Graphismes : 19.5/20
La perfection, que dire de plus. Les médisants qui critiqueraient cette note car "non-objective" n'ont qu'a se faire le jeu et oser venir me dire qu'il y'a mieux sur consoles. Aucun jeu console ne rivalise graphiquement avec ce GoW 2, la note suprême est méritée.

Jouabilité : 18/20
Aucun raté, la même chose que le un, mais encore mieux. Que demande le peuple ?

Durée de vie : 17/20
12-15 heures pour le solo (faites le en vétéran pour un vrai challenge de guerrier comme moi), un mode horde de 50 niveaux bien résistants, un mode multi similaire au un mais sur de nouvelles maps, rien à reprocher de ce point de vue là, c'est mieux que le un.

Bande-son : 18.5/20
Musique somptueuses, des choeurs, un orchestre symphonique, un doublage excellent (sauf la voix de Baird qui est moyenne), des bruitages immersifs.

Scénario : 15/20
Le scénario ne relève pas du génie, on n'est pas devant un Mass Effect, mais en plus d'être au dessus de la moyenne des jeux d'action, il réalise un tour de force inattendu : faire s'émouvoir le joueur devant le destin des Gears. Une très bonne surprise ce scénario, sans compter son lot de rebondissements.

Conclusion : 19/20
Le jeu d'action ultime. Vous êtes fan de jeu d'action ? Impossible de ne pas aimer le jeu. Graphiquement, c'est du jamais vu, le rythme et la beauté augmentent crescendo au fil du jeu pour atteindre le paroxysme aux 3-4-5emes actes (il y'en a 5 dans le jeu). Irréprochable en tous points, Gears of War 2 mets des baffes, va fermer des bouches. Merci Clifford Bleszinski pour ce superbe jeu : "Bigger, better, and more badass indeed" Comme il dirait.

Peter Molyneux en disait tellement sur son futur bébé qu’on avait du mal à le croire au bout d’un moment. Après un 1er épisode génial mais pas complet et quatre ans de développement, est-ce que le plus grand parleur de tout les temps a réussit son pari pour nous offrir une expérience aussi riche qu’il nous l’a promise ? La réponse dans ce test !



Votre aventure débute à Bowerstone, capitale de l’Albion, de haut de vos 7 ans. D’entré vous avez le choix être incarner une fille ou un garçon, tout dépend le sexe que vous choisissez, rien ne changera dans votre aventure donc pas la peine de se tourner les méninges pendant 1 heures en imaginez que lui pourra faire telle chose alors que l’autre, une autre chose. Vous êtes un gamin pauvre dans les rues de Bowerstone en plein hiver. Alors que vous vous baladez avec votre sœur à la recherche d’argent pour se nourrir, vous tombez sur un marchand que propose une boîte à musique assez… étrange. Elle permettrait d’exaucer le vœu de votre choix. Quoi de mieux pour votre frangine qui ne rêve que de quitter ce quartier pour aller vivre dans le luxuriant et splendide château de Fairfax. S’en suit vos premières missions pour gagner des pièces afin d’acheter cette boîte. Dés votre enfance vous allez commencer votre quête pour la pureté absolue ou le mal absolu. Par exemple, au lieu de donner la bouteille de vin à la femme de l’alcoolo pour éviter qu’il soit encore plue saoul, vous pouvez la donner directement à l’homme. Et ces choix vont vous suivre tout le long du jeu et ils affecteront complètement l’environnement voir vous même. Si vous voulez devenir méchant vous n’aurez qu’à, entre autre, devenir membre du Temple de l’Ombre pour voir vite pousser de belle corne sur votre crâne ou, vous n’avez qu’à devenir un membre du Temple de la Lumière pour voir apparaître des traits bleus sur votre corps comme signe de pureté. En plus de choisir votre « côté », on vous accordera différents types de surnoms au dépend de vos actions. Si vous massacrez pleins de pauvres innocents, vous n’aurez pas de peine à vous vois attribuer le doux nom de boucher. Toujours sympathique comme idée sachant que si vous acceptez d’avoir ce nom, tout le monde en Albion vous appellera ainsi. Il faudra également entretenir une réputation en accomplissant des quêtes secondaires qui vous permettront de gagner des points de renom ou alors user d’expressions (elles sont repartit en plusieurs classes : Vulgaire, Effroyable, Social, Humour et Dragueur). Vous serez bien évident plus respectés par les autre si vous êtes le propriétaire du château de Fairfax que d’une banale maison.



Une maison que vous serez obliger d’entretenir car elle risque d’accueillir votre famille. Et oui, comme dans le 1 vous allez pouvoir vous marier et avoir des enfants. Encore plus même, vous allez pouvoir avoir plusieurs femmes différentes, entraînant des moments assez drôle par moment si votre affaire de Don Juan est découverte par une autre femme ou par une autre personne. L’enfant est une charge annexe est non obligatoire en cas de mariage, il suffit de se protéger avec un préservatif lors de votre acte sexuel. Au pire, si vous voulez juste vous éclater, être un homme libertin, vous avez toujours la possibilité de vous « envoyer en l’air » avec une prostituée voir avec plusieurs personnes. Fable 2 ne se résume pas qu’à une vie de famille et une réputation, on n’est pas dans les Sims. Il y a évidemment une aventure principale qui elle n’est pas affectée par vos choix, dommage on aurait pu avoir des choses sympas. En gros, la quête principale vous demandera de retrouver les 3 héros afin de les rassembler et de tuer Lucien. Tout le long la récolte d’XP vous permettra d’augmenter vos pouvoirs et vos capacités. La déception est grande lorsqu’on parle de cette aventure principale tant elle ne propose pas une durée de vie digne de ce nom. Vous n’aurez pas de mal à la terminer en 12 heures sans se dépêcher et en accomplissant une bonne partie des quêtes annexes. J’ai quand même envie de dire que tout l’intérêt de Fable 2 vient après ces objectifs principaux car moult donjons vous attendent regorgeant d’objets rares et d’armes surpuissantes, doublant voir triplant la durée de vie si le joueur s’investit comme il faut. Par ailleurs, vous pouvez acheter toute les bâtiments du jeu afin d’avoir le plus d’influence possible dans les villes, voir dans le monde. On note la présence d’un mode coop assez bien foutu étant donné que les actes de votre camarade ont une influence sur votre univers. Et si vous n’avez pas d’amis, vous être épaulé de votre chien en solo. En somme Fable 2 vous propose de devenir un roi, et il vous le propose bien…





Graphisme : 17/20

C’est beau, magique, sa déborde de poésie et fluide. Si on ne connaissait pas les développeurs, on aurait presque parier sur Rare en tenant compte des graphismes. On n’est pas au maximum en terme de graphisme mais Fable 2 a des arguments pour bien se défendre de ce côté.

Jouabilité : 19/20

Tout va tout seul ! Les combats sont ultra simpliste, pareil pour la gestion de l’inventaire. Du sans faute.

Durée de vie : 15/20

Il faut s’avoir s’investir pour extraire la richesse que contient Fable 2. La quête principale est d’une douzaine d’heures et les quêtes annexes gonflent pas mal le temps de jeu. Le reste est à l’exploration et la quête de pouvoir personnel.

Musique : 16/20

Des doublages pas trop mauvais, parfois niais. Les musiques sont magiques, très douces et belles, on est sous les charmes. Dommage que votre personnage ne parle que lors des phases en enfances.

Conclusion : 17/20

Fable 2 est un hit en puissance, un jeu qui vous rend addict si vous vous investissez comme il faut. Bien servi graphiquement, on est sous le charme de cette aventure poétique aux ressorts dramatiques où la quête de vengeance s’achève par une quête de reconnaissance personnelle maléfique ou pure. Peter Molyneux n’a peut être pas tenu toutes ses promesses, mais on s’en fout, on prend grave son pied !

Voici le videotest de Fallout 3 sur Gametrailers....et encore une note de folie, une!!!




Pour être sûr de jouer a Fallout 3, un seul moyen! Choisir ta Xbox360!

Far Cry, un jeu qui avait créé la surprise là où personne ne l'attendait (je parle du 1er opus pc, pas des adaptations consoles qui n'ont de Far Cry que le nom). Une impression de liberté dantesque, des décors paradisiaques et un gameplay en béton, voilà ce que c'était Far Cry. Toutefois le nom de la licence a été vendu à Ubisoft et pour des raisons de droits la vraie suite de Far Cry s'appelle CrySis.

Avec le nom Far Cry mais pas la même team derrière, on pouvait s'inquiéter de voir la série perdre ce qui avait bâti sa réputation. Et malheureusement, plus aucun des éléments du un n'est présent dans le 2. Exit Jack Carver, adieu les îles tropicales, bonjour l'Afrique et ses moustiques. Donc si vous espériez retrouver l'esprit Far Cry 1 avec ce second opus, laissez tomber, orientez vous plutôt vers l'excellent CrySis. Alors, il nous faut aborder Far Cry 2 comme un jeu d'une nouvelle licence. Vous êtes envoyé en Afrique pour tuer "Le Chacal", un vendeur d'armes qui fournit les deux camps en présence (l'APR et l'UFLL) afin de nourrir le combat et s'enrichir. Mais comme vous vous en doutez la tâche ne sera pas des plus simples. Sitôt arrivé que la malaria vous foudroie et vous forcera à trouver des médicaments pour vous soigner en remplissant des quêtes annexes. Ensuite vous irez vous engager dans la milice de votre choix pour remonter le fil conducteur jusqu'au chacal. Pour ce faire vous aurez accès à un arsenal très conséquent, et quelques véhicules. Alors que le jeu s'annonce sous les meilleures auspices, passées les 3-4 premières heures de jeu, un goût amer se fait remarquer.



Ce goût amer, c'est la répétitivité et la lassitude EXTREME du jeu. Tout d'abord, presque toutes les missions du jeu se ressemblent et se résument à aller à un point, tuer tout le monde, faire péter tout ce qu'on trouve et revenir. Et pour ternir le tableau un peu plus, chacun de vos trajets sera ponctué par un nombre incroyablement élevé de combats contre les milices (même la milice pour laquelle vous travaillez, une abherration) locales. Même en nettoyant de fond en comble une zone et en perquisitionnant un poste de garde, rien à faire, les ennemis réapparaissent dès qu'on fait quelques mètres. A vous dégouter du jeu tout simplement. Autant dire qu'il va vous fallloir un moral d'acier pour résister à la répétitivité des missions multipliée par les rencontres incessantes avec les troupes ennemies. Et au fait, impossible de les fuir, ils vous suivent en jeep et vous mitraillent jusqu'a la mort. Vraiment un magnifique gâchis, merci Ubisoft. Pourtant le jeu brille par un moteur graphique phénoménal, aucun aliasing, un éclairage qui tient de l'exceptionnel, des effets de flammes qui se propagent à tomber par terre. Seules une modélisation des ennemis moyenne (même pas d'impacts sur les corps...) ainsi que quelques textures un peu faiblardes font un peu tâche, mais pas suffisamment pour noircir la beauté du jeu. Sans oublier que les combats sont bien réglés, avec une nervosité appréciable malgré la jouabilité au pad. Cela m'amène à parler de l'IA de la machine qui est totalement aléatoire.

Tantôt l'IA fait preuve d'intelligence en essayant de vous prendre à revers, ou en tirant en direction de votre dernière position connue, tantôt elle reste figée devant vous sans rien faire. Incroyable, Far Cry 1 ne souffrait même pas de ces problèmes en 2004. Et ajoutez à tous ces éléments une merveilleuse fausse bonne idée, les crises de malaria qui peuvent subvenir n'importe quand et vous forceront à prendre une pilule, et si vous n'en avez plus, vous êtes bon pour aller accomplir une mission secondaire déguisée en échange de médicaments (allez déposer des passeports...En fait, aller buter tout le monde comme d'habitude). Reste un éditeur de niveaux extrêmement complet et un mode multi qui doit encore faire ses preuves.



Graphismes :17/20
Graphiquement le jeu assure, aucun aliasing, ombres portées en temps réel, effets climatiques, distance de vue énorme. Seules quelques textures font un peu tâche dans le décor.

Jouabilité : 14/20
Une jouabilité au poil qui rend les combats bien nerveux, on peut également choisir sa manière d'attaquer un camp, mais l'IA est beaucoup trop aléatoire. Sans compter qu'il va vous falloir du courage pour supporter les trajets bien trop longs entre chaque mission.

Durée de vie : 16/20
Un des points forts du jeu, plus d'une vingtaine d'heures de jeux pour voir le bout de la campagne, pas mal de quêtes annexes, et un éditeur de niveaux complet. Dommage que le tout soit plombé par une répétitivité incroyable sur une production de ce calibre.

Bande-son : 15/20
Une bande son efficace, bon doublage français, des musiques un peu trop discrètes, mais les bruitages des armes font leur petit effet.

Scénario : 10/20
Comment dire... Inintéressant ? Quasiment inexistant ?

Conclusion : 14.5/20
Un énorme potentiel gâché par des missions d'une répétitivité rare. Pour dire, c'est pire qu'Assassin's Creed, au moins lui avait un scénario. Heureusement pour Far Cry 2, son éditeur de cartes et son moteur graphique incroyable sauvent la mise. Mais veillez à ne pas trop vite vous laisser charmer par les graphismes, la répétitivité est sournoise, elle mets plusieurs heures à se montrer, là où les graphismes charment directement.

Des reports, des reports et encore des reports, tel fût le destin du tant désiré Too Human. Le bougre aura passé 2 générations sans jamais aboutir jusqu’à voir arriver la Xbox 360. Le chéri de Silicon Knights est-il à la hauteur des espérances ?

Vous êtes Balder, fils d’Odin et demi-dieu. Vous êtes envoyé sur Terre en compagnie d’Ases, avec comme tâche d’aider le peuple de Midgard. Bien sûr cela est votre mission de base, car beaucoup de choses risquent d’être bousculé. Too Human pose son style direct ! Un mélange savant de science-fiction et mythologie nordique. Ne soyez pas étonné lorsque vous verrez débarquer une Valkyries au beau milieu d’un combat entre soldat surchargé d’armures et d’armes laser. Pour commencer, comme dans beaucoup de RPG, vous allez devoir choisir la classe de votre personnage en fonction de l’effet recherché. Si vous voulez un gros barbare du corps à corps, vous allez prendre un Berserk ou un Défenseur, capable d’encaisser les coups sans difficultés, par contre si vous avez une petite préférence pour les armes à feu, vous opterez pour un Commande. En plus des 3 que je vient de nommer, deux autres sont disponibles : le Champion est un guerrier polyvalent parfaitement adapté pour toute les situations et l’Ingénieur Bio qui est une classe un peu plus fine ayant pour capacité de soigner vos camarades. Qui dit classe, dit armures et armes adaptées. Il se peut donc au fur et à mesure de votre périple que vous ramassiez des armes que vous ne pourrez pas porter. Une chose frustrante au départ lorsqu’on voit les stats de ce dernier mais c’est vite compensé lorsque vous tombez sur une autre arme faite spécialement pour votre classe et deux fois plus robustes que la précédente. Et c’est la même pour les armures. Heureusement, que vous pouvez aller vous balader du côté des Ases pour acheter des armes, des armures ou pour réparer ces dernières si elles ont été endommagées lors de vos multiples combats. Cela à un coût et plus votre éléments à réparer vaut cher, plus les réparations seront douloureuses financièrement. Inutile de dire qu’il vaut mieux réparer son équipement car les combats sont parfois ardus et la vie est très mal positionnée. Vous pouvez vous retrouver dans un moment de galère sans trouver un seul bonus de vie et lorsque vous arpentez un couloir vide, avoir 3 bonus à la suite. Même si vous utilisez un Ingénieur Bio, la vie remonte tellement doucement que vous avez le temps de mourir 100 fois si vous vous retrouvez contre un Troll coriace. En plus, les développeurs ont eu la mauvaise bonne idée en faisant intervenir une Valkyrie à chaque fois que vous tombez au combat. C’est cool sur le papier, mais sa devient chiant quand on voit que la dame met bien 30-40 secondes pour faire son job. A répétitions, c’est gavant.


Techniquement on est loin d’avoir un Mass Effect. C’est beau mais seulement par moment. Le reste est assez inégal et pas très inspirés. Les décors sont répétitifs et difficile de prendre du plaisir à les parcourir à force. Les ennemis eux aussi ne varient pas beaucoup, on a l’impression de suivre un certain schémas à chaque fois en buttant une horde d’ennemis puis ensuite un Troll ou deux, et rebelote les vagues d’ennemis qui reviennent. Les fans de level-up risquent de vite se faire chier en parcourant les donjons. Un bon point tout de même : si vous choisissez de refaire un niveau afin d’acquérir du level, le niveau des ennemis augmente aussi afin de ne pas rendre les combats inégal. Et ça c’est cool ! L’autre particularité des fights : les commandes. Vous n’aurez pas à bourriner votre pauvre bouton A qui a déjà tant vaincu entre vos mains, il suffira juste de diriger le joystick bas dans le sens où vous voulez porter votre coup. Avouons que l’ont peut vite se perdre au milieu de 30 ennemis, se retrouvant encore une fois à bourriner le joystick dans tout les sens possible pour se défaire. Au pire, vous aurez juste utiliser un pouvoir spécial pour vous débarrasser de tout vos assaillants. L’utilisation du stick pour le combat, prive le joueur de gérer sa caméra comme il l’entend. Les problèmes de ce côté s’accumulent et il arrive qu’on ne sache plus où on se trouve. Quoi que vous pouvez toujours utiliser petite gâchette pour remettre la caméra dans le bon sens. Comme si sa ne suffisait pas, les développeurs accusent des fois, de choix douteux en terme d’angle de vue.
Reste le coop, qui se limite, on ne sait pourquoi, à deux joueurs seulement. Les cinématiques ne sont même pas présentes donc impossible de suivre l’histoire sans avoir fait le jeu en solo au préalable. Reste de bons points comme l’échange d’armures.armes. Rien de transcendant mais sans le coop, Too Human aurait été un catastrophique naufrage.



Graphisme : 12/20

C’est beau par moment, mais seulement pas moment. Le reste c’est très moyen, les personnages sont pas très charismatiques, les décors peu inspirés et répétitif, tout comme les ennemis. On peut noter que certaines armes sont plutôt bien faites, c’est histoire de chercher de bons points…

Jouabilité : 14/20

Une jouabilité moyenne plombé par une caméra mal gérée peu pratique. La joystick droit s’avère confus lors de certaines batailles. Dommage, c’était un bon point sur le papier.

Durée de vie : 12/20

Une vingtaine d’heure en solo pour les plus robustes de ce genre de jeu, les autres rajouterons une dizaine d’heure en plus si ils veulent prendre leur temps pour tout fouiller. Le solo est beaucoup plus facile, normal, donc par conséquent plus court.

Musique : 11/20

Les doublages sont nuls et les musiques sauvent un peu le tout. Les bruitages ne sont pas très recherchés et basiques.

Conclusion : 12/20

Too Human est bien la déception annoncée. On se demande comment tant de potentiel et bons points ont pu être gâché. Tout est en dessous de ce qu’il était prévu. Les graphismes sont moyens, la jouabilité approximative et bancale, la camèra risque d’en frustrer plus d’un et la durée de vie ne vous tiendra pas des jours entiers scotchés devant votre écran. Au lieu d’être un blockbuster surpuissant, Too Human est un petit jeu qui peut se faire une fois avec plaisir, mais j’ai des doutes sur le plaisir à revenir dessus.

La cuvée 2008 marquée un tournant dans le conflit PES – Fifa, car, alors que PES accumulait les erreurs sur next-gen, les amis de chez EA Sport en on profitait pour rattraper leur immense retard en infligeant une rouste monumentale à son rival. L’année 2009 sous le signe Fifa ? La réponse dans ce test !

250, c’est le nombre de nouveautés plus ou moins visible qu’EA se dit avoir intégré dans ce nouvel épisode. Pour commencer, le solo propose toujours plusieurs modes de jeu différent. On y retrouve le classique monde Carrière qui vous plonge dans la peau d’un entraîneur. Comme dans le 8, c’est toujours autant immersif avec des questions de fin de match, des articles de journaux, des choix à faire et bien sûr un budget à gérer. Va falloir donner toute votre ressource pour que les gérants du club soit content de vous. Le mode Fiesta est toujours présent mais le mode Défis n’est bizarrement plus inclus. Le premier gros ajout est le mode Saison Deviens Pro. Contrairement au précédent, on pouvait jouer en mode « Deviens Pro » uniquement lors d’un match, cette fois vous choisirez un joueur d’un club et vous évoluerez sur 4 saisons maximums. Tout dépend le joueur choisit, vous aurez aussi la possibilité de jouer des matchs opposant des pays. Pour cela, il faut d’abord acquérir la confiance du public en club, en accomplissant des défis proposés en début de rencontre, pour ensuite être choisit par le sélectionneur national. Le système de note est toujours en place et vous évalue toujours sur les actions que vous effectuez, les déplacements, le placement en fonction de votre poste et un tas d’autres critères. Vous vous doutez bien que si vous marquez un but, votre note montera beaucoup plus que si vous effectuez une bonne série de passe.

Graphiquement parlant, c’est somptueux. On se croirait devant une vraie retransmissions tant l’ambiance à bien été traité. Les chants sont présents, les commentaires sont réalistes regorgeant de moult anecdotes. Bien sûr, ces derniers sont parfois décalés avec l’action et il arrive que tout ne colle pas, mais on peut le pardonner. La physique de balle a été modifiée et on le sent. Avant le dosage était mieux géré, dorénavant vos tirs risquent de flotter ou de partir comme des fusées en l’air, rendant les buts de loin (trop ?) rare et certaines occasions s’achevant sur une note frustrante. Ne parlons même pas de bugs de collisions qui surviennent de temps à autre. Les gardiens n’ont pas subit de réels changements. Ils peuvent toujours arrêter des rafales de 3 tirs d’affilés et d’un coup, se prendre un but sur une frappe que votre grand-mère n’aurait pas eu de mal à faire. L’autre abus vient de la défense qui est une vraie muraille. Sachant que le jeu a été accéléré par rapport au 8, on se perd par moment tellement on veut se démarquer avec la balle entre les pieds. On n’échappe pas non plus aux joueurs « dopés » à l’extrême, tel le Adriano du PES 06, capable d’effacer une défense en allant tout droit et de conclure par une frappe titanesque ne laissant aucune chance à votre goal. Puisqu’on parle des joueurs, certains ont eu droit à un travail extra afin de bien retranscrire leur visage dans le jeu alors que d’autre, les moins connus comme par hasard, ont souvent des gueules de mecs basique. Pour un jeu de cette tranche, on est en droit d’attendre des petits détails qui font toute la différence.


Il reste plus qu’à évoquer l’un des plus gros point du jeu : le multi. De ce côté, EA a mit le paquet avec l’ajout de 5 joueurs dans le mode Deviens Pro. Ainsi, le rêve de disputer un match à 20 sera exaucé. Attention tout de même, ce genre de partie tourne vite mal si votre équipe est mal organisée car, tout le monde a tendance à se ruer sur le ballon et les espaces s’accumulent. Heureusement, le mode Clubs FIFA 09 vous permettra de créer votre propre club en accueillant uniquement des amis afin de disputer des matchs de team sur le net. Les ligues interactives sont bien présentes et l’Option Saison Live Adidas a l’air ambitieuse mais payante. N’ayant pas pu la tester, je passerais cette option sous silence.



Graphisme : 18/20

C’est beau, très beau même. Les actions sont ultra réalistes et les visages des joueurs les plus connus sont bien retranscrit. Le public n’a pas changé est reste un vulgaire tas de personne pixellisés mais on s’en fout c’est pas le principal.

Jouabilité : 17/20

La jouabilité est parfaite, les gestes techniques sont très simple à réaliser et la conduite des joueurs s’avère la même qu’avant. Dommage pour le dosage des centres/frappes qui est très dur à régler. Comme on dit, sa passe ou sa casse.

Durée de vie : 19/20

Une durée de vie qui varie en fonction du joueur. Si vous cherchez une expérience solitaire, vous en aurez pour au moins 50 heures pour tout faire. Après si vous êtes un joueur assoiffé de victoire et que vous cherchez à vous imposer dans la communauté de gamer, l’expérience double, triple voir, devient illimité.

Musique : 15/20

L’ambiance est présente et vous porte le long des rencontres. Les commentaires sont assez réaliste voir marrant par moment, mais deviennent répétitif, une chose normale dans ce genre de jeu.

Conclusion : 18/20

Il n’y a pas de doute, cette cuvée 2009 est encore meilleure que la précédente. Les développeurs ont réussit à inclure le meilleur de leur UEFA 2008, leur Fifa 2008 et, ont aussi pris quelques éléments des PES. Tout est présent pour vous donner la meilleure expérience possible en terme de simulation footballistique. On ne peut pas se prononcer sur les 250 nouveautés, personnes n’ira vérifier mais en tout cas, on sent qu’il y a eu du travail effectué cette année. Nous ne sommes pas encore devant le jeu parfait et encore heureux, au moins on sait qu'il y aura encore plus de travail pour l'année qui suit. Dommage que des petites choses comme les gardiens ou des petits bugs ternissent le tableau prestigieux de brandissait Fifa 09. J’ai qu’une chose à dire : vivement l’année prochaine !



Choisissez votre Xbox pour les fêtes!

Souvenez vous, en 2006, des petites bêtes multicolores envahissaient vos 360. Le coup était signé Rare, le développeur autrefois tant estimé pour la qualité de ses jeux. Avouons qu’il n’a pas vraiment réussit son entré sur next-gen avec Kameo et Perfect Dark Zero. Mais, car il doit toujours y avoir un mais, voila que le coup de génie arrivait : Viva Pinata. Après un premier épisode génial, comment Rare pouvait-il renouveler sa très jeune licence ? La réponse en dessous.

Sous ses allures de jeu innocent, Viva Pinata était pourtant d’une richesses fracassante tant les bonus, les bêtes et les objets à acquérir étaient nombreux. Cette fois, Rare a mit les bouchées doubles en augmentant considérablement le nombre de pinatas. En plus d’un jardin principal, vous serez obligé d’aller chercher des autres créatures dans deux jardins annexes. L’un se déroulant dans le désert et l’autre dans le désert de glace. Bien sûr, ces deux nouveaux environnements ne sont pas habitables, on peut juste poser des piéges afin de tenter d’attraper des pinatas nouveaux. Après vous n’aurez plus qu’à aller les chercher au bureau de poste pour les transférer dans votre jardin. Qui dit environnements nouveaux, dit nouveaux engrais. A l’herbe de base et les grandes herbes, s’ajoutent la glace et le sable. Il faudra trouver un équilibre entre ces différents milieux pour satisfaire vos gentilles bêtes. Hélas, ne craignait rien ! Vous avez la possibilité de créer plusieurs jardins en gardant évidemment votre niveau actuel. Cette option risque de vous rendre la vie facile si vous voulez absolument garder la plupart des pinatas attrapées. Les débutants ou les moins courageux pourront se diriger vers le mode « Pour du beurre » qui permet de faire votre jardin en ayant toute les possibilités débloquées. Vous commencerez l’aventure avec l’argent illimitée, toutes les pinatas débloquées ainsi que les objets. Par contre, tout à un prix dans la vie, si vous choisissez de faire ce mode, les succès ne seront pas déblocables.



Alors que dans le précédent il n’y avait absolument aucun scénario, votre seul but était de capturer le plus de pinatas et de monter au niveau le plus élevé, cette fois vous aurez comme tâche de restituer les archives de Pinata Central en combattant, parallèlement, le Professeur Pester et ses acolytes prêtent à tout pour vous donner du fil à retordre. Dés le début de l’aventure, vous aurez accès au défis qui vous demanderons d’envoyer telle ou telle pinata dans une région avec des caractéristiques bien spécifiques (couleur, sucrométres, accessoires). C’est vrai, qu’on ne peut pas vraiment dire qu’il s’agit d’une histoire mais, au moins, vous avez un objectif bien défini. Rare ayant incrusté des nouveautés tout de même bien sympathique mais régnant plus au statut de gadgets que d’apports majeurs. On note donc l’arrivée des tours de magie, qui vous permettent d’apprendre des tours de magie à vos pinatas, se qui les rend meilleur lors des concours (qui sont un autre petit apport). Les concours donc sont nouveaux et aussi les courses, qui elles sont des petites courses que je ne trouve pas très convaincante. Et, dernier petit apport, le mode Xbox Live Vision permettant d’utiliser sa caméra Xbox 360 pour scanner des cartes qui vous débloques des pinatas un peu spéciaux.

Ayant passé en revu les différentes petites nouveautés, il en reste une tout de même assez phénoménale qui change complètement l’expérience de jeu : le mode Xbox Live. Et oui ! Avant on avait juste accès à une option permettant d’envoyer des créatures à un ami alors que maintenant vos amis peuvent venir visiter votre jardin et vice versa. Si vous avez galéré comme un chien pour avoir toutes les pinatas et les objets dans le 1, dans le 2 vous allez certainement trouver un ami possédant un niveau trois fois supérieur au votre qui vous aidera à avoir se que vous désirez. En plus, vous pourrez accueillir trois potes dans votre jardin qui vous aideront à s’occuper de votre espace aménagé. Les développeurs ont tout prévu, vous aurez le choix en tant que propriétaire, de restreindre les possibilité que chacun dans votre jardin. Normal sinon tout le monde viendrait piquer à tout le monde.



Graphisme : 16/20

Pas de grandes améliorations par rapport au premier, la patte reste la même, c’est toujours aussi charmant et mignon et, les animations des pinatas sont des fois à se tordre de rire. A noter, des petites améliorations au niveau de l’eau et des détails sur les pinatas.

Jouabilité : 18/20

Sa répond au doigt et à l’œil, les commandes sont simple et les multiples raccourcis vous rendent la vie facile. Par contre, il arrive que le temps entre chaque manipulation effectuée dans les magasins soit un peu long.

Durée de vie : 19,5/20

Ahurissante ! Quasiment infinie tellement de choses sont à débloquer. De plus, le mode live vous permet de créer le jardin le plus beau avec des amis. Il faudra tout de même s’armer de patience pour être LE meilleur jardinier.

Musique : 12/20

Difficile de donner une note dans cette catégorie car à part les bruitages de vos pinatas et ceux des assistants ou autre marchand, pas grand-chose à noter.

Conclusion : 18,5/20

Sous ses allures par moment de grosse, voir très grosse mise à jour, ce second opus s’avère un jeu excellent. Vous allez retrouvez tous se qui fait son charme, avec des pinatas en plus, de nouveaux objets, des nouveaux environnements et des ajouts mineurs. Je retiens surtout le mode Xbox Live qui risque de vous faire passer des moments agréables où le partage règne, en compagnie de jardiniers plus expérimentés. On en peut pas en vouloir à Rare de s’être reposer sur ses lauriers tellement la durée de vie est gigantesque. Je doute pas que certain lâcheront l’affaire une fois qu’ils auront estimé avoir parcouru tout le jeu, seulement, ils risquent de se fourrer le doigt dans l’œil tant le soft regorge de bonus. Et c’est tout se qui fait son charme.

Mon test de Mass Effect, date un peu, il était présent sur mon blog que j’alimentais très souvent avant la soudaine transformation qu’a subie le site. Sachez avant toutes choses que je déteste toujours faire des tests, avec les conventions que tout le monde (ou presque) utilisent ainsi j’aime bien parler des qualités ou des défauts d’un jeu a l’oral, et pas franchement à l’écrit !

Seulement, Mass Effect c’est un peu la révolution à l’image de Halo : Comats Evolved a l’époque Xbox. Une révolution qui même après presque un an d’ancienneté est toujours aussi bon !
Ce RPG, comme je l’est souvent dit, ne m’emballais vraiment pas pendant sa promotion faite par Bioware et Microsoft. Et c’est en ce premier point qu’il fait un révolution, il a réussi a me conquérir!
Ce pseudo ‘’test’’ ne sera pas comme les autres, plus respectueux des règles.

Pour preuve il n’y aura pas de grandes parties, juste mes idées dans un désordre fabuleux !



Mass Effect, le genre de jeu qui vous emporte dans son univers, tellement qu’on a une furieuse envie de connaitre réellement son personnage ou les membres de son équipe. Le genre de jeu, qui vous fait plus d’effet qu’un Star Wars (films), étant donnée qu’on vit cette histoire !


Les qualités

En premier lieux l’Univers, riche, complet, cohérent, ultra passionant, bref le genre de jeu qui si il est entre de bonnes mains pourrait devenir (si portage film il y a) le Star Wars ou autres Star Trek du cinéma dans des années plus ou moins proches…
Le faite de choisir, d’avoir des choix moraux a faire ou qui touche (tellement on est plongé dedans) a l’affectif. (cf. Moment ou on doit choisir de sacrifié quelqu’un –sur Virmire-!) Petit point le choix n’influe pas réellement sur le scénario finale, même si avec habilité du langage vous pourrez évitez des combats inutiles (ou pas !)
Cela donne au jeu, une profondeur mature et très réfléchit, avec vous le savez des dialogues qui sont une réussite, passionnant à lire et/ou a entendre ils ne sont pas fatiguant (étant donné qu’on s’y investisse un temps soit peu !), ils sont parfois assez long, qu’importe c’est, même la, toujours un plaisir !

Bref, quand vous touchez a Mass Effect vous vous dites que le dernier épisode (de cette trilogie) sera un supplice à finir, tellement c’est bon on à pas véritablement envie de finir le jeu !

La difficulté est assez bien géré, pour preuve si votre personnage est au niveau 60 et que vous vous lancez dans une partie en « folie » vous pourrez « facilement » atteindre votre objectif ! Saren !

Les Défaults

Un gros défaut, qui touche seulement les quêtes annexes, c’est leurs répétitivités agaçantes !
Le faite de ne pas trouver, pendant ces quêtes annexes, sur d’autres planètes de grandes civilisations (grande ville ect), frustre un peu…
Les décors qui se ressembles tous (ou presque) pendant ces missions est un mauvais point pour le jeu !


Beaucoup trop de planètes sont inexplorables, dommage…
Mais compréhensible dans un sens étant donné qu’il y aura deux autres opus a venir !

Dernier mauvais point pour le jeu de Bioware, sa durée de vie ! Trop courte, on prend du plaisir donc forcement on trouve ça « court » ! 5h00 vous serons prises pour finir la quête principale (5h00 oui, mais en connaissant parfaitement le parcours et ne s’attardant pas sur « l’exploration » -objet, armures ect-)
En résumé 30h00 pour les plus rapides d’entre vous, 50-60h00 pour les autres…




En conclusion...

Le jeu qui fait palir la concurrence du RPG occidentale, un RPG avec ce background qui ne se trouve pas a chaque coins de rues!
C'est pas Final Fantasy avec trop de suites a mon gout qui me contre dira.

C'est mon GOTY de l’année 2007, et sur tout les jeux testés, que sa soit sur toutes les plateformes, peu mon donné autant de bonheur des les premières minutes...

Genre de jeux, qui pourrait faire vendre, a un public avertit des Xbox 360 part camions, tous les amateurs de ScienceFiction sont dans l'obligation d'acheter ce jeu!


Graphisme : 15/20

Ouais, encore que la, l'aliasing est voyant (surtout dans les longues phases interminable d'assensseurs! En revanche il n'est pas très choquant, et encore moins dérangeant Il y a aussi, une option pour avoir un effet de granulé, qui peut être très désagreable pour certains comme l’inverse

Jouabilité : 19/20

Instinctif! Les roulettes (armes, pouvoirs) sont plus pratique que prévu! Elles « coupent » l’action, mais de la « ralentit » pas !

Scénario: 19.99/20

J'aime pas mettre un notre parfaite, sa sous entend que pour le prochain ils peuvent se reposer sur leurs lauriers, chose qu'il ne faut absolument pas faire! Le background est trop riche, trop cohérent, trop merveilleux et trop "adulte" pour mériter moins...

Musique: 17/20

Très discrètes, les musiques si ont tend l’oreille sont des plus belles est agréable...

Note générale: 17.7/20

Tout simplement le jeu de l'année (2007) pour moi et j'en suis sur, beaucoup d'autres!

Un petit mot sur l'avenir du jeu, sachez qu'un autre contenu téléchargeable doit normalement arriver sous peu, il viendra complété celui déja présent pour 300 Microsoft points...