Blague n° 64
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Un petit garçon demande à son père :
''Papa, c'est quoi la politique ?''

Le père lui répond :
''Tu vois, je ramène l'argent à la maison; donc je suis le Capitalisme.
Ta mère gère les finances; donc elle est le Gouvernement.
Ton grand-père surveille si tout est en ordre; il est donc le Syndicat.
Notre femme de ménage; c'est la Classe Ouvrière.
Nous n'avons tous qu'un seul objectif; c'est ton bien-être. Par conséquent, tu es Le Peuple.
Et ton petit frère qui porte encore des couches, c'est l'Avenir.
As-tu compris, mon fils ?''

Le garçon est pensif et dit à son père qu'il aimerait y réfléchir.
Cette nuit-là, le petit garçon se réveille car son petit frère a fait dans sa couche et n'arrête pas de crier.
Ne sachant pas quoi faire, il va dans la chambre de ses parents; sa mère est toute seule dans le lit et dort si profondément qu'il n'arrive pas à la réveiller.
Ainsi va-t-il dans la chambre de la femme de ménage, où son père est en train de se faire plaisir avec cette dernière, pendant que le grand-père observe le tout discrètement par la fenêtre !
Tous sont tellement occupés que personne ne remarque la présence du petit garçon.
Celui-ci décide alors, malgré lui, de retourner dormir.
Le lendemain matin, le père demande alors à son fils, s'il peut expliquer avec ses propres mots ce qu'est la politique.

''OUI !'' lui répond celui-ci.

''Le Capitalisme exploite la Classe Ouvrière,
Le Syndicat ne fait que regarder,
Pendant que le Gouvernement dort.
On ne fait qu'ignorer le Peuple,
Et l'Avenir est dans la merde !

C'est ça la Politique !''

Blague n° 63
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Un chauffeur de car vient d´être chargé d´emmener un groupe de paraplégiques en excursion. Il prépare donc son car. Il enlève les sièges et prépare les fixations pour emmener les fauteuils roulants en toute sécurité. Le jour dit, il fait monter les passagers et les installe. Il démarre et roule doucement pour ne pas prendre de risques. Mais très vite, ses passagers se mettent à chanter :
-Chauffeur, si t´es champion, appuie, appuie...
Le chauffeur appuie sur le champignon. Quelques minutes plus tard, les paraplégiques se mettent à chanter :
-Chauffeur, si t´es champion, appuie, appuie...
Le chauffeur accélère encore un peu plus. Quelques minutes plus tard, les passagers se remettent à chanter :
-Chauffeur, si t´es champion, appuie, appuie...
Cette fois, il accélère plus fort, et au virage suivant, se prend de plein fouet un platane.
Alors ses passagers se mettent à chanter :
-Il est des nôoootres...

Blague n° 61
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Que trouve-t-on à l'intérieur d'un nez bien propre ?

Spoiler :

Blague n° 60
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Un petit garçon qui fait ses devoirs demande à son père :
-Papa, quelle est la différence entre l'hypothèse et la réalité ?
-Pour comprendre, dit le père, tu vas faire un petit test. Tu vas aller demander à ta mère si pour un million de dollars elle coucherait avec Robert Redford. Ensuite tu demanderas à ta soeur si pour un million de dollars elle coucherait avec Brad Pitt.
Le gosse va poser la question à la mère qui répond:
-Un million de dollars ! Avec Robert Redford ? Ne le dis pas à ton père, mais sans hésiter c'est oui !
Ensuite il interroge sa soeur qui s'écrie :
-Quoi ? Avec Brad Pitt ? Mais où il veut quand il veut !
Le petit garçon retourne voir son père et dit:
-Ca y est papa, j'ai tout compris. L'hypothèse, c'est qu'on possède deux millions de dollars. La réalité, c'est qu'on vit avec deux salopes...

Blague n° 59
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Un chirurgien, un ingénieur en organisation et un informaticien bavardent avec une prostituée.
-Moi qui fais le plus vieux métier du monde... dit-elle.
Le chirurgien l'interrompt :
-Vous faites erreur, c'est moi. Pour qu'il y ait des femmes, il a fallu créer la première. Et comment Dieu a-t-il créé Eve? En prélevant une côte d'Adam. C'est donc bien mon métier le plus ancien...
-Faux ! intervient l'ingénieur en organisation. Avant Adam et Eve, il a fallu créer le monde. Ce fut la Genèse, avec un plan étalé sur six jours. C'est incontestablement mon métier qui est le plus vieux. Car je vous rappelle qu'avant la Genèse, il n'y avait rien. C'était le chaos...
-Et à votre avis, dit l'informaticien, qui l'avait mis, le chaos ?

Blague n° 58
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Trois hommes discutent.
-Mes amis, dit le premier, j'ai une pénible nouvelle : ma femme me trompe avec un boulanger.
-Comment sais-tu que c'est un boulanger ? demandent les deux autres. Tu le connais ?
-Non, pas du tout. Mais l'autre soir j'ai trouvé de la farine dans mon lit.
-Moi aussi, ma femme me trompe, fait le deuxième. Avec un ramoneur.
-Comment le sais-tu ?
-C'est simple. L'autre soir j'ai trouvé de la suie dans mon lit.
-Eh bien, les gars, dit le troisième, moi aussi je suis cocu. Ma femme me trompe avec un cheval.
-Un cheval ? s'écrient ses copains. C'est impossible !
-Mais si, j'en suis certain. L'autre soir en rentrant chez moi, j'ai trouvé un jockey dans mon lit...

Blague n° 57
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Un type pas bien épais entre dans un bar et commande un milk-shake. Dès que le barman l'a servi, il boit une gorgée puis sort de la petite poche de sa veste une souris qui boit à son tour dans le verre. Après quoi il la remet dans sa poche.
Le barman, un costaud aux épaules de déménageur, intervient, furieux.
-Non mais ça va pas ! C'est dégoûtant ce que vous faites ! C'est pour les clients, les verres ! Vous allez vider les lieux et ne plus jamais remettre les pieds ici !
-Dites donc, fait le gringalet, prenez-le sur un autre ton, sinon je vous colle ma main sur la figure !
A ce moment-là, la souris sort sa tête de la poche et lance au barman :
-Et moi, votre chat, je lui pète la gueule !

Blague n° 56
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Au sommet d'une falaise, un touriste s'approche précautionneusement du bord. Deux hommes contemplent eux aussi le panorama. Au bout de quelques instants, l'un dit :
-Je vais faire un tour...
Il écarte ses bras, se lance dans le vide, et se met à planer. Après avoir effectué deux grands tours dans le ciel, il revient se poser.
-J'ai des hallucinations, dit le touriste éberlué. Je rêve...
-Pas du tout, répond l'homme, tout cela est bien réel. Je vais vous expliquer : quand le vent vient du sud, comme aujourd'hui, c'est un vent chaud qui arrive d'Afrique. Lorsqu'il se heurte à la falaise, il monte. Vous avez alors un courant d'air chaud ascendant qui vous porte littéralement.
-Je n'arrive pas à le croire...
-C'est pourtant vrai, intervient le deuxième homme. D'ailleurs je vais vous le prouver...
Il écarte les bras, s'élance, et se met à planer à son tour. Trois minutes après, il se pose en douceur.
-C'est stupéfiant ! s'écrie le touriste. Même moi, je pourrais le faire ?
-Bien entendu ! Du moment que le vent vient du sud, n'importe qui peut le faire. Allez-y, vous verrez...
Le touriste écarte les bras, se lance dans le vide, et s'écrase deux cents mètres plus bas sur les rochers.
Alors l'un des deux types lance à l'autre :
-Tu veux que je te dise ? Pour des anges, on est vraiment des dégueulasses...

Blague n° 55
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Un petit garçon joue au train électrique pendant que sa mère fait du repassage dans la pièce voisine. Soudain elle entend son fils crier :
-Ici Lyon... ici Lyon... Tous les cons pour Lyon descendent...
Elle se précipite.
-Je te prie d'être poli, sinon je vais sévir !
Le gosse fait redémarrer son train, et trois minutes après il annonce :
-Ici Valence... ici Valence... Tous les enfoirés pour Valence descendent...
La mère revient.
-Dernier avertissement ! Si tu dis encore un seul gros mot, je confisque le train !
Le garçon se remet à jouer et bientôt il lance :
-Ici Avignon... ici Avignon... Tous les cons et les enfoirés pour Avignon descendent !
La mère, furieuse, bondit :
-Cette fois c'est trop ! Ton train est confisqué, ça t'apprendra la politesse !
Elle emporte tout le matériel et le gosse se met à hurler. Au bout d'une demi-heure, n'en pouvant plus, elle lui rend le train en disant :
-La prochaine fois que j'entends une grossièreté, ce ne sera pas une demi-heure, mais une semaine. Tu as bien compris ? Une semaine...
Le petit garçon remonte son train et le refait partir. Quelques instants plus tard il annonce :
-Ici Marseille... ici Marseille... Tous les voyageurs pour Marseille descendent...
''Ah !'' se dit la mère avec satisfaction, ''la leçon a porté ses fruits. Je suis bien contente...''
A ce moment-là, le petit garçon enchaîne :
-Nous prions les voyageurs de bien vouloir excuser ce retard d'une demi-heure dû à une connasse...