Voici le trailer de L'incroyable Hulk, les effets spéciaux ne sont pas finalisés.

L'incroyable Hulk: trailer

Xéna la guerrière spin off de Hercule avec Kevin Sorbo (autre série nanarde), elle n’est pas moitié déesse et donc ne bénéficie à priori pas de pouvoir extraordinaire qui lui permettrait d’avoir des facultés incroyables comme son homologue masculin. Cependant, quand il s’agit de faire le grand écart à la Jean Claude Van damme pour balayer deux méchants en même temps, elle n’est pas la dernière, elle se préoccupe apparemment plus de faire des pirouettes en l’air avec les câbles bien sûr (voyant par-dessus le marché), que d’exterminer une fois pour toute, ses ennemis, mais c’est une gentille alors elle ne tue pas (voir le sketch biouman des inconnus). Xena est gouine et aime intiment sa partenaire Gabrielle, tous les sous entendus disparaissent dans la vf, édulcorée. Les combats sont affreusement mal réalisés, les costumes kitch à mort, les quelques images de synthèse ratées. Plus une Lucy Lawless (l'interprète de Xena) en tenue moulante avec glaive pour pervers sadomasochiste.




La série est rediffusée en boucle sur NRJ12, en vf cela va de soit, recadrée en 16/9, alors que le format original est le 1.33 (4/3 plein écran) comme toutes les productions de l’époque.

C'est un message de Steve au nom de James Masters (Piccolo).


James tells me that everything is going well on the Dragonball set. He's very excited about how everything is going along and the general feeling that things are clicking really well. He will wrap mid-March and continue on his busy schedule.

Traduction:

James me dit que tout va bien sur Dragon Ball. Il est très heureux de la façon dont les choses se passent et le sentiment général que c’est bien. Il va terminer son travail à la mi-mars avec son emploi du temps chargé (il jongle avec la série smallvile...)

Selon un article paru dans le magazine Variety, Dragon ball le film sortira au Japon avant le reste du monde c'est-à-dire à la mi-mars 2009 soit 7 jours avant la sortie américaine, c'est peut-être parce qu’en mars ce sont les vacances de printemps. Toujours selon l'article, c’est en raison de la forte popularité de Dragon Ball au pays du soleil levant, qui conduirait les japonais à être les premiers au monde à voir le film. Le changement de la date de sortie a favorisé ce pays, et ça peut être pris comme un privilège (ou pas).

Brian Tyler (le compositeur) parle de Dragon Ball.

Dragonball is a dream of mine to score. I have been a fan for as long as I can remember. I am going to do my utmost to reflect the epic tone of the story and capture the amazing richness of the characters. I love how the characters of DB are no simply good or evil. How throughout the mythology of DB they change allegiances (Piccolo) or have something inside them that is dark (Goku with his Oozaru side). It is classic epic story telling and I want the rest of the world (the non-DB fans) to experience what we already know. That Dragon Ball is one of our great modern mythologies.

Cheers,
Brian


Traduction:

C’est un rêve de faire la bo de Dragon Ball. J'ai été fan aussi longtemps que je m’en souvienne. Je vais faire tout mon possible pour tenir compte de la tonalité épique de l'histoire et de saisir l'étonnante richesse des personnages. J'aime comment les protagonistes de DB ne sont pas manichéens. Comment tout au long de la mythologie, ils changent d'allégeance (Piccolo) ou quelque chose en eux du côté obscur (Goku gorille géant). C’est un classique du récit épique, et je veux que le reste du monde (les non-fans de DB) aient l'expérience de ce que nous avons déjà, que Dragon Ball est l'un de nos grands mythes modernes.

Brian

Le compositeur de la bande originale sera Bryan Tyler (John Rambo, Bubba Ho-Tep...). Les musiques de l'anime composées par Shunsuke Kikuchi ne seront donc pas réutilisées pour le film.

Son site officiel.

Selon Steven Spielberg un Jurassic Park 4 est prévu et devrait être tourné en 2009. Il serait plus sombre que les précédents opus. De nouveaux dinosaures feraient leur apparition. Une adaptation fidèle du roman de Crichton pour un scénario palpitant et certainement des péripéties inattendues. En ce qui concerne le casting, Laura Dern rempilerait dans le rôle du Dr. Ellie Sattler par contre Sam Neill ne reprendrait pas celui du Dr. Alan Grant pareil pour Jeff Goldblum alias Ian Malcolm.

Film Canada Dry par excellence ! On met McClane/Willis dans un long métrage qui détruit tout dans un portnawak général et on l'appelle Die Hard. Le méchant incarné par Timothy Olyphant (nullissime hitman aussi) est insipide et sa motivation, la vengeance, jugez par vous même : Parce qu'il a prouvé devant ses supérieurs (le FBI) que leur système informatique pouvait être piraté avec un téléphone portable, il s’est fait virer alors qu'ils auraient dû lui dire merci d'avoir décelé une grosse faille comme celle là... Et le gogol va se venger avec l'aide d'informaticiens pour pirater le système avec des super-ordi (et le portable dans tout ça ?...) et de bloquer le pays entier. Le film est une suite sans queue ni tête d'explosion en tout genre (et pour le coup il essaye de faire du Michael Bay, le bouseman) sans unité de temps et de lieu...La mise en scène est inexistante, le scénario est virtuel, le méchant n'a aucun charisme (n’est pas Alan Rickman ou Jeremy Irons qui veut). Des scènes avec un humour à 2 balles, un Bruce Willis qui plus il vieillit plus il devient incassable (hoho), et des cascades faussement spectaculaires n’ayant aucun sens dans une débauche vomitif d’images de synthèse, quand tonton McClane fait du rodéo sur un avion de chasse en cgi, on attend des sommets dans le risible. Bref c’est une bonne grosse daube, Wiseman (le réalisateur, qui a commis les Underworld aussi). Et le marcel de McClane, a disparu pour un truc vert kaki très laid... Voilà comment on fout en l’air une excellent trilogie (même die hard 2 de Renny Harlin, qui n'est qu'un simple décalqué du premier opus, est mieux). Rendez nous, John Mctiernan, celui qui arrivait à transcender un film d'action, celui qui a révolutionné la mise en scène, en utilisant pour la première fois dans un blocbuster, la caméra à l'épaule...



Version Française : Comme toujours Bruce Willis est doublé par Patrick Poivey, égal à lui-même, à noter qu’ils ont réintégré le Yippee-Kay-Yay pauvre con absent des deux précédents épisodes.

Quelqu'un proche de la production:

There have been some rumors flying around about an extra terrestrial that Goku will have to fight in the movie. Well, maybe I can shed some light on this with what I've been hearing.

From what I've been told these creatures are actually demons created by Piccolo (think Drum and Tambourine from the manga) and will serve as Piccolos minions. Remember those Namekian Ninjas from the casting sides? Well, it s my understanding that those ninjas appeared in an early draft of the film but were changed into an army of demons when James Wong came aboard.

Something else that I am hearing is that the Ninjas are still in, but are only a small part of Piccolos army. I wouldn't be surprised if there were various other creatures and demons standing in Goku's way during his journey. . .



Traduction:

Il y a quelques rumeurs à propos d'aliens volant que Goku devra battre dans le film. Eh bien, je peux peut-être faire la lumière sur ça avec ce que j'ai entendu.

D'après ce que j'ai été informé, ces créatures sont en fait des démons créés par Piccolo (pensez Drum et Tambourine du manga) et servirait à protéger Piccolo. Vous vous souvenez des Namekian Ninjas ? Eh bien, je crois comprendre que ces ninjas apparu dans une première version du film ont été changés en une armée de démons quand James Wong (réalisateur) est rentré dans le projet.

Quelque chose d'autre que j'entends, c'est que les Ninjas sont encore là, mais ne sont qu'une petite partie de l'armée de Piccolo. Je ne serais pas surpris qu'il y ait d'autres créatures et démons pendant le voyage de Goku...

Les costumes révélés pour 5 personnages de l'adaptation live de l'excellent roman graphique d'Alan Moore Watchmen, le film est réalisé par Zack Znyder (300, l'armée des morts), Jeffrey Dean Morgan alias le Comédien, Patrick Wilson Le Hibou, Matthew Goode en Ozymandias, Jackie Earle Haley aka Rorschach ansi que Malin Akerman qui incarne Spectre Soyeux.

Pour la ressortie aujourd'hui de Cruising avec Al Pacino, critique.

Cruising, La Chasse en vf, réalisé par William Friedkin (l’exorciste), a longtemps été censuré dans de nombreux pays, lui donnant une aura d’œuvre sulfureuse et un statut de film culte.

Il faut bien constater qu’il n’est rien d’autre qu’un thriller et que la polémique de l'époque, n’est dû qu'au milieu dans lequel il se passe : les bars gays et l’univers SM.

En se remettant dans le contexte de l’époque (1980), on peut comprendre l’indignation dont il a fait preuve mais force est de constater que le propos est moins fort aujourd’hui du fait de la banalisation de l’homosexualité…

Malgré cela, le film reste assez glauque. Al Pacino y incarne un jeune flic débutant, qui infiltre ce milieu trouble dans le but d’attraper un serial killer qui tue des homosexuels.

Les meurtres, perpétrés à l’arme blanche, sont très graphiques et semble être directement inspirés du giallo, Friedkin incorpore même des images subliminales de porno gay, sorte de métaphore des coups de couteau qui rentrent dans la chair comme une enculade. Il se joue aussi du MPAA (comité de classification américain) screens d'EcranLarge:



Pour voir les autres images, Ici.

Des scènes osées, comme lors des descentes de Pacino dans des bars ou des entrepôts moisis, où les corps d’hommes à moitié nus s’enlacent, se roulent des pelles ou pratiquent des fellations. Tout est suffisamment explicite pour être compris mais ça ne vire jamais dans le racolage

On sent un Pacino très impliqué. On le voit se métamorphoser, douter de ses choix, de sa sexualité. Tendancieux et flirtant toujours avec une ligne rouge invisible, Pacino reniera même le film après la sortie et encore maintenant.

Karen Allen a un rôle anecdotique, qui offrait pourtant un contre poids intéressant à cet univers masculin.

Pacino qui revêt une casquette SM et des lunettes noires, ça vaut le détour.


Un bon film, choc pour l'époque, mais soufrant malheureusement de coupes qui desservent l'intrigue. A redécouvrir.

Voici les musiques des deux génériques ainsi que des deux prologues:

Cha-LaHead-Cha-La



Prologue 1 (jusqu'à la saga buu):

Musique du Prologue



We Gotta Power



Prologue de la saga buu:

Musique du Prologue II

Le film est reporté au 3 avril 2009, c'est confirmé. Le tournage lui, se termine le 15 mars, Chow Yun Fat (qui incarne Tortue Geniale) quitte Durango à la fin de la semaine.

Cet article comporte des spoilers.

Dans un cadre aux tons ocre et bleuté, au fond d'un puits, un homme aux traits saccadés et tristes s'acharne sur la roche, à la recherche de l'or noir. C'est la première séquence de There will be blood, le nouveau film de Paul Thomas Anderson (Boogie nights, Magnolia, Punch-drunk love) son quatrième pour être précis. C'est le début d'une fresque folle et démente. Le commencement de la fin. Sur une piste de bowling, noyé dans une folie démoniaque, le même homme s'acharne sur un jeune prêtre poli, faussement dévoué à sa cause, et l'achève de quatre coups de quille en lui défonçant le crâne. Une mare de sang s'étale sur le parquet, lustré, envahissant le bois en chêne de rouge écarlate. C'est l'Amérique piétinée par ses propres idéaux. C'est un cadavre au crâne éparpillé qui s’étend, devant nous, visage au sol, et un homme presque mort qui, à côté, s'assoit, et rigole. Voilà le sang promis par le titre. C'est le point final de l'immense chute d'un être aux rêves qui le dépasse. En faisant de son film une épique métaphore de l'égoïsme qui gangrène son pays, les États-Unis, pour ne pas dire le monde entier, P.T. Anderson réalise un excellent long métrage sur le sujet, si complexe et insaisissable, de l'industrie pétrolière. Mais le cinéaste traite de son thème en partant non pas sur une description du milieu, mais plutôt sur les conséquences inexorables qu'un idéaliste va provoquer autour de lui, et sur lui-même à commencer. Le schéma, pour le coup, était donc finalement applicable sur l'univers automobile autant que sur celui de la drogue par exemple, mais Anderson n'oublie tout de même pas de remettre son récit dans un contexte réaliste, et souvent nous montre-t-il les difficultés de travail des ouvriers, le danger auxquels ils s'exposent consciemment sous la tutelle d'un patron qui les exploite. Bref, en 2h30, le réalisateur parvient à tout brasser ; aussi bien la difficulté du métier donc, que la dégradation totale de la relation père/fils, des croyances et des connaissances. Du point de vue interprétation c'est un sans faute pour Daniel Day-Lewis, charismatique, cynique, parfait dans le rôle. Un excellent film, dense, complexe, qui ne fait pas preuve de manichéisme comme la plupart traitant du pétrole. Si il y a un film à voir en ce mois de mars, c'est bien celui-ci.