Enfin mon maître me l’avait annoncé,
Aujourd’hui même mon souhait serait exaucé,
Celui de l’affronter dans un duel,
Les règles, je les avaient choisis, il se passerait sans aucune arme, rien qu’avec les ailes.
Le dragon derrière moi,
Il m’encourageait, il me redonnait ma foi.
Le combat commençait,
L’adrénaline qui montait,
L’arène était le dojo, cela me satisfaisait,
Depuis trois mois j’y étais.
Nous nous saluons,
Le dragon faisant un bruit de fond,
Tel un encouragement perpétuel,
Il battait sans cesse des ailes.
Arkaton, derrière, mangé son foin,
Mais du coin de l’œil il nous observait de très loin.
Le vieillard, très détendu, m’avait décoché un coup sur le dos,
A l’endroit précis qui paralyse, sans faire mal, je ne le sentais pas trop.
Mais la confiance de la victoire me revenait tout à coup.
Pendant qu’il me mettait à terre, sans traître mot fou,
Je fermais les yeux, me concentrant sur son esprit,
J’avais pensé à vos dits.
Je devinais avant lui le coup qu’il allait faire,
J’étais prêt à le parer, le bloquer sur la terre.
Tandis qu’il tandis le bras pour donner un coup final sur la nuque,
Je lui pris sa main et formait un cercle, tel un aqueduc.
Il tomba raide, sans autre forme de procès,
Je le retournais sur le ventre, puis fis le geste du coup final, mais je m’arrêtais,
Je l’avais battu.
Le dragon et Arkaton battaient des ailes,
La joie de continuer l’aventure était en moi à l’affût.
Tel un esprit qui se fêle,
Maître Fyu se releva, donnant son plus beau sourire,
Il me donna le bâton des quatre éléments, je ne craignais plus le pire.
Il me dit aussi qu’il m’accompagnera,
Que dans ma quête il m’aidera.

A toi de continuer Daisuke .

Après les cours que me procurer mon maître, je séjournais dans le jardin du dojo, là où un petit fleuve passait pour former une cascade, était-ce une construction humaine ou naturelle? J'avoue ne me l'être jamais demandé avant mais maintenant, je me dis que la nature fait bien les choses...Pendant mon questionnement à moi-même, les oiseaux chanté de leurs plus beaux sons, et les ailes de dragons faisait un bruit silencieux, qui parvenait même à faire cesser ma reflexion...Je les regardais voler, ces êtres magnifiques qui volaient tout le temps, était-ce par recherche de liberté? Par plaisir ou par nécessité? Peu importe ils volaient...Mais soudain, je n'entendis plus aucun son venir de nul part, et un bruit d'ailes de dragons qui vole à tire d'ailes se fit de plus en plus pressant auprès de mon oreille. J'entendis un bruit assourdissant de l'autre côté du grand arbre vert et marron, je m'approcha avec prudence derrière le tronc de cet être centenaire, pour en admirer un autre plus jeune lui, je le compris dès que j'entendis son souffle, un jeune dragon qui ne semblait n'avoir qu'une dizaine d'années, et qui s'était fait blessé par quelqu'un qui voulait surement sa peau, au marché noir, on fabrique des armes et armures avec des écailles de dragons, l'un des matériaux les plus résistant de ce monde. Je m'approcha avec prudence pour le soigner, et quand il me vit il ne réagit pas, comme si je l'hypnotisais sans le vouloir, il me regarda l'air de penser que j'étais quelqu'un de fascinant pour lui. C'était plutôt moi qui était pétrifié d'admiration devant une telle créature vue de près, c'est la première fois que j'en voyais une. On aurait dit un respect mutuel, entre un apprenti et son maître. Mais ce moment d'harmonie ne dura pas il n'était pas à l'aise avec son aîle cassé, ça le génait beaucoup, comme tous les animaux, il essayait de la lécher pour voir si cela allait se résoudre mais rien n'y fit. Je pris alors les devants pour le soigner en m'approchant doucement pour ne pas troubler le silence déjà installé ici même..Il me laissa s'approcher de lui pour que je lui examine ses blessures, son aile gauche était atteinte, son aile droite allait. J'entrepris d'utiliser une de ces magies blanches que mon maître m'avait appris, une magie capable de régénérer une partie d'un corps blessé, elle me demande quelques minutes de concentration, un peu d'énergie spirituel, et une pensée vide de toute pensée négative....Après avoir réciter les 5principes qui participent à cette magie, je me mis en transe durant quelques minutes, enchaînant des gestes plus harmonieux les uns que les autres, aucun bruit ne vint me perturber, même pas le dragon qui semblait émerveillé par mon incantation. A la fin de celle-ci, je posa mes mains sur l'aîle cassé et celle-ci guérit dans les minutes qui suivaient l'incantation.....Peu après cette guérison, je m'approcha plus près de la gueule du dragon, celui-ci me regardait avec ces yeux de braises brulantes d'une manière douce, presque rassurante, et me laissa lui poser la main sur le coté de sa gueule. Contrairement aux dires, sa peau n'était pas raiche, mais douce comme le toucher d'un courant d'eau passant sur le visage un soir de pluie. Il me laissa le caresser, signe que l'on était maintenant lié par un lien invisible, il me fit la même chose avec sa langue dégoulinante de baves! Je lui dis tout bas comme à un ami: Maintenant, je crois avoir enfin un vrai ami!


[bientôt des dessins pour illustrer l'histoire, d'ailleurs je passe une annonce ici pour savoir si quelqu'un pourrait illustrer cette histoire ^^ merci! ]

Ma bonne vieille voiture

Faire un tour avec ma bonne vieille voiture,
Du son je passe le mur.
Mon imagination,
C’est malheureusement ma destruction,
Je l’ai vendue pour un cabriolet,
Celle-ci roulait à 100 kilomètres/heures dès que je la démarrai,
La sensation de la liberté qui m’enivrait.
Sur l’autoroute j’étais à 180,
Quand tout à coup une voiture essaya de me rattraper, en vain.
Je passais les 200,
Dans mes veines s’était stoppé le sang.
Là le camion de marchandises,
M’attendait sans surprises.
Je suis passé à gauche les cheveux dans le vent,
Je roulais à contresens, oh et puis et j’étais content.
Quand tout à coup un camion apparût,
Devant moi je le voyais,
A ma droite je ne pouvais tourner,
Là je me dis que j’étais perdu.
J’ai eu le courage d’ouvrir la portière,
Et de sauter, la laissant continuer son chemin, sans rien faire.
Nous étions tous sorti indemne de cet accident,
Malheureusement mon véhicule était en plan.
Ecrasé par les roues,
Il me faisait la moue.
Là je regrettais mon vieux tacot,
Soit disant trop lent, mais tout les jours je ressortais du véhicule, sauvée était ma peau.
Le regard des autres était insurmontable,
Ma bonne vieille voiture je l’avais mise dans l’étable.
Je l’ai ressortie,
Elle m’attendait, les phares qui me sourient.
Et si la vitesse était une fausse réalité,
Si la maladresse n’était que rapidité,
Alors ce monde serait parfait,
Mais comme ce n’est pas le cas,
Je garde mon vieux tacot, tel est son état,
Mais je l’aime, c’est tout,
L’amour d’une chose n’est nullement tabou.

Après de nombreuses demande, je continue la série Et si....

Et si l’homme était un animal ?

Et si l’homme était un animal ?
Il n’y aurait pas grande différence.
Et pourquoi n’y aurait-il pas une grande différence ?
Car l’homme est un animal historiquement parlant, et il se comporte comme tel.
Tournons ça autrement : et si l’animal était un homme ?
Il y aurait une grande différence, le respect des siens et primordial,
Une des règles d’or : à son voisin ne pas prendre la pomme,
La différence entre peuple ne serait même pas évoquée.

Et oui, une contraction qui peut vous paraître bizarre mais paradoxalement vraie.

Aujourd’hui c’est ton premier jour,
Tu commences ton aventure, cours,
Vers ta destinée, vers ton entraînement,
Va voir Maître Fyu, qu’il t’enseigne quelques enchaînements.
Tu n’es pas encore prêt, tu dois encore travailler,
Te lancer dans cette aventure sans techniques serait te tuer.
Il t’aidera, c’est aussi un révolutionnaire,
Il est soulevé contre Patseu, il ressemble à ton père.
Va le voir, convainc le de ta sincérité,
L’épater en entrant dans ses pensées, en devinant avant lui la phrase qu’il va décocher,
Fait preuve de ton cœur pur,
Seuls les personnes vraies peuvent traverser ce mur,
Celui de son esprit,
Seuls les personnes sans acabits peuvent entrer
Sans frapper.
Suis le chemin de la lumière,
Le chemin le plus court pour aller chez cet homme, venant de l’autre univers,
Celui de la raison et de la réalité,
Celui tant apprécié et si bien fait.
Si tu débrouilles bien lors de ta phase d’entraînement,
Que tu le défis, et que tu gagnes à la loyale, selon les règles du firmament,
Il te donnera le bâton des quatre éléments,
Tu pourras maîtriser la terre, l’eau, le feu et l’air, surtout ne refuse pas, prends.
Et si il te trouve comme la réincarnation de sa jeunesse
Et de la sagesse,
Il t’accompagnera et t’aidera,
Quitte à te laisser sur place, il te laissera devant Patseu, pendant qu’il les repoussera,
Les hommes de mains armés de ténébreux pouvoirs,
En toi il n’arrêtera pas de croire.
Maître Fyu sera ta voie de découverte du palais caché de Patseu,
Ne le déçoit pas, il est le pilier de ta quête, du perpétuel feu,
Allumé depuis des siècles, feu de ton cœur, de ton sentiment,
Feu de ta joie de son anéantissement,
Anéantissement de ce tyran.
Ici ton aventure commence,
Les poètes et moi-même en toi penses,
Ton histoire sous forme de vers sera contée,
Ton courage et ta détermination, fait en sorte qu’ils ne te quittent jamais,
Va, va à la rencontre du vieil homme,
Accomplie ta mission, tout les personnages de ce songe s’en sortiront en forme.



Pour ceux qui ne le savent pas, cet homme est à l'origine du Judo.

Nos yeux est le reflet de l'âme dit-on...Pas vraiment sur, mais quand je me regarde dans un miroir je repense à ce que me disait ma mère à mon enfance :
Dreamight,
Homme de foi et de cœur,
Tu retrouves en toi la peur.
Depuis que cet empereur,
Patseu, esprit maléfique et fourbe, à la recherche de son bonheur,
A découvert le rubis noir,
Plus aucun habitant n’ose croire.
Toi, dès le début tu as compris,
Cette phase intriguée et troublée de ta vie,
Etait marquée par ce tyran,
Depuis que tu es né, quand tu étais enfant.
Maintenant la vengeance des tiens remonte à la surface,
Surtout depuis que son homme de main te l’a crié sur la face :
Patseu a le rubis noir,
Pierre précieuse au si convoité pouvoir,
Celui de contrôler le monde,
Celui de passer de l’autre côté, devenir rouge et noir, propager l’onde
De la dévastation.
Bientôt il sera lui-même Frost,
Arrête le et défend la population,
Pense à ses victimes faîtes il y a de cela trois milles ans, lorsque les hommes avaient un poste,
Une tornade rouge feu qui arrive,
Le pêcheur la regardant de l’autre rive,
Il a détruit ta famille,
A cause de lui, tu es immortel, mais tu ne peux même plus ressentir la vanille,
Tout a changé,
Des cornes et des ailes t’ont poussées,
Vas-y, va le repérer,
Vas-y, va l’anéantir de ton esprit d’acier.
Mais avant pense à ta quête,
Pense à tes rencontres durant ton voyage, peut-être tes conquêtes,
Pense à tout ceux qui t’aideront, poussés par le désir,
De tuer cet homme au ténébreux rire.
N’oublie pas que ce sera long, que ceci sera peut-être la fin de ton conte,
Mais saches que son songe d’anéantissement de la Planète monte,
Qu’il faut l’arrêter tout de suite.
Vas-y, chevauche ton fidèle compagnon,
Arkaton,
Ton cheval volant,
Prêt à t’aider, même le poison d’un arachnide le fait mourir lentement.
Que cette pensée soit gravée dans ton cœur,
Que l’amour de ton clan soit en toi, n’en aies pas horreur,
C’est ton destin,
Tu n’y peux rien,
Il y a une chose que tu peux décider :
La fin de cette histoire, à toi la créer.



....Je vis dans un monde où la violence n'existe presque pas, où les dragons volent en liberté à travers le ciel bleu et où le soleil brille de toutes ses flammes, où la forêt cohabite harmonieusement avec les hommes, la végétation pousse d'une manière folle à travers les villages, les couleurs sont partout, elle domine notre paysage, les habitants ont appris à vivre en osmose avec la nature, ils savent l'utiliser de manière à ne pas lui faire de mal et elle lui rend bien, notre mère nature. Dans ces forêts, apparaissent aussi des licornes, animal légendaire d'une grâce rare qui n'apparait que très peu de fois, je n'ai pas encore eu la chance d'en rencontrer une, mais selon les dires, ces animals réveillent en nous la paix intérieur, nous montre la lumière, malheuresement des personnes veulent en capturer mais si j'en croise une, je la laisserai en paix...Il existe aussi des féés qui occupent ces bois, des êtres plutôt jolies selon ma mère qui en a rencontrées, elles sont dotées d'ailes, mais elles sont à taille humaine comparé à certaines légendes, elle posséde le pouvoir de parler aux esprits de la forêt. Aussi dans ce pays, les contrées sont vertes, elles s'étendent à l'infini, des montagnes blanches d'une neige pas encore souillé par les hommes se dressent quelques fois dans ce paysage d'une beauté rare...Souvent, ce paysage se perdait dans la brume, et le chemin rudimement tracé par le passage des marchands qui allaient de ville en ville se perdaitent au milieu d'une végétation souvent en fin de vie, qui se penchait sur le route, comme pour regarder les personnes de passages. Des oiseaux passaient par là, atterissaient pour manger la nourriture laisser tomber, consciemment ou inconsciemment par les marchands, puis s'envolent au passage d'un autre marchands s'envolant à travers une brume quasiment opaque, qui rappelle une sorte de chemin de l'oublie, mais voir des montagnes s'élevaient au-dessus de celui-ci rappelle toujours que peu importe où on va, il y aura toujours quelque chose ou quelqu'un pour nous guider...





[Partie en vers: Jakal, parite en prose: Daisuke]

Début ce soir avec l'incipit de cette histoire, produit par Jakal puis par moua.

Quelques précisions sur cettehistoire; il s'agit d'une histoire basé sur l'héroic-fantasy, torturé et poétique à souhait, sans oublier la pointe de fantasie qui va avec un monde merveilleux rempli de crétures plus impropables mais pourtant qui paraîtront si réel.
Le héros a pour prénom Liu [prénom non définitif] et sera torturé à souhait, il sera porteur d'un secret très lourd sur lui...Rendez-vous ce soir vers 20h50 pour le début de cette aventure!

Oui une annonce, sur Imagine! Ne paniquez pas, Imagine continuera ^^ mais il s'agit juste de vous prévenir d'un projet entamé bientôt par Imagine, enfin ses poêtes, il s'agit d'un projet d'histoire, le théme et le sujet vous seront dévoilés surement demain mais pour l'instant sachez que le théme poursuite l'un de mes poèmes ! A demain pour d'autres infos!

L’humain par ci, le martien par là

Bientôt la rencontre,
Entre deux mondes séparés par le chronomètre de la montre,
L’astronome se prépare,
Ils arrivent dans une heure au plus tard.
Tout le monde est à l’affût devant sa télévision,
C’est enfin la rencontre du troisième type, ce n’est plus une fiction.
L’imagination entre en action :
Les petits hommes verts aux grands yeux, leur caractère a un bon fond.
Tout à coup un tube vertical en gravitation arrive,
L’homme regardant de plus près le téléviseur, lâchant son endive.
La vérité allait éclater,
Leur forme, leur langue,
L’homme si intrigué tangue,
Prêt à s’évanouir,
Choc trop dur à soutenir.
L’objet tubulaire volant se posa,
Les yeux grands ouverts, l’homme s’épongea.
La porte du vaisseau s’ouvrit,
Une lueur intense s’en échappa, puis on entendit un cri.
Une ombre familière apparue,
La crise cardiaque pour l’humain en vue.
Le martien avança,
Et là,
La surprise la plus grande se présenta.
Il ressemblait exactement à un chien,
Le même que celui qu’on élève, que l’on plaint.
Le monde entier se retourna,
Voir leur animal de compagnie, un doute s’installa.
Tous les animaux de cette race se tenaient désormais sur leurs deux pattes arrière,
Regardant le ciel, ne pensant plus à ceux qui les ont élevés, à leur pères et mères.
Tous au même moment disparurent, puis réapparurent à côté du martien,
Se tenant sur le maintient que ses prochains.
Tous les chiens entrèrent dans le vaisseau,
Laissant en plan leurs maîtres, bouche en o.

Si notre imagination permet d’inventer de nombreux peuples,
La nature nous la rend
En nous surprenant.
Continuer à croire,
Continuer à s’émouvoir
De nos songes,
Nous permettent de pouvoir mieux être surpris,
Voir mieux être épris
De cette envie
De réfléchir
A notre avenir,
A notre Terre qui évoluera,
A nos enfants qui connaîtrons la révolution de l’électronique, du franchissement de la barrière du réel par un simple pas.

Non, pas la cabane au fond du jardin mais quelque chose que j'avais envie de mettre en vers ça me passait par la tête ^^.

Neverending story

Un petit poème simple
Pour vous dire à quel point
L'imagination est utile.
On peut, par exemple
Imaginer un monde fantisique tranquille
Pleins de dragons volant, une histoire sans fin...
Là où notre passion vit
Nos rêves, et nos envies
Vivre notre histoire comme dans un conte
S'échapper d'un monde de honte
Pour aller au loin dans une contrée
Où rien n'est humanisé
Où la nature a tout ses droits
Ou des animaux légendaires
Se balladent dans les bois
Une licorne, un dragon, et en regardant dans les airs
Le soleil qui n'a jamais autant brillé
Crois-tu avec moi à cette histoire?
T'as-t-elle laissé t'échapper quelques temps?
Si oui, alors imagine aussi une histoire
Et rejoins-nous dans cette quête du chateau volant

Neverending story




[pour ceux qui en doutent, c'est un hommage à Within temptation et à Dragonland ce poême ^^]

Et si la question n’existait pas ?

Et si la question n’existait pas ?
La question précédente ne serait pas là…
Et pourquoi elle ne serait pas là ?
Car la question est la base de tout, de nos réflexions, c’est grâce à ça que l’on croit…
Et pourquoi croire n’existerait plus ?
Car l’espoir fait vivre, la vie n’est qu’une question, la question est l’espoir,
L’espoir permet de croire…

Certes un peu court, mais parle beaucoup plus qu'une poésie longue.

La poésie

Drôle de thème,
Etant donné que j’écris en ce moment un poème,
Pour vous conter l’histoire
De la poésie, qui peut très bien être formée à base d’une poire.
La poésie, synonyme de poème,
Ecriture de bohème,
Sert aux amateurs comme vous et moi
A exprimer notre amour et foi
En la langue française,
Constituée de mots riche, nous servant à écrire notre thèse.
La poésie,
Amie de notre imagination, de notre envie
De découvrir un autre versant de la vie.
Noir ou joyeux,
Humaniste ou parlant d’un parfait monde,
Engagé ou histoire de propager une onde,
Le poète preux et courageux,
Se lance dans une aventure difficile,
Sachant que d’autres protagonistes le liront, sans peut-être battre d’un cil,
Critiquant son point de vue,
Sa vision de la réalité, à l’affût des choses qui se passeront, certes des fois un peu crues.
La poésie est un moyen de s’évader,
De penser aux choses passées
Ou futures
Selon la tournure
De leur engagement dans la profession,
La profession de l’âge, de la vieillesse, de la confusion.
Si la poésie est une chose un peu dure,
C’est que le regard envers celle-ci n’est pas encore mûr.
La pensée doit jaillir toute seule,
Sans autre aide que la meule
De l’imagination.
La pensée ne doit pas être forcée,
Sinon celle-ci donnera une flaque d’eau, et donc bien sûr controversée.
Il faut que la pensée donne une rivière,
Que le fait de lire la poésie nous donne de l’air.
La poésie est la plus belle chose que l’homme pu inventer,
Laissant la liberté de s’exprimer,
Sous une forme comme une autre,
Sans contraintes,
Il faut juste que les formes de ses songes soient peintes
A l’encre de Chine,
Chacun a sa personnalité, copier serait chose peu fine.
Je finirai cet hommage
A cette écriture aussi vieille que l’âge
De notre arrière arrière grand-père,
Ancêtre de renommé et qui su nous plaire,
Par un petit remerciement aux poètes de Imagine,
Car grâce à eux, l’amour de la poésie et de l’écriture mesquine,
M’est revenue,
Depuis bien longtemps je l’avais perdue.

J'écris la nostalgie des jours passés
J'écris le soleil, la lune, le souffle divin,
J'écris ton regard, j'écris tes mains,
J'écris le monde qui meurt, j'écris la vie qui pleure.
Douce mélodie née pour l'impossible
Née pour voir les choses invisibles
Je te supplie de suivre les rivières
De rompre toutes les barrières.

Voilà comme ça il y en aura au moins un de moi ^^'