L'histoire commence lorsque Ryu Hayabusa se rend en Amérique pour exécuter le testament de son père. Pendant son absence, la frontière entre le monde des humains et celui des démons vole soudainement en éclats, libérant une effroyable armée sur le village d'Hayabusa, qui doit maintenant lutter contre une menace sans précédent en l'absence de Ryu.
Face à ce nouveau danger, Kenji Mozu, un jeune ninja du village d'Hayabusa, se dresse pour relever le défi ! Entraîné par Ryu, il livre un combat acharné, mais finit par se retrouver dans une situation désespérée... Contraint de recourir à un pouvoir interdit, Kenji met de côté des siècles d'animosité pour conclure une alliance avec le redoutable clan de l'Araignée noire, convaincu que seule l'union de leurs âmes et de leurs compétences pourra protéger le monde de l'emprise du Seigneur démon !
Ninja Gaiden : Ragebound, est développé par The Game Kitchen, les développeurs de Blasphemous 1 et 2, et est un spin-off en 2D de la légendaire série Ninja Gaiden.
L’histoire se déroule en parallèle des événements du premier Ninja Gaiden de 1988.
Alors que Ryu Hayabusa est parti venger son père aux États-Unis, une brèche s’ouvre entre le monde humain et démoniaque, libérant des hordes de créatures infernales sur le village Hayabusa.
Vous incarnez Kenji Mozu, un jeune ninja formé par Ryu, chargé de protéger le village. Rapidement, Kenji croise Kumori, une kunoichi du clan rival de l'araignée noire.
Une fusion mystique de leurs âmes les contraint à partager un même corps pour affronter ennemis humains et démoniaques.
Le scénario est plutôt bon et reste dans les codes classiques de la série, et ne lasse jamais grâce à des cinématiques stylisées façon manga.
Deux fins sont également disponibles.
Ninja Gaiden : Ragebound est un véritable bijou visuel pour les amateurs de pixel art 2D.
Le style est tout simplement sublime, avec des sprites fluides et des animations d’une précision chirurgicale.
Les cinématiques, inspirées des mangas des années 80, impressionnent par leur mise en scène dynamique et leur niveau de détail.
Les environnements, temples en flammes, forêts, chantier de construction, train, etc, sont très variés et regorgent de détails, et ont prend beaucoup de plaisir à les parcourir.
Pour les nostalgiques, un filtre CRT optionnel renforce l’ambiance rétro, avec un effet cathodique.
Chaque combat, ponctué de gerbes de sang et d’effets de lumière, ressemble à une peinture animée, rendant l’expérience visuellement captivante.
La bande originale est grandiose, et est portée par Sergio de Prado et les vétérans Keiji Yamagishi, Kaori Nakabai et Ryuichi Nitta (Ninja Gaiden NES).
Elle accompagne parfaitement le rythme effréné des combats.
Les bruitages, du tranchant des katanas au sifflement des kunaï, combiné aux musiques, renforcent l’immersion, faisant de la bande-son un pilier majeur de l’expérience.
Le gameplay est un retour aux sources des action-platformers 2D, avec une touche de modernité.
Kenji dispose d’un arsenal classique mais précis : attaques au katana, esquives, sauts muraux et une jauge d’hypercharge pour des combos dévastateurs.
La possibilité de rebondir sur les projectiles ou ennemis pour des attaques aériennes ajoute une dimension acrobatique et stratégique.
Kumori, est aussi jouable dans certaines sections, et permet aussi à Kenji d'envoyer des kunaï.
Bien que simpliste et quelque peu limité, le gameplay reste efficace grâce à sa précision et sa fluidité.
La mise en scène des missions est superbe, avec des séquences variées, courses sur une moto, combats sur un train ou acrobaties accrochées à un hélicoptère, etc, évitant toute monotonie.
La variété des niveaux est également géniale, avec un level design riche en secrets, comme des scarabées dorés à trouver, la monnaie utilisée dans le magasin de Muramasa pour acheter des améliorations (talismans, jutsus).
Certains objets, peuvent aussi rendre le jeu plus difficile, comme ceux forçant à recommencer le niveau en entier à chaque mort, augmentent le défi pour les joueurs en quête de challenge extrême.
Cependant, l’absence de dash aérien ou de double saut peut surprendre, et la personnalisation, limitée à deux emplacements de compétences par personnages, reste restreinte.
En difficulté normale, sans toucher aux paramètres d’accessibilité, le jeu à été, pour moi, plutôt tranquille, mais j'ai aussi l'habitude de ce type de jeu. Mais j'ai aussi vu des personnes se plaindre qu'il était trop dur pour eux.
J'ai mis 5h20 pour finir le jeu en faisant toutes les quêtes annexe, à l'exception de 4, que je n'avais pas encore débloqué.
Pour ceux qui galèrent, les options d’accessibilité (réduction des dégâts, et autres), rendent l’expérience plus abordable.
Si le mode de difficulté de base, sans toucher aux paramètres d'accessibilité, est relativement tranquille en termes de difficulté, le mode hard, disponible après avoir fini le jeu, toujours sans toucher aux paramètres d'accessibilité, est une tout autre paire de manches.
Il comporte des ennemis supplémentaires, des pièges additionnels et des adversaires plus puissants, censés apparaître plus tard dans le jeu.
Sans tricher en utilisant les paramètres d'accessibilité, peu de personnes pourront vaincre le premier Boss, et encore moins pourront finir le jeu dans cette difficulté.
Disons qu'en mode hard, c'est une difficulté digne des jeux des années 90.
À la fin de chaque niveau, un système de rang attribue une note de D à S, basée sur le temps, les collectibles et les défis accomplis.
Obtenir un rang S demande une maîtrise parfaite, incitant à rejouer les niveaux.
Selon la note obtenu, il est possible dans certains niveaux d'obtenir des objets et attaques bonus.
La rejouabilité du jeu est renforcée par ces défis.
L’optimisation est parfaite, avec un framerate constant de 60 FPS et aucun micro-freeze.
Ninja Gaiden : Ragebound est une réussite éclatante, mêlant l’héritage des classiques NES à une exécution moderne.
Le pixel art sublime, les animations et cinématiques magnifiques, la bande-son grandiose et le gameplay simple, mais efficace, en font un titre incontournable pour les fans de jeux d’action 2D.
La mise en scène soignée, la variété des niveaux et la rejouabilité via le mode difficile et le système de rang assurent une expérience addictive.
C'est un retour sanglant et maîtrisé pour Ninja Gaiden, qui tranche dans le vif et s’impose comme une référence du genre, et je comprends maintenant parfaitement toutes les bonnes note de fou qu'il a reçu.
Note finale : 8,5/10
L’histoire se déroule en parallèle des événements du premier Ninja Gaiden de 1988.
Alors que Ryu Hayabusa est parti venger son père aux États-Unis, une brèche s’ouvre entre le monde humain et démoniaque, libérant des hordes de créatures infernales sur le village Hayabusa.
Vous incarnez Kenji Mozu, un jeune ninja formé par Ryu, chargé de protéger le village. Rapidement, Kenji croise Kumori, une kunoichi du clan rival de l'araignée noire.
Une fusion mystique de leurs âmes les contraint à partager un même corps pour affronter ennemis humains et démoniaques.
Le scénario est plutôt bon et reste dans les codes classiques de la série, et ne lasse jamais grâce à des cinématiques stylisées façon manga.
Deux fins sont également disponibles.
Ninja Gaiden : Ragebound est un véritable bijou visuel pour les amateurs de pixel art 2D.
Le style est tout simplement sublime, avec des sprites fluides et des animations d’une précision chirurgicale.
Les cinématiques, inspirées des mangas des années 80, impressionnent par leur mise en scène dynamique et leur niveau de détail.
Les environnements, temples en flammes, forêts, chantier de construction, train, etc, sont très variés et regorgent de détails, et ont prend beaucoup de plaisir à les parcourir.
Pour les nostalgiques, un filtre CRT optionnel renforce l’ambiance rétro, avec un effet cathodique.
Chaque combat, ponctué de gerbes de sang et d’effets de lumière, ressemble à une peinture animée, rendant l’expérience visuellement captivante.
La bande originale est grandiose, et est portée par Sergio de Prado et les vétérans Keiji Yamagishi, Kaori Nakabai et Ryuichi Nitta (Ninja Gaiden NES).
Elle accompagne parfaitement le rythme effréné des combats.
Les bruitages, du tranchant des katanas au sifflement des kunaï, combiné aux musiques, renforcent l’immersion, faisant de la bande-son un pilier majeur de l’expérience.
Le gameplay est un retour aux sources des action-platformers 2D, avec une touche de modernité.
Kenji dispose d’un arsenal classique mais précis : attaques au katana, esquives, sauts muraux et une jauge d’hypercharge pour des combos dévastateurs.
La possibilité de rebondir sur les projectiles ou ennemis pour des attaques aériennes ajoute une dimension acrobatique et stratégique.
Kumori, est aussi jouable dans certaines sections, et permet aussi à Kenji d'envoyer des kunaï.
Bien que simpliste et quelque peu limité, le gameplay reste efficace grâce à sa précision et sa fluidité.
La mise en scène des missions est superbe, avec des séquences variées, courses sur une moto, combats sur un train ou acrobaties accrochées à un hélicoptère, etc, évitant toute monotonie.
La variété des niveaux est également géniale, avec un level design riche en secrets, comme des scarabées dorés à trouver, la monnaie utilisée dans le magasin de Muramasa pour acheter des améliorations (talismans, jutsus).
Certains objets, peuvent aussi rendre le jeu plus difficile, comme ceux forçant à recommencer le niveau en entier à chaque mort, augmentent le défi pour les joueurs en quête de challenge extrême.
Cependant, l’absence de dash aérien ou de double saut peut surprendre, et la personnalisation, limitée à deux emplacements de compétences par personnages, reste restreinte.
En difficulté normale, sans toucher aux paramètres d’accessibilité, le jeu à été, pour moi, plutôt tranquille, mais j'ai aussi l'habitude de ce type de jeu. Mais j'ai aussi vu des personnes se plaindre qu'il était trop dur pour eux.
J'ai mis 5h20 pour finir le jeu en faisant toutes les quêtes annexe, à l'exception de 4, que je n'avais pas encore débloqué.
Pour ceux qui galèrent, les options d’accessibilité (réduction des dégâts, et autres), rendent l’expérience plus abordable.
Si le mode de difficulté de base, sans toucher aux paramètres d'accessibilité, est relativement tranquille en termes de difficulté, le mode hard, disponible après avoir fini le jeu, toujours sans toucher aux paramètres d'accessibilité, est une tout autre paire de manches.
Il comporte des ennemis supplémentaires, des pièges additionnels et des adversaires plus puissants, censés apparaître plus tard dans le jeu.
Sans tricher en utilisant les paramètres d'accessibilité, peu de personnes pourront vaincre le premier Boss, et encore moins pourront finir le jeu dans cette difficulté.
Disons qu'en mode hard, c'est une difficulté digne des jeux des années 90.
À la fin de chaque niveau, un système de rang attribue une note de D à S, basée sur le temps, les collectibles et les défis accomplis.
Obtenir un rang S demande une maîtrise parfaite, incitant à rejouer les niveaux.
Selon la note obtenu, il est possible dans certains niveaux d'obtenir des objets et attaques bonus.
La rejouabilité du jeu est renforcée par ces défis.
L’optimisation est parfaite, avec un framerate constant de 60 FPS et aucun micro-freeze.
Ninja Gaiden : Ragebound est une réussite éclatante, mêlant l’héritage des classiques NES à une exécution moderne.
Le pixel art sublime, les animations et cinématiques magnifiques, la bande-son grandiose et le gameplay simple, mais efficace, en font un titre incontournable pour les fans de jeux d’action 2D.
La mise en scène soignée, la variété des niveaux et la rejouabilité via le mode difficile et le système de rang assurent une expérience addictive.
C'est un retour sanglant et maîtrisé pour Ninja Gaiden, qui tranche dans le vif et s’impose comme une référence du genre, et je comprends maintenant parfaitement toutes les bonnes note de fou qu'il a reçu.
Note finale : 8,5/10
J'attends en 2050 : Ryu Hayabuza Gaiden X Shinobi
C'est clair qu'en Hard, dans ce jeu, ca blague pas.
Excellent lui aussi d'après la démo, vivement la sortie.
negan bientôt en vacances en Bretagne, je serai bigaiden.
kujotaro pas trop lourd à porter ?
Pourquoi tu ne mets pas ton test dans le corps de l'article?