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Avant de commencer, petite précision sur ce groupe et ce que je compte en faire.
Déjà bienvenue sur ce groupe en chantier sans bannière dédiée ou avatar car, beh, je sais pas quoi faire.
Par moment, dans le monde des jeux vidéos, nous sommes amenés à vivre un instant qui nous marquera à tout jamais. Cela peut paraître anodin pour certains et très puissants pour d'autres mais quoi qu'il en soit, nous avons tous vécu un grand moment de jeux vidéos au moins une fois.
Le but ici, ce sera pour moi de retranscrire ce qui m'a fait cet effet en l'argumentant du mieux possible et aussi de voir avec vous ce que vous en pensez et bien sûr, si vous aussi vous avez vécu une telle chose dans le jeu dont il sera question.
Niveau fréquence d'articles, pour l'instant, je vise un ratio d'1 article / 365jours. Comme ça pas de déceptions ! Allez passons à mon whaouh effect qui risque fort de me faire passer un aliéné !
Il s'agira donc de Bioshock, le tout premier, mais je vais déborder sur Infinite et possiblement Bioshock 2. Bien sûr, je vais m'attarder sur un, si ce n'est le, point crucial du jeu alors pour ceux désirant commencer cette aventure bientôt, et bien bravo bonne décision, mais faites demi tour... je vous prie.
Petite mise au point vite fait même si désormais il ne doit rester que de bons vieux chrosomes. Donc, on incarne Jack, un survivant d'un crash en avion au milieu de l'océan. Hop, on nage jusqu'à un phare et très vite, scène culte, l'arrivée à Rapture en batysphère de toute beauté avec cette musique bien caractéristique.
Tandis qu'on progresse dans cette ville abyssale, une voix amicale répondant au nom d'Atlas nous aide lors de notre périple. Poli, l'homme marquera toujours son respect d'un "je vous prie". On court, on tire, on tue, on se laisse emporter dans cette ambiance et on arrive devant le créateur de tout cela, Andrew Ryan. Là on découvre le sens du "je vous prie", phrase d'activation de Jack qui fait une partie de golf avec son père et gagne car l'esclave obéit mais l'homme choisit et l'esclave a obéis à l'homme qui a choisis la refonte faciale !
Là on s'enfuit, Tenenbaum nous libère de l'emprise de cette phrase, mais il y en a une autre et d'ailleurs j'aurais une questions aux connaisseurs à propos de ça mais j'y reviendrais. Cette autre phrase inflige de la douleur à Jack.
Pour que ce soit clair, retenez :
Partie 1 = Le jeu avant la découverte du je vous prie.
Partie 2 = Après la découverte du je vous prie.
Voilà, on est prêt pour le truc qui m'a émerveillé !
Selon moi, dans chaque Bioshock, à part peut-être le 2, il y a deux aspects. Le côté linéaire car la situation nous presse et le côté plus exploration car on a le temps.
Dans Bioshock Infinite, Quand Elizabeth n'est pas avec nous, on passe notre temps à courir après elle dans des environnements assez étriqués et linéaires alors que, à contrario, quand elle nous accompagne, on se retrouve dans de vastes zones à explorer.
Bioshock 2, on incarne le big daddy d'origine, il ne peut pas vivre loin de sa petite sœur. Donc nous sommes dans une situation qui nous pousse sans cesse à avancer d'où, selon moi encore, la raison pour laquelle contrairement au premier opus, on ne peut plus revenir en arrière, (On peut aussi ajouter le fait que tout explose sur notre passage mais bon). Bref, rien de fou vous me direz et c'est là que Bioshock 1 m'a surpris.
Bioshock 1. Durant toute la première partie du jeu, on ne le sait pas mais nous sommes l'esclave, nous obéissons. Atlas/Fontaine nous donne un ordre déguisé, sans le savoir, on le suit. Parfois on pourrait accomplir l'objectif comme on le souhaite mais non, Atlas a dit prend le lait, tu vas pas chercher tes céréales avant, t'attends en bon esclave qu'il te le demande. Dans la partie 1, bien que le décor soit assez ouvert, on se retrouve à courir en suivant bêtement la petite flèche au-dessus de notre tête avant de passer à la suite de l'objectif comme un bon chienchien. Ce qui explique ce côté linéaire et assez classique que je ressentais au début.

Ensuite vint l'élément choc, Atlas est un traître, nous étions rien de plus qu'un outil agissant contre sa propre volonté. Et ça, je l'ai ressentit. Vraiment, je me suis sentis très con, comme souvent oui, mais là vraiment.Pour le coup j'ai vraiment ressentis une petite rage intérieur à l'encontre de ce schizophrène d'Atlas ! Dans le JV, j'ai déjà eu des émotions comme de la tristesse, du rire ou même de la peur, très souvent d'ailleurs au point que Minecraft puisse colorer mes culottes d'exploratrices mais, de la rage, autre que le fait que je sois mauvais, ça encore aujourd'hui, jamais. Bref, ce n'est qu'une part de ce qui fait pour moi, l'effet choc du jeu.
Par la suite, dans la partie 2, on nous retire le contrôle d'Atlas sur nous et là à nouveau je fus surpris ! Car le jeu avait perdu sa linéarité. Soudainement, Tenenbaum m'aidait et me disait il te faut ça, ça et ça, fais ce que tu veux. J'étais libre, je pouvais enfin manger mes céréales avant le lait ! Le scénario avait impliqué directement sur le gameplay et l'environnement. Le petit "whaouh" intérieur poussé, j'ai continué mon aventure en sentant ma liberté car j'ai sentis que d'esclaves j'étais passé homme, et l'homme choisit.

Voilà donc ce qui m'a vraiment marqué dans ce Bioshock. J'en vois déjà certains se dire "ok" ou "c'est tout" car on me l'a déjà dit et, j'ai fait de même avec d'autres mais comme je dis, chacun vit une expérience similaire différemment.
Et vous, votre avis ? Quelque chose vous a marqué dans ce Bioshock 1 ? Ou dans la sage entière même si ici, je ne traite que du premier.
J'ai donc une petite question.
En terminant tombeau sous marin épisode 2, on apprend qu'Elizabeth est donc celle qui a offert à Atlas le code "je vous prie", ce dernier mettant alors tout son piège en place avec Jack dans l'avion.
Mais, comment a-t-il obtenu la deuxième phrase qui blesse peu à peu Jack ? J'ai oublié la phrase en question et je pense avoir oublié un truc à ce propos en jeu, si quelqu'un peut m'éclairer, merci !


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posted the 09/20/2008 at 01:00 PM by
voxen
pour ce que sa interresse, lol xD.
je crois que je vais battre le record de commentaires recu sur article debile.^^
/> une cage, des cordes, des poulies et des poids + des systèmes de freinage/blocage pour pas que tu te retrouve 6 pieds sous terre à chaque fois que tu prend l'ascenseur