Dans une récente interview lors de la conférence BMO Capital Markets, Yves Guillemot (PDG d'Ubisoft) a déclaré que le développement sur les consoles next-gen n'était plus un problème. Il a d'ailleurs affirmé que la PlayStation 3 et la Xbox 360 sont finalement assez proches l'une de l'autre en terme de possibilités, car bien que la PS3 dispose de quelques meilleurs éléments, la Xbox 360 présente d'autres avantages.

Maintenant nous créons à la fois sur PS3 et Xbox 360 et les coûts de développement n'excèdent pas 10% d'une machine à l'autre. Avant, cela revenait plus cher, aux alentours de 20%, juste parce qu'il était difficile d'appréhender les caractéristiques de la PS3. Maintenant, nos moteurs sont au point et nous pouvons aisément développer sur chaque machine.

Il est bien évident que développer sur PS3 est différent que sur PS2, ou que Xbox 360 - qui dispose d'une architecture proche du PC - mais gageons que dans les mois à venir la Playstation 3 sera maîtrisée par bon nombre d'équipes de développement, ce qui viendra renflouer le catalogue de jeux.

le site Logic-Sunrise fait part dans ses colonnes d'un nouveau Ring of Death.

Après avoir touché les Xbox 360 1ere génération voilà que cette saloperie s'attaque maintenant aux 360 équipées d'un Falcon.

Et pourtant, avec l'arrivée de ses processeurs en 65 nm, Microsoft nous avait promis moins de chauffe, et donc moins de problèmes... Que de belles paroles si l'on en croit Logic-Sunrise qui nous propose une image de ce spécimen de ROD ainsi qu'une vidéo.

Comme vous pouvez le constater, ce dernier n'est plus tout rouge, mais rouge et vert, en fait c'est une sortie de ROD collection automne/hiver 2007 by Microsoft.

Bon on rigole, on rigole, mais bon y'a pas vraiment de quoi se marrer. Vous pouvez me dire quand est-ce que Microsoft se décidera à commercialiser une machine stable, et surtout entièrement gravée en 65 nm, hein, quand ?


source:inpact

C'est l'agence Reuters qui met les pieds dans le plat et la tête dans le sac : l'écart entre la Wii et la PS3, au Japon, semble se réduire, selon les derniers chiffres d'Enterbrain. En effet, selon ces derniers balancés à la presse, il n'y aurait plus que 2 Wii vendues contre une PS3 au Japon, fin octobre dernier.

Un écart beaucoup plus faible qu'en juin dernier, lorsque la Wii pulvérisait littéralement la console next-gen de Sony, avec 6 Wii écoulées contre une seule PS3. A ce moment-là, peu de monde misait sur un retour de la next-gen PS. Pourtant, force est de constater que les dernières ventes semblent plaider en faveur du géant de l'électronique grand public japonais.

Et, même si Nintendo est toujours largement leader en termes de vente globale sur ce territoire, un resserrement des deux géants semble poindre à l'horizon. Jugez plutôt : en effet, les quatre semaines précédant le 28 octobre, il s'est écoulé exactement 110.415 Wii, contre 47.183 PS3 (pour info : 18.717 Xbox 360). Certes, ça fait un peu plus de deux fois mais bon, on ne va pas chipoter hein.

A l'époque pas si lointaine, l'écart était bien plus énorme. La Wii est-elle en train de s'essouffler ? La PS3 reprend-elle du poil de la bête ou n'est-ce qu'un feu de paille ? Les réponses à ces questions après les fêtes cruciales de fin d'année, comme d'hab' !

source: inpact

Souvenir souvenir, le 24 septembre nous vous annoncions (voir ce billet) que la PlayStation 3 venait de dépasser pour la première fois le pétaFLOP, soit 1000 TéraFLOP dans sa participation au projet Folding@Home. Pour rappel un Flop veut dire Floating Point Objects per Second qui représente une opération mathématique basique.


Le Folding@Home a reçu récemment le Most Powerful Distributed Computing Network par le Guinness World Records.
source: gmp3

Le modèle 40Go à 399€ de la PlayStation 3 nous réserve encore quelques surprises. Alors qu'actuellement le processeur Cell qui équipe les modèles 20Go, 60Go et 80Go est gravé en 90Nm, la version 40Go profite d'une finesse de gravure de 65Nm.

Cela permet donc à la PS3 de produire moins de chaleur, et surtout de consommer moins d'électricité on passe à 135Watts contre 200 auparavant. La mode de l'écologie depuis son canapé doit jouer.

Une raison de plus de craquer pour la console selon vous ?

source:gmp3

Reggie Fils-Aime, président de Nintendo America, à propos des jeux qu'il aimerait voir sur la Wii:


J'ai été intrigué par Little Big Planet (de Sony). J'ignorais que le titre tournait sur leur plate-forme

Lorsque le fameux président de Nintendo America discute des jeux qu'il aurait aimé avoir sur la Wii, il cite la trilogie Halo, il cite BioShock et il parle aussi de Little Big Planet. Mais pour Halo, en fait non, Reggie avance que Nintendo peut vivre sans cette franchise. Pour BioShock, il aimerait voir plus de ces jeux qui font réfléchir. Sûrement les passages où il est question de tuer ou non les petites filles...Je pousse à l'extrême, pour autant, ce qui dit Reggie peut porter à confusion auprès de certains.

Mais revenons à Little Big Planet. Ce titre aurait sa place sur la Wii donc. Pour les gens qui ne sauraient pas donc, Little Big Planet est un titre exclusivement multi-joueur, un titre où l'entraide est essentielle. Alors même si la Wii n'a pas tout à fait les capacités requises pour le jeu, on peut comprendre où il veut en venir. On peut aussi penser que Nintendo a carrément les moyens de proposer un jeu de cette trempe.

On peut se demander l'intérêt de la remarque sur quelle plateforme tourne le
titre. C'est très petit...
source:gmp3

Avec l’annonce de la chaîne Wii Ware un problème allait se poser ; comment enregistrer toutes les données sur un espace de stockage minuscule de 512mo (alors que les autres constructeurs se battent à coup de dizaine de Go).
Entre les sauvegardes, le flot de jeu Virtual console, les chaînes de la Wii et bientôt Wii Ware, l’option du disque dur externe semblait être l’issue la plus probable.
Et pourtant il n’en est rien. Selon Nintendo UK en la personne d’Eric Walter, un manager en relation publique de la firme, la réponse est non pour un disque dur et il explique par la même occasion son raisonnement :

... We really don't want people storing every single game they buy on their drive. When you buy a game, it's yours forever, so you can delete it, and go back and get it at any time you want.
In a way, we liken it to putting music on your iPod; you listen to it for a while, and then you get tired of it, and you pull it off, and you put some new stuff on.


En clair, selon Nintendo les gens qui achètent les jeux (Vc et Wii Ware) seront toujours les possesseurs de ces titres, ils peuvent les effacer et les re télécharger autant de fois qu’ils le veulent, c’est un peu le principe de l’achat de musique en ligne, on écoute la musique achetée sur son baladeur, on l’efface et on la remet à volonté. Pour les jeux Wii c’est la même chose, donc plus de problème de stockage selon ce point de vue.

Au moins ce point de vue nous évitera de débourser une somme astronomique pour un disque dur en plus, surtout lorsqu’on voit le tarif d’un bout de plastique baptisé Wii Zapper…
Enfin bref, personnellement je ne suis pas franchement convaincu par cette logique de devoir effacer et de re télécharger les titres qu’on a acheté, j’aime bien avoir à portée de main et sans avoir besoin d’attendre ce que j’ai déjà télécharger même si je n’y joue pas régulièrement.

Et vous quel est votre point de vue en ce qui concerne le stockage ? Un disque dur pour la Wii sera-t-il indispensable dans un avenir plus ou moins proche ? Nintendo changera t'il d'avis ?
Link va-t-il enfin sauver la princesse Zelda? Mario va t’il arrêter d’être accro aux Champignons ? Jack Bauer va-t-il encore sauver le monde ?

source:GMP3

On en avait déjà parlé ici et il semble clair que Michael Bay le réalisateur de Transformers n'apprécie pas vraiment le format HD-DVD. Dans une interview à USA Today il s'estime déçu par les ventes HD-DVD de Transformers.

En tant que réalisateur et d'un oeil critique, le Blu-Ray est le format où se trouve mon intérêt financier. Les consommateurs sont intelligents et ils vont patienter jusqu'à ce que ça sorte.

Qu'en pensez vous ?
source/gmp3

Après le méga succès de Halo 3 et les ventes de Xbox 360 qui ont explosé, du moins dans un premier temps aux Etats-Unis, en septembre dernier (selon les chiffres NPD), qu'en sera-t-il à Noël prochain lorsque tous les constructeurs auront lancé leurs super offres alléchantes à souhait et que la concurence sera plus rude que jamais ? C'est une bonne question !

En tout cas, Microsoft est archi confiant dans sa politique et table toujours sur pas moins de 7 millions de jeux au moins vendus sur Terre d'ici la période de fin d'année (dont Mass Effect, Call of Duty 4, Assassin’s Creed, Rock Band (euh il est pas repoussé à 2008 lui par hasard ?), Guitar Hero III...). La preuve avec Aaron Greenberg, le group product manager pour la Xbox 360 :

« Ce sont les jeux qui font vendre les consoles et nous sommes plutôt confiants dans notre line-up. Pour cette fin d'année, nous avons prévu d'avoir au moins sept jeux qui feront chacun 1 million de ventes. Je ne pense pas qu'aucune autre plateforme ne se rapproche de ce chiffre, alors dans ces conditions il est évident qu'avoir des blockbusters nous aide grandement à vendre des machines. Je pense que nous allons continuer à être devant la PlayStation 3 et que nous serons toujours très compétitifs face à la Wii, et je n'ai aucun doute quant au marché software, que nous allons continuer de dominer. »

Eh bé ! Si cela n'est pas de la confiance hein.

Cela se passe au Japon, et cela concerne la Xbox 360. Microsoft a en effet décidé de baisser le prix de plusieurs versions de sa console, sur le sol nippon. Avant les fêtes de fin d'année, qui s'annoncent, comme toujours, cruciales en termes de chiffre d'affaires, les constructeurs se font de plus en plus offensifs sur les marchés.

Ainsi, à partir du 1er novembre prochain, la Xbox 360 Core System, passera de 29 800 Yens à 27 800 Yens, soit environ 170€ contre 182. Le modèle standard quant à lui, passe de 39 975 Yens à 34 800 Yens, soit en euros : 212 € au lieu de 244 euros).

Un troisième pack est aussi de la partie, appelé le Value Pack, et toujours pour ce 1er novembre, mais pour une durée limitée dans le temps et l'espace. En plus d'avoir un disque dur de 20 Go de base, il inclura le port HDMI et également deux jeux dans le pack : Viva Pinata et Forza Motorsport 2. La classe !

Quoi, Microsoft fait de la publicité dans le journal officiel d'un parti d'extrême droite suisse! A l'autre bout de fil, cette chargée des relations presse pour Microsoft France n'en revient pas. Elle ne comprend pas que la filiale helvétique du géant américain de l'informatique se soit offert deux pleines pages de pub dans SVP-Klartext, le mensuel de l'Union démocratique du centre (UDC). Et ceci en pleine campagne électorale.

En France, cela ne pourrait pas arriver. Microsoft est neutre politiquement. La société ne tient pas à s'afficher dans un camp ou l'autre, surtout si le contenu d'une publication est xénophobe. L'image de la multinationale est déjà assez mauvaise comme ça dans le public. Il n'est pas nécessaire d'en rajouter...

La publicité en couleurs de Microsoft Suisse dans le journal du parti de Christoph Blocher partait pourtant d'un bon sentiment. Celui de rendre hommage aux régions décentralisées du pays: les Grisons en l'occurrence. On y voit une place de village où des personnages sont dessinés au crayon blanc. Tout comme une terrasse de bistrot. Un balcon au mur d'une maison ou encore des fleurs. Le message: nous voyons une région éclore... grâce à la version romanche de Microsoft Office.

Loin de la multiculturalité

En plus, Microsoft joue les promoteurs de la diversité culturelle de la Suisse. C'est du moins ce que prétend la pub. Mais le problème pour la multinationale de Redmond, c'est que cette réclame en couleurs figure en dernière page d'une publication qui prône exactement le contraire. On y explique que l'affiche des moutons blancs chassant un mouton noir du drapeau suisse est devenu culte et qu'elle est géniale. Sans dire que l'ONU la juge raciste et xénophobe.

Plus loin, une autre pub politique montre une femme voilée, musulmane, avec la question Aarau ou Ankara? On y critique également la loi anti-racisme, qui limite la liberté d'expression, paraît-il. Ou l'accès trop facile à la nationalité suisse, en montrant des mains plus ou moins basanées qui cherchent à agripper un passeport à croix blanche. Bref: un contenu qui est à mille lieues de l'image multiculturelle que veut donner de lui ce monstre informatique qu'est Microsoft.

Et qu'en pense-t-on aux USA où l'UDC est cataloguée dans le registre des partis d'extrême droite, comme le Front national français et le Parti libéral d'Autriche (FPÖ) de Jörg Haider? Réponse d'une porte-parole:

Je n'ai pas connaissance que Microsoft ait investi dans des journaux politiques en Amérique. Ce n'est pas bon pour les affaires. Surtout quand il s'agit de partis considérés comme extrémistes. Cela peut toucher notre image. Mais nous laissons Microsoft Europe régler cette question avec la Suisse.

Démarche équitable

Microsoft Europe, qui renvoie elle la balle à la Suisse, s'interroge sur le bien-fondé de la démarche helvétique. Mais regardez plutôt avec Microsoft Suisse, conseille-t-on à La Liberté qui se tourne alors vers la filiale suisse de la multinationale.

Et surprise: Peter Waser, directeur général de Microsoft Suisse, tombe des nues:

Quoi? Microsoft met de la pub dans le journal de l'UDC? Je ne savais pas. Il faut dire que je ne m'occupe pas de cela. Nous avons une agence de publicité qui s'en charge. Mais cela m'étonne. Nous avons un devoir de réserve vis-à-vis des partis politiques. Je vais me renseigner. Je vous recontacte très rapidement.

On attend toujours... Direction donc le service de presse de Microsoft, dont Stefan Meierhans est le porte-parole.

Bien sûr que je sais que nous mettons des pubs dans le journal de l'UDC. Mais nous en avons aussi dans les publications des trois autres partis gouvernementaux.

Et l'attaché de presse d'envoyer par e-mail les copies des journaux concernés du Parti socialiste, du Parti démocrate-chrétien et du Parti radical-démocratique. Vous voyez. Nous sommes équitables. Les autres partis de Suisse, Verts en tête, apprécieront.

Et pourquoi jouer la carte des partis? Nous cherchons à toucher le public des décideurs qui s'engagent en politique, notamment les avocats et les patrons de PME, répond Stefan Meierhans. C'est efficace et pas très cher. Une page complète dans SVP-Klartext vaut 4477,20 francs suisses, bien moins en effet que ce que coûte un tel format dans un quotidien ou un magazine.

Employés outrés

Peut-être, mais s'afficher dans un journal politique en payant des pages de pub, c'est aussi appuyer les idées du parti concerné, non? Pas du tout. Pour Microsoft, placer cette pub dans le SVP-Klartext, c'est comme placer une pub dans Le Temps ou le Bund. Ce sont des journaux comme les autres, poursuit Stefan Meierhans qui ajoute ne pas voter pour UDC et n'être pas d'accord avec ses idées.

Ce n'est pas un acte politique. Mais un acte économique visant à toucher un large public. Mais un acte risqué tout de même puisqu'il a une connotation évidente, non? Pour preuve, les autres annonceurs de SVP-Klartext sont quasiment tous des sympathisants de l'UDC. Stefan Meierhans rit à l'autre bout du fil.

On sait prendre des risques chez Microsoft. C'est comme ça qu'on a grandi. D'ailleurs, nous n'avons jamais reçu aucune réclamation à propos de nos publicités.

Un discours qui fait grincer les dents à l'intérieur de la forteresse Microsoft Suisse. Plusieurs employés de la multinationale joints par La Liberté, mais qui souhaitent garder l'anonymat, se disent outrés qu'en pleine campagne électorale, leur firme s'affiche dans une publication d'un parti qui stigmatise les étrangers et qui a tendu le climat politique suisse en prônant des idées xénophobes.

D'autant que de nombreux employés de Microsoft Suisse sont justement... des étrangers. La firme de Bill Gates n'aime pas mélanger business et politique. Surtout pas quand il s'agit de parti d'extrême droite. Et pourtant, la filiale suisse de Microsoft s'est offert une pub dans le journal officiel de l'UDC.

Où est donc le mal?

Ce qui ne manque pas à SVP-Klartext, c'est de la publicité. Les pages en sont pleines. On y croise un électricien, un constructeur de trains, un informaticien, un cafetier. Et un hôtelier valaisan qui offre des bons de 50 francs suisses par personne pour les sympathisants de l'UDC, afin de les attirer chez lui. Et ça marche, confie la standardiste de l'Hôtel alpin. Chez nous, il y a beaucoup d'UDC et d'autres qui viennent à la rencontre des UDC. Et beaucoup profitent du bon. Mais attention, l'établissement accueille aussi les non-partisans. Et pourquoi cette démarche? Mon patron est président de la section régionale de l'UDC, poursuit la jeune fille.

Autre pub: celle de Stadler, un constructeur de trains établi à Bussnang (TG). Une secrétaire explique que son patron, Peter Spuhler, est conseiller national UDC. C'est normal qu'il fasse de la publicité dans la publication officielle de son propre parti. Je ne vois pas où est le mal, se demande l'employée avant de boucler le téléphone.

Quant à Goal, agence de publicité basée à Dübendorf, elle a orchestré la campagne des moutons noirs et blancs. Rien de plus de naturel, justifie sa secrétaire, que de rendre la pareille au parti de Blocher. Voilà donc Microsoft bien accompagné...
source: rue89.com

Si vous avez acheté une PLAYSTATION®3 entre le 10/09/2007 et le 09/10/2007, nous vous ferons parvenir gratuitement un jeu PS3 ou un produit de valeur sensiblement équivalente (film Blu-Ray, un jeu PS2). Attention : le produit pourra être modifié par un produit équivalent en fonction des disponibilités.

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Opération Compensation PS3
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Nous vous souhaitons d'agréables moments avec votre PlayStation 3 et restons à votre disposition par e-mail ou par téléphone au 0820.31.32.33 (0.12 €/min.) du lundi au vendredi de 10h30 à 19h30.

Contrairement à ce que l'on aurait pu penser, la Famicom (NES chez nous en occident), a toujours eu jusqu'à présent le soutien logistique de Nintendo. Eh bien, il faudra s'y faire, ce sera désormais de l'histoire ancienne. Snirf. Eh vroui, le géant japonais du videogame de maison amusement a décidé d'abandonner le support technique à sa première console, près de 25 ans après son apparition sur terre. Mais pas seulement...

Après Sega et sa Dreamcast en septembre dernier, c'est donc au tour de la firme de Kyoto de passer dans une autre dimension. Ainsi, dès la mi-octobre, a Japon, le support technique sur la Famicom (lancée au Japon en 1983), la Super Famicom (Super Nintendo), la Nintendo 64, la Game Boy et la Gameboy Pocket, ne seront plus réparés par ses soins. Il faudra, pour les possesseurs de ces consoles vintage aller voir chez un spécialiste de la bidouille.

Ainsi va la vie... La faute à la Virtual Console tout cela encore hein !

Selon le très puissant Michael Pachter de Wedbush Morgan Securities, la Xbox 360 serait devant la Wii aux USA, pour le mois de septembre. Michael notre ami pour la life, table en effet sur 450 000 Xbox 360 écoulées, contre 425 000 Wii et seulement 150 000 PS3.

La Xbox 360 a en effet bien été aidée par le giga carton de Halo 3. Pachter estime également que cette année, les ventes de jeux vidéo (consoles et jeux confondus) auront accru de 47 % par rapport à l'année passée. Rien que ceci. Cela est fou. Toujours aux Etats-Unis évidemment.

En revanche, les ventes de titres PS2 seraient en chute de 37 % par rapport à l'an dernier, avec pas moins de 101 millions de dollars de revenus tout de même, contre 125 millions de dollars de prévision pour les titres next-gen.

On attend de voir si Sony va baisser de nouveau sa PS3 et la passer à 399 dollars, comme de part chez nous avec la version 40 Go sans les ports laqués... Seul l'avenir nous le dira.