Dans un email adressé à l'ensemble des employés d'Ubisoft, le PDG Yves Guillemot annonce que deux des pontes du pôle éditorial, lourdement accusés de faits de harcèlement et d'agressions sexuels, ne sont plus en poste, ainsi qu'un employé dont l'identité est restée secrète.
Maxime Beland, vice-président de l'éditorial, a démissionné de son poste chez Ubisoft, avec effet immédiat. Malgré sa démission, nous continuons à enquêter sur les allégations portées contre lui. En outre, depuis hier, Tommy François, vice-président de l'éditorial et des services créatifs, a été mis en congé disciplinaire en attendant les résultats d'une enquête. Une autre personne d'Ubisoft Toronto a été licenciée pour avoir eu des comportements qui ne correspondent pas à ce que l'on attend des employés d'Ubisoft. D'autres enquêtes sont en cours et seront menées avec rigueur. Ubisoft ne tolérera pas les fautes professionnelles et continuera à prendre des mesures disciplinaires contre ceux qui pratiqueraient le harcèlement, la discrimination, ou tout autre comportement qui entrerait en infraction avec notre code de conduite.
accueil | 
News | 
Blogs | 
Vidéos | 
Tests | 
Previews | 
Dossiers | 
Facebook
profil
tags : 
commentaires (29)
Je comprends toujours pas pourquoi Ubi l'a réengagé avec un poste plus haut, ça sent la corruption à plein nez cette histoire.
De + si c'est des accusations organisés et que c'est prouvé que c'était de l'exagération et du mensonge, alors vous serrez pire qu'un harceleur!
C'est la fin moi j'vous le dis..
tokito White Savior ?
C'est bien trouvé, c'est bien Tommy
Je suis d'accord.
Je sais juste que Maxime Béland, pour se changer les idées, est en ce moment en train de jouer à Goat Simulator !
Bref, la justice fera le boulot accuse a tord ou pas ce sont les affaires du studio mais il faut continuer a condamner toute forme de harcèlement lourd.