Bonsoirs,j’aborde aujourd’hui Grandia,qui est un grand(je devais rebondir sur ce titre !)RPG sortit en 1997 sur Saturn.Il était alors considéré comme le Final Fantasy VII de cette dernière,du moins il l’était pour les possesseurs de la boîte noire.
Ceux qui avaient la Playstation en venaient alors à jalousés ce jeu,enfin à l’époque^^.En 2000,les joueurs qui n’avaient alors pas sautés le pas pour acquérir une Saturn,eurent le plaisirs de voir le jeu débarqué sur la console de Sony.



Je fais donc parti de ces joueurs,à l’époque j’étais déjà un passionné de jeu vidéo,mais pour moi la Saturn n’était pas une très bonne console,moins puissante que la Playstation,moins de jeux et PAS de RPG….Quel abrutis j’étais….Je n’imaginais même pas que la Saturn était LA console à RPG succédant à merveille la Super Nes,du moins sur le sol nippon…
Bref je ne vais pas m’attardé la dessus :lol : ,j’ai donc découvert Grandia dans sa version PS1,tout comme pour Star Ocean : The Second Story,j’ai « trouvé » ce jeu au Virtua près de chez moi,pour la modique somme de 99francs.Me rendant à mon magasin habituel donc,je vois ce jeu dans le rayon occaz,intrigué je cours chez moi étant persuadé d’avoir vu ce jeu il y a peu dans un mag.
Je cherche et je retrouve le magazine en question,un Playmag de l’époque qui testait,Saga Frontier 2 :love : ,et ce fameux Grandia,qui s’occtroyait alors un « bon » 13/20.
Ni une ni deux(ni trois,quelle expréssion de merde),je retourne à la boutique,sort la liasse de billet( ! ?) et achete le jeu.
Je mets le jeu dans la console pour jouer(je déconne pas moi !),et là je retrouve le même plaisirs que j’avais eu lors du début de Star Ocean 2.
Même si les deux jeux ne sont en rien comparable,je savais que j’allais vivre une grande aventure.



Rentrons maintenant dans un déscriptif du jeu,si vous le voulez bien(je le fais de toute façon).
On commence avec du lourd Grandia est un jeu vidéo.Plus sérieusement Grandia est comme dit plus haut tout d’abord sortit sur Saturn en 1997,puis sur Playstation en 2000.La société qui en est à l’origine n’est autre que Game Arts,qui en plus des Grandia a également réalisée la saga des Lunar.

Graphiquement en 1997 Grandia proposait une 3D fabuleuse,avec la possibilité de tourné la caméra à 360°,en 2000 le constat avait changé,même si le jeu n’était pas « moche »,la Playstation avait déjà démontrée sa maîtrise de la 3D,avec des RPG comme Breath of Fire III et Xenogears.
Grandia passait donc du statut de bijou graphique à correct.
Seuls certaines scènes(le bateau au début du jeu et le voyage vers la porte menant à l’autre monde entre autres),et surtout les combats permettaient au jeu de brillé par ses graphismes.
En effet,les combats proposaient un déluge d’effets spéciaux,avec des magies et autres attaques spéciales qui en mettaient plein la vue !
On se souviendra en particulier des techniques de Justin,tout bonnement somptueuses.
Mais les graphismes,était loin d’être le véritable point fort des combats,la véritable force de ces derniers était le système en lui même !
Une sorte de mélange réussi entre temps réel et tour par tour,calibrés par une jauge qui indiquait quand les ennemi,et personnages allaient joués.
Un système qui propose un dynamisme hors norme pendant les batailles.



La musique lors des combats étaient d’ailleurs de bonne facture,et celle accompagnant les boss était particulièrement motivante !
Quand aux autres thèmes la qualité global de ces derniers étaient plus que correct,certaines musiques étant excellentes,d’autres moins.
Le plus important était donc là,les musiques des combats étaient superbes,et celles ponctuant les moments clés du jeu également.
Le scénario était justement très bon !Il existait des lenteurs,et des baisses de rythme certe,mais ces dernières étaient gommées par les nombreux rebondissement qu’offrait l’aventure.

Grandia est donc une très bon RPG,il n’est pas exempts de défaults,mais ces nombreuses qualités qui lui on permis d’être comparé à Final Fantasy VII à l’époque sont toujours d’actualité 11 ans après !

Merci pour votre lecture,et à la prochaine^^.