En 2075, une petite fille de 10 ans, Iris, voit un mystérieux garçon vêtu d'une combinaison arc-en-ciel tomber du ciel. C'est Arco. Il vient d'un futur lointain et idyllique où voyager dans le temps est possible. Iris le recueille et va l'aider par tous les moyens à rentrer chez lui.
20 Minutes 5/5
Animation et science-fiction font bon ménage dans ce conte bouleversant récompensé par le Grand prix d’Annecy.
L'Ecran Fantastique 5/5
Autre tour de force de ce métrage, un univers visuel saisissant. Chaque plan est ciselé avec un souci du détail oscillant entre palettes chromatiques chatoyantes et moments de grâce contemplative.
Le Parisien 5/5
« Arco », premier film signé Ugo Bienvenu, qui a remporté le Cristal du long-métrage au festival d’Annecy, épate par son propos qui mêle des thématiques très modernes, comme l’écologie ou l’IA.
Mad Movies 5/5
Derrière la simplicité de sa narration se cachent des trésors de sensibilité, choyés par une myriade d'images splendides et par un environnement sonore d'une richesse inouïe.
Cahiers du Cinéma 4/5
Dans un style rétrofuturiste qui rappelle les classiques américains de la SF, le premier long métrage d’Ugo Bienvenu dynamite a intensité égale la mièvrerie et le sérieux.
L'Obs 4/5
La réussite laisse d’autant plus rêveur que c’est le premier film du bédéaste et clippeur Ugo Bienvenu, patronyme à l’image d’« Arco » : accueillant et généreux.
La Voix du Nord 4/5
La pépite familiale des vacances.
Le Dauphiné Libéré 4/5
L’habit arc-en-ciel d’Arco évoque à la fois la pureté d’un prisme et la promesse d’un futur polychrome, loin des dystopies habituelles.
Le Figaro 4/5
Poétique et flamboyant.
Le Monde 4/5
Une sensualité pop et animiste éclate à chaque plan. On compte sur les doigts d’une main de tels éblouissements dans l’animation française.
Le Point 4/5
Question : que va-t-on laisser en héritage à nos enfants et à quel prix ? La réponse est dans cette belle aventure de science-fiction qui, sur un mode bucolique et poétique, aiguise notre réflexion sur le monde, aujourd'hui et demain.
Les Inrockuptibles 4/5
Auteur d’une dizaine de courts métrages et de clips d’animation, le cinéaste-bédéiste signe une petite prouesse d’animation 2D, à la fois manifeste esthétique et fable écologique réparatrice.
Libération 4/5
Le mélodrame familial qui affleure en toute fin de film fait à cet égard du bien, rappelant que toute cette dépense d’énergie et de couleurs a eu un prix : en quelques jours, toute une vie a passé pour la famille d’Arco et les arcs-en-ciel sont aussi les traces légères de tout ce qui se perd pour qu’un peu soit créé.
Première 4/5
Arco est en permanence traversé de moments d’humour et de poésie. Et raconte en creux que la technologie n’est ni une menace, ni une bénédiction mais toujours - y compris dans le futur où elle a encore gagné du terrain - ce que l’humain en fait. Le tout sans se faire donneur de leçon. Un tour de force.
Télérama 4/5
Un bijou de dessin animé avec ses images à la beauté radieuse et son récit plein d’espoir.
La Croix 3/5
Entre références à Spielberg et Miyazaki, le film porte un regard optimiste sur l’enfance, seule capable de sauver le monde face à des adultes inconséquents.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Malgré une maîtrise technique indéniable, Arco déçoit en raison d’un scénario banal. Le réalisateur ne parvient pas à composer un univers aussi riche et intéressant que le cinéma de Miyazaki, référence convoquée mais un peu trop écrasante.
Je suis révolté par le fait que les LGBT se sont appropriés les belles couleurs de l'arc-en-ciel, là en lisant d'abord la description j'imaginais déjà un film de propagande "progressiste", alors que pas tout (enfin, à priori)
Micheljackson LGBT ici, t'inquiètes pas on a pas déposé de brevet sur les arcs-en-ciel tout va bien se passer tu peux continuer à aimer les choses colorées.