A-t-on été naïf de croire, l'espace d'un instant, que Ryse puisse devenir le God of War de la Xbox One ? Disons le sans détour : il n'en sera rien, malgré les atours sexy sous lesquels le titre de Crytek se présente. Certes, les panoramas-vitrines sont nombreux (falaises anglaises, collines romaines), rutilants de modèles ultra-polygonés et de décors saturés de détails, le tout drapé de textures fines barbotant dans un grand bain de shaders next-gen.
Puisqu'on parle de "vitrine", le décor linéaire à l'extrême n'offre en revanche aucune possibilité d'exploration (point d'escalade ou de phase plateforme à la God of War), et se borne à enchaîner les arènes de combat (une ruelle, une cour du marché, une plage, bis repetita), combat qui se trouve être la mécanique absolument centrale - pour ne pas dire exclusive - de ce Ryse.
Le combat, parlons-en : aux commande du général romain Marius Titus, lancé dans une vindicte contre les peuplades barbare après le meurtre de sa famille (scène ridicule), le joueur sera d'abord épaté par la mise en scène concluant chaque combat, soulignant la brutalité de chaque impact dans un ralenti classieux. Il s'amusera un temps des mécaniques limpides, alternant les coups d'estocs, parades, esquives, à caler en rythme sur les assauts ennemis ; ainsi que des QTE de fin d'affrontement symbolisées par la couleur des touches du pad, à entrer le plus vite possible pour démultiplier leurs effets bénéfiques (à choisir entre soin, catalyseur d'XP, jauge du pouvoir ralenti et bonus de dégâts).
Quelques dizaines de minutes plus tard, la routine ronflante des combats risque en revanche d'apparaître sous le vernis : notre session s'est vite muée en un même affrontement répété inlassablement et strictement sur le même rythme, quelque soit l'ennemi affronté (petit barbare, gros barbare, boss de fin de niveau).
Une heure et demi nous ayant suffit à boucler près de la moitié des chapitres que compte le jeu, autant le dire, on a peu d'espoir de voir notre verdict final chanter une autre musique (à moins d'un miracle sur la fin du jeu ou sur le mode coop) .
A l'heure actuelle, on ne peut que vous dire ceci : n'achetez pas la Xbox One pour Ryse, tant les chances que le jeu ne vous déçoive pas sont maigres.
Verdict: NON
Pourquoi : Parce que le titre risque fort de n'être qu'une vitrine technologique, ses prouesses visuelles cachant mal une relecture esthétiquement vulgaire de la Rome antique et un game-design centré sur un système de combat extrêmement répétitif.
A ne (probablement) pas acheter ni Day One, ni jamais.
prévisible ?
bref moi je quitte ce site dès le 22
et oui deja posté http://www.gamekyo.com/blog_article318737.html
vivement le 22 que je joue a mon jeu pop corn nextgen
Vous n'avez donc aucune pitié? Ce sont des innocents!!!DES INNOCENTS VOUS M'ENTENDEZ!!!!!!
Donc je m'en fous de Ryse.....
J'attend
Sinon, c'est vrais que du désingage et uniquement du desingage, ça risque de lasser u bout d'un moment, mais le titre est quand même une belle vitrine technologique de la Xbox One qu'en même!
Les crysis sont de bons fps et offrent un gameplay novateur grâce a la nanosuit.
La durée de vie pas contre semble très chiche
On brade encore le solo, parce qu'il y a d'autres modes
Bizarre, c'est le temps qu'a mis Gamekult pour en faire 3.
Désolé, pas intéressé par les trentenaires qu'ont rien de mieux à foutre que troller sur un site de JV mais je me fais pas de soucis pour toi, tu trouveras chaussure à ton pied ici
bref ferme les yeux sur ta secte
et pour ta maman pas soucis elle te ramène les croissants demain matin