Lors de l'annonce du rachat d'Activision Blizzard par Microsoft, le PDG Bobby Kotick faisait savoir que le géant américain était le meilleur choix pour continuer à connecter et engager les joueurs du monde entier à travers un divertissement épique. Selon un récent rapport de l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers, Activision Blizzard discutait avec plusieurs personnes concernant un potentiel rachat.
Les noms n'ont pas filtré, il faut donc se contenter de Candidat A, Candidat C, Candidat D, Candidat E et Individu B (un homme d'affaire ?). A noter que Candidat E s'était manifesté en précisant ne pas pouvoir procéder à une acquisition complète de la société. Conscient d'un début de concurrence sur le dossier et ne voulant pas que d'autres noms fassent encore plus monter les enchères, Phil Spencer a accélérer les négociations en faisant intervenir Satya Nadella pour régler les derniers détails alors que les discussions étaient déjà avancées depuis pratiquement deux mois (mais les problèmes au sein de l'éditeur avaient égratignés les relations entre Phil Spencer et Bobby Kotick).
Money In the Bank pour Bobby
Bien qu'il soit prévu que Bobby Kotick quitte l'entreprise si l'accord est conclu, le rapport montre qu'il partira avec une fortune considérable dans les deux cas : avec 4.317.285 actions d'Activision Blizzard, il devrait gagner 410.142.075 dollars sur la base des 95 dollars par action que Microsoft prévoit de payer - et il dispose d'un "parachute doré" supplémentaire d'une valeur de 14.592.302 dollars s'il décide de rester et que Microsoft le pousse quand même dehors. Sans compter ses 2,2 millions d'options sur des actions, qui pourraient valoir des centaines de millions de dollars supplémentaires en fonction de la flambée du cours en bourse.
Si la fusion était bloquée par les autorités de régulation gouvernementales en raison d'une "injonction découlant des lois antitrust", Microsoft paierait à Activision Blizzard une indemnité de rupture allant de deux à trois milliards de dollars. En revanche, si les actionnaires d'Activision Blizzard ne votent pas en faveur de la fusion d'ici 2023, l'entreprise devrait verser une indemnité de rupture de 2,27 milliards de dollars à Microsoft.
Pour EA tu es sur que c'était une ancienne interview ?
Sachant pertinemment qu'après Bobby, y'aura un autre connard d'amerloque qui fera cruncher ses employés et qui ne fera rien contre ce genre d'ambiance de boîte toxique où il n'est pas bon d'être une femme.