En regardant l'actualite, je suis tombe sur la continuite des frasques d'Erdogan, suite au coup d'Etat manque de juillet dernier.
Liberation, décrit une énorme paranoïa de la part d'Erdogan, a se demander si ce n'est pas exagéré sur certains points (les manuels scolaires), je n'ai pas vérifié.
M'enfin pour le reste... Je partage cet article, car franchement, je ne comprends pas qu'il soit possible d'arriver a un tel niveau de connerie et de violence dans un pays, aussi bien vis-a-vis d'Erdogan que de ces partisans. Cela m'intrigue, c'est comme une histoire se repetant, se deplacant entre differents pays de differents continents.
En regroupant les differents articles, ce qui reste, c'est la situation sur le retablissement de la peine de mort contre le putch, malheureusement ?, manque.
"Bientôt, bientôt, ne vous en faites pas. C'est pour bientôt, si Dieu le veut", a déclaré M. Erdogan samedi 29 octobre lors d'un discours à Ankara, en réponse à la foule qui scandait "nous voulons la peine de mort" pour les auteurs du coup d'État manqué.
Voici un extrait, la suite dans le lien en source :
Jusqu’où ira Recep Tayyip Erdogan ? La purge, lancée par le président turc au lendemain du coup d’Etat manqué du 15 juillet, avait déjà surpris par son ampleur et sa rapidité. Plus de trois mois après, elle se poursuit au même rythme affolant. Officiellement, il s’agit de traquer les membres de la confrérie de Fethullah Gülen, cet imam réfugié aux Etats-Unis qu’Ankara accuse d’être l’instigateur de la tentative de putsch qui a fait vaciller la Turquie cet été. Mais dans les faits, le Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur), au pouvoir depuis quatorze ans, en profite pour «nettoyer» la fonction publique de toute forme d’opposition.
Déjà 37 000 fonctionnaires ont été arrêtés, et 100 000 ont été suspendus ou carrément renvoyés, selon le décompte de l’agence Reuters. Les policiers, les juges, les procureurs et les enseignants sont les premiers touchés. Rien ne semble pouvoir arrêter cette surenchère : 10 000 fonctionnaires supplémentaires viennent d’être limogés, d’après deux décrets parus samedi soir. Ces textes officiels annoncent par ailleurs la fermeture de 15 nouveaux médias, prokurdes pour la plupart, et la suppression des élections des recteurs d’université, qui seront désormais désignés par le Président lui-même.
La suite :
Libe