En attendant Buzz ! The Sports Quiz, ce sont les plus jeunes que Sony tente d'initier aux joies du buzzer sur PS2 avec ce Buzz ! Junior : Singes en délire.
Si par leurs principes de quiz particulièrement prenants, les deux précédents
Buzz ! ont permis à de nombreux joueurs de sauver de justesse des soirées qui s'annonçaient bien mornes,
Sony tente à présent de rallier les plus jeunes à sa cause via ce
Buzz ! Junior : Singes en délire qui met de côté le principe de questions/réponses, pour proposer une série de mini-jeux loufoques pour la plupart, mettant en scène de jeunes singes qui vont tout mettre en oeuvre pour faire la misère à un vieux gorille. Ainsi, après avoir opté pour son double simiesque, le joueur a la possibilité de se lancer dans une triste partie en solo, ou bien dans la folie du multijoueur permettant à quatre joueurs de se mesurer. Le soft propose donc de participer à une série d'épreuves (le jeu en comporte une quarantaine en tout) et il faudra ainsi tantôt effectuer une course d'obstacles, tantôt faire preuve de vitesse via un jeu de cartes, ou encore lâcher de mémorables pets dans un bain en prenant garde de ne pas réveiller le gorille qui somnole à côté. Bref, toute une série d'activités simples et rigolotes que les jeunes joueurs devraient apprécier…l'espace de quelques heures seulement. En effet, le titre de
Sony Computer Entertainment vient rapidement à manquer d'activités, et même si certaines méritent d'être rejouées, une poignée d'heures suffit à faire le tour des possibilités offertes par ce
Buzz ! Junior : Singes en délire. Côté réalisation, hormis un aliasing un peu trop visible, le soft est plutôt agréable et certaines activités, comme le baseball, sont même très bien rendues. L'intégralité du soft est évidemment en français et les temps de chargements sont assez courts pour ne pas susciter l'impatience générale chez nos chères têtes blondes.
Buzz ! Junior : Singes en délire constitue donc une bonne alternative pour les parents désireux d'occuper leurs enfants l'espace d'une après-midi ou deux, mais pas davantage malheureusement.