"Pas dans l’ordre : Last resort Gradius V Ikaruga Radiant Silvergun Musha Aleste"

"@Shao Les éditeurs tiers achetaient la licence + les cartouches à Nintendo, pourtant certains éditeurs sortaient leurs jeux à 499 Francs. Nintendo n’avait pas tous ces frais là et pourtant leurs jeux sortaient à prix fort. Le but, malgré la qualité indéniable de leurs différents licences, a toujours été de s’en mette un max dans les poches. Ce qu’on voir avec la Switch 2 est juste le continuité des pratiques de cette société. Regarde le prix des joycons, de la manette pro, de la caméra, Nintendo labo, amiibo et j’en passe tellement… Tout est bien au dessus du prix, pas besoin de Sega, Microsoft ou Sony pour justifier quoi que ce soit, à part le besoin de s’en mettre un max dans le compte en banque."

"@Altendorf Oui bien sûr, ça avait déjà flambé un peu, mais depuis le Covid ça a complètement explosé. On se retrouve avec des prix qui ne veulent plus rien dire :/ @Forte Moi je fais parti des gens qui ne revendront jamais rien, ma collection me ressemble et j’ai une histoire avec quasiment tous mes objets. Après détrompe toi, il y a des jeux à 15000€/20000€ voir 25000€ qui partent. Il n’est pas rare de voir un Mark of the Wolves en AES partir à 1700/1800€ Beaucoup de titres à 300/400/500€ partent tous les jours. L’année dernière un Blazing Star et un Breakers sur Neogeo AES sont parti en une journée à Paris, 7500€ pièce. Il y a des collectionneurs avec de gros moyen"

"Si on parle juste des consoles et des souvenirs que tu as avec (contexte, amis avec qui tu jouais etc..) Super Nintendo Neogeo AES Dreamcast Après niveau ludothèque, j’avoue que la PS1 et PS2 c’était des sacrés morceaux."

"Les Shoot em up Alors oui, il m’arrive de prendre encore du plaisir sur des titres, comme dernièrement R Type Final 2 et 3, ou certaines rééditions sur Switch comme Dodonpachi, Espgaluda ou autres Raiden Mikado Remix. Mais c’est des titres que j’ai déjà fait ou refait, il y a une certaine « nostalgie » derrière. J’arrive plus à avoir la même flamme que quand je découvrais des Radiant Sivergun, Last Resort, Shienryu, Viewpoint, Ikaruga et autres merveille du genre. C’est des titres sur lesquels je pouvais jouer des heures et des heures et ce sur plusieurs jours, voir semaines. Aujourd’hui j’y joue 30 minutes, une heure et rien à foutre du High score et autres « one credit » L’envie y est, mais quelque chose a disparu, peut-être un peu de magie dans le peu de nouveau titre qui sorte ces dernières années pour me faire reprendre l’envie de défoncer le high score"