I / Le renouveau de l’image
Fin 2006, le jeu vidéo est installé dans la vie quotidienne des différentes populations, bien vu ou mal vu, apprécié ou détesté, le jeu vidéo est comparable au divertissement que font les individus une fois que leurs journées est terminées, voir si jamais ils n’ont plus aucune activités à faire sur le moment.
Bien sur ce loisir technologique a une identité « underground »: Un loisir plus ou moins solo où le partage n’existe peu en partie à cause de l’apparence de l’objet, ainsi que ses accessoires qui sert à maitriser la « bête ».
Les gens n’ayant pas baignés dedans et qui découvrent soudainement cette « chose » chez des connaissances, ont du mal à y entrer par le fait de contrôles trop exigeant réservés aux aficionados de longue date.
Certains constructeur était dans l’optique de proliféré leurs loisirs anecdotique à leurs fans et nous pouvons par exemple citer le constructeur « Nintendo » qui fut l’un des prophète du lancement du jeux vidéos, avec tout d’abord « les Game and Watch » suivit en 1981 avec leur premier jeu sur borne d’arcade « Donkey kong » .
D’autres constructeurs vinrent par la suite comme « SEGA , Sony » avec chaque années des prouesses effectuées sur la technologie afin de rendre encore et toujours les jeux dans un aspect plus réaliste, afin de se rapprocher des rendus dessin animés, voir des films hollywoodiens aux gros budget.
Mais fin 2006, c’est aussi une nouvelle ère qui va apparaitre aux yeux des « joueurs », un sombre nuage d’une avancé visuel qui enterrera définitivement le fossé entre le cinéma et le jeu vidéo, qui vint aveuglé les mordus des loisirs électroniques ne prenant que du plaisir à partir du résultat optique du produit sur leurs téléviseurs. Les mentalités vont évolués si bien que le milieu du jeux vidéos pourrait être comparé à la bourse économique.
Ce nuage se nommera : HD..


« Call of duty 4 : plus de 11 millions vendus dans le monde , a l’ambiance de film d’action avec un
budget de production colossal digne des films hollywoodiens , le jeux vidéo n’a plus aàrougir envers le
cinéma. »
Le dernier trimestre de l’année annonçant les nouvelles consoles sur le marché marquera l’arrivé de la démocratisation du loisir vidéo ludique, de son image, de la publication officiel des pubs dans les journaux de presse nationaux des plus connu comme « Libération » qui viendra publier en première page de son journal un jeu aux antécédents des plus détesté, et l' accueil d’une nouvelle console ayant une nouvelle technologie par son « gameplay » : la wii.
Finit les manettes et bienvenue à la reconnaissance de mouvement avec une simple télécommande, elle devint la nouvelle vision de ce milieu dont tout le monde pouvait jouer en toute simplicité sans besoin d’appuyer sur des boutons, un simple mouvement du bras et le personnage fit l’action à l’intérieur de l’ écran.
L’appréhension n’existe plus, la curiosité méliorative gagnera l’esprit des gens n’ayant jamais connu cet univers et l’ayant toujours vu d’un air repoussant où par la suite les anciennes communautés du « pad » virent une arrivé de nouvelles personnes qui se mélangèrent à eux.
Les rayons aux boites sinistres, violentes, féeriques, réalistes, accueillirent des boites dignes des pubs télés à l’aspect commercial comme si on voulait vendre une nouvelle machine à laver, voir un nouveau logiciel pour améliorer ses connaissances
« Un jeux vidéo? Pas vraiment un programme d’entrainement , c’est marqué dessus et c’est parfaitement assumé. »
Est-ce un mal ? « Il en faut pour tout les goûts » par Romain de jv247.com
Non, bien aux contraires cet univers réservé à un loisir devant un écran peut être maintenant partagé avec tous et ce n’est plus « une honte » de jouer aux jeux vidéos publiquement avec sa famille ou ses amis.
Cette nouveauté ne fit pas plaisir à toute la population, l’arrivé de cette « nouvelle façon de jouer » dérange la plupart des connectés de ce plaisir et les nouveaux individus venant d’atterrir à destination ont l’étiquette collé « VISITEURS » sur leurs front qui se nommera par la suite « CASUAL » .
la modernité du jeu ne leurs plait pas, leurs guerriers enfermés en isolation dans leurs sales de repos afin de devenir les meilleurs de cette drogue électroniques, contre-attaques avec pour noms : Les gamers.
II / Deux camps sont définit
Je fis partis autrefois de cette communauté, mais ayant opté d'une nouvelle vie je ne peux que revenir en tant que journaliste.
« J'adore ce jeu avec tous ses detail et son graphisme alusinant.surtout toute ces ombres,ces reflets,ce realisme;tout koi!!! j'atend ce jeu avec impatiante.lui,splinter cell conviction et assasin'creed 2 seront les meilleur de l'année 2010 » un « gamer » de jeuxvideo.fr. Comme on peut le constater, la forteresse abritant ces chevaliers du monde coupé, ont un niveau de grammaires, de langages des plus respectables.
Telle une guerre ils sont là à débattre autour de la table, de quelle boites ils vont rapporter à leurs royaumes aux prix souvent faramineux de 70 euro, qui par la suite celle-ci perdra de ces couleurs dans un espace restreint afin de rejoindre le domaine de la poussière.
« Gamer ? Qu’Est-ce que ça, qu’Est-ce que ça veut dire? » Thierry un boulanger de paris .
« Les quoi? Les gammeurz ? » Olivier libraire a paris.
Non définitivement ce mot là est inconnu par le monde « des vivants », c’est a se demander si un « gamer », un nouveau métier ? Une nouvelle profession?
« Bonjours je m’appelle Cyril je suis gamer . » le genre de phrase loufoque à entendre dans la vie courante, car ceci résulterait à allumer « une console » et jouer derrière un écran comme un instrument musique? J’ai jamais entendu de solo de « manette » ou de « manette acoustique » qui plus est ne se branche pas sur un ampli.
Quand les employés rentraient du travail après une dure journée et se regardait un film pour se détendre, le jeux vidéo étaient alors dans cette même optique, or ce mot « gamer » est venu donner une identité inscrite dans aucun registre du genre, ni un métier, ni un sport, un loisir à une échelle plus sérieuse.
C’est simple « ces chevaliers virtuelles » affirment qu’ils sont là depuis longtemps et veulent qu’on ne touche pas leur domaine où chaque année la définition de l’image devient un rendu proche de la réalité, là où Nintendo c’est arrêté et a voulu démocratiser une image plus familial plus sociable qui entrainera la construction des deux camps dans un avenir proche : les gamers et les casuals .
Casual? Ce mot est n’est pas Français, il vient de la langue de Shakespeare qui signifie

ccasionnel, qui montre une certaine perversion celle-ci. Le grand publique apte à acheter toute chose qui passe en pub à leurs télés se voit renommer « casual »,
alors qu’un joueur occasionnel est celui qui joue de temps en temps à un jeu vidéo mais quand il y joue il se procure le meilleur choix car justement il n’a pas le temps!
Alors pourquoi nommons nous les jeux grand publique? Car le grand publique serait le mot intermédiaire qui vient mettre la frontière entre les 2 camps. Prenons le rendu d’un jeux vidéos proche de la réalité avec réalisation voulant côtoyer le cinéma, mais avec une prise en main dès plus facile dont même un enfant pourrait rivaliser avec les expert de la chose qui la maitrise depuis 30 ans.
Que 2 camps se soient établies n’est pas le plus inquiétant, le problème qui viendra par la suite sera plus grand, la beauté dans les jeux…
III / La beauté avant tout.
On pourrait croire que je vais parler d’une des pensés de certaines personnes qui préfère le physique que ce qu’il y a l’intérieur, mais faut croire que aujourd’hui les mêmes critères d’autrefois se sont déplacés dans une autre catégorie.
Le plaisir du jeux ne passent plus par son « gameplay » où l’amusement était de diriger des pixels formant un personnage sur notre vieille télé souvent avec pas plus de 5 couleurs affichés à l’écran, aujourd’hui la technologie a évolué et sur nos télévisions on peut lire les 2 lettres « HD » qui représentent un peu le cinéma chez soit, et les consoles de jeux d’aujourd’hui permettent de donner à ces lettres vie. Malheureusement, certains soudain à ce changement en voit leur réalité altéré et ainsi ne plus se souvenir que la génération précédente n’est pas vraiment éloigné, car tout ce qui les importe c’est de nourrir leurs écrans haute définition. Mais le beau qui est un concept universel à la fois totalement subjectif et abstrait, finalement est lui aussi perverti. Là où le temps d’aujourd’hui est nuageux qui est dit un temps « moche », deviendra quelque chose de magnifique dans un jeu… paradoxe? Non sens? Tout dépend de certains critères mais malheureusement ces dit critères n’en sont rassemblés qu’en un seul!


« Killzone 2 dit le plus beau jeu HD en ce début d’année 2009 »
Comme on peut le voir ci-dessus, l’image est terne et « logiquement » on ne peut pas trouver ça beau par son esthétisme mais par contre pour ça technique il est superbe. Voici la différence qui réside dans mes propos: la technique et l’esthétisme. Les gens qui démontrent que le jeu est « beau » souvent mélange les 2 critères en même temps, or on ne peut dire qu’un jeu esthétiquement gris vert mais avec une technique qui est même plus beau que la réalité que ce jeu est « superbe »..


« Deadspace extraction : un des plus beaux jeux wii pour beaucoup de « gamers » »
Bien sur tout dépend du registre du jeu ( horreur , aventure féérique , course , combat….) mais aussi dans ce contexte ce registre est oublié ce qui entraine les individus à chaque « news » sur les sites spécialisés sur cet univers de commenter simplement la technique qui se dégage du jeu, peu importe le reste si la technique est bonne.
Alors que si le jeu est techniquement faible voir raté, le reste des critères à peu de chances d’intéresser le reste des joueurs ou carrément la page web qui montrait le dit jeu en question sera immédiatement fermée sans même avoir lu les caractéristiques du produit…
Il est temps de rétablir le langage appropriés à ce que nous voyons sur les différents sites, forums de l’espace vidéo ludique: « Le jeu est techniquement réaliste » telle est la phrase qui devrait en ressortir et non qu’il soit tout simplement beau, car la réalité parfois n’est pas forcement belle. Quand nous voyons les horreurs de la guerre qui furent douloureuses pour les individus ayant vécue dans l’époque en question, une fois retransmises en jeu deviennent pour eux superbe… drôle de mentalité, mais il faut bien des jeux pour tout le monde et tout les types de personnes.
Je conçois que la technique est importante dans un jeu mais certains ne nécessitent pas d’être au top pour pouvoir prendre du plaisir à y jouer, par exemple les jeux de sports ou de course automobile on besoin de la meilleur technique car ceux-ci représente ce qui se passe en réalité sous une forme virtuelle.


« Grand tourismo 5 : difficile de faire la différence entre une véritable photo et un jeu vidéo…»
Les jeux qui représentent les mangas/anime n’ont pas besoin d’une superbe technique si l’esthétisme est aussi fidèle que ce que nous donnent les dessin animé , sachant qu’à la base ce sont des images qui sont ensuite animées, donc ce genre de jeux n’a pas le besoin d’avoir un rendu photo réaliste mais plutôt quelque chose comme du papier en 3d que l’ont qualifiera de cell shaiding, un procédé qui fut utilisé la première fois sur psone dans le jeu « fear effect », mais dans une version plus aboutit plus tard dans le jeu « jet set radio » sur dreamcast.

« Naruto ultimate ninja storm: un animé? Non un simple jeuxvidéo ! »
Heureusement que la technique ne fait pas tout et que l’esthétisme reste présent, on peut le remarquer ci-dessus on ne viendrai même pas chercher un pic sur les rendus des textures ou autres, car c’est un manga.
Il est claire qu’avec la technologie d’aujourd’hui pratiquement n’importe quel rêve de gosse de voir en jeux vidéo peut être réalisé, il faut bien admettre que la technique évolue au fil des années et qu’il faut se mettre à jour, nous n’allions pas resté avec des jeux ne dépassant pas les 16 bits c’est se leurrer, mais malheureusement celle-ci ayant pris une place far parmi les différents critères l’avenir est inquiétant…(je ne me vois pas jouer à que des jeux photo réaliste…)
Le problème de la venu de cette nouveauté visuel c'est le jugement d’autrui qui devient faussé, de mauvaise foi, simplement en voyant la marque du constructeur en question sur le jeu diffusé. (ce phénomène existait déjà avant , mais dans cette génération c’est encore plus prononcé. )
IIV / HD ou le lavage de cerveau.
Aujourd’hui c’est a la mode de dénigrer une plate-forme juste pour son rendu graphique quand celle-ci affiche un rendu inférieur à ce que les machines plus puissantes puissent donner , même si le travail effectué est d’une qualité à ce demander si on est passé dans la haute définition . L’avis personnel n’existe plus vraiment , une influence inconsciente par autrui joue sur le jugement propre de l’individu , si celui-ci trouve ça agréable qui entraine la peur de donner son avis car il pourrait passer pour quelqu’un « hors du moule » et donc on assiste à beaucoup de retournement de goût . Petit a petit le visuel devient la première chose que nos yeux désir et le reste passe ensuite , ce qui fait que le joueur dénigrera tout ce qui n’aura un rendu claquant par la suite , il ne pourra plus voir le coté des jeux « bluffant graphiquement » mais vide sur tout le reste , dans ces conditions le jeu sera moyen car a la vision de ce genre de joueur le rendu permet de gommer certains défaut qui étaient intolérable sur les machines du temps précédent.


« La wii , machine sujette à de nombreux débats , de nombreux retournement d‘avis sur les défenseur de cette console qui quelque temps après passent sont temps a la dénigré…»
L’autre soucis c’est que cet abrutissement a des conséquences qui ne permettent plus de jugé la globalité d’un rendu sans avoir les initial HD placé à coté…
Quelque jeux sur wii , tant qu’on ne l’ avait pas précisé , faisaient réfléchir les plus virulent a savoir si c’est sur console HD ou non , mais une fois la précision annoncé , les crachats sortaient avec plaisir vu que les 2 lettres furent absentes.
La phrase « c’est beau pour de la wii » ou encore « même le plus moches des jeux 360/ps3 sera plus beau que n’importe quelle jeux wii » en lisant ce genre de phrases on se demande si le jugement est « objectif ».
Car pourtant il existe des jeux sur cette console qui tiennent tête aux production de la hautes définitions que les détracteurs le veuillent ou non , mais jamais aucun site ne se risquera à avouer ce genre d’opinion , vu que la console était la moins chère a son lancement et pendant une bonne période et que les autres « bécanes » étaient à prix coutant , donc cela seraient frustrant d’avoir une machine bien moins chère proposant une innovation de gameplay côtoyant le rendu de ces dit consœurs .

« Sonic and the black knight : esthétisme superbe , techniquement reussi (textures fines , bloom , bump mapping , shader ,profondeur de champs bleuffantes , pas de clipping , peu d’aliasing) le genre de jeu qui nous mettent le doute pour savoir sur quelle console nous sommes.
Toute cette rivalité dans le monde du jeux vidéos ferait pensé a des guerre civils (sans les blessures et mort cela va de soit) où les joueurs donnent l’impression d’avoir achetés des part de marché des différentes firmes et sont heureux quand celle-ci réussissent à faire des bénéfices. Enfin chacun est libre de pensé ce qui veut.
/CONCLUSION personnel
Casual? Hardcoregaming? Gamer? Pour moi ces mots ne veulent rien dire , c’est plus risible qu’autre chose , il y a simplement des jeux pour tout le monde : reflexion , puzzle , action ,aventure , combat , horreur… Pourtant il ne me semble pas qu’à l’époque on désignait quelqu’un qui jouait peu ou trop à un casual ou un gamer…. On pouvait dire qu’il était peut être accro aux jeux vidéos (tant le cas d‘un abus excessif).
Ceci est le résultat d’une influence inconsciente du domaine qui évolue au fil des années , petit à petit on créé des sortes de castes , dire que c’est de la discrimination de loisir serait quelque peu gros (quoi que à voir comment le monde tourne aujourd’hui , un casual est mal vu et un gamer c‘est le contraire , enfin ça dépend de quel coté on se place aussi.)
Pour moi il n’y à pas de catégorie de console , de joueurs et autres , tout dépend de comment l’utilisation du produit est exploité , je note que parfois les passions peuvent faire retombé des gens ayant un âge responsable de diriger leurs vies voir s’occuper de leurs famille au rang d’enfant se battant dans une cour de récréation , risible non.?
Le jeux vidéo est avant tout un simple divertissement au même rang que de regarder un dvd ou joué à un jeu de société, pas plus. Nous sommes que des consommateurs du produit, on choisit sur le marché parmi les divers propositions et c’est tout.
Alors de voir des individus insultés les gens dont les goûts diffères montre un sérieux manque d’ouverture d’esprit et de socialisation, et malheureusement c’est de plus en plus visible, à croire qu’il faut qu’on soit tous identique…bonjours la monotonie!
Avant de subir les foudres de ceux qui se sentiront blessé en lisant cet article, c’est un article purement subjectif, ma pensé sur le monde actuel du jeux vidéo et tout ce qui l’entoure, chacun est libre de penser ce qu’il veut et je le respecte, mais j’espère que certains prendront un peu de recule sur cette passion qui est avant tout un plaisir divertissant comme un autre.
majinseb