Les adaptations de comics-book, sont devenues monnaie courante, mais ça faisait longtemps qu’on n’avait pas vu aussi bien ! Jon Favreau, (Zathura, Elfe) nous offre un bon petit film, fidèle à la bande dessinée. Les aventures du milliardaire Tony Stark captivent de bout en bout. Nous avons là affaire à un personnage défini comme un être humain avant toute chose, la preuve, il avouera à la fin sans gène qui se cache derrière l'armure. Stark se trouve intégré dans un processus d'humanisation du personnage par l'artifice, justement, ce qui est particulièrement intéressant: l'armure est à son service et non l'inverse, Iron Man n'est pas une ironie du sort mais bien un choix. Tourné avec fraîcheur et enthousiasme, Iron Man est avant tout un film sur les choix et l'acceptation de soit même. Pourquoi un tel jusqu'au boutisme dans la conception des costumes ? Peut-être bien pour mieux nous présenter un monde réel, déjà façonné, mais dont le remède est en construction. Surprenantes, les séquences mettant en scène les terroristes dans un village d'Afghanistan entrent dans le domaine de l'inédit pour une production d'un tel calibre. Au risque de choquer (dans une certaine mesure), elles se placent en témoin d'une réalité plus que d'actualité, ainsi cette terreur bien présente fait-elle opposition à l'atmosphère quasi-futuriste dont on a un aperçu chez les américains. Comme le film ne pouvait pas être parfait, il fait preuve de quelques fautes de goût esthétiques, les cadrages ne sont pas toujours satisfaisants, rien de gênant, rassurez-vous. Niveau interprétation, c'est impeccable en particulier pour Robert Downey Jr, juste succulent.
(Scène coupée, qui sera normalement présente sur le dvd).
Jeff Bridges incarne un méchant fourbe, manipulateur, assez subtil à part le final où il cabotine un peu trop. Et parlons en de ce final, qui voit l’affrontement entre Iron Man et Iron Monger, assez plat, il manque un vrai souffle épique pour booster le tout. Robocop 2 n’est pas encore détrôné.
Il faut aussi souligner la scène après le générique de fin, où Nick Furry (version ultimate) fait son apparition et parle du projet initiative et des vengeurs (la ligue des justiciers façon marvel), un bon moyen d'introduire un univers cinématographique à en devenir.
James Marsters a signé pour les deux opus suivants de Dragon Ball le film (il compte en faire une trilogie), bien entendu en cas de succès du premier volet, il interprètera Piccolo jr.
James Marsters (Piccolo) révèle quelques éléments à une convention, en particulier sur un combat avec rayons d'énergie.
Piccolo doit éviter un rayon, les techniciens préparent l'explosion, James Marsters pense que c'est une bonne idée de se lever très tôt pour un maximum d'effet de surprise.
Action ! Celui-ci évite la vague déferlante lui arrivant dessus, elle va directement s'écraser sur un rocher, la roche explose sous le coup du rayon, Piccolo fait un bond dans les airs, et retombe parmi les débris, des morceaux se trouvant encore dans le ciel. La production est surprise mais continue de filmer. Un membre de l'équipe se fait toucher, James Marsters coupable mais avoue que le personnage n'est pas affecté par une petite explosion comme celle-ci... Un simple rocher n'affecte pas Piccolo Daimao...
Le site officiel des 40 ans du magazine Shōnen Jump a ouvert ses portes, pas de nouvelles informations pour l'instant en ce qui concerne le nouvel anime Dragon Ball.