Dans DUNE : DEUXIÈME PARTIE, Paul Atreides s’unit à Chani et aux Fremen pour mener la révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille. Hanté par de sombres prémonitions, il se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers.
Dernières Nouvelles d'Alsace 5/5
Denis Villeneuve transcende l'épopée de Dune dans son deuxième acte, créant un chef-d'œuvre épique où chaque plan est magnifié par sa vision artistique unique de l'œuvre de Frank Herbert.
La Voix du Nord 5/5
La science-fiction franchit une nouvelle étape en même tant que Paul chevauche un gigantesque ver à travers les dunes de la planète Arrakis. Un moment de grâce visuelle, parmi tant d’autres.
Le Dauphiné Libéré 5/5
Cette science-fiction grandiose donne au destin de Paul Atréides une dimension narrative digne des héros mythologiques.
Le Parisien 5/5
Plus fort, plus beau, plus grand, plus passionnant : en montant de plusieurs crans par rapport à son premier « Dune », pourtant déjà extraordinaire, Denis Villeneuve réussit tous ses paris.
Le Point 5/5
Blockbuster splendide, pas très loin d'une œuvre d'art hypnotisante qu'on ne se lasse pas d'observer dans chaque recoin du cadre, Dune 2 confirmera, on l'espère, l'aspiration des foules à un autre genre d'épopée venue d'ailleurs.
Les Echos 5/5
Le metteur en scène québécois signe une oeuvre hybride et colossale, entre péplum, science-fiction, romance et épopée, pour remporter l'un des plus ambitieux paris du cinéma contemporain.
Ouest France 5/5
Une œuvre majeure, aux effets visuels époustouflants et au scénario prenant.
Première 5/5
Au bout de ses (presque) trois heures de film, Dune : Deuxième partie devient, à l’instar d’Oppenheimer l’an dernier, un immense morceau de cinéma pensé et investi, hyper excitant, un film réellement dirigé par une vision (...).
Ecran Large 4/5
Plus solide sur ses appuis et moins mécanique dans son exposition, Denis Villeneuve fait de Dune 2 un blockbuster élégant, où l'échelle épique se conjugue à l'intimité des corps et des personnages. Une approche faussement paradoxale, qui donne au film une ambiguïté politique des plus réjouissantes.
Franceinfo Culture 4/5
Denis Villeneuve signe la suite de son "Dune" sorti en 2021 et conclut une adaptation claire et limpide de l'un des plus grands romans de science-fiction.
L'Humanité 4/5
Profitant de nombreux décors réels – les déserts jordaniens et émiratis –, Denis Villeneuve renoue avec l’orchestration épique d’un « Seigneur des anneaux » et multiplie les jeux d’échelle, jouant sur les astres, les gigantesques vaisseaux spatiaux, et les terrifiants vers des sables.
L'Obs 4/5
Cinéaste-architecte, Villeneuve a un puissant sens de l’échelle – esthétique et humaine – et des résonances contemporaines (comment ne pas penser aux conflits au Proche-Orient et, face au baron Harkonnen, à Poutine ?).
La Croix 4/5
Le deuxième opus adapté du roman à succès de Frank Herbert se montre plus politique et rythmé que le premier, sans rien perdre de sa force poétique et sans verser dans le manichéisme. Denis Villeneuve donne un nouveau souffle au blockbuster de science-fiction.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Avec cette continuation flamboyante et radicale du premier volet, Denis Villeneuve s’affirme comme l’un des rares auteurs capables de penser le blockbuster autrement.
Libération 4/5
Fable politique retorse, le deuxième opus du blockbuster pessimiste de Denis Villeneuve manifeste une défiance remarquable vis-à-vis du mythe du héros et son manichéisme.
Rolling Stone 4/5
Plus que jamais, ce Dune-là, ces Dune-là, tant, une fois de plus, les deux marchent d’un seul pas, sont une offrande pour peu que l’on veuille en accepter l’augure. Une ode ou une déclaration au cinéma, aussi, aux grands écrans, à l’émerveillement collectif comme jadis les westerns en cinémascope-technicolor-et-tutti quanti.
Sud Ouest 4/5
Certaines séquences, comme lorsque Paul Atreides chevauche un ver des sables pour être accepté par le peuple Fremen ou s’affirme comme l’élu, sont des purs moments de grâce. Une force visuelle qui ne doit pas faire oublier les enjeux politiques forts, longuement développés dans un scénario complexe, dont les enjeux font écho à ceux de notre monde.
Les Inrockuptibles 3/5
Sans doute la clé de la réussite de ce blockbuster, non sans paradoxes, évidemment décoratif, voire terminalement poseur, et en même temps, tout entier dévolu à la conquête de quelque chose qu’il serait digne d’appeler son âme.
Télérama 3/5
De belles images, un casting de luxe et de l’action, mais un récit qui manque de limpidité.
Cahiers du Cinema 2/5
Villeneuve n’a jamais autant filmé depuis le ciel (façon Yann Arthus-Bertrand, son cousin éloigné), comme s’il voulait rendre sa mêlée de stars à peine discernable. Il est vrai que loin d’elles, l’épopée est à peu près crédible ; vue de près, elle ressemble à un concours de sentences obséquieuses disputées entre entres minets affectés, vieilles gloires fatiguées et égéries de marques de luxe.
Le Monde 2/5
De substance, on peut trouver que le film en manque, tout à son artillerie lourde et à ses surfaces chromées, moins du côté des corps et de ce qu’ils sécrètent (sueur, rêves, haine, fascination, bile et varices répugnantes du Baron Harkonnen).
Marianne 2/5
Vague (très vague) portrait apocalyptique d’un futur où le fascisme et le fanatisme sèment la terreur, Dune, deuxième partie enchantera les fans de Villeneuve avec son déluge de feu et son défilé de stars internationales (...). Les spectateurs moins ultra – immense paradoxe – auront la désagréable impression de contempler la bande-annonce interminable d’un film qui, somme toute, ne démarre jamais vraiment.
J'ai hâte d'aller le voir
Je suis par contre curieux de comment va être l'adaptation de Dune Messiah... Car si ce film est aussi bien avec de l'action et des moments épiques et forts, comme le livre, le 2e livre (donc le futur 3e film) est assez spécial je trouve. A lire c'était déjà particulier, même si j'ai beaucoup aimé. Mais en film, le public risque d'être plus dur à attraper.
En tous cas Denis Villeneuve fait vraiment du super boulot
J'ai lu la critique de "le monde" (la version longue de la critique) ils sont pas tendre sur le "manque de saveur" et le rythme du film.
Et aussi le fait que c'est un film qui n'échappe pas à l'époque où les "indigenes" (copier sur les bédouins) affrontent l'impérialisme (donc les occidentaux et plus globalement les américains). Et que la romance est expédiée et pas vraiment développée.
frionel c'est difficile de kiffer tête de rat aka chalamet. Après j'avais quand même réussi à apprecier le film. L'ajout de Zandaya (qui fait de tres breves apparitions dans le 1) pourrait provoquer l'overdose des acteurs considérés comme "beaux" et que je trouve personnellement fade, mais bon on verra.
J'avais vu la première partie au cinéma que j'avais trouvée quelconque. Je ne pense pas me faire la seconde partie cette fois-ci même si les critiques ont l'air dithyrambiques
C'est beau, c'est bien réalisé mais sans folie (ça manque de scènes mémorables) , la photographie est dingue, c'est bien joué mais je sais pas j'ai tellement du mal avec le perso de Paul Atres. Le mec tu le laisses 2h dans le désert il a chopé une meuf, est devenu l'élu, arrive à surfer sur des vers, parle la langue locale, etc. Chez pas j'ai vraiment du mal avec l'histoire et j'arrive à m'attacher à aucun des personnages. Je suis sorti du ciné j'étais en mode ouais c'est cool mais je sais très bien que je contrairement à plein d'autre trilogies mémorable je me dirai jamais, ah tiens je vais me faire une petite soirée Dune.
Je suis par contre curieux de comment va être l'adaptation de Dune Messiah... Car si ce film est aussi bien avec de l'action et des moments épiques et forts, comme le livre, le 2e livre (donc le futur 3e film) est assez spécial je trouve. A lire c'était déjà particulier, même si j'ai beaucoup aimé. Mais en film, le public risque d'être plus dur à attraper.
En tous cas Denis Villeneuve fait vraiment du super boulot
Dommmage sinon que j'ai pas réussi à être captivé par le premier. L'acteur était plutôt fade.
Mais bon, Marianne osef.
Et aussi le fait que c'est un film qui n'échappe pas à l'époque où les "indigenes" (copier sur les bédouins) affrontent l'impérialisme (donc les occidentaux et plus globalement les américains). Et que la romance est expédiée et pas vraiment développée.