Nos yeux est le reflet de l'âme dit-on...Pas vraiment sur, mais quand je me regarde dans un miroir je repense à ce que me disait ma mère à mon enfance :
Dreamight,
Homme de foi et de cœur,
Tu retrouves en toi la peur.
Depuis que cet empereur,
Patseu, esprit maléfique et fourbe, à la recherche de son bonheur,
A découvert le rubis noir,
Plus aucun habitant n’ose croire.
Toi, dès le début tu as compris,
Cette phase intriguée et troublée de ta vie,
Etait marquée par ce tyran,
Depuis que tu es né, quand tu étais enfant.
Maintenant la vengeance des tiens remonte à la surface,
Surtout depuis que son homme de main te l’a crié sur la face :
Patseu a le rubis noir,
Pierre précieuse au si convoité pouvoir,
Celui de contrôler le monde,
Celui de passer de l’autre côté, devenir rouge et noir, propager l’onde
De la dévastation.
Bientôt il sera lui-même Frost,
Arrête le et défend la population,
Pense à ses victimes faîtes il y a de cela trois milles ans, lorsque les hommes avaient un poste,
Une tornade rouge feu qui arrive,
Le pêcheur la regardant de l’autre rive,
Il a détruit ta famille,
A cause de lui, tu es immortel, mais tu ne peux même plus ressentir la vanille,
Tout a changé,
Des cornes et des ailes t’ont poussées,
Vas-y, va le repérer,
Vas-y, va l’anéantir de ton esprit d’acier.
Mais avant pense à ta quête,
Pense à tes rencontres durant ton voyage, peut-être tes conquêtes,
Pense à tout ceux qui t’aideront, poussés par le désir,
De tuer cet homme au ténébreux rire.
N’oublie pas que ce sera long, que ceci sera peut-être la fin de ton conte,
Mais saches que son songe d’anéantissement de la Planète monte,
Qu’il faut l’arrêter tout de suite.
Vas-y, chevauche ton fidèle compagnon,
Arkaton,
Ton cheval volant,
Prêt à t’aider, même le poison d’un arachnide le fait mourir lentement.
Que cette pensée soit gravée dans ton cœur,
Que l’amour de ton clan soit en toi, n’en aies pas horreur,
C’est ton destin,
Tu n’y peux rien,
Il y a une chose que tu peux décider :
La fin de cette histoire, à toi la créer.



....Je vis dans un monde où la violence n'existe presque pas, où les dragons volent en liberté à travers le ciel bleu et où le soleil brille de toutes ses flammes, où la forêt cohabite harmonieusement avec les hommes, la végétation pousse d'une manière folle à travers les villages, les couleurs sont partout, elle domine notre paysage, les habitants ont appris à vivre en osmose avec la nature, ils savent l'utiliser de manière à ne pas lui faire de mal et elle lui rend bien, notre mère nature. Dans ces forêts, apparaissent aussi des licornes, animal légendaire d'une grâce rare qui n'apparait que très peu de fois, je n'ai pas encore eu la chance d'en rencontrer une, mais selon les dires, ces animals réveillent en nous la paix intérieur, nous montre la lumière, malheuresement des personnes veulent en capturer mais si j'en croise une, je la laisserai en paix...Il existe aussi des féés qui occupent ces bois, des êtres plutôt jolies selon ma mère qui en a rencontrées, elles sont dotées d'ailes, mais elles sont à taille humaine comparé à certaines légendes, elle posséde le pouvoir de parler aux esprits de la forêt. Aussi dans ce pays, les contrées sont vertes, elles s'étendent à l'infini, des montagnes blanches d'une neige pas encore souillé par les hommes se dressent quelques fois dans ce paysage d'une beauté rare...Souvent, ce paysage se perdait dans la brume, et le chemin rudimement tracé par le passage des marchands qui allaient de ville en ville se perdaitent au milieu d'une végétation souvent en fin de vie, qui se penchait sur le route, comme pour regarder les personnes de passages. Des oiseaux passaient par là, atterissaient pour manger la nourriture laisser tomber, consciemment ou inconsciemment par les marchands, puis s'envolent au passage d'un autre marchands s'envolant à travers une brume quasiment opaque, qui rappelle une sorte de chemin de l'oublie, mais voir des montagnes s'élevaient au-dessus de celui-ci rappelle toujours que peu importe où on va, il y aura toujours quelque chose ou quelqu'un pour nous guider...





[Partie en vers: Jakal, parite en prose: Daisuke]