Après un petit break et une présentation de ma collection très bien accueillie (merci encore), je reprends mes tests en beauté avec un certain Final Fantasy VIII.

Intro Final Fantasy VIIIenvoyé par Tinys000


Ce nouvel épisode déclencha de nombreuses polémiques. Si le scénario n’égale pas l’ingéniosité de son prédécesseur et si le système de combat s’avère difficile à assimiler, le reste demeure un parcours sans faute. Techniquement, Final Fantasy VIII fait parti des plus beaux jeux de la playstation. Les décors très détaillés, la 3D magnifique, les invocations et les magies somptueuses, contribuent à une esthétique de grande qualité. Les cinématiques se passent elles de commentaires : Squaresoft maîtrise les techniques d’animations et le prouve ici de la meilleure des façons…




Après une introduction époustouflante le jeu commence alors. Vous êtes un étudiant de 17 ans originaire de la BGU, une école formant des mercenaires. Mais notre jeune apprenti sera vite entraîné dans un conflit dépassant son imagination. L’histoire bénéficie d’une mise en scène spectaculaire, mais il faut parfois s’accrocher pour comprendre toutes les subtilités de l’intrigue et apprécier le jeu à sa juste valeur. Final Fantasy VIII possède aussi une bande sonore extraordinaire. Nous devons une fois encore saluer le travail exceptionnel de Nobuo Uematsu. Mention spéciale aux thèmes saisissant qui accompagnent l’ultime étape de l’aventure.




Le système de combat s'avère quant à lui très original. En plus des commandes de bases (attaque, magie, invocation, fuite, etc…) nos personnages ont la possibilité de voler des sorts, et doivent soit les stoker, soit les utiliser. Dans le premier cas vos caractéristiques augmenteront suivant l’endroit où vous « placez » ces magies, que ce soit en attaque ou en défense par exemple. Ce système oblige à utiliser les sorts avec modération. Il vous faudra également en simultané apprendre différentes compétences par l’intermédiaire de vos invocations. Certes le principe reste relativement difficile à assimiler pour les novices, mais se révèle excellent une fois maîtrisé.

Pour ce qui est des petits plus ce nouveau Final Fantasy propose un jeu de carte très captivant. En pressant une touche vous pourrez provoquer n’importe quel adversaire. Mais cette manie tourne vite à l’obsession et on ne peut s’empêcher de perdre son temps afin d’étoffer sa collection : une vraie drogue ! Les quêtes secondaires, tantôt intéressantes, tantôt lassantes, rallongent en tout cas la durée de vie (déjà énorme…) et nous permettent d’explorer plus en profondeur l’univers si riche du jeu.




Arrivé à ce stade vous aurez déjà compris qu'on me compte parmis les adorateurs de ce RPG si controversé. Ses combats innovants et son ambiance réaliste lui ont valu quelques critiques négatives. En effet le monde de Final Fantasy VIII reste assez proche de notre société, s’évadant régulièrement vers une tournure aux airs plus futuriste. L’ensemble a donc clairement gagné en maturité à travers des personnages très humains. Pourtant cet univers m’a transcendé, et par la même occasion offert une épopée extraordinaire.
La dernière partie de l’aventure restant à ce jour d’une intensité et d’une beauté inégalée permet à Final Fantasy VIII de laisser une impression unique ; très proche du septième opus dans mon panthéon des RPGs.

Suite à quelques complications personnelles et aux fêtes de fin d'année, mes articles seront rares. ^^

Gears of War. Derrière ce nom à connotation barbare ce cache un incroyable jeu d’action. Produit phare de la 360, il s’est aujourd’hui imposé comme une référence naturelle sur la console de Microsoft.

Premièrement la claque graphique est énorme. Environnements magnifiques, effets de lumière incroyables, animations de qualités, le tout couplé à des textures impressionnantes. Gears of War reste encore aujourd’hui l’un des (le?) plus beaux jeux de la console, et pour peu que vous soyez muni d’un écran HD le bonheur sera total.
Grosse performance au niveau sonore également. Un doublage adéquat, des effets sonores appréciables, des musiques discrètes mais réussies renforcent une ambiance chaotique géniale. Car Gears of War ne se contente pas d’une réalisation de qualité, mais offre un design et une atmosphère bien authentiques !




L’action se déroule dans un futur proche où l’humanité décline au profil d’une race extraterrestre ; les Locustes. Leur abondance et leur ténacité permettront de se familiariser avec l’arsenal disponible, somme toute assez classique hormis une tronçonneuse jouissive.
Néanmoins le gameplay de Gears of War est loin d’être bourrin, et si vous foncez tête baissée la mort vous attendra plus d’une fois au tournant. Il faut donc sans cesse jouer avec les cachettes disponibles (derrière un baril, un muret,…), sortir un bref instant pour arroser les opposants, avancer jusqu’à un autre endroit un tant soit peu abrité, et ainsi de suite. Je schématise mais le gros de la progression se déroule ainsi, et l’interaction avec le décor s’avère primordiale. La jouabilité ne demande qu’un petit temps d’adaptation avant de se mouvoir et de viser habilement, une réussite pour un genre davantage tourné vers le PC.




Mais si le mode solo est déjà excellent, le mode coopération relève carrément du génie. Rien de spécial pourtant, juste un écran splitté réduisant inévitablement la lisibilité. Pourtant la dimension stratégique prend tout son sens et le plaisir s’en trouve décuplé ! L’aventure en soit reste assez courte mais se recommence régulièrement dans différents mode de difficulté, sans parler du live très attractif.
Bref voici un jeu d’action frénétique sans faille, à mi chemin du FPS, et proposant un gameplay recherché. Si la note vous semble faible après tant d’éloges, elle s’avère en réalité excellente pour un genre qui d’habitude me rebute plus qu’autre chose.

Il s’agit encore une fois plus d’une succession de tests qu’un véritable dossier. La série des Jak and Daxter a acquise une renommée immédiate et incontestable auprès des joueurs. Il faut dire que Naughty Dog n’en sont pas à leur premier essai en matière d’aventure/plate-forme (Crash Bandicoot ça vous dit quelque chose ?).
Voici une autre saga qui me tient à cœur, bonne lecture.

Jak and Daxter : The Precursor Legacy

Dès les premières minutes on constate que les développeurs ont créé un duo pour le moins insolite. Jak, héros intrépide à la tiniasse blonde, et Daxter, belette (?) comique au sens de l’humour douteux, devront sauver leur planète en veillant à ce que l’éco noire (une énergie maléfique) ne tombe pas entre les mains d’êtres malveillants. Le scénario n’est bien sûr pas très complexe, mais l’histoire reste prenante notamment grâce à un humour omniprésent.
Votre but sera de récolter des orbes et piles d’énergie éparpillées un peu partout, pour cela vous devrez accomplir des objectifs variés. Une fois plusieurs piles en votre possession une autre zone devient accessible et de nouvelles missions s’offrent à vous. La jouabilité est parfaitement adaptée, même le maniement des différents engins parsemés tout au long de l’aventure ne posera aucun problème. Une progression assez linéaire mais laissant toutefois suffisamment de liberté. Il faut dire que le monde de Jak and Daxter est immense ; très coloré voir paradisiaque par moment il sait aussi se faire inquiétant quand l’ambiance si prête. Bref un univers enchanteur animé à merveille, référence à une réalisation somptueuse.

La bande son reste de bonne envergure ; que ce soit au niveau du doublage ou de la musique l’ensemble est de qualité. Rajoutez une durée de vie honnête et il devient difficile de trouver un quelconque défaut majeur à ce Jak and Daxter.
Probablement mon test le moins objectif jusqu’à maintenant, mais je vous assure qu’il s’agit d’un un soft exceptionnel, surclassant la plupart de ses concurrents et assurant un plaisir de jeu total. ^^

Jak II : Hors la Loi

Changement d’ambiance assez radical dans ce nouvel opus, pas toujours bien accueilli par la presse spécialisée. On plonge dans un univers plus industriel, plus sombre et plus mature.

L’histoire suit directement celle de Jak and Daxter, et on retrouve nos héros avec grand plaisir. Niveau jouabilité les marques se reprennent vite, même si le gameplay a quelque peu changé. Maintenant Jak dispose d’une panoplie d’armes à feu pour frire du méchant. De manière générale le soft délaisse le côté plate-forme au profit d’une action effrénée.
La majorité du jeu se passe dans l’immense ville d’Abriville. Ainsi à l’image d’un GTA vous pouvez agresser les passants et soustraire leur moyen de locomotion, tout cela sans ce faire prendre par la milice urbaine afin d’éviter les ennuis. ^^ La liberté est conséquente, vous laissant moult occasions de visiter la citée à la recherche d’objectifs principaux ou secondaires.

Si l’univers est différent, sa richesse, elle, s’avère inchangée. Le monde est immense, grouille de vie et de secrets. Bien entendue la réalisation sublime l’ensemble, et la bande sonore, à l’image du 1er volet, ne déçoit pas. La durée de vie équivaut celle de son grand frère, la difficulté en plus ! Certaines missions ne sont en effet pas de tout repos…

Vous l’aurez compris Jak II se base sur une atmosphère radicalement différente. Evidement l’univers ne change pas du tout au tout, mais résulte de ce climat plus sombre une direction pleinement assumée. Un épisode controversé mais d'une qualité indéniable. J'approuve. ^^

Jak 3

L’épisode qui clôt la trilogie sur Playstation 2 ! L’histoire s’achève (ou pas…), vous apportant bon nombre d’éclaircissements.

S’inscrivant dans la lignée de Jak II, ce volet propose un gameplay quasiment inchangé. Ainsi les véhicules et armes seront encore au cœur de l’aventure. Graphiquement la claque est un peu moins forte bien que la réalisation s’avère tout de même un ton au dessus de son prédécesseur. Il faut dire que la PS2 propose une ludothèque de qualité.
On retrouve Abriville comme terrain de jeu, mais avec davantage de phases en extérieurs. En résulte une ambiance moins sombre et monotone que dans le second opus. La bande son est toujours de qualité, une constance bienvenue devenue presque anecdotique. ^^

Sans réellement renouer avec les bases tant appréciées de Jak and Daxter premier du nom, ce Jak 3 reprend les éléments du 2 et les bonifient. Un excellent volet qui confirme la direction prise par Jak II.

Daxter

C’est désormais au tour de Daxter, mascotte emblématique, de s’offrir une aventure inédite sur PSP. Graphiquement proche des épisodes PS2 on retrouve avec bonheur l’univers familier des derniers opus, un peu moins vivant certes, contraintes techniques obliges. Ainsi le jeu est très linéaire, vous envoyant en mission dans différentes zones, prétexte parfais pour récolter des orbes. ^^

Mais j’oublie de parler de l’essentiel ! Comme le titre l’indique vous manierez exclusivement cette coquine de belette orange ! Bon concrètement la jouabilité ne change pas des masses et la prise en main ce fait en quelques minutes. A l’image de Jak Daxter possède différentes armes, dont une de jet qui lui permettra de voler quelques instants et qui offrira des séquences de pure plate-forme.

Scénaristiquement ce n’est pas l'extase, mais qu’importe l’intérêt n’a jamais dépendu de ce critère. Un jeu plein d’humour, doté d’un univers génial (depuis le temps que je vous le répète lol) qui m’a autant convaincu que Jak II et 3. Finissons avec les divers mini-jeux proposés: ceux-ci parodies des films très connus lors de séquences réflexes, absolument énorme !!





Bien bien, j’espère que vous avez pris un peu de plaisir à la lecture de ce dossier consacré à la série des Jak and Daxter, monument dans le monde très concurentiel de l’aventure/plate-forme. Le premier opus reste encore à ce jour inégalé en ce qui me concerne.

Si Suikoden 2 ne paie pas de mine aux premiers abords, il n’en reste pas moins l’un des meilleurs épisodes de cette saga tant appréciée. Présentation d’un des meilleurs RPG accueilli par la Playstation.

Suikoden II possède un scénario très plaisant, avec des thèmes classiques mais fort bien exploités. Votre jeune héros, soldat de son vivant, s’oppose au prince Lucca qui plonge petit à petit le pays dans le chaos. Lui et son ami vont donc s’enfuir et seront obligés de se séparer. Mais derrière ce script un peu mièvre se cache en réalité une fresque beaucoup plus épique car l’histoire est fort bien mené, et ce du début jusqu’au dénouement final.




Lors d’un combat classique votre groupe se compose de six personnes au maximum : trois hommes en première ligne et trois autres en retrait. Il faudra donc apporter une attention particulière à la disposition de vos troupes. Si vous placez un guerrier sur la deuxième ligne celui-ci ne pourra pas attaquer, ou si par exemple vous envoyez un archer au front, le pauvre homme ne fera pas long feu. Le système de combat propose également des attaques combinées intéressantes, surtout si l’on prend en considération le nombre de personnages, 108 ! Evidemment la majorité d’entre eux ont des rôles moindres, et beaucoup ne rejoindront votre groupe qu’après certaines conditions remplies. Toutefois tous les recruter reste un challenge excitant qui peut captiver quasiment autant que la trame principale. L’acquisition d’un château vers le milieu du jeu vous servira de base où vos héros pourront se reposer et où les personnages auront leur propre utilité. Si par exemple vous avez recruté un ancien forgeron au cour de l’aventure, celui-ci ouvrira un magasin proposant des tarifs très intéressants.
Parallèlement à ces affrontements classiques de gigantesques batailles se jouent également entre les armées peuplant le monde. Déjà présentes dans Suikoden ces scènes de stratégie à part entière où l’on dirige ses troupes sous forme de pions et où l’on commande les actions de chacun sont peu courantes dans un RPG ; une touche d’originalité bien agréable malgré la pauvreté du graphisme accompagnant ces passages. ^^




Graphiquement Konami n’a pas pris de risque, choix judicieux puisque la 2D utilisée s’avère agréable et renvoie une ambiance incroyable. L’immersion dans un univers moyenâgeux de toute beauté se fait naturellement, d’autant que le design général est excellent.
La bande sonore s’avère de bonne qualité. Beaucoup de thèmes très réussis alors que certains lasseront rapidement, mais l’ensemble reste remarquable.

Le gameplay offert par ce titre est tout bonnement excellent, alliant des déplacements divers et variés, qui au final permettent de nous faire progresser dans la mystérieuse légende des 108 étoiles. Suikoden II est une valeur sûre, un très bon RPG méritant sa place dans votre ludothèque. Si vous avez ratée l’édition Française à l’époque attendez-vous à payer le prix fort car ce jeu devient rare.

Quantic Dream revient sur le devant de la scène avec un jeu d'aventure totalement innovant, proposant un scénario génial et une mise en scène exceptionnelle. L’histoire s’axe principalement sur trois protagonistes, Lucas, Carla et Tyler. Vous pouvez interagir avec une multitude d’éléments et de personnages, ainsi la progression différera selon vos choix. Rapidement une situation d’intimité s’installe entre le joueur et nos individus, mais l’histoire bercée de fantastique nous rappelle que tout ceci n’est qu’invention, car je vous assure que l’immersion s'avère étonnante !

Fahrenheit possède une bande son de très bonne envergure, que ce soit au niveau des musiques ou du doublage Français. Reste une réalisation graphique correcte malgré une certaine raideur dans l’animation.




Quelques défauts cependant, comme la jouabilité qui n'est pas exempt de reproches. La caméra gène plus d'une fois et on ne dirige donc pas toujours le perso comme souhaité. Il y a également selon moi un abus des phases de réflexes, celles-ci interviennent régulièrement et vous imposent de marteler avec habileté les touches du pauvre pad.

Quoi qu'il en soit l'aventure proposée vaut largement la peine, tant pour son déroulement aux choix multiples que pour son contenu original. Une agréable surprise et finalement un très bon jeu.

NB : Je l’ai fait sur X-BOX, mais les versions PC et PS2 sont plus ou moins similaires.

Je me consacre maintenant à un autre chef d’œuvre vidéoludique, dans un genre totalement différent. Un genre difficile à définir d’ailleurs tant Okami bouleverse nos repères de joueurs.

Tout commence avec une réalisation ambitieuse, mélange harmonieux entre un cell shading travaillé et un style rappelant les célèbres estampes Japonaise. L’ensemble s’avère magnifique, puis l’admiration devient totale lorsque ce monde s’anime et prend vie devant nos yeux ébahis. Okami c’est avant tout un univers enchanteur, vaste, où les mots «liberté» et «dépaysement» sont rois.




Si techniquement Okami surprend, le gameplay innove tout autant. Rares sont les jeux originaux à l’heure où les FPS et autres simulations de courses envahissent le marché. Et pourtant Okami ose, prend des risques, et nous offre un plaisir de jeu indescriptible ! Vous incarnez la déesse Amaterasu matérialisée par un somptueux loup blanc, et devez nettoyer le monde des démons impurs qui le souille. Un monde imbibé de ténèbres, vous obligeant à parcourir plaines et montagnes tout en restaurant les couleurs via votre pinceau. Ainsi raviver la végétation, construire un pont afin de progresser, ou encore frapper vos ennemis sera tache quotidienne. Concrètement toutes ces actions s’effectuent en barbouillant l’écran, mais suivent un code de formes préétablies bien entendu. ^^ Au fur et à mesure que les combats s’enchaînent vous pourrez répartir vos points d’expérience entre divers critères (points de vie, réserves d’encre, etc…). De nombreuses armes destructrices vous attendent également au cours de votre périple. Un système de jeu excellent, qui prend tout sens lorsque l’on se rend compte de la complexité de l’univers et des taches à effectuer !

Il me reste à parler de la bande sonore pour clore ce test. Un ensemble de mélodies déroutantes, souvent géniales, et qui telle une symbiose parfaite nous transportent un peu plus dans ce Japon si étrange. Ajoutez à cela une durée de vie dantesque et je ne vois pas la moindre petite ombre pour ternir le tableau.




Clover rend un dernier hommage à la Playstation 2 avec ce soft hors du commun. Okami fait partie de ces jeux uniques qui laissent une trace impérissable dans le cœur du joueur. A vous d’adhérer à l’ambiance et au style si particulier pour apprécier ce pur chef d’œuvre.

Il va être difficile de faire un test à la hauteur de ce jeu tant les critiques sont nombreuses et passionnées. Je m’y essaye tout de même dans le seul but de vous présenter, encore aujourd’hui, mon RPG culte.
Premier Final Fantasy à être développé sur la console de Sony, ce soft aura eu un impact démesuré. Un impact d’autant plus important que le produit en question a bénéficié d’une sortie européenne.

Doté de graphismes magnifiques pour l’époque grâce une utilisation exemplaire de la 3D, Final Fantasy VII propose aussi des images de synthèse de grande qualité. Si les personnages du jeu sont modélisés grossièrement (style SD oblige) la plupart du temps, vos héros apparaissent de façon plus précise lors des combats et des cinématiques. Les décors quant à eux sont très beaux et superbement détaillés. Certes le produit a vieilli, mais si aujourd’hui on l’observe d’un air indifférent il en était autrement en 1997.




Vous débutez avec Cloud, un ancien mercenaire venant juste de rejoindre Avalanche. Ce groupe de résistants dirigé par Barret souhaite empêcher la Shinra, grande et puissante corporation, d’extraire l’énergie Mako de la terre. L’énergie en question est indispensable pour la survie de la planète, d’où les actes terroristes d’Avalanche visant les réacteurs à Mako de l’immense ville Midgar. Bien sûr l’histoire ne fait que commencer, le scénario s’étoffera petit à petit pour, au final, devenir très complexe. Votre véritable ennemi se révèlera être un personnage mystérieux mais extrêmement puissant, ayant des projets rendant la « menace Shinra » insignifiante. Quoi qu’il en soit l’ambiance du jeu est grandiose, nous plongeant dans un monde Neo-futuriste incroyable.
Les Final Fantasy sont notamment réputés pour leur bande son, et on ne déroge pas à la règle. De nombreuses compositions se distinguent tant elles relèvent du génie, avec une qualité présente du début à la fin. Cet aspect est sans aucun doute l’un des plus gros point fort de Final Fantasy VII tant le travail de Uematsu s’avère remarquable !

Le système de combat se base sur des petites pierres appelées matérias. Celles-ci, placées sur vos armes et armures, vous permettent d'accéder à différentes capacités au fil de l’expérience : sortilèges, invocations, coups spéciaux, augmentation des points de vie, etc… Prenons un exemple : l’objet équipé compte deux cases séparées et deux cases unies. Si dans l’emplacement commun vous placez les matérias « feu » et « tous » votre offensive affectera tous les ennemis présents. Si vous mettez la dite magie « feu » dans une case seule, l’attaque ne touchera qu’un opposant. Bref, derrière cet exemple primaire se cache un principe innovant et génial, d'autant que les invocations sont bien évidement de la partie.
Final Fantasy VII marque aussi l'apogée des mini-jeux dans la série : on y trouve en effet un gigantesque parc d'attraction nommé Gold Saucer. Plein de petits divertissements vous sont proposés, moyennant toutefois une certaine somme d'argent. On peut cependant y acquérir des objets et des capacités très efficaces. Comprenez que la durée de vie est énorme, 35h en ligne droite, le double voir le triple pour le terminer à 100%, et croyez-moi se sera un plaisir.




Si j’admets que la nostalgique joue en sa faveur, objectivement ses qualités sont indéniables. Un RPG d’une puissance inégalable qui restera à jamais dans mon cœur.

Littéralement Le trésor secret des Rudras. Pour ceux qui lisent mes tests (il sert à quelque chose au moins ce blog?! ) je parlais d'un RPG Super Nes meilleur que Chrono Trigger, le voici.
Un jeu Squaresoft n'ayant jamais franchit les frontières du Japon, ce qui n’a pas empêché certaines personnes de le traduire intégralement en français. Bref le jeu reste téléchargeable via le net et si cette méthode n’est pas très glorieuse elle demeure l’unique possible afin d’obtenir ce chef d’œuvre. ^^

Après une introduction sommaire on nous laisse le choix entre trois scénarios (à la manière des Saga Frontier), c'est-à-dire trois héros différents : Sion, Salent, et Riza. L’histoire tourne autour des pierres Lagos ; de très anciens artefacts ayants d’immenses pouvoirs. Evidemement des êtres malveillants souhaitent sans emparer, et devinez qui va les combattre ? Mais ne vous fiez pas à ce bref résumé car la trame scénaristique reste d’une grande richesse. Comme je vous le disais plus haut vous devrez résoudre séparément trois scénarios distincs. Ainsi certains événements ne seront compréhensibles qu’une fois l’aventure achevée avec les trois personnages. Par exemple lors du scénario de Sion un pont détruit bloquera votre progression, vous apprendrez alors dans la trame consacrée à Salent que celui-ci a du le faire sauter pour une raison particulière. Ceci rend à mon sens l’aventure encore plus intéressante, d’autant qu’un quatrième scénario assez surprenant vous sera proposé…




Rudora no Hihou présente un système de combat original. En effet vos sortilèges ne s’apprennent pas avec de l’expérience, c’est à vous de les fabriquer. Vous trouverez en effet différentes sortes de tablettes qui correspondent à des formules magiques. Une fois la formule en votre possession vous n’aurez plus qu’à vous rendre dans le menu approprié pour créer cette magie. Mais vous pouvez aussi laisser place à votre imagination en inventant des sorts totalement inédits. Malheureusement ce système, aussi original soit-il, n’est pas très captivant car peu adapté à notre langue. Rassurez-vous les combats restent agréable, répétitif certes, mais soutenus par des mélodies vraiment somptueuses. D’ailleurs les musiques sont magnifiques du début à la fin, un travail de maître digne des plus grands RPG de la firme ! Les thèmes nous entrainent dans cet unviers avec une magie déconcertante. Dernier petit point technique avec les graphismes qui sont agréables, plus ou moins similaires à un Final Fantasy VI par exemple.




Rudora no Hihou vous passionnera de nombreuses heures. L’ambiance magique qui entoure ce jeu reste indescritible, et jamais un soft 16 bits ne m’avait procuré autant de plaisir !

Sword of the Samuraï fait parti d'une saga unique, plus connue sous le nom de Kengo. Si le 3ème opus n'a étrangement et malheureusement jamais vu le jour chez nous, rien ne vous empèche de tester votre âme de Samuraï en herbe sur cet excellent soft. ^^

Tout commence par la céation de son personnage, un peu à la manière d'un MMORPG bien que l'ensemble reste peu poussé. Après un bref entrainement votre aventure commence. Je vous le dit tout de suite ce n'est pas l'histoire qui vous tiendra en haleine, celle-ci se résumant en une succession de combat entrecoupés de quelques cut-scènes. Qu'importe, l'intérêt est ailleurs.

Le gameplay mes amis, le gameplay. Un mot trop rarement oublié de nos jours qui prend ici tout son sens. Vous passerez votre temps à visiter des dojos aux techniques de sabres différentes, techniques que vous pourrez et devrez acquérir une fois le maître de l’école vaincu. Vous passerez donc le temps avec divers tournois et quelques missions bien inutiles afin d’augmenter les caractéristiques de votre personnage. Les styles de combats sont nombreux et les affrontement très réalistes. Il faudra donc bien équilibrer vos techniques (jusqu’à trois simultanément) afin de faire face à n’importe quel type d’adversaire. Votre barre de vie peut en effet disparaître instantanément après un coup dans le dos ou un contre meurtrier. A vous de bien varier vos styles pour ne pas vous retrouver piégé face un combatant spécifique. Notez que les combats se déroulent avec des sabres en bois (pour les dojos généralement) ou à lames. Dans le second cas l'affrontement se terminera forcement par un mort, d'autant qu'une fois blessé l'hémoragie vous fera perdre de la vie continuellement. Pensez à maîtriser vos contres !




Graphiquement le jeu est sympathique même si il a un peu vieilli, surtout au niveau de l'animation. Quant aux musiques et bruitages ils se mélènt à l'ensemble pour nous offrir un univers très réaliste et prenant ! Le choix des teintes, le design, le sang giclant à flot, etc... bref tout est réuni pour nous offrir une ambiance féodale (ça se dit lol?) démentielle, pour peu qu'on adhère à l'époque évidement.

Alors certes le principe même du jeu est répétitif, mais le mode VS rallonge la durée de vie et nous permet de mesurer nos Samuraï à ceux des amis (utiliser les persos prédéfinis n'apporte aucun intérêt...).
Sword of the samurai est un produit bien particulier destiné à des joueurs avertis. Le grand public risque de ne pas apprécier mais vous tenez pourtant un soft original et intéressant.

Présentation de ces excellents shoot 3D sur Game Cube. Les différences entre les 2 jeux étant moindres, je m'axerais davantage sur le 1er.


Le premier constat est visuel : la modélisation des vaisseaux impressionne, l'espace est vivant, les explosions et autres effets lumineux pleuvent à tous va, bref du grand art !
Le deuxième constat est auditif : la musique constitue en effet un atout de taille puisque les thèmes proposés sont principalement tirés des films. Le contraire aurait été scandaleux certes, mais il fallait le souligner et savourer ce plaisir d’attaquer l’étoile noire ou de détruire des chasseurs de l’empire avec un fond sonore de cette qualité.

Niveau jouabilité celle-ci demande un petit temps d'adaptation, mais une fois maîtrisé on se balade sans difficulté dans l’espace. La liberté d’action est importante même si les niveaux sont limités par une « bordure » invisible qui oblige à corriger sa trajectoire.

Rogue Leader se compose en 8 missions principales. Malheureusement elles sont de qualités inégales, et malgré les quelques niveaux cachés on a vite fait le tour du produit. Enfin vite reste un bien grand mot car la difficulté est assez mal dosée, certaines missions relèvant carrément du suicide. Rassurez-vous, deux ou trois passages (la planète Hoth et l’attaque de l’étoile de la mort par exemple ) nous incitent à reprendre la manette de temps à autre.






Inutile de tergiverser, on retrouve grosso-modo le même jeu avec des missions différentes. Toujours aussi beau, toujours aussi prenant, toujours aussi court, etc...
Malheureusement les développeurs ont eu la mauvaise idée d'insérer des phases à pied sans grand intérêt.





Evidement Rogue Leader et Rebel Strike ne sont pas exempt de reproches, mais qu'importe car l'univers de George Lucas nous fait vite oublier les petits défauts. Si vous me trouvez sèvere sur la notation gardez à l'esprit que je ne suis pas amateur du genre. Deux titres presques incontournables pour les fans de Star Wars ou de shoot'em up.

Continuons avec les oldies.
Jamais sorti en Europe mais accessible en Français via le net (ou sur PS dans la langue de Shakespear pour les plus courageux), il n’est jamais trop tard pour s’essayer à l’un des meilleurs RPG de la défunte Super Nes. Et quel jeu mes amis ! Il y a peu de superlatifs capables de décrire mes pensées, et comme ma syntaxe est limitée arrêtons les éloges afin de se consacrer au test.

Chrono Trigger propose pour le moins un scénario original nous faisant voyager dans le temps. Votre meilleure amie, inventrice de son état, vous demande assistance pour l’essai d’une de ses nouvelles inventions. La présentation au public se fera lors d’une grande fête organisée par le royaume. Sur le chemin vous rencontrerez une jeune fille nommé Marle. Vous l’accompagnez un moment puis allez assister à la démonstration de l’invention, qui se révèle être un étrange téléporteur. Marle se propose comme « cobaye » afin d’expérimenter la machine. C’est là que les problèmes vont commencer, car l’appareil va projeter votre jeune amie dans une époque inconnue. Je ne vous en dis pas plus mais toute l’intrigue se base sur ces allers et retours temporels et il en résulte une histoire passionnante.

Mais le scénario n’est pas le seul atout du soft, loin de là. Le système de combat présenté dans Chrono Trigger étonne à la fois par son dynamisme et sa simplicité. Les coups spéciaux s’apprennent au fur et à mesure de votre expérience, et il est possible d’effectuer des attaques combinées dévastatrices. Un système somme toute classique mais qui s’avère très efficace.

Quoi qu'il en soit c’est véritablement son univers démentiel qui fait de Chrono Trigger un soft unique. En effet les époques (préhistoire, moyen-age, présent, futur) sont tellement recherchées qu’elles nous donnent l’impression d’évoluer dans des jeux différents ! Ce serait sans compter sur leurs similitudes très subtiles, généralement de type architectural. Car le plaisir de revisiter un lieu que l’on a déjà exploré 100 ans plus tard (ou plus tôt) est assez insoupçonné. De plus sachez que vos actes dans le passé peuvent avoir une certaine répercussion sur le futur.




Concernant l’aspect technique du soft on ne peut qu’être séduit : les décors sont agréables, les affrontements fluides, et la carte du monde magnifique (nous sommes sur Super Nes…). Le plus beau jeu de la console avec Seiken Densetsu 3 pour moi. Enfin, Chrono Trigger ne serait pas qualifié de chef d'oeuvre sans une bande son digne de ce nom !! Ainsi nous avons droit à des compositions magistrales qui servent à merveille ce monde fantastique.

L’aventure que propose Chrono Trigger est d’une richesse impressionnante, toutes les qualités recherchées dans un jeu de rôle sont ici poussées à leur paroxysme (ou presque ^^). Malgré l'âge ce jeu reste encore aujourd'hui un RPG d'exception, le meilleur de la console derrière un soft que je vous présenterais la prochaine fois.

Jeu phare de la Super Nes, Namco réédita il y a quelques années son bébé sur GBA. L'occasion pour beaucoup de découvrir ou de redécouvrir en Français un RPG exceptionnel.

Tales of Phantasia fait donc parti des derniers jeux de notre 16 bits préférée. Graphiquement c'est une merveille pour l'époque, rivalisant avec les plus beaux softs de la console en proposant une 2D jolie et un design accrocheur. Mais nous le savons tous, la forme importe moins que le fond, place maintenant à un système de combat innovant !

Les affrontements se déroulent en scroling horizontal, un peu à la manière d'un Castlevania pour schématiser (la caméra étant proche de l'action). Des racourcis sont disponibles pour vos attaques spéciales et vous imposeront de choisir minutieusement vos coups afin d'enchainer divers combos dévastateurs. L'ensemble est parfois confu, souvent bourin lol, mais toujours plaisant malgré une certaine répétitivité.

Les qualités ne s'arrêtent pas là: l'histoire bien qu'un peu classique se suit sans problème, les compositions de Sakuraba sont superbes, la durée de vie conséquente, et l'ambiance agréable. Que dire de plus. ^^

Tales of Phantasia reste encore aujourd'hui un RPG d'exception, l'un des meilleurs de la Super Nes (et réédition oblige, de la GBA).

Dossier est un bien grand mot. Je n'ai pas la prétention de maîtriser parfaitement mon sujet, mais je vais essayer de rentranscrire ma passion pour cette incroyable saga.



Blockbuster de la PS2, Onimusha sucita une attente considérable. Développé par Capcom, les maîtres en matière de survival, la qualité se devait d'être présente.

Tout d'abord le jeu est très réussi graphiquement, avec une 3D exemplaire et des décors en précalculé superbes. La jouabilité reste plus ou moins identique à celle des Resident Evil, une fois les commandes assimilées le tout est très maniable et occasionne des affrontements jouissifs. ^^

L’histoire se déroule en plein Japon médiéval, et m'amène forcement à parler du gros point fort du jeu: l'ambiance ! En effet, ce qui distingue Onimusha de ses prédécesseurs est son univers unique qui nous permet de charcuter des Samurais et des démons à grands coups de sabres ! Parallèlement vous avez la possibilité d’absorber les âmes sur les cadavres de vos ennemis, âmes qui serviront à augmenter les capacités de vos armes ainsi que votre puissance magique. Un petit côté RPG bien sympathique qui apporte une touche d’originalité. Niveau bande son difficile de faire mieux. Beaucoup de thèmes d'ambiance, quelqu'uns épiques à souhait, le tout renforcant à merveille l'atmosphère.

Bien sûr le jeu conserve des défauts propres au genre, avec une durée de vie très courte et un scénario moyennement recherché. Mais ne soyons pas trop dur car pour un premier essai sur Playstation 2 Capcom réalise un jeu de grande qualité, et pose les pierres d'une saga aujourd'hui culte.






Une suite assez controversé mais qui se trouve être l'épisode m'ayant le plus marqué ! Pourquoi? Honnêtement je ne saurais le dire.

On retrouve les qualités du 1er volet, à savoir une réalisation excellente, des musiques géniales, et un gameplay réussi. Il est d'ailleurs possible de traverser différents villages pour converser ou faire le plein d'items par exemple. Les persos secondaires sont désormais de la partie et vous aiderons plus d'une fois.

Petit HS concernant l'OST arrangée du jeu : Onimusha 2 orchestral. Ce CD est une merveille qui vous plonge dans un état euphorique et relaxant incroyable ! Rarement des mélodies m'auront autant touchées. Conséquence immédiate sur la bande son du jeu, qui s'avère grandiose.

Malheureusement la durée de vie n'a pas été améliorée d'un poil, et le jeu se dévore trop rapidement. Peu importe, Onimusha 2 confirme et fait encore mieux que son grand frère.






Premier tournant dans la série, Onimusha 3 est intégralement en 3D. Deuxième tournant, le jeu se déroule dans 2 époques bien distinctes: un Japon médiéval familier et à Paris de nos jours !! Ajoutez la présence de Jean Réno et vous aurez compris que cet épisode sort de l'ordinaire. ^^

Plus orienté action qu'à l'habitude, le gameplay reste néanmoins proche de ses prédécesseurs. Graphiquement le dépaysement est assuré, on retrouve donc une 3D réussie et une animation superbe. L'architecture de certains bâtiments en impose toujours autant, arpenter cet univers reste un véritable plaisir. Parlons-en de cet univers d'ailleurs. Avec un mélange passé/présent le pari était osé. Alors, réussi? Complétement ! Seul le doublage Français (par intermitence heureusement) dénature un peu l'ensemble...

Onimusha 3 est vraiment génial, il marque un changement dans la série, un changement reprit et accentué dans le 4ème volet.






Capcom avait annoncé une trilogie... et ils si sont tenus ! Si si, le dernier ne s'intitule pas Onimusha 4. Ah là là qu'ils sont fort. ^^ Mais si quelqu'un ne leur reproche pas la sortie de cet épisode c'est bien moi !

Onimusha DoD repousse les limites encore plus loin que Onimusha 3, ici tout terme de survival serait peu judicieux, il s'agit d'un jeu d'action pur et dur, encore une fois à la limite du Beat them all.
L'aventure est divisée en mission, mais fondamentalement ça ne bouleverse rien. On change de héros, dixit Samanosuke, et on quitte Paris pour se consacrer entièrement au Japon. Toujours en 3D le soft offre des graphismes magnifiques et nous renvoie une ambiance plus que jamais réussie ! La bande son n'y est pas étrangère et propose des thèmes magistraux.

Niveau gameplay on retrouve les bases du 3ème volet, avec une customisation plus poussée et un nombre d'arme impressionnant. On dispose cette fois de 5 persos jouables et interchangables ! Une diversité appréciable puisque chacun n'aura pas la même façon de combattre (fusil, lance, etc...).

Rajoutez à cela une durée de vie extraordinaire (environ 25h, rarement vu dans le genre), un scénario intéressant, et vous obtenez l'un des meilleurs jeux d'actions jamais réalisés !






Pour être honnête je n'ai joué à aucun des 2. Bien que possédant l'opus GBA je n'ai jamais trouvé le temps néccessaire.


La conclusion sera brève après cette masse de texte. ^^ Hors RPG Onimusha est l'une de mes série favorite. J'attends avec impatience une sortie next-gen, et en attendant vous conseille, si ce n'est déjà fait, de vous procurer les épisodes PS2. 50€ vous suffiront pour acquérir la collection, raison de plus !

KOTOR reste pour moi le meilleur RPG de la XBOX, chose peu difficile je vous l'accorde. ^^

Doté d’une réalisation solide et d’une bande son excellente, il se distingue par son système de combat très particulier. On hésite parfois entre complexité et maladresse, mais l’ensemble nous offre un gameplay irréprochable. Un peu sceptique au début il m'a fallu quelques heures avant de maîtriser toutes les subtilités du jeu.

Si la durée de vie et le scénario restent plus qu’acceptable, c’est davantage son atmosphère géniale qui le pousse vers le panthéon des RPGs. Entre les différentes races, vaisseaux, et lieux, tout est parfaitement retranscrit pour nous plonger indéfiniment dans ce fabuleux univers.

N'importe qui y trouvera son compte pour peu d'adhérer au gameplay innovant. Le fan de Star Wars, lui, sera au anges.