Resident Evil 2 (Playstation, Dreamcast, Nintendo 64, Gamecube, PC - 199



« 1998 …. I’ll never forget this year …. » (Léon S. Kennedy - Resident Evil 4).
Nous sommes donc bien en 1998, soit 2 ans après le raz-de-marée causé par la sortie du premier épisode, et donc nous avons cette suite qui sort et qui va amener la série dans une nouvelle dynamique.

Pourtant au niveau des nouveautés que se passe t-il d’important ? Pas grand-chose, les graphismes n’ont pas subit une refonte très importante, une petite mise à jour simplement. Le gameplay est également très similaire au premier donc il n’y avait pas de soucis à avoir de ce côté. Les principales différences sont au niveau de l’ambiance et du scénario.



Parlons-en d’ailleurs de ce scénario. Nous incarnons Léon S. Kennedy qui vient pour son premier jour dans la fameuse ville de Raccoon City qui manque de bol, est envahit de zombies. Dans les sous-sols de la ville, un autre mystère se prépare également avec l’apparition d’un nouveau virus, le virus G.
Il va rencontrer d’ailleurs lors de la cinématique d’introduction Claire Redfield, la sœur du fameux Chris (le héros du premier épisode) qui recherche justement ce dernier qui a disparu.

Le scénario de cet épisode est plus appréciable puisque plus étoffé que le premier mais cependant toujours pas de quoi casser 3 pattes à un canard et c’est bien dommage parce que le background avait été suffisamment amélioré pour avoir un scénario plus important mais bon ne crachons pas non plus dans la soupe.
Nous avons donc de nouveaux héros, mais également un nouveau lieu (en même temps normal vu que le manoir explose à la fin …) : le commissariat.


 « Hey men … Je suis le prince de Bel-Air ! »

Les nouveaux lieux décrivent le même schéma à savoir lieu de base puis après fin dans un laboratoire secret souterrain. Mais la beauté des lieux, avec le commissariat qui est un lieu culte de la saga. Les salles sont vraiment très belles avec notamment le hall qui reste vraiment magnifique.
Au niveau des créatures sinon, pas grand-chose de neuf de ce côté, hormis de nouveaux boss bien sùr (comme William Birkin, qui reste également un excellent boss de cet épisode), et les Lickers par exemple.



Que dire de plus sur cet épisode finalement ? Bizarrement le nombre de nouveautés n’est pas significatif mais cet épisode a cependant une vraie âme et une ambiance unique qui en font un excellent épisode, voire l’un des meilleurs de la saga complète.

A bientôt donc pour un retour sur le troisième épisode.