Episode très attendu par tous … L’épisode qui a marqué les esprits par les changements apportés … Souvent considéré comme l’un des tout meilleurs épisodes, aux côtés du premier épisode, il reste aussi le second jeu où Shinji Mikami a travaillé très volontairement (oui ne l’oublions pas, il n’a vraiment travaillé que sur 4 jeux : Resident Evil premier du nom, son remake Resident Evil Rebirth, cet épisode-ci et le très polémiqueux Resident Evil 4).
Qu’a donc cet opus qui font qu’il reste un épisode à part ?
Tout d’abord fait très étrange (enfin pour ma part), ce n’est pas réellement un épisode principal mais plus un spin-off puisqu’il ne possède pas de numérotation. Au niveau de l’histoire il aurait pu être appelé Resident Evil 4, mais finalement il n’en est rien.
Passons donc aux nouveautés techniques, et là on peut dire qu’il y a du changement.
Nous sommes toujours en plans fixes mais cette fois-ci nous avons de la vraie 3D et non plus de la « fausse 3D » dira-t-on. C’est une avancée assez normal, enfin pour moi cela semble logique puisque nous sommes sur une génération supérieure de console, il est donc normal d’avoir une technique beaucoup plus développée.
Les graphismes sont d’ailleurs plutôt beaux sans cependant nous donner une claque, mais ce n’est pas pour ça qu’on retient cet épisode comme culte.
L’un des plus grands points fort de cet épisode, c’est son scénario. On peut d’ailleurs le dire sans aucunes craintes, il reste aujourd’hui l‘épisode avec le scénario le plus important de la saga. Pas difficile vous me direz … Mais malgré tout il reste un scénario plaisant à suivre vu qu’il apporte la lumière sur certaines origines de la société Umbrella Corporation.
On retrouve donc Claire Redfield, héroïne de Resident Evil 2, en France dans une base de Umbrella pour retrouver son frère Chris qui a disparu après être parti en chasse lui aussi contre la firme pharmaceutique. Malheureusement cette dernière se fait capturer et emmener sur l’île de Sheena Island, île où se trouve la famille Ashford, une des familles fondatrices d’Umbrella.
Je ne donnerais pas de détail ou vous dévoilerais les éléments clé, mais je peux juste vous révéler une chose : le retour d’un personnage emblématique de la série sans donner de noms. Mais je peux vous avouer que c’est un come-back qui a fait son effet à cause de sa surprise, et cela reste encore un coup de génie de la part de Mikami d’avoir repris ce personnage.
D’autres personnages sont aussi présents, comme Steve Burnside qui se trouve aussi sur l’île en tant que prisonnier. Il sera un allié au cours de l’histoire, enfin plutôt un compagnon de galère.
Mais pour moi le personnage culte de ce Resident Evil - Code : Veronica reste Alfred Ashford. Sa complexité mentale reste impressionnante, avec ses relations très étranges qu’il entretient avec sa sœur Alexia Ashford. C’est l’un des points forts pour l’ambiance de cet opus, voire même le point principal parce que je ne vais pas vous mentir, à part ça nous sommes en territoire connu. Nous avons les ennemis classiques et quelques petits nouveaux avec les boss qui sont en général plutôt bons sans pour autant être extraordinaires.
Les lieux quand à eux sont vraiment impressionnants avec la base par exemple, mais également la seconde partie en Antarctique qui marque un peu plus la surprise puisque ça change de ce qu’on pouvait avoir dans les 3 épisodes précédents.
Sinon les mécaniques n’ont pas changé d’un pouce, nous avons les énigmes classique à la mords-moi le nœud, le système de santé des herbes et leurs mélanges, les machines à écrire avec les rubans encreurs pour sauvegarder …
Finalement ce qui fait de cet épisode un opus unique, c’est son scénario, ses personnages, son ambiance et ses lieux. Toutes ces différences font que c’est un épisode vraiment à part … Une renaissance de la série qui était nécessaire après la « trilogie » originale. Shinji Mikami l’avait bien compris et c’est bel et bien un coup de maître qu’il a réussit à faire avec cet opus, qui a redonné ses lettres de noblesse à la saga culte qu’est Resident Evil.
En bonus je vous mets l'introduction du jeu, qui avait fait son effet à l'époque de par la mise en scène, une scène culte de la saga ! :
L'un de mes préférés ne serait ce que (comme tu l'as dit) pour l'apport de la famille ashford (Alexia et Alfred sont vraiment machiavéliques^^) mais c'est aussi l'épisode le plus conservateur en matière de mécaniques contrairement à RE3.
Mais malgré tout je le mets au dessus de Re zero et Re3.Il est en duel avec RE2^^
Cela tiendrait du miracle si on pouvait avoir un scénario aussi bon sur cette generation en ce qui concerne les jeux horrifiques (bien qu'il y a eu Siren:Blood Curse avec sa trame énigmatique.)
Très bon billet Greil as usual comme dirait Shino.^^je ne raterai pas les suivants.
Très bon souvenir de ce jeux, je me rappel avoir galéré pour le finir sans sauvegardé une fois et tous ça à cause du boss dans l'avion avant de changé de cd (sur dreamcast).
Mon RE préféré après RE rebirth. Un scénario intéressant, des méchants originaux et déjantés, une bonne durée de vie. Je l'ai fait 5 fois tant il est intéressant. Je pense que c'est le resident qui mériterait le plus un remake.
Un grand opus et le dernier digne de porter ce nom !!!A la fois Terrifiant & bien calibré , comme shurax le décris, c'est l'opus ou tu devais vraiment gérer tes balles surtout dans la première moitié, car beaucoup de monde se sont fait baiser au fight dans l'avion au point même de tout recommencer . Bref la recette opèrera encore pour une dernière fois. Sinon dood ~ Rockford island! ~ Sheena est l'ile ou se déroule les évènements du RE Survivor.
Un Resident Evil qui m'a vraiment déçu. J'en attendais énormément après avoir lu toutes les critiques, en plus c'était le premier RE sur consoles 128 bits. Hélas Code Véronica n'était pas bien brillant il n'apportait aucune originalité hormis visuelle. Quel choc se fut d'y jouer après RE3, un véritable retour en arrière au niveau de la maniabilité. Aux oubliettes la souplesse des déplacements, Claire et Chris ont un balai dans le cul et les ajouts de gameplay comme les esquives n'ont pas été conservées.
Points négatifs : Moins gore que les opus précédents, zéro décapitation et certains démembrements en moins (ex : bras arraché). Les apports de RE3 n'ont pas été conservés (jouabilité, chemins alternatifs, upgrade des armes...). Des décors en 3D temps réel relativement vides et froids comparés aux décors précalculés sur PSX. Alors qu'on est dans le dernier niveau on a droit à du backtracking sans aucune finesse pour gonfler la durée de vie. Wesker en mode néo, j'ai bien aimé à l'époque mais quand je vois RE5 je me dis que c'était vraiment une mauvaise idée.
Points positifs : Les cinématiques. La famille Ashford. La relation entre Claire et Steve (dont on n'a jamais plus entendu parler par la suite). Les caméras fixes. La musique.
Le meilleur RE à ce jour, une des bombes de la dreamcast dont la version est bien meilleur que celle de la ps2.IL aurait été parfait si capcom avait rajouté les élément de gameplay du RE némésis tel que l'esquive et l'upgrade des armes.
Les aptitudes de wesker sont assez limités dans le véronica d'ailleur il manque de se faire tuer par alexia , c'est dans le pseudo RE 5 que c'est aptitudes sont clairement exagérées et en deviennent franchement ridicules .Le RE 5 est franchement un épisode à oublié.
Mais malgré tout je le mets au dessus de Re zero et Re3.Il est en duel avec RE2^^
Cela tiendrait du miracle si on pouvait avoir un scénario aussi bon sur cette generation en ce qui concerne les jeux horrifiques (bien qu'il y a eu Siren:Blood Curse avec sa trame énigmatique.)
Très bon billet Greil as usual comme dirait Shino.^^je ne raterai pas les suivants.
Points négatifs : Moins gore que les opus précédents, zéro décapitation et certains démembrements en moins (ex : bras arraché). Les apports de RE3 n'ont pas été conservés (jouabilité, chemins alternatifs, upgrade des armes...). Des décors en 3D temps réel relativement vides et froids comparés aux décors précalculés sur PSX. Alors qu'on est dans le dernier niveau on a droit à du backtracking sans aucune finesse pour gonfler la durée de vie. Wesker en mode néo, j'ai bien aimé à l'époque mais quand je vois RE5 je me dis que c'était vraiment une mauvaise idée.
Points positifs : Les cinématiques. La famille Ashford. La relation entre Claire et Steve (dont on n'a jamais plus entendu parler par la suite). Les caméras fixes. La musique.