zelda et une session de jeu sur le stand Wii.



J'ai donc pu jouer à ce jeu sous deux formes, en mode solo et en mode écran splitté. Si on le compare à l'opus précédent ce Carbon retourne plutot vers la série des underground avec des voitures de grandes classes en plus. En effet, il ne semble plus que vous soyez obligé de jouer au kéké en tunant sans goût une pauvre voiture qui n'avait rien demandé. Les voitures de rêves semblent de retour et c'est tant mieux car conduire une 206 ou une Golf tunée n'a jamais été un rêve pour moi.

Point de vue gameplay, on reste dans le NFS pure jus avec un jeu bien arcade qui vous pardonnera quelques écarts mais trop. A ce sujet, le fait d'avoir plusieurs catégories de voitures au comportement bien distinct est un vrai plus.



Coté graphique, le jeu s'en sort plus que bien avec des modélisations fabuleuses, des effets bien sentis. Enfin bref on s'en qu'un véritable effort a été fait par rapport à l'année dernière.

Au final, ce jeu semble sur la bonne voie pour séduire le plus grand nombre, avec des graphismes fins et plusieurs catégories de voitures bien distinctes dans leur apparence et leur comportement.


360/PS3 : Def Jam

EA organisait des conférences de présentation lors du dernier MGS. C'est ces conférences que Def Jam était présenté. Malheureusement aucune photo ni vidéo n'était permise.

Def Jam est un jeu de baston d'EA mettant en scêne les rappeurs US les plus célèbres. Le gameplay de cette série est assez nerveux tout en étant assez technique ce qui lui a permis d'avoir un certain nombre de fans. Ce troisième volet est donc la première incarnation Next Gen de la série.

La présentation était faite sous forme de video, je ne parlerai donc pas de jouabilité. Point de vue graphique le jeu a l'air soigné mais on ne peut rien affirmer de plus vue la résolution de la vidéo (640*480).

Par contre l'un des points intéressants semble être la nouveauté apportée dans le gameplay de cet épisode et qui concerne la musique, je m'explique. Le jeu met en scène des rappeurs célèbres ce qui assurait au jeu une bande son digne de ce nom. C'était le seul rapport, entre le jeu et la musique. Et bien dans cet épisode, les développeurs semblent être allés plus loin car si vous frapper votre adversaire en musique vous ferez plus de dégâts.

Cette nouveauté semble vraiment être un plus pour le gameplay, il faudra maintenant attendre de voir avec une version jouable.

Pour commencer cette petite série de dossier sur le MGS 2006, rien de mieux que la Wii qui fut en quelque sorte la reine de ce salon.


Wii : Rayman contre les lapins crétins

A tout seigneur, tout honneur dit le dicton, donc pour mon premier jeu concernant le MGS de cette année, voici le jeu du salon (n'ayons pas peur des mots) Rayman contre les lapins crétins.



Après avoir assisté à une présentation en bonne et due forme du jeu sur le stand d'Ubisoft (présentation faite par un développeur du jeu, chose assez rare pour être signalée), j'ai pu essayer la bête (le lapin).



ET là, BAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH. Un bonheur ce jeu, une maniabilité excellente que ce soit en FPS, danse ou direction de chorale. Le jeu se prend très bien en main et se trouve être un jeu de lancement parfait.

Les graphismes sont vraiment très bon (pour de la Wii entendons-nous, on est pas sur Gears of War), le rendu est très propre, les textures semblent d'un bon niveau. En tout cela semble être un petit cran au dessus de ce que l'on peut attendre de la génération mourrante.



Quoi dire de ce jeu, sinon qu'il m'a éclaté, retourné, enfin bref amusé. Vivement la sortie du jeu, pour que les soirées entre potes puissent passer à l'éclatage de lapin.


Wii : Wii Sports

Après un Rayman jouissif, voici le jeu qui accompagnera la console lors de sa sortie.

Wii sports est une expérience, c'est sur. Le jeu est incroyable de facilité. C'est du total pick and play.

Le jeu de tennis est très prenant. Après un premier échange un peu timide, vous vous lachez et là vous avez vraiment l'impression d'être dans le jeu. Vous lachez vos coups, et sans vous en rendre compte vous êtes en train de faire un pas chassé pour récupérer la balle. C'est exactement à ce moment que vous vous dites (un, je suis pas un peu con là) P****** Nintendo est dans le vrai !!!.



Après cette première claque, vous vous lancez dans le bowling. Et là c'est tout aussi un incroyable, vous vivez votre lancer !! Ne soyez pas étonnant de voir des gens prendre un peu d'élan !!!



Le golf semble un peu plus profond et nécessite un peu d'entrainement. Mais le tout s'avère être précis, et particulièrement agréable.



Point de vue graphisme, c'est du ... En fait, vous n'y prétez pas attention. C'est sobre, ça utilise les personnages Mii et c'est tout.

Au final, le jeu est vraiment le compagnon idéal de la Wii et je comprend vraiment pourquoi Nintendo l'incorpore dans le pack de départ. Une excellente introduction à cette console qui est vraiment surprenante.


Wii : Mii Chanel

Un petit mot en passant sur cette particularité de la Wii qu'est la Mii chanel.

L'interface est très simple et très précise. La wiimote permet de naviguer dans les menus à la manière d'une souris et cela s'avère très plaisant.



Ensuite, il semble que les customisations sont nombreuses et amusantes. Vous pouvez voir ci-dessous mon personnage Mii à mon effigie.





Au final cette création d'avatar est très simple et très plaisante. De plus, il semble qu'il soit possible d'importer les personnages Mii des personnes que vous aurez croisé sur le net. De quoi, créer une bonne petite famille de Mii.


Wii : Zelda TP

Pour ce jeu comme pour Gears of War, la découverte a été effectuée en 2 temps. La première fois au travers d'une conférence où un présentateur jouait le niveau que tout le monde connait et qui semble être le didacticiel niveau combat. Par la suite j'ai pu jouer une vingtaine de minutes au jeu lors de la soirée des MGA.



La présentation sur écran géant a pu fournir quelques réponses en ce qui concerne les graphismes du jeu. C'est d'un excellent niveau si on le compare à des jeux la génération mourrante de console, par exemple il me semble supérieur à God of War, mais il est loin d'un Gears of War. Pour avoir une comparaison plus correct disons qu'il sera un cran en dessous d'un Kameo sur une télé standard.



Par contre on sent que Nintendo a fait des efforts niveau mise en scène du jeu. Dans la démo, le boss et certains événements sont très clairement mis en avant par la réalisation ce qui donne au jeu un coté film intéractif au bon sens du terme.



Maintenant le jeu possède un gameplay qui semble fidèle à la série en tout pour ce que la démo laissait entrevoir. En tout cas, les mécanismes de jeu semblent toujours aussi intéressant et il faudra maintenant attendre la version complète du jeu pour se faire une idée définitive.

Point de vue jouabilité, et malgré mes craintes le jeu est très très très jouable. Bien entendu un petit temps d'adaptation est nécessaire (cela semble être le cas pour tous les jeux Wii), mais une fois le jeu en main, toutes les actions s'enchainent naturellement. Le plus provient de l'utilisation de la wiimote et du nunchuk pour attaquer et parer. On a vraiment l'impression de vivre le jeu.



Au final, vous l'aurez compris ce Zelda semble tenir ses promesses, Nintendo semble donc avoir un cheval de course pour lancer sa Wii sur la voie du succès.


Wii : Red Steel

Après cet interlude PS3, je reviens vers la Wii avec l'un des jeux les plus attendus de la console, Red Steel.



Alors avant de commencer à vous donner mes impressions voici comment s'est passé mon premier contact avec le jeu. J'attendais lors de la soirée des MGA pour pouvoir jouer au jeu, une personne jouant déjà. Et là, c'était une catastrophe le jeu semblait injouable si bien que cette personne a complétement arrété de jouer. Mon tour venu, je compris l'effroi de la personne précédente, c'était injouable. Une petite discussion plus tard avec la jolie hotesse du stand, elle m'apportait une nouvelle manette. Les choses sérieuses pouvaient commencer.



Avec la manette fonctionnelle, le jeu prennait tout son sens. Bien que réglée de manière très sensible, cette dernière se révélait très agréable à manier. La combinaison entre mouvement libre et lock devenait très vite un reflex. Le zoom à se titre est très facile à utiliser.

D'un point de vue graphique, on est malheureusement très loin des premiers renders. Le jeu est à peine plus joli qu'un titre GC, et ceci principalement grâce aux effets de lumière réussis.

Je n'ai malheureusement pas pu essayer un combat au sabre.

Au final, je pense que ce jeu se profile comme étant un bon jeu mais n'aura peut être pas l'impact d'un Golden Eye en son temps. Il a le mérite de poser les bases d'un nouveau gameplay mais certains jeux dans le futur risquent de nous faire oublier Red Steel.


Wii : Trauma Center

Trauma Center est un des jeux les plus différents de la Nintendo DS, on avait jamais pu incarner un chirurgien avant. Ce jeu demandait une précision et un sang froid à toutes épreuves. C'est donc avec une certaine fébrilité que j'ai essayé la mouture Wii, en éspérant que la wiimote soit assez précise.



Et bien oui, oui, oui et re-oui !!! Non seulement le jeu est beau, mais en plus il est très maniable, très précis. Les gestes s'enchainent toujours aussi bien, la sélection des instruments (par le style analogique) permet une rapidité accrue.



Point de vue histoire, il semble qu'elle soit similaire à l'opus DS, mais tant que les interventions chirurgicales sont assez différentes et intéressantes le scénario pourra toujours passer au second plan.



Bon et bien vous l'aurez compris, le jeu s'annonce tout aussi fantastique que sur DS. Un must have à mon humble avis.


Wii : Cerebral Academy

Au détour du stand Nintendo, on pouvait trouver des jeux qui ne sortiront que dans quelques mois, Cerebral Academy en faisait partie.



J'ai pu essayer le mode deux joueurs de ce jeu. Le mode essayé consistiat a enchainer quinze jeux le plus rapidement possible afin de finir avant votre adversaire. Les jeux sont assez semblables à ce que l'on trouve sur DS, seul l'execution est différente du fait de la wiimote. Vous retrouverez donc des jeux de calcul mental, des jeux de logique, des jeux de mémoire.



Point de vue graphique, pas de révolution mais on est pas là pour ça, non ?

Au final, le jeu s'est avéré très fun et pourra facilement s'imposer dans les soirées entre potes au coté d'un wario ware et d'un wii sports.


Wii : Wario Ware Smooth Move

Pour mon dernier jeu du MGS, j'ai gardé le jeu le plus débile mais aussi l'un des plus amusants. Je veux bien entendu parler de Wario Ware.



Je ne vais pas m'étendre sur le concept du jeu qui est connu de tous. Le point ici est que le jeu semble utiliser la wiimote dans tous les sens vous faisant faire des choses devant votre télé que vous n'auriez vraisemblablement jamais fait. De la simulation de buvage de liquide cul-sec, au hoola hoop (???) en passant par la conduite, le jeu vous mettra dans de drôles de situations.



Le jeu en tout cas est toujours aussi fun et permet de bien s'éclater avec des potes. Ce jeu, comme Rayman convient parfaitement au lancement de la Wii.

Bonjour,

Voilà j'ai enfin fini Enchanted ARms le premier rpg d'origine japonnaise sur Xbox 360. Voyons voir ce qu'il en retourne.



L'histoire se déroule dans un monde où la magie a pris le pas sur la technologie. Des enchanteurs parcourent ce monde et les tâches courantes sont effectuées par des golems. Mais qu'est-ce qu'un golem ? Un golem est un sorte de robot animé par la magie qui obéit à son maitre (en tout cas normalement). Ce monde se porterait très bien si il n'était pas bati sur les ruines d'une ancienne guerre qui avait vu s'affronter 3 golems surpuissants (les devil golems). Cette guerre avait failli réduire à néant l'humanité.
Le joueur joue le rôle d'Atsuma un jeune étudiant un peu crétin mais qui a pour particularité de posséder un bras pouvant annihilé toute chose. Je n'en dirai pas plus ...



Bon étant le premier rpg next gen, on s'attent naturellement à avoir des graphismes magnifiques. Et bien, d'un coté oui et d'un autre non. Oui le jeu est très propre (en tout cas sur une télé HD), certains environnements sont magnifiques mais il manque quelque chose pour vraiment impressionner. Les magies ne sont pas plus impressionnantes que ça, en tout cas bien moins que les magies d'un Final Fantasy. Le character designer est parfois douteux, à la limite du mauvais goûts par certains moments. En tout cas on est loin des promesses aperçues dans Lost Odyssey.



Par contre, point de vue système de jeu, le jeu innove en mélangeant Tactical RPG et et RPG tout court. Je m'explique. Lorsque vous rentrez en mode combat (un peu comme FF X), vos équipiers et vos ennemis apparaissent sur une grille. Celle-ci est divisée en 2 zones, la votre et celle des ennemis. Vous ne pourrez pas étendre votre ou la faire diminuer. Vous ne pourrez pas non plus aller en territoire ennemi. A chaque tour vous déplacez, vos personnages dans leur zones et vous déclenchez votre action (attaque, défense, soin, fury, etc ...) qui possède une certaine portée. Ce système est très intéressant et très gratifiant grâce au système de combo inter-personnages. Il l'aurait été encore plus si vous aviez pu avoir plus d'actions (sorts, attaques, ect ...). Un dernier détail concernant le système de combat vous collectionnerez les golems au cours du jeu et vous pourrez les faire prendre part à la bataille en les intégrant dans votre équipe, ce qui une dimension stratégique en plus au jeu.



Point de vue de durée de vie, la quête principale vous tiendra en haleine une quarantaine d'heure ensuite libre à vous de trouver tous les golems et trésors cachés.

Au final, malgré quelques défauts au niveau de l'histoire et des personnages, ce jeu se laisse parfaitement jouer. Il n'est pas un grand RPG comme le souhaitait Microsoft et il est normal qu'il n'ait pas lancé la console au Japon. Reste un bon jeu bien au dessus d'un Final Fantasy X-2 par exemple mais bien loin derrière un Dragon Quest VIII. Si vous aimez le genre et que vous avez la console, vous pouvez y aller de toute façon les grands RPG n'arriveront pas avant l'année prochaine.

Pour mon premier test sur ce blog me voici avec l'un des jeux les plus médiatiques sur Xbox 360, Splinter Cell Double Agent.



Mais avant de parler de cet épisode, revenons un peu sur cette d'infiltration pure et dure. La série des Splinter Cell a débuté sur Xbox avec un premier épisode de haute qualité. Celui sera ensuite porté sur d'autres supports. Les caractéristiques de cette série sont :
* Le jeu est un jeu d'infiltration
* Utilisation des zones d'ombres
* Utilisation de gadget tous plus avancés les uns que les autres
* Une histoire qui passe au second plan, en tout cas derrière l'intérêt des situations présenté en mission.

Cette dernière caractéristique fait que je ne me suis jamais intéressé à cette série avant ce quatrième épisode car j'aime que l'on me raconte une histoire lorsque j'avance dans un jeu, cela me motive pour avancer.



C'est donc avec un oeil frais et sans à priori que je me lance dans ce Splinter Cell DA.

L'histoire tout d'abord, celle-ci vous met dans la peau de Sam Fischer qui devra cette fois ci jouer les agents double auprès d'un groupe terroriste américain. Je ne dévoilerai pas les tenants et aboutissants de l'histoire mais sachez que celle-ci vous permettra de voyager, et qu'elle garde une certaine cohérence. L'aventure est prenante et vous permettra de faire vos choix pour la mener comme bon vous semble.



La notion de choix est très importante dans ce jeu, car en tant qu'agent double vous devrez souvent gérer des objetctifs contradictoires ou différents suivants pour quel camp vous travaillez. Les objectifs que vous choisirez d'effectuer au cours de vos missions vous donneront ou vous feront perdre de la confiance auprès des terroristes ou de la NSA. Ce système est vraiment très agréable car vous resentez vraiment la pression inhérante à la mission de Sam. cela vous permez de plus, de vous impliquer dans le jeu.

Concernant la technique rien à dire , c'est très propre. A signaler que certaines misisons se passeront en plein jour et vous permettront de profiter des graphismes du jeu. Une mention spéciale à l'animation des personnages qui est très bien rendue.

Concernant la maniabilité, rien de nouveau par rapport aux autres épisodes.

Une autre composante du jeu est son mode multi joueur. Rien de bien nouveau ici pour les habitués de Splinter Cell avec un mode espion contre terroristes très agréable et un mode coopératif assez inégal du point de vue conception car certaines missions coopératives vous demanderont de battre votre collègue.

Au final, Splinter Cell Double Agent est un jeu duquel je n'attendais pas grand chose mais qui au final s'avère une réussite totale. Le jeu est agréable, interessant, beau , prenant, bref un système seller s'il ne sortait pas sur les autres plateforme de marché.

Nom: The Legend of Zelda : The Minish Cap
Plate-forme: Game Boy Advance
Genre: Action/Aventure

Il y a fort longtemps, Hyrule était envahis par les ténèbres... C'est dans ce contexte que les petits lutins, Minish, firent don d'une épée pour qu'un homme sauve Hyrule. C'est ce qui se passa et la paix revint. Le temps a passé et pour fêter la paix, les habitants d'Hyrule organisent chaque année une fête en l'honneur des Minish. Mais, une légende perdure : tous les 100 ans, une porte s'ouvre et les Minish se rendent sur les terres d'Hyrule...

Evidemment, la fête de cette année est la centième. Elle est donc exceptionnelle et completement différente de toutes les autres. Un tournoi est organisé en l'honneur du grand chevalier qui avait sauvé Hyrule. Un homme du nom de Vaati remporte le tournoi et ouvre le coffre contenant l'épée sacrée pour la prendre. Malheureusement, des milliers de monstres s'échappent du coffre, et Zelda est transformée en statue de pierre pour avoir essayer d'intervenir et empêcher la catastrophe... Une nouvelle aventure commence dès cet instant pour Link et pour vous, dans ce nouveau volet de la saga Zelda intitulé The Legend of Zelda : The Minish Cap.


The Legend of Zelda : The Minish Cap est sorti en novembre 2004 sur GBA en france. Après la sortie des deux premiers épisodes de la série dans la gamme NES Classics puis de l'adaptation de The Legend of Zelda : A Link to the Past de la Super Nintendo, la GBA s'offrait enfin un premier opus réellement inédit dans la série Zelda. Si le jeu a été édité par Nintendo, c'est pourtant Capcom qui a developpé ce jeu, come cela avait déja été le cas pour les épisodes The Legend of Zelda : Oracles of Ages et The Legend of Zelda : Oracles of Seasons qui virent le jour sur Game Boy.

Après avoir changé d'âge, de saison ou d'apparence dans les opus précédent, Link peut, dans ce jeu rétrécir et se transformer en Minish ! Cette nouvelle aptitude sera attribué à Link dès le début de l'aventure, après sa rencontre avec un étrange objet ressemblant grosso modo à un bonnet vert se terminant par un bec d'oiseau et étant doté de la parole. Link ne pourra utiliser ce nouveau pouvoir qu'en en se perchant sur des objets bien précis, comme des souches d'arbres ou des jarres... Ce chapeau Minish est l'élément clé de The Legend of Zelda : The Minish Cap car Link sera obligé de passer par ce changement de taille s'il veut arriver au bout de son aventure... Et l'exploration du monde en deux tailles différentes ne manquera pas d'engendrer un bon nombre d'énigmes bien sympathiques !


The Legend of Zelda : The Minish Cap appartenant à la franchise Zelda, il respecte naturellement un certain nombre de conventions comme la présence des objets traditionnels de la série : bottes de pégase, bombes, épée, bouclier, arc, boomerang, flacons... Notez également que The Legend of Zelda : The Minish Cap marque le retour de l'ocarina du vent qui, comme dans The Legend of Zelda : A Link to the Past, permet de se déplacer très vite sur la carte en choisissant une destination après avoir joué de l'ocarina ! Ceci dit, The Legend of Zelda : The Minish Cap vous permettra aussi de découvrir un certain nombre d'objets inédits. Comment ne pas évoquer ici le pot magique aspirant qui dépoussière et agrippe ses cibles comme une ventouse, la canne sauteuse qui retourne les objets ou encore les griffes permettant de creuser la terre comme une taupe ?

Pour rallonger la durée de vie de l'aventure, The Legend of Zelda : The Minish Cap regorge de quêtes annexes plus ou moins importantes... La plus réussi d'entre-elles est, sans nul doute, la quête des « fragments du bonheur ». Vous pourrez récolter les « fragments du bonheur » de diverses façons : cachés dans les touffes d'herbes, dans certains magasins, en battant certains ennemis, etc. Ces fragments vous serviront à faire des assemblages avec les habitants d'Hyrule, qui possèdent eux aussi une moitié de fragment. A chaque fois seront assemblés deux moitiés compatibles, il se passera quelque chose dans le monde d'Hyrule... Cela va de l'apparition de coffres divers ou de monstres dorés à l'apparition de nouvelles zones à explorer. Le jeu est donc sans cesse renouvelé, ce qui rend la chasse aux « fragments du bonheur » encore plus passionnante ! Une fois tous les assemblages faits, allez voir Tingle et vous aurez le droit d'avoir une très jolie statue !


Durant votre aventure, n'oubliez surtout pas de rendre visite aux différents maîtres épéistes répartis dans le monde d'Hyrule. A chacune de vos rencontres avec l'un des maîtres, il vous apprendra un nouveau mouvement de combat. Chaque mouvement nécessite une combinaison de touches assez simple que vous pourrez ensuite consulter dans votre menu grâce aux « précis d'escrime » que les maîtres vous auront donné après un petit entraînement !

Dans la ville d'Hyrule, vous trouverez une étrange boutique : la boutique Tendo. Vous pourrez y échanger des coquillages (les mêmes que ceux déjà présents dans The Legend of Zelda : Link's Awakening et que vous trouverez un peu partout comme les rubis) contre des statuettes représentants tous les personnages du jeu ou un des lieux importants du jeu. L'idée fleure bon le recyclage : la boutique Tendo était déjà présente dans The Legend of Zelda : The Wind Waker sorti sur Game Cube (avec un principe un peu différent) et le concept de la collection de statuettes est encore plus ancien car précédemment utilisé dans la série Smash Bros qui a débuté sur Nintendo 64... Chaque statuette est accompagnée d'une courte description et une fois toutes récoltées, vous obtiendrez une petite surprise !


The Legend of Zelda : The Minish Cap est sans aucun doute l'un des plus beaux jeux GBA qu'il nous ait donné de voir. Les graphismes sont fins et très colorés, ce qui rend le jeu magnifique autant à jouer qu'à regarder. Link a encore changé d'apparence, et je peux vous dire qu'il est très bien comme cela ! Dans The Legend of Zelda : The Minish Cap, Link adopte un design plus rondouillard que d'habitude ; le sprite du personnage s'inspire fortement de celui de The Legend of Zelda : The Wind Waker. L'aspect graphique a réellement bénéficié d'un soin particulier, les différents écrans sont remplis de divers détails qui rendent le jeu bien vivant et l'atmosphère plus chaleureuse. Bien entendu, et pour finir de parler de l'aspect technique de ce jeu, les animations, la maniabilité et la bande sonore sont tout simplement excellentes !

J'en finis avec la description détaillée de The Legend of Zelda : The Minish Cap en vous parlant de la durée de vie, qui est le seul sujet de polémique du jeu. Le moins que l'on puisse dire, c'est que The Legend of Zelda : The Minish Cap n'est pas l'épisode le plus long de la série... On est bien loin des dizaines et des dizaines d'heures nécessaires pour terminer The Legend of Zelda : A Link to the Past à 100% (oui, je suis toujours nostalgique des nombreuses heures passées devant ce jeu). The Legend of Zelda : The Minish Cap ne comporte en effet que 6 donjons... Il vous faudra compter environ une petite dizaine d'heures de jeu pour terminer la quête principale et au final, si vous rajoutez les quêtes annexes, vous pourrez atteindre une durée de vie d'une vingtaine d'heures, ce qui est assez faible pour un tel type de jeu... Mais ne vous y trompez pas, c'est bien parce que l'aventure est passionnante que l'on regrette qu'elle soit si courte...

The Legend of Zelda : The Minish Cap est un excellent jeu ! Il fait honneur à la série, multiplie les clins d'oeil aux précédents volets et apporte beaucoup de nouveautés qui, à mon avis, seront réutilisées dans les épisodes à venir ! Les personnages sont une fois de plus très attachants et il est bien difficile de s'arrêter une fois la partie commencée ! Dommage cependant que la durée de vie du jeu soit si courte et que The Legend of Zelda : The Minish Cap soit relativement facile dans son ensemble (on ne meurt pas beaucoup et les énigmes sont enfantines) ! Bref, The Legend of Zelda : The Minish Cap est incontournable sur Game Boy Advance !

Square-Enix, fort de son succès avec Kingdom Hearts premier du nom, décide avec l'accord de Disney de sortir la suite, sobrement intitulée Kingdom Hearts 2. Simple add-on, suite convenable, ou perle vidéoludique?

Un petit rappel des faits s'impose. Deux jeux exploitant la license Kingdom Hearts sont sortis avant Kingdom Hearts 2. Le premier épisode, qui a vu le jour sur Playstation 2, se termine sur une scène énigmatique. Le roi Mickey et Riku, le meilleur ami de Sora, ont décidé de rester dans le royaume des ténèbres pour empêcher les sans-coeur d'envahir une nouvelle fois le monde. Sora, Donald et Dingo, les trois compagnons de fortune, décident à la suite de leur ultime combat contre le démon Ansem de partir à la recherche des deux martyres. Ainsi débute Kingdom Hearts Chain of Memories, sorti sur GameBoy Advance. L'organisation XIII et ses sbires apparaissent, obligeant Sora et ses deux compères à traverser un manoir hanté regorgeant de pièges et donc de dangers. Finalement, une certain Namine place les trois compagnons dans des sphères afin qu'ils recouvrent leur mémoire perdue au cours de l'aventure.



On en vient donc au sujet du test, Kingdom Hearts 2. Après un prologue mettant en scène un personnage énigmatique du nom de Roxas, Sora sort de son état de latence pour enfin partir à la recherche des deux disparus. Malheureusement, l'Organisation XIII s'en melle très rapidement et Sora devra affronter moult dangers afin de vaincre ses mystérieux ennemis et retrouver ses deux amis d'enfance, Riku et Kairi. Si la trame scénaristique des deux premiers opus pouvait paraître simple et sans réel rebondissement, celle de Kingdom Hearts 2 transcende et procure chez le joueur une envie irrésistible de connaître la suite. C'est bien là le point fort de cet épisode : impossible de lâcher le jeu avant de savoir qui est réellement le chef de l'Organisation et quels sont ses sombres desseins.



Passons à l'aspect pratique, à savoir le gameplay. Celui-ci est très travaillé, et là où Kingdom Hearts proposait des sytèmes de combat et de de recherche épuré au maximum, son successeur joue la carte de la complexité en mettant en avant des joutes épiques, très intenses alliées à la classique découverte des mondes Disney à bord du vaisseau Gummi. Les combats sont très bien mis en valeur, chaque affrontement est une véritable partie de plaisir, les possibilités sont immenses. Kingdom Hearts proposait simplement d'enchaîner quelques combos et d'invoquer des personnages Disney afin de combattre des sans-coeur somme toute assez variés. Kingdom Hearts 2, quant à lui, présente un très grand nombre d'ennemis différents, allant des classiques sans-coeur aux nouveaux adversaires, les similis. Les combats avancent donc un large panel d'attaques spéciales, d'invocations, de coopérations et de fusions. Ces dernières forment la véritable inovation de cet opus. Sora peut fusionner avec Donald, Dingo, ou les deux en même temps. Ainsi, il pourra utiliser deux keyblades, lancer des sorts surpuissants, enchaîner les combos à grande vitesse et augmenter considérablement ses caractéristiques. Ces transformations sont cependant limitées par une jauge de flux qui se vide en fonction de la puissance de la fusion. De nombreuses nouveautés donc qui, si elles peuvent paraître trop nombreuses, permettent au joueur de ne jamais s'ennuyer au cours des combats.



La partie exploration reste similaire aux deux précédents opus, à savoir visiter différents mondes de l'univers Disney pour cadenasser les serrures qui libèrent des sans-coeur. Si certains déploreront la relative niaiserie des personnages qui peuplent l'univers Disney, d'autres seront charmés par la grande fidélité apportée par Square-Enix à ces mêmes personnages. Un parfum de nostalgie émane de chaque monde visité. On passe du château de la Belle et la Bête à la Terre des lions en passant par Atlantica ou encore le colisée de l'Olympe. C'est un réel plaisir de retrouver tous les personnages qui ont fait le succès de Kingdom Hearts comme Hercule, Simba, Ariel ou encore Jack Skellington. On nottera l'apparition de nouveaux univers, dont ceux de Pirates des Caraibes et de Mulan. Ces personnages singuliers conservent une grande importance, et fort heureusement! Car si on retrouve Cloud, Aerith, Squall et les autres personnages de la franchise Final Fantasy, ceux de Disney ne sombrent pas pour autant dans l'oubli.

La performance graphique de cet épisode constitue une prouesse, un exploit qu'il faut reconnaître à sa juste valeur. La console est exploitée à son maximum et les temps de chargement sont presque inexistants. La patte graphique des dessins animés est respectée, Mulan est retranscrite à la perfection et le monde de Steambot Willie, tout en noir et blanc, nous fait revivre les premiers succès du studio américain. Les compositions musicales sont simplement parfaites, et là encore on ne peut que remercier Square-Enix d'avoir conservé certains thèmes de l'univers Disney.



Le jeu n'est malheureusement pas exempt de défauts, dont la facilité rageante ( seul le boss final m'a posé problème ) et la durée de vie relativement faible. Cependant, les points forts cités plus haut suffisent à nous faire oublier ces quelques imperfections.

J'aborde maintenant un paragraphe inhabituel dans lequel je voudrais exprimer ma passion pour l'ultime affrontement de cette aventure. Cette joute aussi longue qu'intense surpasse toutes celles auxquelles j'ai eu l'occasion de participer, allant même jusqu'à humilier le célèbre affrontement contre Ansem. On passe d'une phase en vaisseau captivante à un duel psychédélique dans le monde des ténèbres en passant par une traversée de ce même monde en évitant pièges et attaques dévastatrices. Ce combat est un momument de plaisir vidéoludique et la cinématique de fin qui le récompense est tellement émouvante que finir ce jeu m'a arraché une larme à l'oeil.



Conclusion: Kingdom Hearts 2 constitue la grosse surprise de cette année sur Playstation 2. Square-Enix a réussi son pari en nous proposant une aventure riche et intense, au croisement des univers Disney et Square-Enix. C'est l'histoire d'un rêve, d'une épopée. En route pour le Royaume des coeurs!

Nom: Ultraman
Plate-forme: Super Nintendo
Genre: Daube

Ultraman, surement le jeu le plus mauvais sorti sur Super Nintendo. Rares sont les jeux qui cumulent un tel niveau de défauts. Dès le début, toutes les conditions étaient réunis pour arriver à un tel désastre : une licence en or (Ultraman, la serie culte au japon, kitch au possible pour le reste du monde) et un éditeur mythique (Bandaï, bien connu pour ses adaptations de mangas). Le résultat est là, un jeu qui décroche le zéro absolu.

L’originalité n’est pas de mise, Ultraman est un ersatz de Street Fighter 2. Une succession de duels entre plusieurs personnages, donc. En plus, il y a même un scénario : Ultraman a devant lui une tâche colossale. Des pas-gentils mutants ont envahi la terre et ils ne la quitteront pas avant d’avoir dévorer tous les humains ! Vous avez donc le choix entre Ultraman et... Ultraman ! Notre cher ami a l’allure d’un Bioman force rouge croisé avec une mouche mutante, un minimum pour impressionner ses adversaires, une ribambelle de Godzillas, Mothras et autres spécialités japonaises. Pour vous défaire de vos ennemis, la meilleure solution c’est d’éteindre votre Super Nintendo, sinon un ensemble de coups de poings ou de pieds, au sol ou dans les airs, sont à votre disposition. Il y a également un coup spécial, une jauge qui se remplit au cours du combat et vous permet d’utiliser votre super pouvoir, un rayon laser bleu du plus bel effet.

La réalisation technique rendrait honteuse une Colecovision, des graphismes pauvres, quasiment aucune étape d’animation, des bruitages de téléphone portable et une musique d’ascenseur. Vous l’aurez compris, Ultraman est un jeu complètement kitch et complètement nul. Encore un Ultraman qui va finir dans la corbeille !!!

Vous êtes en 2013 et vous incarnez Scott Mitchell qui est un Ghost Recon et lors de different mission vous allez devoirs libérez plusieurs chefs d'état américain comme mexicain.



Au début de chaque mission vous débarquez en Hélicopter ou en tanks.A partir de ce moment la vous êtes libre a vous de choisir la tactic pour abattre vos ennemis qui sont coriaces même dans le mode de jeu le plus facile.Pour vous aidez dans cette tâche vous aurez 3 compagnons pas trés intelligent mais qui peuvent servirent dans les situations critiques.Si un d'eux est blesser vous pouvez le soigner ou demander a un de vos coéquipier de la faire pendant que vous les couvrez mais il est possible de leur demander autre chose,comme détruite un blindé ou des ennemis,se deplacer,vous couvrirs ou d'autres choses.En plus de vos compagnons vous pourrez donner des ordres a un chars comme a un hélico qui suit vos ordres a la lettre.



Niveau équipement vous êtes garnis avec un drône qui vous serviras a repérer les ennemis pour pouvois ellaborer diverse stratégie de neutralisation mais il faudras faire attention que vos ennemis ne le détruise pas sinon vous serez seule.Niveau armes elles sont assez high-tech mais aussi des lunette infrarouge pour reperer vos ennemis de loin et mieu les abatres a distances.



Sur ce coup la Xbox 360 nous montres ce qu'elle a dans le ventre en nous livrant des graphismes magnifiques et un panelle de couleur éblouissant.Parfois il est possible que l'on s'arrete juste pour admirer la beauté du soft.

Musiques Grandiose

Comme les graphismes les musiques sont magnifiques surtout dans les moment critiques ou le son des tire des balles se ralentis pour laisser place a une musique digne des grand films de guerres.Grandiose.

Le online

Ne pas parler du Online de se eu serait un crime car il consiste surement une des plsu grosses qualité du soft.Malgré la durée de vie pourris du mode solo,le online ratrappe tous sa avec un mode immersif ou lacoopération est l'atout majeur surtout avec le casque pour élaborer différente stratégie.

Défaults

Le jeu parfait n'existe pas et pour celui la le gros défault est sa durée de vie solo car elle s'étend sur 8h a tout casser.Heuresement que le mode online rafraichit tout sa.L'autre petit défault est sa difficulté assez ardu en mode simple.

En Résumé

En bef le jeu est un indispensable de la console car avec ce jeu la 360 montre enfin ce qu'elle vaut en nous livrant le premier vrais jeu next-gen qui malheuresement est un peu decevant niveau durée de vie solo mais ratrappé par un excellent mode online.

galerie du jeu