Après un Gran Turismo 5 décevant par rapport aux nombreuses années de développement, Gran Turismo 6 serait déjà en cours de développement d'après Shuhei Yoshida, président de Sony Worldwide Studios. Il ajoute même que le développement du sixième opus serait beaucoup plus rapide par rapport au cinquième. Mais pas de fausse joie pour le voir arriver d'ici l'année prochaine, les développeurs de Polyphony Digital travaillent actuellement sur le contenu de Gran Turismo 5.
Sachant que Gran Turismo 6 arrivera d'ici quelques années, beaucoup de joueurs pensent qu'il sortira sur PlayStation 4.
Alors, avant d'en savoir plus s'il sortira sur PlayStation 3 ou la PlayStation 4, sachez que Gran Turismo 6 est déjà en développement, et qu'il arrivera plus rapidement que le cinquième.
Vous trouvez que peu de jeux sortent cet été et vous possédez une PlayStation 3. Gaming France vous propose depuis début juin de remporter un exemplaire de Killzone 3 sur son site qui le tirage au sort aura lieu demain pour un envoi au gagnant dès la semaine prochaine où celui-ci le recevra aussi la semaine prochaine.
Mais comment y participer ?
Il suffit de vous rendre sur le site en cliquant-ici pour connaitre la question et y répondre en cliquant sur l'onglet Contact.
Hormis son nom semblant révéler un soupçon d'ultime, Dragon Ball Z : Ultimate Tenkaichi n'est pas si "Ultimate" que ça vu les lacunes du jeu, les bugs de collision, un mode histoire inexistant, des personnages qui ne sont pas si complet que ça, un marketing complètement pourri, des musiques catastrophiques ... ah attendez, je me trompe de jeu, on me dit que c'est la fiche de Raging Blast 2. Alors, cette suite spirituelle des Tenkaichi sera-t-elle vraiment ultime ?
De l'action en veux-tu, en voilà !
Le premier contact avec cette démo est ... comment dire ... spectaculaire ! Pleine d'action, la démo qui permet de jouer à deux modes : contre Vegeta Oozaru et en VS (paragraphe suivant), se révèle être complète. Commençons donc par le mode histoire, Son Gokû contre Vegeta Oozaru. Le combat est très dynamique, et quand je parle de dynamisme et d'action, je parle des différentes cinématiques couplées à des Quick Time Event, vous savez, ces moments où il faut appuyer sur les touches indiquées à l'écran. Dérogeant à la règle du combat simple, ce Boss Battle se révèle assez laborieux, pas dans le mauvais sens, mais dans le bon ! Comme si on était réellement confronté à un ennemi géant ! En somme, cette première partie de la démo est très réussie.
Super arcade à la rescousse !
Si le jeu s'éloigne de son prédécesseur, en revanche, il se rapproche des jeux d'arcades, où nous sommes assistés par des touches à choisir. C'est ce qui est semble-t-il, mis en avant lors du mode VS de la démo. On peut incarner Goku, Goku SSJ, Vegeta, C-18, Cell, Freezer, Trunks avec épée, Broly ou un Saibaiman. Dès la première prise en main, on sent bien que les développeurs sont lassés de ce gameplay, et l'ont donc changé au profit d'un gameplay plus simple. Commençons par les graphismes, se rapprochant assez de l'anime, les combats sont tout aussi pêchus, et nerveux, tandis que les Ultimates détruisent toute une partie du décors. Il existe deux jauges, la jauge d'énergie pour les techniques simples et les kikohos, et la jauge "Spirit" qu'on doit remplir au corps à corps pour lancer une Ultimate, ces techniques super-destructrices. Revenons donc au gameplay, nous pouvons choisir entre trois options : interception (triangle), esquive (carré) ou défense (rond) lorsque l'adversaire nous attaque. C'est un choix assez radical mais bien appliqué, ça ne coupe donc pas trop l'action.
Bienvenue dans la nouvelle ère ...
On souhaite bienvenue dans une nouvelle ère pour Dragon Ball qui se met à jour avec une version presque complète et ultime, via un moteur graphique repensé, des personnages qui nous font sentir puissants, et un gameplay complètement à l'opposé des derniers proposés. Même si le roster sera amputé de quelques personnages, ce Dragon Ball compensera largement grâce à son mode histoire extrêmement fidèle au manga et à l'anime, et ce, dans les moindres détails. Une bombe en approche donc.
En plus de graphismes indéniablement superbes, Dragon Ball Z : Ultimate Tenkaichi adopte un tout nouveau gameplay inédit, et ses possibilités augurent du meilleur au niveau fun. D'autant que le jeu retracera les aventures de Gokû de l'arrivée de Radditz jusqu'à la mort de Ly Shenron, en passant par Freezer, Buu ou Baby. Une bonne surprise donc, qui redore le blason de la série, sali depuis Burst Limit.
Sortie prévue pour le 28 octobre prochain sur PS3 et Xbox 360 ! Et comme on est gentil, voici un tout beau tout neuf trailer montrant Janemba ainsi que l'arc Freeza.
Après deux longues années d'attente depuis la sortie du deuxième opus, F.3.A.R ou F.E.A.R vient juste d'arriver dans la rédaction de Gaming France. Je vous propose une vidéo découverte de la première mission du mode campagne du jeu avant l'arrivée dans un premier temps du test écrit et ensuite d'une vidéotest.
C'est bon, vous êtes bien installé ? Prenez votre inspiration, nous allons parler du fameux Zelda Ocarnia of Time 3D, remake de l'opus Nintendo 64, désormais disponible sur la Nintendo 3DS. Ce jeu mériterait un livre un livre entier mais je vais essayer de tâcher de me contenter de ces quelques lignes. Ocarina of Time est donc sorti en France le 11 décembre 1998 sur la 64 bits de Nintendo, et le voilà maintenant sur la première portable 3D de Big N. Tous les ingrédients sont réunis pour en faire un film : mise en scène, musique, scénario... Mais ça reste au stade du jeu vidéo. Mais alors quel jeu ! C'est actuellement le SEUL soft sur Nintendo 3DS qui m'aura fait verser une larme, une vraie à la fin du générique.
Parfait !
C'est par un temps très chaud que j'enfourne le jeu dans ma console portable estampillée Nintendo. L'écran titre est sympa mais n'en dit pas très long. Deux heures plus tard, deux choses reviennent au galop dans le feu de l'action : le système du lock, révolutionnaire, où dans cette version qu'elle se voit réajuster pour mieux viser les ennemis dans un espace 3D en leur tournant autour avec une précision remarquable. Puis, l'histoire enfin : celle d'un elfe issu de la tribu des Kokiri nommé Link, élu des déesses Din, Naryu et Farore, dont le destin va le conduire à réunir des artefacts pour sauver le royaume et sa princesse Zelda du joug de Ganondorf... en voyageant à travers le temps ! Une vaste aventure s'offre à vous, qui fait travailler vos réflexes mais aussi vos méninges pour une immersion totale.
En effet, les donjons représentent un sacrée challenge pour le joueur même le plus aguerri en matière de RPG. Ce jeu désormais tout en 3D relief, s'offre plus qu'une refonte, il se paye le luxe d'établir un renouveau total d'un gameplay qui est d'autant plus mis en péril qu'il était irréprochable dans sa version originale. Un comble ! Il en fallait du courage pour dépasser le système établis dans la cartouche 64 bits... Et bien bravo. Les donjons sont construits comme des puzzles géants où il faut composer avec l'environnemment en 3D pour espérer s'en sortir. Cette sollicitation intense du sens de la vue propulse le joueur au coeur des événements, comme si vous êtiez à la place du héros. On vit l'aventure dans les yeux du personnage principal : nous sommes sa conscience. Rajoutez une atmosphère musicale réaliste et vous obtenez un titre éprouvant car presque dans le réel... C'est ce "presque" qui fait que Zelda 3DS est un grand jeu vidéo.
Tout dans l'émotion !
Ocarina of Time 3D joue sur deux cordes : technique et sensible. Technique d'abord, avec une réalisation attrayante (beaucoup plus beau que la version d'époque), des environnements soignés (plus que les sprites) et un gameplay tout simplement incroyable. Link est maniable à pleurer, les items s'utilisent avec vivacité, les sous menus sont maintenant dans l'écran du bas automatiquement, et donc pratique en toute circonstance... Bref, du Nintendo avec une cerise sur le O. Sensible, de par son onirisme de chaque instant, ses mélodies envoûtantes, ses musiques façonnées par Koji Kando aussi à l'aise dans le registre de l'épique que celui du mystère ou des ténèbres... Ocarina of Time 3D est peaufiné jusqu'au dernier pixel. Tout a été fait, définitivement, pour envoûter le joueur et l'inviter à parcourir un univers magique. Jusque-là, pas de défauts. Et bien, il faut vous y faire car le jeu n'en possède pas un seul intrinsèquement. Oui. Vous avez bien lu. Mais ce ne sont pas tant ses ingrédients techniques ludiques et artistiques de haute volée qui font de lui un chef-d'oeuvre. Non. Son sang, c'est son AMBIANCE. Une fois dans le jeu, impossibe de s'en défaire, même avec tous les efforts du monde. VOUS êtes Link, héros d'Hyrule à la main gauche mais au physique angélique... doublé d'un joueur envoûté assis bêtement tel un bipède devant sa console portable. L'esprit, lui, ailleurs. Vous vivez à l'heure de Zelda. Votre goûtez finalement à l'ivresse d'un succulent MMORPG avant l'heure et en offline !
C'est l'effet Miyamoto ou quoi ?
Bref, Ocarina of Time 3D appartient à cette catégorie de jeux rarissimes qui dépassent l'entendement. Ce n'est pas un hasard si son concepteur est Miyamoto San, le papa de Mario alias le "Speilberg du jeu vidéo". Coeur et âme, il s'est investi dans cette réalisation. Il est le responsable du système de jeu. Mention spéciale pour les combats contre les boss. Nul mot ici-bas ne saurait retranscrire la quintessence ne serait à demi-mesure, du plaisir procuré par certains duels dantesques. Le combat contre le fantôme de Ganon et son cheval maudit dans le temple de la forêt ! Ou encore de la confrontation contre le dragon rouge dans le temple du feu ! Du duel final, acmé d'une quête initiatique interporelle ! Et que dire de la dimension religieuse de l'histoire, d'abord en filigrane avant de se faire de plus en plus persistante à mesure que l'on avance vers la conclusion surprenate et éthérée... Définitivement, avant, pendant ou après le jeu, il y a le choc. Ocarina of Time 3D est un jeu qui fait ressortir du bonheur, c'est oublier son enveloppe d'humain limité et feindre d'ignorer la mort pendant quelques heures, le sourire aux lèvres avec ce sentiment de crever la barrière impossible de l'écran, touché par la grâce et le feu du triangle doré... alors ouiiii, Ocarina of Time 3D est un miracle ! Et maintenant avec en prime le Master Quest que je vous laisse découvrir en y jouant, on se dit que le jeu est encore plus long. 30 heures environ.
Plus Zelda que jamais !
Zelda aujourd'hui, c'est avant tout Zelda dans son ensemble. Plusieurs facettes, plusieurs héros pour une même légende. L'univers toujours mystèrieux, dont il est impossible de mettre au point une chronologie valable, continue de fasciner les joueurs même si Miyamoto s'accuse de ne pas avoir vendu assez d'exemplaires des derniers opus. Manque d'innovation, attente trop longue, public décalé avec celui de la Wii... toutes les raisons sont bonnes pour expliquer les causes du bug commercial. Mon petit doigt me dit que c'est surtout parce que la réalisation technique et l'ambiance musicale sont surannées, et que le bouche à oreille a fait son effet de façon négative. On attendait depuis des années les combats dantesques d'un Link contre des centaines d'Orcs montés sur des chevaux autour de paysages fabuleux flirtant avec un coucher de soleil... Nada. Les graphismes Game Cube au prix fort ne font plus rêver. Reste une aventure tout de même sans équivalent. Même si Twilight Princess était venu changé la donné, mais là, c'est une autre histoire...
C'est donc à travers le sang de cette version en 3D que Ocarina of Time continue de briller aujourd'hui, nourissant dans l'ombre la légende qui est marqué à jamais par son sceau triangulaire doré. Et finalement, il fallait au moins une nouvelle console portable pour le voir, histoire de redonner un nouveau souffle à la légende dans mesure où il s'agit ici d'un jeu que beaucoup de monde connait déjà. Ocarina of Time 3D, c'est pourtant plus qu'une réminiscence dans l'esprit des joueurs, il vit, il explose à la rétine. Son âme nous avait pas quitté, de sa cartouche sur Nintendo 64, il est devenu encore mieux sur Nintendo 3DS. C'est finalement une bonne chose de lui avoir donné un sérieux coup de jeune. Car lorsqu'on se tourne sur son aspect technique à la 3D impressionnante, on est de suite prisonnier du temps pour apprécier sa beauté. Une merveille qu'est ce jeu.
Conclusion :
Ce soft est noble. Il n'est pas comme les autres. Bien sûr, il y a le graphisme, le son, la maniabilité incroyable... Mais il y a aussi et surtout cette espèce de magie qui se dégage encore de ce jeu. Même une fois qu'on l'a terminé, on reste encore sous le charme. Du bonheur, du début à la fin. Incontournable.
Annoncé depuis déjà plusieurs années, on ne voit toujours pas la fin du développement de Star Wars The Old Republic par les développeurs du studio Bioware. L'éditeur a profité lors de la conférence Electronic Arts de l'E3 2011 à Los Angeles pour nous dévoiler la cinématique d'introduction du titre qui nous offre plus de 6 minutes de bonheur.
Konami nous dévoile aujourd’hui les tous premiers screens de PES 2012 , l’occasion de voir que graphiquement ça a un peu évoluer meme si on en attendait plus , la lutte pour reprendre le trone a Fifa risque d’etre encore rude pour Pes cette année.
L’E3 devrait etre l’occasion d’en apprendre plus sur le titre , rappelons que la conférence de Konami aura lieu ce jeudi 2 juin.
Capcom nous offre aujourd’hui un nouveau trailer de Resident Evil Mercenaries sur 3DS afin d’en découvrir un peu plus sur le jeu avant l’E3.
Graphiquement , le jeu a l'air sublime pour une console portable , esperons ne pas etre déçu plus tard.
On se retrouve aujourd'hui pour l'émission ... non mag' #6 fort en actualité pour récapituler l'actualité de la semaine du 23 mai 2011. Du Call of Duty, de la PS4 ou du Assassin's Creed .... sont dans l'actu !
Rendez vous jeudi prochain pour le mag #7 avec un documentaire en bonus.