Ils sont quand même fort, ils font une conférence pour parler de retour d'une mascotte (en plus ils mettent les moyens pour que ça soit crédible) qui n'a jamais existé, satirique comme il faut
Ils m'ont achevé avec Baby Steps
nicolasgourryreflexion j'aime bien le côté qui se moque de ceux qui pense que l'IA va remplacer les gamedesigners et développeur. Autant ça va aider, mais de la à remplacer autant de métier j'ai un gros doute. Puis qui achète si pas de travail et de salaire lol ?
liberty en fait c'est une satire entre le créateur et sa "création", qui d'un coté aime créer un "phénomène" (un besoin pour "compenser" quelque chose, quitte à en faire des tonnes pour exploiter le phénomène) et après il en a peur (ça le dépasse)...l'humain et sa capacité a se créer des frayeurs (des peurs) absurdes.
Liberty : Je ne pense pas qu'ils se moquent de ces personnes. À mon avis, ils pointent surtout déjà du doigt les gros producteurs et têtes de studio qui se frottent les mains en pensant pouvoir remplacer des employés par de l'IA (ce que font déjà beaucoup de boites au passage). C'est une critique visionnaire vis à vis de l'avenir de notre industrie et c'est pour ça que je trouve la conf' de Devolver plutôt brillante cette année.
Même sans parler d'IA, mais en s'en rapprochant grandement, le fait de se référer à des statistiques pour faire des jeux qui vont "forcement" plaire aux gens, c'est déjà au cœur de l'industrie depuis des années et on voit déjà bien l'influence que ça a eu sur le milieu avec la quantité énorme de jeux sans âme qui sont juste des copies de succès et qui finissent par être des gros flops.
raiohliberty en fait c'est un tout.
Tu as le créateur, il crée un "phénomène" autour d'un personnage par exemple, puis tu es les producteurs qui investissent, ne fois que le phénomène est en route, les producteurs ont donc le "phénomène" dans les mains, ils se disent "maintenant que l'on a la création, plus besoin du créateur" (pour ça que l'a il prenne l'exemple d'une licence qui existe mais pour expliquer que les producteurs veulent le retour et en faisant des tonnes), ils invitent le créateur pour faire "genre" mais le créateur n'a plus un moment quasiment son mot à dire, la création lui échappe, mais la création existe que par ce que il y a un créateur et sa il ne faux jamais l'oublier, les producteurs (disons les gros patrons des grosses firmes, on peut dire aussi "Investisseur" -même gros actionnaire- l’oubli, pour eux personne est irremplaçable, mais quand le créateur n'est plus là, il manque quelque chose, une AI fonctionne en fonction des intentions d'un créateur, pour ça que tant qu'il y a un équilibre entre les deux, ça se complète, sinon il manquera quelque chose).
raiohliberty il y a l'exemple de Kojima, il avait créé Kojima Productions (en 2005, comme ça il avait les mains plus libre pour faire déjà plus ce qu'il voulait avec MGS par exemple), une filiale de Konami, même si Konami est plus là (et qu'il n'a plus la main sur les licences qu'il a créées pour eux comme MGS), il a pu garder son indépendance (et donc surement une partie de son équipe) et pouvoir continuer quand même en créant d'autres licences, car il est créateur et producteur de ses propres création, donc il peut proposer des jeux qu'il a envie.
nicolasgourry Après les joueurs ne sont pas dupe. L'exemple de MGS est très bien. On a bien vue ce qu'a donné MGS sans Kojima. Même le remaster du 3 donne pas très envie sans Kojima. Après tous ne font pas ça. Je pense à Nintendo et certains Gamedesigners très respecté. Qui ont encore leur mots a dire aujourd'hui encore.
Heureusement c'est pas partout pareil.
liberty pour Nintendo, je pense à Rarewar, je pense qu'à l'époque de Nintendo, contrairement à ce que l'on pourrait penser, Rarewar était plus libre avec Nintendo que l'on pourrait imaginer, pour une raison simple, Nintendo à l'époque n'avait que 49% du capital, il n'était pas actionnaire majoritaire, c'est pour ça que nous avions Mario Kart 64 fait par Nintendo avec leur mascotte et Diddy kong Racing avec des mascottes de Rare (pour ça qu'ils peuvent encore utiliser Banjo et Conker sans que Nintendo dise quoique ce soit), mais par contre, l'esprit "Nintendo" (bon enfant) n'est pas le même que l'esprit Microsoft en terme de jeu, car les jeux Rarewar avait quand même un était d'esprit "bon enfant", d'ailleurs pour ça que Conker's Bad Fur Day a un peu troublé les relations entre Nintendo et Rare, Rareware était libre (donc créer un personnage comme Banjo) mais il fallait garder un certain état d'esprit). Là nous voyons bien que Rare à du mal à proposer des jeux concerts en nombre depuis pas mal de temps, je pense que Microsoft à voulu racheter Rare pour avoir un catalogue "bon enfant" pour "concurrencer" Nintendo sur ce terrain, mais c'est compliqué, car le public de Microsoft est peut-être moins dans l'idée d'avoir des jeux "bon enfant".
Après, Rare c'était aussi Killer Instinct, Goldeneye, Perfect Dark, Jet Force Gemini qui étaient moins bon enfant et comme tu l'as dit, Conker également. Le gros problème de
Rare chez MS c'est aussi et surtout les mecs qui se sont barrés pour fonder Free Radical et d'autres plus tard Playtonic.
Résultat, un grand nombre de responsables des grands succès de Rare n'étaient plus dans le studio.
deadalus pour Jet Force Gemini, quand je jouais, je trouvais qu'il restait "bon enfant", d'ailleurs c'est une licence qui est jamais revenus sur le devant de la scène chez Microsoft, contrairement à Killer Instinct et Perfect Dark.
Après, effectivement une partie de Rare à l'époque à créer ses propres studios, ça explique aussi certaines choses sur le Rare d'aujourd'hui.
Ils m'ont achevé avec Baby Steps
Devolver déçoit jamais.
L'auto-derision dans cette industrie, ça manque.
Même sans parler d'IA, mais en s'en rapprochant grandement, le fait de se référer à des statistiques pour faire des jeux qui vont "forcement" plaire aux gens, c'est déjà au cœur de l'industrie depuis des années et on voit déjà bien l'influence que ça a eu sur le milieu avec la quantité énorme de jeux sans âme qui sont juste des copies de succès et qui finissent par être des gros flops.
raioh Oui je suis d'accord, drole mais triste en même temps
Tu as le créateur, il crée un "phénomène" autour d'un personnage par exemple, puis tu es les producteurs qui investissent, ne fois que le phénomène est en route, les producteurs ont donc le "phénomène" dans les mains, ils se disent "maintenant que l'on a la création, plus besoin du créateur" (pour ça que l'a il prenne l'exemple d'une licence qui existe mais pour expliquer que les producteurs veulent le retour et en faisant des tonnes), ils invitent le créateur pour faire "genre" mais le créateur n'a plus un moment quasiment son mot à dire, la création lui échappe, mais la création existe que par ce que il y a un créateur et sa il ne faux jamais l'oublier, les producteurs (disons les gros patrons des grosses firmes, on peut dire aussi "Investisseur" -même gros actionnaire- l’oubli, pour eux personne est irremplaçable, mais quand le créateur n'est plus là, il manque quelque chose, une AI fonctionne en fonction des intentions d'un créateur, pour ça que tant qu'il y a un équilibre entre les deux, ça se complète, sinon il manquera quelque chose).
Heureusement c'est pas partout pareil.
Rare chez MS c'est aussi et surtout les mecs qui se sont barrés pour fonder Free Radical et d'autres plus tard Playtonic.
Résultat, un grand nombre de responsables des grands succès de Rare n'étaient plus dans le studio.
Après, effectivement une partie de Rare à l'époque à créer ses propres studios, ça explique aussi certaines choses sur le Rare d'aujourd'hui.