Le samedi 28 septembre 2024, je fus au parc Universal Studios Japan à Osaka. Le second que j’aurais fait après celui d’Orlando en Floride en 2016. La principale raison de ma venue est le Super Nintendo World. Ouvert à tous publics depuis le 18 mars 2021, et que je tenais absolument à visiter.
Ce fut la journée où je me serais levé le plus tôt de tout mon séjour au Japon. Puisque mon arrivée au parc s’est faite aux alentours de 6h30 pour une ouverture prévue à 8h.
La raison de cette venue précoce est d’une part, d’éviter une file d’attente monstre aux guichets. Et surtout, de maximiser mes chances d’obtenir un ticket d’entrée horodaté gratuit (Area Timed Entry Ticket). À avoir en plus du billet pour USJ qui m’aura coûté 65€ en passant par Klook Travel, et indispensable pour le parc Nintendo. Ce ticket donne accès à la zone à un créneau horaire spécifique, et permet de rester aussi longtemps qu’on le désire. Dès l’ouverture, il fallait s’inscrire à un guichet dédié ou passer par l’appli officielle. C’est basé sur le principe du « premier arrivé, premier servi ».
Finalement, je n’ai pas eu besoin de prendre ce ticket ce jour-là. Puisqu’on m’a simplement scanné mon billet USJ aux guichets, et j’ai pu entrer directement dans le parc vers 7h20. Probablement car l’affluence était moindre que d’habitude. Sur le coup ça m’avait assez surpris, mais tant mieux.
Waterworld: A Live Sea War Spectacular
Mais avant d’évoquer le parc Nintendo, petit tour d’horizon des autres zones d’USJ. À commencer par le Waterworld où j’ai pu assister à l’attraction Waterworld: A Live Sea War Spectacular. Basée sur le film de 1995 par Kevin Reynolds. Et avec Kevin Costner, feu Dennis Hopper, et Jeanne Tripplehorn dans les rôles principaux.
C’était la première fois que je voyais à un show de ce genre. Et ce fut incroyable. Aucune salle IMAX, 3D, ou qu’importe, ne pourrait retranscrire ce que j’ai vécu. Puisque tout y est réel. Cascades, gerbes de flammes dont je ressentais la chaleur, effets pyrotechniques, véhicules aquatiques avec des moteurs vrombissants, et, etc. Le climax fut l’atterrissage explosif d’un hydravion sur la scène. J’en ai pris plein les mirettes, et plein d’eau aussi. Du très grand divertissement que je ne suis pas prêt d’oublier.
Jurassic Park
Ballade dans le parc du Jurassique où je n’ai pas fait d’attractions (ni dans aucune autre zone à part Nintendo et Waterworld). Pas même la montagne russe The Flying Dinosaur faisant quasi toute la longueur du terrain. Et me rappelant beaucoup l’Oziris du parc Astérix. À la principale différence que les passagers ne sont pas « debout », mais accrochés aux rails par le dos. Leur donnant la sensation de « voler » comme le ptéranodon en tête du wagon.
Le temps de ma venue, le Discovery Restaurant est devenu le FEAST Restaurant. Ça fait tout drôle de voir le décor de la scène finale du premier film, aux couleurs des pirates de l’équipage du Chapeau de Paille.
Demon Slayer: Kimetsu no Yaiba
D’ailleurs, One Piece n’était pas le seul manga présent à USJ. Puisque Demon Slayer avait aussi sa propre attraction en réalité virtuelle XR Ride au sein du village des forgerons.
Minion Park
Passage très rapide au parc des Minions qui, sans mauvais jeux de mots, était plutôt mignon. Malgré le fait qu’à l’heure actuelle, je n’ai vu aucun film de la franchise.
Universal Wonderland
Clairement à destination des familles et de leurs gosses, le très coloré Worderland regroupe des attractions rendant hommage à Elmo, Snoopy, et Hello Kitty pour ne citer que ceux-là.
The Wizarding World of Harry Potter
La très belle zone Harry Potter avec le quartier Pré au Lard, son train à vapeur Poudlard Express, et le fameux château. Un décor qui m’a paru très similaire à son homologue américain à Orlando.
Super Nintendo World
Le Royaume Champignon en vrai
Après ce tour d’horizon d’USJ, parlons du cœur de l’article qu’est le Super Nintendo World. Le tout premier parc sur l’univers de Mario au monde, et dont les prémices remontent à mai 2015. Au moment de l’officialisation du partenariat entre la firme et Universal Destinations & Experiences. Et on a dû attendre le Super Nintendo World Direct du 19 décembre 2020 présenté par Shigeru Miyamoto en personne, pour voir du concret.
Forcément, en tant qu’aficionado de la firme, j’étais ultra emballé par le projet. Visiter le Royaume Champignon dans le monde réel, même en rêve, je n’y ai pas songé. On le voit très nettement dans le Direct et mes propres captures. Avec des décors soignés et très fidèles à l’univers Super Mario. Les musiques des jeux qui changent selon les zones explorées. Les créatures en animatronique qui bougent. Difficile d’être plus immergé dans le monde de Mario au sein d’un parc aussi « vivant ».
Cependant, une fois sur place, on constate que c’est assez petit et resserré. Ça se ressent vite au fur et à mesure que la population augmente dans le SNW au fil de la journée. D’où l’intérêt d’y aller le plus tôt possible. Car il y a de la queue partout, et pour tout. Mais je relativise en me disant que le parc est ouvert depuis trois ans. Et qu’on doit être très loin de l’affluence des débuts.
Power-Up Band
Que serait un parc Nintendo sans un concept qui ne viendrait que de chez eux ? La preuve en est avec le Power-Up Band. Un bracelet ressemblant à une montre connectée sans écran, et à acheter séparément pour 4000¥ (24€). Un accessoire certes, non obligatoire pour accéder au parc. Mais qui reste quasi indispensable pour en profiter pleinement. En plus du Yoshi sur lequel j’ai jeté mon dévolu, les autres modèles sont aux couleurs de Mario, Luigi, Peach, Daisy, et Toad.
Ce bracelet est relié à l’application officielle de USJ que je trouve plutôt bien faite et simple d’utilisation pour le coup. Retraçant toutes nos activités que je décrirai plus loin. On y retrouve le nombre de pièces collectées. Une carte interactive du parc qui indique l’emplacement des différents points d’intérêt visités. Et la quantité de tampons obtenus après avoir réalisé une action spécifique. Qui sont regroupés en quatre catégories correspondant à une activité ou attraction que sont Super Mario Land, Mario Kart, Yoshi’s Adventure, et Super Nintendo World. À l’heure actuelle, j’en ai eu 50 sur 170.
Power Up Band Key Challenges
Au SNW, on compte deux principaux types d’activités. La première est celle tirant directement parti des bracelets. Avec la possibilité d’interagir avec le parc presque comme on le ferait dans un jeu Super Mario. En frappant des blocs avec le bras portant le bracelet pour obtenir des pièces. Actionner divers mécanismes. Vaincre des ennemis. Et ainsi de suite. Chacune de ces actions peut débloquer un des badges dont j’ai parlé plus haut.
Le but principal des activités liées aux bracelets, c’est le Power Up Band Key Challenges. Une sorte de « chasse au trésor » matérialisé par une série de minis-jeux, qui renferment des clés spéciales dont on devra scanner le symbole une fois l’activité réalisée. Un de mes préférés étant un niveau souterrain légèrement labyrinthique, où plus on avance, et plus la taille du décor s’agrandit. Comme si on avait rapetissé. Le niveau se terminant par un Bob-Omb géant qu’il faudra désamorcer en équipe dans un temps imparti.
Et dès qu’on aura accumulé trois clés (visibles sur l’appli), le chemin nous sera ouvert pour affronter Bowser Jr dans une zone secrète. Pour un duel par écran interposé où il faudra lui balancer ses propres objets à la figure. Tout en faisant attention à ce qu’ils ne nous tombent pas dessus.
C’était amusant, et un poil sportif. Rien que pour ça, ça valait le coup de chercher les trois clés. Même s’il fallait prendre son mal en patience au vu du monde présent à chaque activité.
Mario Kart : Koopa’s Challenge
Le second type d’activité à faire dans le parc, ce sont les attractions. Qui sont pour l’instant au nombre de deux (ou trois en comptant Bowser Jr). La première, et de loin la plus intéressante, est le Mario Kart : Koopa’s Challenge. Une « course » en réalité augmentée qui, selon les dires de Miyamoto, aurait mis 6 années pour être élaborée.
L’attraction se situe au sein d’un authentique, et splendide château de Bowser aménagé avec soin. Et que l’on découvre par un escalier en tapis rouge au bout duquel se trouve une imposante statue de l’ennemi juré du plombier.
D’ailleurs, si je peux d’emblée donner un conseil à celles et ceux qui comptent visiter le parc un jour, c’est de faire cette attraction dès l’entrée. Dans mon cas, 40 minutes se seront écoulées (dont la moitié du temps à marcher) entre le moment où j’ai pénétré dans le château, et celui où je m’apprêtais à m’installer sur les bolides. Sachant que je suis rentré dans le SNW vers 7h45, sans FastPass, et qu’il n’y avait pas encore énormément de monde sur place.
En tout cas, je n’ai pas vu le temps passer dans la file tant il y avait de choses à voir sur le parcours. Autour de nous, les références à cette saga de jeux de courses furent légion. Avec notamment un mur où étaient exposés les trophées des coupes standard de Mario Kart. Le camion Mario Kart Television (MKTV), et des banderoles de personnages, dont celui de Toad (Kinopio dans la langue locale).
Le parcours nous a même fait passer par l’atelier personnel de Bowser. Qui, visiblement, a mis tous les moyens en œuvre pour mettre une raclée au plombier à domicile. On peut y voir des infos amusantes sur sa manière à lui de résoudre les problèmes par la force. Ainsi que le processus de fabrication des objets explosifs, tels que les Bob-Omb, Bill Balle, et Mecha Bowser. C’est le genre de choses que j’apprécie énormément, car on ne le voit jamais dans les jeux. Et ça contribue à enrichir le lore.
Concernant l’attraction en elle-même, le principe est d’affronter l’équipe de Bowser au sein d’un kart à 4 places (2 à l’avant et à l’arrière). Cependant, ce ne sont pas des karts qui se conduisent comme dans des circuits de karting (ou dans les rues de Tokyo). Puisqu’ils sont fixés sur des rails, et roulent à une vitesse assez réduite. Même si avec la visière sur la tête, on s’en rend pas forcément compte avec les nombreuses animations à l’écran donnant une assez convaincante sensation de vitesse. D’ailleurs, l’image est assez nette on comprend bien ce qui se passe à l’écran. Viser les ennemis avec les objets ne m’a pas vraiment posé de difficultés. Pas une claque visuelle ni une révolution, mais bien fun avec de bonnes sensations.
La sortie de l’attraction menait tout droit à la boutique Mario Motors (qui est aussi accessible depuis l’extérieur). C’est là que j’ai fait mes seuls achats du parc qui seront visibles dans mon pactole.
Yoshi’s Adventure
Pour ceux qui connaissent le manège « It’s a Small World » de Disneyland avec la maison des poupées, c’est à peu de choses près le même principe. Mais en beaucoup plus court, et franchement moins intéressant.
Dans cette version dont le tour dure 3 min, les visiteurs se baladeront à dos de Yoshi sur les hauteurs du parc. Donnant une vue sympathique sur le château de Peach et le reste du Royaume Champignon. Mais contempler le paysage n’est pas l’objectif de la balade. Puisqu’on devra surtout débusquer les œufs de Yoshi dans le décor en appuyant sur la couleur correspondante sur l’écran du wagon. Une attraction qui devrait plaire aux plus jeunes, mais qui ne vaut clairement pas l’heure que j’ai dû patienter dans la file.
Mascottes
Que serait le Royaume Champignon sans ses personnalités les plus importantes ? Parmi eux, la princesse Peach qui laissait temporairement ses obligations royales de côté pour prendre des photos avec les passants.
Son fidèle serviteur Toad n’était pas très loin non plus. Ainsi que les inséparables frangins Mario et Luigi. Et à mon grand étonnement, je n’ai pas vu les deux personnages restants représentés sur les bracelets. Daisy et Yoshi.
Kinopio’s Café
D’ailleurs, en parlant de Toad, j’ai pu manger au sein de son restaurant le Kinopio’s Cafe après avoir fait une réservation sur place en scannant un QR code. Et ma foi, c’était pas mauvais du tout. On avait le choix entre divers plats allant de 1400¥ (8€) à 2500¥ (15€). Comme une salade Yoshi, du riz en forme d’étoile, et celui que j’ai pris un Cheeseburger Mario. Et pour le dessert, j’ai dégusté une part de gâteau représentant le drapeau d’arrivée de fin de niveau.
Et en plus de ça, le resto a fière allure et demeure assez grand. Je valide la cuisine du Royaume Champignon !
Donkey Kong Country (fin 2024 ?)
En septembre 2021, plus de 6 mois après l’ouverture du parc au Japon, Nintendo annonça l’arrivée prochaine d’une zone dédiée à Donkey Kong. Les dernières news parlaient de « fin d’année 2024 » sans plus de précisions. J’espérais pouvoir la visiter lors de ma venue au Japon, mais c’est visiblement encore trop tôt.
D’autant plus que l’on connait déjà le thème de certaines attractions. Dont une nommée Mine-Cart Madness. Une montagne russe qui devrait s’inspirer des fameux niveaux en chariot minier des épisodes 2D. Si un jour je suis amené à retourner au SNW quelque soit le pays, ça ne sera pas avant l’ouverture de cette zone.
Pactole
J’estime avoir été « raisonnable » pour les achats du parc. Avec une casquette SNW, un t-shirt Mario Kart aux couleurs de la Route Arc-en-ciel. Et sans oublier le bracelet Power-Up Band Yoshi.
Conclusion
Plus de trois ans après son ouverture, j’ai enfin pu aller au Super Nintendo World à Osaka et je ne regrette absolument pas l’expérience. C’est à faire au moins une fois si on est dans le délire, mais il ne faudra pas non plus s’attendre à un truc phénoménal. ;
Déjà, c’est fort joli. L’esprit de Nintendo est bien représenté avec plein d’activités ludiques tirant parti des fameuses montres. Dont le Mario Kart qui vaut à elle seule le déplacement autant pour l’attraction que les décors. Et en plus, on y mange bien.
Cependant, force est de constater que le parc n’est vraiment pas grand et ça se ressent. Et avec très peu d’attractions. D’où ma frustration quant au fait que la zone DK n’était pas encore accessible. Ça aurait permis de désengorger un peu la population, et varier davantage les activités.
En tout cas, ça aurait été mal connaitre Nintendo que de se contenter d’une expérience classique d’un parc où on ne fait que simplement visiter et faire des attractions à gauche à droite. Ce SNW n’est peut être pas révolutionnaire, mais il apporte quelque chose de frais dans le genre. Il faut le voir comme un gigantesque hub central où chaque attraction correspond à un niveau.
Pour celles et ceux qui seraient tentés d’y aller, je vous conseille d’attendre que la zone s’étende encore un peu. Mais en l’état, ça reste un chouette parc que je suis très content d’avoir visité. Le temps d’une demi-journée, je suis devenu un gosse à nouveau. Un gosse qui aurait halluciné s’il avait su qu’un parc comme celui-ci verrait le jour des décennies plus tard.
J'y suis passé l'année dernière. Pour moi le gros soucis du parc c'est qu'on ressent la mentalité très américaine/occidentale un peu partout: Tout est là pour te faire cracher le plus d'argent possible.
Le bracelet Nintendo en est un très bon exemple je trouve. Le yen est très bas donc 24€ ça paraît relativement ok, mais 4000 yen c'est très cher pour un bracelet électronique au japon. Je suis franchement étonné que Nintendo n'ait pas cherché à trouver une autre solution là dessus.
On s'entend qu'au Japon c'est pas le monde de bizounours, mais généralement les entreprises japonaise font attention aux détails et à faire en sorte que le consommateur ne se sente pas floué.
Sinon, oui je suis d'accord sur le fait que la zone Nintendo n'est pas si incroyable que ça. Au final, je retiens surtout l'attraction Resident Evil qui était vraiment cool, le spectacle Waterworld, la zone Harry Potter, et le fait d'y être allé en Octobre fait qu'il y a tout un événement autour d'Halloween qui est franchement top.
Le seul gros parc que j'ai fait quand j'étais au Japon, c'est Disney. J'aurais bien aimé faire Universal mais pas eu le temps. En même temps, je suis pas resté très longtemps à Osaka (à peine deux jours) comparé à Tokyo...
Flying Dinosaur comme son nom l'indique est un flying coaster.
Ce type de coaster offre des sensations très différentes des coaster classiques (même par rapport au coasters inversés type Osiris).
J'ai fait énormément de coaster mais Flying a vraiment un feeling et des sensations vraiment différente des autres. Clairement un des mes coaster préférés.
Le XR ride temporaire sur Kimetsu no yaiba vaut le coût pour les fans de la franchise. C'est un ancien coaster (assez inintéressant) qui a été fermé puis modifié en rajoutant la VR pour proposer des expériences éphémères/temporaires.
La qualité du film VR est convenable et largement au-dessus de ce que j'ai pu faire auparavant (notamment à Europapark).
Le Land Nintendo j'en attendais pas énormément n'étant pas fan des licences Nintendo à part Mario Kart mais j'ai quand même été déçu...
Principalement à cause de l'étroitesse du Land pas adapté à la foule qui s'y trouve (et pourtant il y a des quotas...). Sincèrement je n'avais qu'une envie, faire l'attraction sur MK et me barrer vite du land tellement la circulation est difficile et le tout extrêmement étriqué.
Concernant ce qui m'intéressait le plus, l'attraction Mario Kart, je ne sais toujours pas trop quoi en penser... La théma est vraiment qualitative, le parcours de la file d'attente est vraiment une belle réussite mais l'attraction en elle-même est vraiment brouillonne malgré le concept technologique fonctionnant plutôt bien.
Le bracelet Nintendo en est un très bon exemple je trouve. Le yen est très bas donc 24€ ça paraît relativement ok, mais 4000 yen c'est très cher pour un bracelet électronique au japon. Je suis franchement étonné que Nintendo n'ait pas cherché à trouver une autre solution là dessus.
On s'entend qu'au Japon c'est pas le monde de bizounours, mais généralement les entreprises japonaise font attention aux détails et à faire en sorte que le consommateur ne se sente pas floué.
Sinon, oui je suis d'accord sur le fait que la zone Nintendo n'est pas si incroyable que ça. Au final, je retiens surtout l'attraction Resident Evil qui était vraiment cool, le spectacle Waterworld, la zone Harry Potter, et le fait d'y être allé en Octobre fait qu'il y a tout un événement autour d'Halloween qui est franchement top.
Ce type de coaster offre des sensations très différentes des coaster classiques (même par rapport au coasters inversés type Osiris).
J'ai fait énormément de coaster mais Flying a vraiment un feeling et des sensations vraiment différente des autres. Clairement un des mes coaster préférés.
Le XR ride temporaire sur Kimetsu no yaiba vaut le coût pour les fans de la franchise. C'est un ancien coaster (assez inintéressant) qui a été fermé puis modifié en rajoutant la VR pour proposer des expériences éphémères/temporaires.
La qualité du film VR est convenable et largement au-dessus de ce que j'ai pu faire auparavant (notamment à Europapark).
Le Land Nintendo j'en attendais pas énormément n'étant pas fan des licences Nintendo à part Mario Kart mais j'ai quand même été déçu...
Principalement à cause de l'étroitesse du Land pas adapté à la foule qui s'y trouve (et pourtant il y a des quotas...). Sincèrement je n'avais qu'une envie, faire l'attraction sur MK et me barrer vite du land tellement la circulation est difficile et le tout extrêmement étriqué.
Concernant ce qui m'intéressait le plus, l'attraction Mario Kart, je ne sais toujours pas trop quoi en penser... La théma est vraiment qualitative, le parcours de la file d'attente est vraiment une belle réussite mais l'attraction en elle-même est vraiment brouillonne malgré le concept technologique fonctionnant plutôt bien.