Ryu de Street Fighter ne sera pas le seul adversaire de taille auquel sera opposé Asura dans les futurs contenus téléchargeables d'Asura's Wrath. On peut également voir que Akuma / Gouki et Evil Ryu feront également une apparition dans cette nouvelle vidéo consacrée aux DLC. Sans doute un moyen de boucler la boucle.

En attendant, Capcom et CyberConnect2 ont précisé l'échéancier des divers contenus à venir. En ce qui concerne le Japon, les chapitres 11.5 et 15.5 réalisés en animation seront proposés respectivement le 27 mars et le 3 avril, au prix de 200 yens ou 160 points Microsoft. Les quatre chapitres finaux additionnels seront ajoutés le 24 avril pour un prix de 700 yens / 560 points.

Quant aux duels façon Street Fighter IV, l'éditeur annonce leur mise en ligne dans le courant du mois de mai. Le combat contre Ryû débutera le 8 mai pour 200 yens / 160 points, tandis que le fight contre Akuma aura lieu le 15 mai, au même tarif. On attend maintenant des précisions pour l'Europe, même si le planning devrait être à peu près similaire.

Avis aux fans de Survival/Horror, il semblerait que la série Resident Evil soit définitivement passée de l'autre côté comme en témoignent les nouvelles déclarations du producteur Masachika Kawata. Ce dernier a affirmé que Resident Evil 6 allait poursuivre la direction Action présente depuis Resident Evil 4, tout simplement car il estime que le public du Survival/Horror n'est plus assez nombreux.

"RE4 a commencé dans cette direction, et RE5 a continué dans cette direction et je pense que, particulièrement pour le marché nord-américain, nous devons continuer à aller dans cette direction, et même aller un peu plus loin," a déclaré Kawata .

"En regardant les données de marketing [pour les jeux de survival horror], le marché est petit par rapport au nombre d'unités de Call of Duty et tous ces jeux d'action qui se vendent très bien. Un survival/horror Resident Evil ne semble pas être en mesure d'atteindre ce genre de chiffres."

Néanmoins, Kawata ne s'attend pas à ce que Resident Evil devienne un jeu de tir à l'emporte-pièce.

"Je ne peux pas vraiment parler de Resident Evil 6, mais je ne pense pas qu'il doit nécessairement aller jusqu'au bout dans cette direction, la direction de Call of Duty. " a-t-il dit.

Capcom a donc cédé aux sirènes de l'argent, au détriment de son public hardcore qui ne cesse de réclamer le retour de Resident Evil vers ses premiers amours. Une page se tourne...

Ayant récemment acheté la version ultime de Blaz Blue j'ai quelques questions concernant certains mécanismes du jeu.

1.J'ai une connexion qui oscille entre 8/14Mb et pourtant mon indicatif de "delay" est à 1 .
Est ce normal docteur?

2.Voulant maîtriser Rachel.
Que faites vous pour vous sortir d'un gros pressing?

3.Peut-on jouer avec les joueurs de la précédente version?

4.Avec Uncle Ben's est-ce toujours un succès?

5.Avez vous acheté Rayman Origins ? Si non allez-y

Merci à vous pour vos futurs réponses.
Bisous et bon week-end les choupinous

Yosuke Hayashi, le nouveau patron du studio Team Ninja, est revenu dans un entretien sur la nouvelle orientation de la société depuis le départ en 2008 de Tomonobu Itagaki. Ainsi, même si la plupart de ses 200 employés sont des membres de l'équipe d'origine, Hayashi les considère comme faisant parti d'une "nouvelle équipe." Selon Hayashi, le plus gros changement du studio est la volonté de se concentrer désormais sur la création d'une expérience émotionnelle, plutôt que "d'offrir des bonbons pour les yeux". Itagaki appréciera...

"L'ancienne équipe était connue pour faire des jeux qui comportaient deux éléments principaux : le sexe et la violence", a résumé Hayashi. "Il était très évident qu'avec notre nouvelle équipe, nous voulions aller vers un nouveau niveau. Notre nouvelle direction contient des expériences émotionnelles qui peuvent attirer d'autres joueurs."

En clair, Team Ninja a mis table rase sur le côté sexy de ses productions, et cherche maintenant quelque chose de plus significatif, de plus profond. Hayashi prend l'exemple d'un crossover entre Dead or Alive et Virtua Fighter, qui représenterait selon lui l'expérience de jeu mature par excellence.

"En termes de titres de collaboration, il y a le personnel de notre équipe qui adore les jeux de combat, et s'il y avait une chance de faire ce crossover, nous le ferions", a déclaré Hayashi.

"Le premier jeu en 3D auquel j'ai joué était Virtua Fighter ; c'est l' IP que j'ai le plus respecté. Pour moi, Virtua Fighter est le père des jeux en 3D."

Avant d'imaginer un tel crossover, nous pouvons déjà vous dire que les filles de Dead or Alive 5 seront beaucoup plus respectables qu'avant.

"Nous avons toujours eu le facteur sexe dans ce jeu. Mais dans le passé, les personnages féminins devaient toujours avoir des gros seins, et des robes très courtes", a dit Hayashi. "Dans DoA 5 en particulier, nous essayons de mettre l'accent sur les vraies femmes qui nous entourent. La voix d'une femme, ses maniérismes, nous voulons être plus réalistes sur ce sujet."

Les voyeurs seront donc surement déçus, et pas qu'eux puisque le côté sexy de Dead or Alive a toujours été un élément essentiel de la franchise. Il faudra s'y faire...

Plus grippe-sous que jamais, Square Enix confirme l'arrivée du contenu téléchargeable consacré à Sazh pour le 28 février au Japon, au tarif de 600 yens / 400 points (6 €). Ironie s'il en est, ce contenu s'intitulera en japonais Omote ka Ura ka, que l'on pourrait traduire par "Par devant ou par derrière ?". Prémonitoire.
Ce contenu relatera l'histoire de Sazh et son arrivée sur Xanadu, le monde-casino, où il pourra s'essayer à deux nouveaux jeux. Parmi eux figure le fameux jeu de cartes Chrono Bind, qui apparaissait jusque-là "grisé" dans le menu de sélection, avec la mention "contenu téléchargeable". Le second mini-jeu sera présenté ultérieurement.

En attendant, les joueurs pourront également découvrir fin février deux nouveaux costumes pour Noel et Serah, à 300 yens / 240 points pièce. On avait déjà découvert le maillot de bain rose pour l'héroïne ; on pourra également compter sur un costume sombre pour Noel. Pas encore de date communiquée pour l'Europe

Le studio français à l'origine des excellents Fahrenheit (PS2, 2005) et Heavy Rain (PS3, 2010), se livre concernant son implantation en France et les divers crédits d'impôts accordés aux studios de développement de jeu vidéo depuis maintenant quelques années, et qui sont en passe de disparaître... L'avenir du studio dans l'hexagone est donc incertain.

C'est même en janvier dernier que ces crédits ont carrément disparu ! Cela représentait tout de même 20% d'abattement sur l'imposition des studios, un petit coup de pouce largement apprécié par les professionnels du métier. Mais voilà que la Commission Européenne a décidé de mettre son nez là-dedans, invoquant la raison que ce genre de pratique était interdite dans l'Union Européenne. L'Etat français avait mis en place cette aide afin de garder bien évidemment les talents et la création de richesse à l'intérieur de son territoire. Il faudra maintenant en parler au passé.

Cela touche un grand nombre de studios, et Quantic Dream a réagi face à ce revirement de situation en la personne de Guillaume de Fondaumière (co-président et président de la fédération européenne des développeurs de jeux vidéo) :

"Ce crédit d'impôt était un avantage pour l'industrie du jeu en Europe [...] Ubisoft par exemple a décidé de relocaliser le développement de certains jeux sur le territoire français (et donc européen) lors des dernières années.
La fin de cette mesure-phare, qui a suscité l'espoir de nombreux studios européens et a montré son utilité en France, serait une erreur historique."

L'emblématique David Cage (président) avait également réagi il y a de cela quelques temps lors d'une interview accordée à Develop :

"Pour dire la vérité, sans ce crédit d'impôt, nous serions très certainement au Canada à l'heure actuelle."


Après Quantic Dream menaçant de quitter la France, on apprend également qu'Ubisoft menace lui aussi de quitter la France au profit de pays plus favorables, économiquement parlant.

En effet Game Informer a demandé à Shuhei Yoshida pourquoi Microsoft arrivait à vendre "juste un jeu" en 2011 (même si Gears of War 3 n'était pas le seul titre du concurrent) tout en réussissant à vendre plus que tous les titres combinés de Sony. Yoshida répond alors :

"C'est une combinaison de plusieurs choses. Premièrement, nous devons être très honnêtes sur la qualité de nos jeux. Nous aimons nos jeux, mais on peut remarquer de nombreux problèmes lorsque l'on regarde les titres individuellement.

Ensuite il y a la concentration. Lorsque l'on a dix jeux qui sortent en un an comparé à deux ou trois, la concentration que l'on a de notre entreprise et du marketing est très difficile. Du côté portfolio, nous sommes vraiment ravis en ce qui concerne les jeux que nous avons eu l'année dernière, mais nous avons probablement diluer notre soutien pour chaque titre."


Le magazine a ensuite demandé si Sony pourrait alors produire moins de jeux. Après avoir souligné le fait que Sony adorait les nouvelles licences, Yoshida admet que la firme devrait développer moins de jeux afin de pouvoir les soutenir davantage :


"C'est facile de dire : 'Ouai, faisons trois jeux par an." Mais le développement d'un jeu est dynamique. On ne peut pas prévoir de faire cela. On doit déjà avoir un certain nombre de jeux en préparation, en espérant qu'ils sortent à une certaine année. Nous adorons travailler sur de nouvelles licences. C'est vraiment difficile de prévoir quand ces jeux seront terminés.

C'est un challenge, mais je pense que nous aurions dû et devrions probablement nous concentrer sur un plus petit nombre de titres, afin que chacun ait le meilleur soutien possible."

Perso je pense qu'un meilleur soutien marketing ne serait pas un mal pour certaines licences mais j'espère que cela ne se fera pas au détriment de la diversité gage de qualité du catalogue Sony.