Ben ouais, c'est relou; y'a pas moyen d'accuser un média ou un style de vie en particulier.
"Socialement,
Adam Lanza était un être étrange : à l’inverse de la plupart des jeunes de sa génération, il n’avait apparemment pas de compte
Facebook."
Lisez-la, relisez-la, retournez la en bouche. Admirez-en les restrictions apparentes, ce « la plupart », ce « apparemment ». On sent que l’auteur (journaliste au site de
L’Express) ne parvient pas tout à fait à y croire. On sent qu’il brûlerait de poursuivre l’enquête, de partir chercher les traces, dans la vie réelle, de cet être étrange qui a si peu imprimé l’univers numérique.
Que dit cette phrase ? D’abord, banalement, le dépit mécanique des journalistes, qui ont pris l’habitude, en tout premier réflexe, de chercher sur les réseaux sociaux des traces des tueurs de masse.
Comme le relevait
Rue89, c’est avec une pointe de dépit que l’information était donnée par les confrères sur les radios, pendant tout le week-end. On interrogeait un psychiatre. On cherchait à comprendre. Pas de page
Facebook ? Aujourd’hui ? C’est forcément grave, docteur !
Cette analyse n'est pas de moi, mais de Rue 89.
Adam Lanza n'était pas sur facebook ou twitter, il n'était pas inscrit sur des comptes de jeux en ligne, n'avait pas d'amis, était rarement présent sur les photos(donc aussi aux rassemblements),n'avait pas spécialement de loisir, n'était pas fan d'une star,d'un réalisateur,d'un jeu,d'un film en particulier...
Le 3ème en partant de droite
En gros, on ne sait toujours rien sur sa vie et ce, jusqu'à nouvel ordre.
Alors finalement, on se rabat sur quoi? Ben sur les armes.
On se demande pourquoi il y a tant d'armes qui sont disponible. C'est ça la vrai question
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Et puis sur la dernière image, on dirait qu'il a un casque de soldat sur sa tête d'abruti
Sa tête n'a rien à voir avec ce qui s'est passé. Le problème, c'est que les médias n'ont rien à se mettre sur la dent. Personne à accuser, aucun ersatz de call of à diaboliser, aucun film à moquer. C'est la panne sèche.
Ce soir, M6 a montré un reportage sur l’Australie qui après la tuerie de Port Arthur de 1996, a mis en place des mesures drastiques, comprenant notamment le rachat des armes. Ce choix a permis de faire baisser les homicides par armes à feu de 59%.
Ce sera difficilement applicable aux états unis mais ceci est un autre débat.
Voici le point du figaro qui explique pourquoi Obama ne pourra rien y faire:
Les États-Unis pourraient-ils en prendre de la graine? Les deux pays ont des points communs. Ils partagent notamment une mentalité de «frontier», c'est-à-dire de pionniers, qui explique leur attachement historique au droit de porter des armes. Comme en Australie à l'époque, une majorité d'Américains paraît aujourd'hui favorable à l'instauration de contrôles plus stricts. Mais les différences sont nombreuses. D'abord le phénomène du port d'armes est bien plus étendu dans la société américaine. John Howard le reconnaît lui-même dans une tribune publiée en août dans The Age : racheter un cinquième du stock d'armes, comme cela avait été fait en Australie, impliquerait aux États-Unis de pouvoir récupérer 40 millions d'armes… De plus, le droit de porter les armes n'était pas dans la Constitution australienne. Enfin, comme l'a fait remarquer en juillet le professeur John J. Donahue dans un article sur CNN.com, l'Australie ne possédait pas d'industrie d'armement sur son territoire, et surtout, il n'existait pas dans le pays un lobby comparable au NRA, qui pèse aussi lourdement sur la politique américaine.
On veut tellement nous mettre dans le moule que les gens en deviennent risibles... Pour ce qui est du port d'arme, ça reste malheureusement LE problème numéro un aujourd'hui c'est indéniable...
C'est quelque chose d'encrer dans la culture américaine, car l'Amérique c'est triste à dire a toujours été un pays basé sur des communautés divers et variés provoquant des tentions voir beaucoup de méfiances entre elles. Lorsque le Colte est sorti c'était déjà un argument pour défendre son foyer de possibles agresseurs afro-américains et mieux se replier sur soit en verrouillant les portes et peu à peu en s'abreuvant de peur et de propagande pro-arme à la téloche... Des émissions comme "COPS" où l'on voit 98% du temps des noirs se faire arrêter par la police, des journaux poussant à la consommation en trouvant toutes sortes de menaces venant du monde extérieur, faisant du terrorisme un bulletin météo et de la fin du monde une réalité...
Les gens se sont retrouvés cloisonnés avec leurs armes, quoi de pire dans le fond pour mieux te rendre cinglé, et surtout quoi de pire si celle-ci tombe entre les mains d'un ado ou un jeune adulte mal dans sa peau et perturbé qui peut péter un câble rien qu'à cause d'un problème identitaire ou un problème de coeur...?
L'amérique de George Bush qui a rendu encore plus souple la circulation des armes n'est qu'un mécanisme pervers qui s'entretient avec beaucoup d'obscurité avec les lobbys des armes comme la NRA. Ils vanteront toujours leur liberté à tout bout de champs car c'est leur rengaine favorite pour convaincre le citoyen... La liberté de posséder une arme mais aussi partir en guerre au nom de la protection de la liberté... Le tout baigné dans des paroles de cul-bénis pour bien impressionner la ménagère dans son salon. Quelle belle démocratie...
Et quand on pense qu'on a eu un prédisent atlantiste...
insane in thhhhhhhhhhhhhhhe brain !!!!
http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcTM18dSv9Cm7_IUDv9A2X6XpGfR9-0l8CGCoIIymJ_OIVNmQgFpdZtkDb-u
Sa mère était membre d'une organisation qui stocke des armes en vue d'une possible guerre civile ou état d'anarchie aux USA (à cause de la crise) et sa haine de sa mère et tout ce qui s'y rattachait (donc son école aussi) l'aurait amené à mené à bien ce carnage.
Des circonstances très particulières donc, aussi bien personnelles qu'environnementales pour ce gars là, rien à voir avec les réseaux sociaux, les jeux-vidéos, ou tout autre circonstance externe.
Kid > Il y a effectivement des contradictions dans cette affaire mais le coup des illuminés religieux qui y voient une intervention démoniaque ça fait sourire. Par contre comment ça c'est vraiment passé, on le sera sans doute jamais...
t as d autres remarques débiles comme sa ?