Qui ne connait pas la saga Final Fantasy ? Mais à l'heure d'aujourd'hui pas tout le monde été né lors de la sortie des premiers épisodes ! Voilà l'interet d'un remaque sur DS
Quoi de plus que l'opus 3 ?
Deuxieme épisode remaqué sur DS et déjà apparu sur GBA il y a quelques années, Final Fantasy IV reste un tournant dans les épisodes FF.
Le troisième opus sortit un an avant le 4 manquait de profondeur dans son scénario et de dynasmisme dans ses combats !
Soyez content ce quatrième opus rattrape le coup.
Déjà, niveau gameplay on a l'arrivé de l'ATP qui est en fait la jauge de temps. Cette jauge rajoute de la strategie dans les combats. Elle consiste à attendre un certain temps avant de refaire une attaque avec un même personnage.
Niveau scénario le jeu va bien plus loin que son grand frère.
Même si on oubli le changement de job, il y a beaucoup de tournant au cours de l'aventure et les personnages sont plutot attachants : en bref ce jeu fait passer des sentiments invisible lors du troisième opus.



D'un point de vue général
Les graphismes de FF IV se rapproche énormement de celui du troisième opus !
On note quand même de jolies cinématiques qui sont plutot fréquentes et une cinématique d'intro toujours aussi sublime.
Coté bande sonore, pour de la DS on est aux anges ! Les dialogues sont doublés en anglais pour la première fois lors des scènes importantes du scénario ce qui est un vrai plus. Les musiques ultra connu des Final Fantasy sont remixer et remise de bien belle façon !
Le Gameplay au tour par tour est toujours aussi simple d'utilisation et gagne en dynamisme grace à la jauge ATP. Les monstres n'apparraisent évidemment pas sur la carte mais la fréquence des combats reste bien gérée.
La durée de vie est honorable pour un jeu de console portable mais on pouvait s'y attendre avec un FF ! Comptez une trentaine d'heures en ligne droite minimum pour voir le bout de cette fabuleuse aventure.
Reste le scénario qui s'est vraiment approfondi et qui a d'ailleurs été l'opus qui a débloqué SquareSoft, à l'époque, d'épisode trop linéaire et trop enfantin.
