Je te déteste donc je t'aime

Lisa, je te déteste.
C'est sûr, tu es une peste,
Indigne dans ton espèce.

Lisa je te déteste.
On ne se ressemble pas, extrêmes opposés,
Je ne veux pas te voir, il ne faut pas que tu restes,
Tu m'enlèves l'envie de respirer.

Lisa je te déteste.
Tu es mon adversaire,
Mêmes résultats scolaires,
Plus jamais, pour que tu ne me battes, je ne lâcherai du leste.

Lisa je ne t'aime pas.
Je ne lâcherai pas,
Tu n'es pas celle dont je rêve,
Tu n'es pas la fève.

Lisa je ne t'apprécie pas.
Malgré tes faux airs,
Je ne cèderai pas,
Quitte à être plus terre à terre.

Lisa je t'apprécie.
Tu te révèles sympathique,
Finalement nous sommes dans la même barque,
Mais je ne puis, je te le dis,
Te considérer comme une amie.

Lisa je t'aime.
Je ne lâcherai pas,
Tu es celle dont je rêve,
Tu es ma fève.

Lisa tu es mon idéal.
On se ressemble, tu es la fin de ma quête,
Je veux te voir, je veux que tu restes,
Tu es ma bouffée d'air, malgré mes précédents râles.

Lisa je t'aime comme jamais je n'aimerai.
C'est sûr, tu es ma mie,
A toi seule tu es ma vie,
A toi seule tu es celle que j'envie.

J'crois qu'à ce petit homme, je me dois de rendre hommage, c'est pas vraiment quelqu'un que j'ai connu, j'ai pris sa carrière sur le tard on va dire. Mais, ce petit homme, Monsieur Henri Salvador s'il vous plaît, n'était pas vraiment un chanteur à essayer de faire de la musique pour l'argent, non, il faisait de la musique, pour la musique. Ayant tiré sa révérence il y a peu de la scène, il tire sa révérence de la vie, avec beaucoup de regrets pour tous ses fans, dont moi. Il a eu une carrière bien rempli, ce vieux encore jeune dans sa tête, du haut de ses 90ans, il avait une pêche peu commune, et il l'utilisait pour vivre encore ce qu'il pouvait. Foncièrement bon vivant, il a bercé de nombreux enfants avec sa chanson Une chanson douce, une sorte d'ode à la quiétude et aux rêves. Et de part sa poésie en chanson, j'ai appris que la vie pouvait être bonne parfois...J'espère qu'il s'est endormi avec le sourire, n'ayant rien regretté de sa vie, car tous les fans lui diront la même chose, Henri, si tu nous entends,

MERCI!

Beaucoup disent que lorsqu'ils aiment, ils seraient capable de déplacer des montagnes (cf Shadow of the Collossus), ils seraient capable de détruire une armée entière, de faire le tour du monde....

Non moi je suis capable de rien de tout ça. Parce que de un je n'ai personne pour faire ça (pour le moment) et de deux je n'en suis pas capable pour la simple et bonne raison que je suis humain, au lieu de déplacer des montagnes, au lieu de détruire une armée entière, au lieu de faire le tour du monde, je lui donnerai tout ce que j'ai en amour, je ne détruirai rien pour ne pas la blesser, et je resterai prêt d'elle tout le temps....

Et y en a qui disent je pourrai donner ma vie pour toi. Si on meurt, qui la protégera après? Et qui lui remontra le moral? Non pour lui prouver que je l'aime, je resterai en vie pour elle...


[Référence à Shadow of the Collossus: C'est l'histoire d'un guerrier qui a perdu sa bien aimée, il la pleura longtemps...jusqu'à qu'il apprenne qu'il existe un moyen pour la ramener à la vie....il devra combattre et tuer 18 colosses de la taille d'une montagne...et tout ça par amour...Et là il s'apprête à partir à l'assaut de ce colosse...]

Imagine de retour? Je l'espère! Pour recommencer, un petit poème simple que j'avais écris pour une fille, il n'a pas atteint son but, mais vu que je le trouvais sympathique, je vous le propose à la lecture!

Pour Flore.

Elle, c'est Flore, raison de mon coeur
Et de ce poème qui respire le bonheur.
Flore, c'est cette fille qui paraît réservée
Une fille qui a fait chavirer mon âme déserté
De tout sentiment, elle a réussi à faire pousser
Dans ce désert une fleur, celle de l'amour retrouvé
Fleure magnifique qui réssucite un désert de poussière.
Elle seule, grâce à son charme, a réussi à le faire.



A bientôt pour d'autres poèmes, je l'espère!

LE TEMPS C'EST DU VENT .

Amour. Maitre de nos existences. gouverne. decide. destine.

Amitié. Soutenir. Aider. SOS. Help. Quelqu'un.

Exister, c'est vivre, c'est vecu, c'est vivrai, c'est mourir, c'est Autrui.
Exister c'est Autrui .. EXISTER C'EST UNE RELATION AVEC AUTRUI.

.. c'est d'abord une reconnaissance comme conscience de soi.

Et puis ? .. Autrui on fini par l'aimer, on AIME, l'HOMME EST UN ETRE AMOUREUX.

Exister c'est aimer.

AIMONS.

AIMEZ.

AIME.

A.

..

.
.

A .... a .... . elle est jolie cette lettre . . . A .

comme Amour

comme Amoureusement Amoureux d'un Amour Agreablement Atemporel .

comme Ahh.. .

comme A.

comme Ah, ah il est temps de partir, ah, il est temps de tourner la page alors ? ah, alors c'est ça ?
ah, le ah de surprise, le ah de AMER.


Le A d'une Amertume Arrogante qui vous Aggace et vous Arrache . L'Ame .

Ah . J'ai fait un rêve.

Il faisait chaud.
J'étais Normal.
J'étais ignorant.
J'étais idiot.
J'étais heureux.
J'étais libre.
J'étais heureux.
J'étais stupide et j'étais heureux.

Je n'exprime quasiment jamais mes sentiments, mais là, c'est plus fort que tout...


Lisamour

Amour, amour,
Qui es-tu ?

Amour, amour,
Tu m'as pris de cours,
Je n'ai jamais pensé à toi,
Je ne te connaissais pas, loin de là.

Mais que fais-tu ?
Essaierais-tu de me planter ton dard ?

Qui es-tu ?
Je ne te cherchais nulle part...

Tu m'as envahi
Comme une maladie,
Mais je ne cherche pas à ne plus t'avoir
Tu es le seul virus que je veux boire.

Qui es-tu ?
Tu m'as eu...

Serai-je amoureux de l'amour ?

Amour, amour, tu as un nom.
J'ai peur que tu me dises non.
Je n'ose aller vers toi
Même si je t'aime de toute ma foi.

Amour, amour, tu t'appelles Lisa
Amour, amour, Lis-amour.

Jamais tu ne passeras ici, amour,
Jamais tu ne t'arrêtera ici, amour,
Mais moi je t'attend, et je t'attendrai.

Et dire que je ne croyais en ces sornettes,
Et dire que j'ai aujourd'hui peur de lui faire la causette.

Amour, fais comme la mort,
Emporte moi très loin,
Tu vaux largement plus que de l'or,
Emporte moi très loin...

Qui es-tu ?
Tu m'as eu...

N'en déplaise à certains, voici les paroles d'une chanson de Björk que j'aime beaucoup. Je les trouve d'une simplicité sublime... Du Björk peu prétentieux, du Björk apolitique asocial a-tout, du bon Björk...



I'm a fountain of blood
in the shape of a girl
you're the bird on the brim
hypnotized by the whirl

drink me - make me feel real
wet your beak in the stream
the game we're playing is life
love is a two way dream

leave me now - return tonight
the tide will show you the way
if you forget my name
you will go astray
like a killer whale
trapped in a bay

i'm a path of cinders
burning under your feet
you're the one who walks me
i'm your one way street

i'm a whisper in water
a secret for you to hear
you are the one who grows distant
when I beckon you near

leave me now - return tonight
the tide will show you the way
if you forget my name
you will go astray
like a killer whale
trapped in a bay

i'm a tree that grows hearts
one for each that you take
you're the intruder's hand
i'm the branch that you break

Ami du jour, bonjour,

Il était une fois un troubadour qui rêvait. Et un jour, il décida de mettre un de ses rêves à la portée de tout le monde : le troubadour ouvrit un espace communautaire sur le Web permettant aux utopiens de faire partager leurs songes mais également de donner le gout de l'utopie. Il s'avère que farfouillant sur le net, je découvris ce Blog utopique. Je ne m'était jamais essayé aux vers et je n'avais quasiment jamais lu de poèmes. Puis j'ai lu une des utopies du troubadour. Puis une utopie d'une folle incroyable. Et puis d'un breton à la plume enchanteresse. Et enfin celle d'un ange. Tout à coup, c'était comme si j'étais dans un autre monde, dans un autre univers, dans une autre vie. Comme un souffle d'air frais qui me remplissait la tête, qui me chatouillait le cerveau, qui me rentrait par les voies buccales et nasales, qui descendaient par la voie respiratoire pour atteindre mon coeur. Peut importe les fautes d'orthographe, de conjugaison ou de grammaire, le but était de s'évader. Encore sous le choc, je regardais l'intitulé du Blog...







Pour mettre en valeur ce mot si précieux, pas besoin du mettre du gras : l'italique et la grandeur de la police symbolisent la légèreté... Et je me mis à rejoindre leur troupe de joyeux utopiens. Je me mis en quête de ma terre fertile, où j'y sèmerai ma personnalité, et j'écrivis. Comme si ce sang qui nous hante tous m'avait quitté. Comme si je devenait à mon tour léger...



Si la vie est un long fleuve tranquille, il est remplit de méandres...



Et me voilà qui mettait à l'écart cet air purificateur à cause de problèmes personnels...

Quelques temps plus tards, je revis notre breton et notre ange. Et je discutais... C'était si pur et si magnifique que l'instant s'était arrêté. Je ne ressentais plus la pression de la vie et de ses inconvénients. J'étais vidé, lavé, de toute cette crasse, de cette pollution quotidienne. Et là, je vis s'afficher sur mon navigateur :



Et si nous réouvrions Imagine ?...



Ami du soir, bonsoir.

Il me laisse à moitié déchue
J’ai l’air d’une pomme qui soupire
Assise sur un trottoir. Déçue
Comme on déçoit les filles pour rire
Et quand on leur marche fort dessus.

Il me laisse à moitié perdue
Cet archange me blesse et me cherche
Comme les peintres peignent les nus,
Comme la lune s’étend et se perche
Sur l’eau gracile des larmes qui tuent.

J’écris sans savoir celui qui me délaisse
J’écris sans vouloir les blessures illusoires,
Les infimes rancoeurs, les sourires amers,
Les pardons trop faciles. J’écris surtout la belle eau gracile
Qui sillonne les joues et s’accroche aux cils
J’écris la belle eau –ô la belle eau- des larmes d’amour,
J’écris la belle eau des larmes d’amour
Celle qu’on verse noblement
En milliers d’étoiles au vent.

Petit poème sans prise de tête pour celle à qui mon coeur s'est ouvert...

Il y a elle, cette jeune demoiselle
Qui fait planer ma tête, vers le ciel
On dirait un ange qui a étiré ses aîles
Dans toute sa splendeur, c'est elle.

Jeune demoiselle aux cheveux d'or
Que mon coeur a décidé d'aimer très fort.
Belle comme le soleil lors d'un aurore
Je crois que sans le vouloir, elle m'a jeté un sort.

Jeune demoiselle au si doux visage
Pour moi il n'est qu'heureux présage
Une douce vision à travers les âges
C'est elle qui arrête tous mes orages.

Jeune demoiselle, qui est si gentille
Elle est devenue bien plus qu'une amie
Je voudrais qu'elle sache tout ça...

Que je l'aime, qu'elle m'enivre de son aura.
Quand elle est là tous mes sens se réveillent pour elle
Que je l'aime à la folie cette jeune demoiselle...


(au passage pour les amateurs de jolies musiques, écoutez Antimatter, vous allez adorer! [info: c'est de l'acoustic métal, enfin ça reste très acoustique quand même!])

[J'admet, la technique n'est pas là mais je pense qu'il vaut mieux que le poème touche au coeur directement que de passer par des techniques incompréhensibles, en déplaira aux amateurs de complexité littéraire!]

... On recommence ?

Salut tout le monde.

J'espère que tout ce petit monde va bien... Vraiment ? Tant mieux.
Alors, j'entends déjà les critiques dans le fond de la salle... Oui, vous là-bas. Vous vous dites il avait dit qu'il partirait définitivement, qu'est-ce qu'il fous là ? C'est même pas décent de revenir, non mais quelle honte [...]. Donc je vous rassure de suite, je m'en vais dans quelques secondes et je vous laisserai une paix royale... d'un autre côté personne vous oblige à rester... sauf peut-être votre inconscient paradoxal qui ne se résoud pas à cliquer sur fermer, mais là, si vous avez des problèmes, adressez-vous à tonton Freud.
Ce dernier pourra même vous aider si vous êtes hantés par des fantômes de cochons d'Inde à poils longs et vert fluo alors même que vous consultez un rapport de l'omc [organisation mondiale de la connerie] sur le taux d'oursins homophobes dans les eaux salées bordant la mer de la Nouvelle Calédonie néérlandaise.

En fait, je voulais relancer le bien nommé projet Imagine et j'espère que je serai suivi par mes camarades et leur poèmes et proses en folie d'ici peu *j'ai bien dit en folie et pas de folie*. Daisuki [occupé en ce moment même avec une sombre affaire de clip... Bref, il vous en parlera s'il passe par ici] s'était d'ailleurs engagé à relancer le blog et il l'a fait. Merci qui ? Malgré tout le post d'articles ou de comms se fait de façon ponctuelle et par-à-coup ce qui *non, ça n'a pas le don de me désolé, faut pas exagérer* m'attriste ... Donc voilà, je voulais reposter et assurer un tout petit peu de visibilité pour le blog.

J'en profite pour refaire un peu de tapage médiatique. Si tu es blonde, grande... Oups, pardon, je me suis trompé de script. Si vous êtes motivés, intéressés par l'écriture et prêts à faire partager votre petit monde rien qu'à vous à une communauté de gens biens pensants *si, si !* alors n'hésitez plus un seul instant et rejoignez le groupe. Bon, en pratique, un MP un mail à l'un de nous et c'est réglé *enfin, surtout à daisiki ou another parce que c'est eux qui ont le mdp du compte*. J'espère vraiment que vous *je fais déjà un pluriel * vous montrerez attirés par le projet !

Bon voilà, j'espère vous revoir au plus vite *en passant, j'étais déçu de n'avaoir vu personne du site au Werchter ! Mais bon, il aurait fallu organiser des rencontres, ç'aurait été plus simple...* que ce soit ici ou ailleurs ! Et en particulier ceux que je n'ai plus croisé depuis longtemps *reportez-vous à la grille des bloggueurs pour savoir de qui il s'agit*.

Bonne soirée et zoubies !

Pour finir, je vous laisse avec un de mes désastreux poème parmi tant d'autre. La construction est extrêmement formelle, le titre est bateau, la rythmique est pitoyable, les rimes sont risibles et en plus l'histoire est vraie. Bref, à ne pas imiter !



Tu m’as menti…



Je suis un passant perdu dans ses pensées…
Je n’ai cure de la rue bruyante en contrebas !
Je suis un perdu passant dans ton entrée…
Je suis pur de l’épure de nos ébats !
A quoi bon apprendre l’amour s’il est latent ?

Pourtant les étoiles ont veillé sur notre idylle…
Même si par moments nos cœurs étaient fébriles !
Pour autant on ne peut pas rester éveillés toute la nuit…
Même si un instant on peut lutter contre l’ennui !
A quoi bon éviter la haine si elle m’attend ?

Tu te relèves à côté de mon corps effondré…
La flèche que la séparation a décochée me déchire !
Tu enlèves de mon côté la désillusion cendrée…
La mèche de notre amour s’est éteinte. Je délire !
A quoi bon dire la vérité si tu me mens ?

Moi aussi j’ai rêvé d’un monde meilleur…
A construire toi et moi !
Mais tu j’auras pas la frayeur…
De ne pas pouvoir te reconstruire en un mois !
A quoi bon dire ces mots si tu me comprends ?




Et n'oubliez pas : life is a rainbow ! rulZzZzzZzZzZZz.

L'être humain n'arrive pas à être heureux, il n'arrive pas à cueillir les roses de la vie ( pour reprendre le débat plus bas ).

Que dit Pascal ? ( un philosophe très prétentieux ) Il en dit, que nous etions heureux, dans un jardin verdoyant, avec une feuille pour vêtement, puis nous avons pechés, et nous voila à essayer de retrouver le bonheur, on le sent tout près, on tente de s'y accrocher, mais non.

L'être humain ne pense jamais au présent. L'être humain pense au futur, comme un ''temps trop lent à venir'', ou bien il pense au passé, comme une insouciance perdue, mais jamais il ne pense au moment présent.

..J'ai une envie pressante, je vous laisse là.

Vous connaissez l'expression carpe diem [quam minimum credula postero]? Souvent traduite à tort à l'époque par vit au jour le jour, cette expression signifie littéralement cueille le jour et soit la moins curieuse de l'avenir.
En dépit de l'interprétation convenue qu'on peut en faire, je voulais vous faire partager mon point de vue sur cette expression!
Pour moi, j'associe cette expression, comme beaucoup, à un moment où on ne se soucit plus de l'avenir mais que de l'instant présent. Mais en plus de cela j'associe l'expression à une certaine envie de profiter à fond des gens qu'on aime! Car malgré qu'on ne pense pas à l'avenir, le 'carpe diem' est interprété généralement, et dans un sens plus moderne, par vit le jour présent comme si celui-là était le dernier. Ainsi je pense qu'il faut profiter des gens qu'on aime, à chaque fois qu'on est avec eux, car sait-on jamais ce que la vie nous réserve...