Les inséparables frères Von Erich ont marqué l’histoire du catch professionnel du début des années 80. Entrainés de main de fer par un père tyrannique, ils vont devoir se battre sur le ring et dans leur vie. Entre triomphes et tragédies, cette nouvelle pépite produite par A24 est inspirée de leur propre histoire.
Première 5/5
La grande faucheuse est là, elle rôde, étreint des corps atrophiés, regarde des frères tomber. Les faits sont là, « dans toute leur laideur », auxquels Durkin, dans un geste paradoxal, restitue la beauté tragique.
Télé Loisirs 5/5
Un très grand film sur l'illusion du rêve américain.
Dernières Nouvelles d'Alsace 4/5
Autour du destin des catcheurs Von Erich, Iron Claw montre l’opposition et l’évolution des modèles familiaux par le prisme de deux hommes, un père et son fils.
Ecran Large 4/5
"Iron Claw" évite les écueils du biopic en présentant son histoire comme une prophétie, une tragédie annoncée et patiemment orchestrée, tout en subjuguant par sa mise en scène très expressive et les nombreuses nuances de ses personnages meurtris.
Franceinfo Culture 4/5
Avec en arrière-plan toute la violence et la pudibonderie de la société américaine, qui voue un culte aussi fervent au Christ qu'aux armes à feux, "Iron Claw" nous interroge sur les codes de la virilité, et sur l'éducation et les conséquences de ce que l'on transmet comme valeurs aux garçons, dressés pour combattre, interdits de sentiments et d'émotions.
L'Obs 4/5
Dans le rôle, Zac Efron, monstre herculéen au regard d’enfant, fascine et émeut. Tout comme cette plongée dans l’Amérique profonde où l’on retrouve la patte insolite du réalisateur de « Martha Marcy May Marlene » : mise en scène énigmatique et fausse malédiction cachant un écheveau de névroses destructrices.
Le Dauphiné Libéré 4/5
Porté par un très bon casting (Maura Tierney, Jeremy Allen White…), Iron Claw réussit à monter quel est le combat le plus important à mener dans une vie.
Le Figaro 4/5
Zac Efron, bodybuildé comme ça n’est pas permis, mène la danse avec un regard d’une tristesse à fendre les banquises. (...) Sa virilité en bandoulière, cet acteur jadis anodin rayonne dans cette chronique qui a l’air de surgir du meilleur cinéma indépendant des années 1970.
Le Parisien 4/5
Pas de place à la demi-mesure, les acteurs ont dû s’investir à fond dans leur rôle, et il convient de souligner l’incroyable prestation de Zac Efron, à la carrure (et la coiffure) digne du Hulk vert de la série télé de notre enfance.
Les Echos 4/5
A travers l'histoire vraie d'une famille de catcheurs, Sean Durkin signe une saga texane et une réflexion sur la force du destin. Des muscles, de la sueur… et du coeur.
Les Fiches du Cinéma 4/5
Drame puissant et sensible, le nouveau film de Sean Durkin raconte l’envers tragique d’une quête de notoriété déshumanisée.
Les Inrockuptibles 4/5
Outre l’excellente reconstitution des scènes de catch, la grande qualité du troisième film de Sean Durkin, dont on a compris que le thème de prédilection était les mécanismes d’emprise masculine, est de raconter les dégâts de cette paternité toxique sans en grossir le trait, en en laissant décanter les vapeurs à mesure que le film avance.
Libération 4/5
[...] "Iron Claw" laisse sa marque. Nette, profonde. Celle d’un récit ahurissant, dense, bourré d’idées (les scènes de séduction entre Kevin et sa petite amie Pam évitent brillamment les clichés) et porté par une distribution impeccable. Celle, surtout, d’un film assez inédit et réjouissant.
Télérama 3/5
Un film inégal mais pertinent sur les dégâts du virilisme.
Le Monde 2/5
Partant, Sean Durkin signe un film où la tragédie filiale le dispute à l’amour du catch, la performance essentiellement culturiste des acteurs et l’absence de personnages féminins dignes de ce nom à la critique de la virilité. Cet énoncé seul indique les contradictions d’un long-métrage par ailleurs très monocorde tant il manque de subtilité.
Grundbeld Quelle surprise… c’est parce qu’il y a trop de mecs blancs archi musclés et pas assez de femmes donc c’est pas terrible…aujourd’hui pour ces « journalistes » ce n’est plus possible que faire des films sur des hommes ou des univers masculins. Faut absolument qu’il y ait des femmes et que ce soit critique de la société patriarcale sinon ça sera nul
A voir, mais persso j'aurais appelé le film la malédiction des Von Erich.
batipouosiris67 Surtout que les teubés ont pas compris que c'est une histoire vrai et que y'avait vraiment pas de meuf. Quoi que même si ils avaient compris, faut absolument en mettre pour les quotas j'imagine.
batipou osiris67 Surtout que les teubés ont pas compris que c'est une histoire vrai et que y'avait vraiment pas de meuf. Quoi que même si ils avaient compris, faut absolument en mettre pour les quotas j'imagine.