Et surtout n'oubliez pas de lire la suite de l'histoire juste en dessous ( la partie 10 )

Nous nous présentions au garde du village,
Qui surveillait du haut de la Tour de l’enceinte en bois et qui se déplaçait tel un page.
Il nous dévisagea d’un air incertain,
Et fit me fit mine de descendre de Ark, d’un geste pas très fin.
Il me fit signe de rentrer dans le hameau,
Je le suivais tout en réfléchissant à Ark qui s’était dirigé vers un point d’eau.
L’homme me coupa dans ma réflexion et me répondit que mon fidèle compagnon devait rester à l’extérieur.
Je fronçais les sourcils car je cherchais un moyen de le faire entrer sans que les villageois n’aient peur.
La nuit tombée, je sortis de l’auberge où je m’étais rassasié,
Puis je me dirigeais vers la porte où le garde dormait, inanimé.
Mais en regardant de plus près, je vit qu’il était mort, une flèche dans le dos.
Mais le problème n’était pas là : il fallait faire entrer Ark sans qu’on lui veut sa peau.
Et là, je tombais sur une affiche placardée sur le mur en bois de l’enceinte :
Un gang appelé Dreamight était sur la route du village et qu’il fallait qu’un homme sans craintes,
Les capture et les amène au grand Chaman vivants,
Qu’une sentence impitoyable leur sera infligée et prie de croire que ce sera violent.
Le victorieux recevra 8 000 000 d’écus,
Sans autres formes de modalités, il sera l’élu,
Il deviendra maire du village,
Et aura à sa disposition toutes les personnes qui y habitent, de tout âge.
Notre héros se dit qu’il n’était pas encore le moment d’y penser,
Ark l’attendait.
Il le siffla et son cheval apparût par une fente du mur,
Il prit son bâton et se concentra pour faire apparaître le cercle pur,
Il l’appliqua précieusement sur l’enceinte qui se fendit en deux,
Tout dans le silence complet, notre compagnon avait dans ses yeux le feu,
Ark savait que cela signifiait que son maître avait une idée derrière la tête,
Il grogna tout doucement en signe de fête.

-Une récompense? En quoi ça me servirait dans ce voyage, me disais-je. Un gang qui menace ce village, qui m'a pas l'air très riche...Je préfére penser à la route qu'à ça, mais ce village a l'air d'avoir besoin d'aide...
Je marchais alors vers la sortie avec Ark, quand je me fis appé par un bras sortant de l'ombre et qui me plaqua contre le mur violemment; je venais de sortir de cette torpeur rapide causé par la surprise que je fis une femme accompagné d'un homme fort et puissant, ils m'intérogérent:
-Pourquoi tu as lu cette affiche? Tu veux la récompense? Tu pourras faire une croix dessus, car les dirigeants d'ici ne sont pas près de laisser quelqu'un comme toi, laisser monter à la palce de maire....
-Ca m'intéresse pas! les interrompais-je.
-Ah de la fougue, de l'entrain, tu sais tu me rappelles Ailos à son jeune âge, et son petit frère, Ping...dit l'homme d'un certain âge déjà.
-....Ping? Vous connaissais Ping?
-Oui c'est mon fils, au même titre que Ailos....
-Et qui est Laios?
-Mon autre fils, tu en poses des questions!
-Oui mais je suis justement à la recherche de Ping.
-Pour lui voler son esprit du vent? Je ne l'ai jamais retrouvé, et ça m'étonnerait que tu y arrives malgré que tu m'ais l'air motivé....
A ce moment-là j'étais découragé par les paroles du père....Mais je me demandais:
-Pourquoi m'avais-vous tiré ici?
-Parce que nous faisons parti du gang de dreamight, et nous ne voulons pas nous faire voir, écoutes, ce n'est pas vrai ce que disent les affiches, on ne vole pas, on ne tue pas, on fait qu'aider les gens, mais les autorités refusent notre présence...repris la femme. Ecoute, on est plusieurs gangs, en fait à travers le monde, et nous sommespour le peuple, près du peuple, nous avons besoin de quelqu'un comme toi, tu m'as l'air fort et....
A ce moment-là, je sentais tous les regards se posaient sur mon baton et mon épée, ce qui ne me rassurait guère.
-Et tu as en ta possession une arme digne des Dieux , reprit-elle.
-...C'est juste un baton simple, incrusté de quelques pierres colorés, disais-je en voulant cacher l'existence de ce baton à cette femme....
-Oui, mais cette épée, je reconnais la patte du maître du dojo qui n'est pas loin du village....Elle pourrait nous être.....euh tu pourrais nous aider pour cette quête de débarasser le pays de ces dirigeant seulement attiré par l'argent...


(parti en vers par Jakal, en prose par Daisuke )
[désolé me suis trompé de blog tout àl'heure ^^'']

En attendant que Daisuke mette la 10ème partie de l'histoire, je vous met une petite poésie que je viens de créer à l'instant.

Minuit, le gong de l'insomnie perpétuelle

A minuit retentit le gong de l’insomnie perpétuelle,
On se retrouve devant la fenêtre du rêve,
On passe la tête dedans, on l’appelle,
Pendant cette opération il ne faut pas que l’on se lève,
Soyons courageux et attendons,
Il y a une histoire que l’on nous raconte, compter les moutons.
J’ai tout essayé,
Rien n’a marché.
J’ai regardé la télévision,
Rien d’important à part que cela aggrave mon cas, c’est mon opinion.
Devant mon ordinateur,
Je me balance sur la chaise sans peurs.
Quelle thérapeutique !
Depuis cet instant mes yeux globuleux remplis de sang me piquent !
J’ai invoqué le dieu de la littérature,
Il m’a répondu et m’a donné un livre mûr.
Rien à faire, je ne comprend rien,
C’est de la psychologie et je ne lis pas jusqu’à la fin.
Peut-être écrire un poème ?
C’est le sujet de cette bohème.
Mais bon quoi faire ?
Sortir un peu sur les quais solitaire ?
Regarder la Lune et les étoiles,
Oter cette espèce de voile ?
Excellente idée,
J’y vais de ce pas me perdre dans mes pensées.
Peut-être que sur le banc qui me sépare de la mer je m’endormirais ?
J’emporte avec moi le tissu qui me sert de couverture,
Je m’en vais pour une nuit regarder la lueur et la chaleur que dégage le ciel,
Je m’en vais pour un instant toucher cette douceur de miel,
A plus tard chers amis de la poésie,
Je m’en vais ressentir ce moment de euphorie.

Après avoir rencontré ce marchant, je décidés de m'arréter au pied d'une cascade se trouvant à quelques pas du premier village sur notre route. Je descendis d'Ark et Fïro se posa. Je voulais me baigner un peu dans cette eau claire et douce, au pied d'un magnifique petit arc-en-ciel formé par la chute d'eau traversée par la magnifique lumière du soleil. Je posais le bâton et l'épée à côté de ce lac, et je rentrais dans cet endroit de purification non empreint de l'homme. Un voyage vers la paix? Il était là même, dans cette endroit merveilleux. Je me remémorais les premiers moments de ce qui s'annonçait comme le voyage de ma vie, à avoir couru au côté de Fïro qui volait dans les airs, traversant les plaines d'un seul tir d'ailes, alors que Ark, fier de sa criniére flottant au vent, galoppait à toute vitesse pour rattraper Fïro, puis ils se sont mis à courir côte à côte comme pour montrer qu'ils étaient synchronisés. Je revenais à moi dans ce grand bain naturel quand je vis quelques poissons ici même, je m'étonnais d'en voir ici mais on pouvait croire que la vie et les modifications avait cours partout, même ici, dans un endroit empreint de poésie, normalement, les poissons vivent dans la grande mer du sud, et c'est les hommes qui les ont importé jusqu'ici dans le nord. Enfn, je me demandais si on devait rentrer dans le village, surtout avec un dragon..après mûres réflections, il fallait mieux que Fïro se cache quelques temps, les gens des villages n'aimant pas trop que des animaux si différent des leurs soient dans le village....Je demandais à Fïro de se cacher et on allait rentrer dans le village...

Ainsi, Liu Shao gagna sa bataille dans un état de confusion total, ne sachant pas comment réagir; cette homme qui lui avait permis de gagner, qui était quasiment devenu son fils, a terrassé une armée ennemie, grâce à l'esprit du vent qui, de plus, est un esprit qui ne s'accorde pas beaucoup avec les personnes. Comment pouvait-il soupçonner qu'un tel esprit de combat se trouver en Ping et pourquoi l'esprit n'est pas allé en Solaï? Qui était, et qui est toujours, un grand guerrier...L'esprit choisirait-il ses autres en fonctions de leurs âmes, si elle est pure ou non? Mais si l'esprit sert à combattre, il pervertirait son hôte? Le combat amméne à la violence, la violence au mal? De ce que j'ai vu actuellement, c'est ce qui semble le cas, peu de communautés utilisent la violence pour la paix, tu l'utilises toujours pour imposert ton idée, n'oublie pas dans ta quête, que tu vas imposer la meilleur paix pour ceux qui ont demandé à l'aide, ton âme en ressortira grandi mais pas pure...Finit mon maître. J'étais stupéfié de terreur face à une telle violence dans un officier qui ne voulait défendre que son pays, ainsi l'esprit du vent pervertirait l'âme? C'est comme dans les grandes villes, l'argent, le Sian, a créé pleins de conflits intérieurs dans la grande ville de Gigantopolis.Nos coeurs sont facilement corruptibles, et Ping en a fait les frais. Selon les histoires, c'était un bel officier, qui avait un goût prononcé pour la poésie et la guerre. Plutôt jeune, il était excellent stratége, mais avait une bonne âme. Il avait bon coeur aussi, il refusait d'abandonner, et était aussi courageux. Mais le fait qu'il est enlevé la vie à tant d'hommes d'un coup, dont certains laissent derrière eux des familles entières ne pouvait pas rester impuni, surtout si l'esprit du vent s'empare que d'âmes purs....Ce qui me fit hésiter sur ma volonté d'attraper et de maitriser cette esprit; je réfléchis à deux fois, mais ma décision fut prise, je voulais maitriser l'esprit pour répendre la paix, et puisqu'il faut passer par la violence pour faire reigner la paix de nos jours...Enfin, je réfléchissais aussi à Luo Shao, qui n'avait surement pas prévu cela et Solaï non plus...Solaï est un guerrier légendaire dans toute la contrée, selon les légendes il serait grand, puissant, borgne à cause d'un combat contre un dragon qui a mal tournée. Il posséderait comme arme une hache aussi grande que lui. Mais il était aussi très consciencieux de ne pas abimer la nature, il n'est pas si méchant que la plupart des hommes s'attachent à le dire, mais il s'est quand même mis au service du mal, du seigneur adverse à Luo Shao.....Luo Shao combattait pour quoi au fait? -Ca je ne sais pas, répondit mon maître. Peut-être pour protéger le royaume ou pour toute autre chose, sache que peu importe l'homme, il y a du mauvais en lui...


A toi Jakal!

Un jour une fille m'a interdit son coeur
Et c'est là que tout mes pleurs
Furent retenu mais pleurés à l'intérieur

Puis un jour, un ange me tendit la main
Ce fut comme une délivrance,
Une promesse que demain
Ne sera pas une pénitance.

Bien au contraire, une promesse
Que demain sera heureux
Pour toi et moi, et que sans cesse
On oublie les pensées du malheureux.

On s'est promis à chacun
Un amour sans fin,
Une passion infinie
Que personne ne peut imaginer
Même la plus pure des folies
Mais que nous vivons aujourd'hui
Et cela simplement lorsque tu me souris
Tu me donnes des ailes pour aller
Au delà des plus grand arcs-en-ciel
Rien que pour te crier que tu es celle
Qui éclaire mes journées
Me berce les nuits
Qui me prends sous ses ailes
Pour m'éclairer
Sur les chemins de la vie.

Tu est celle que j'aime...



Pour ma chérie que j'aime , bizzoux si tu passes par là !


[pour ceux qui se demandent Imagine a pris une légére pose, enfin l'histoire, je vous promet de la reprendre dès demain soir!]

je me réveillais en sursaut de ce moment onirique, mes compagnons encore endormis semblait ne pas être sortis de leur torpeur. Je restais couché là à regarder l'aube se lever en repensant à ce rêve. Il me semblait si réel....Je me levais pour regarder aux alentours après cette nuit à la petite étoile, la rosée perlée du matin me réveillait en douceur. Une légére brume matinale me taquinait les yeux et le nez, alors que j'admirais le pic des montagnes qui reflétait le soleil grâce à la neige fraiche. Chacun de ces monts étaient entourés d'un arc-en-ciel. Je ne vis plus mon maître faire sa méditation, j'allais le chercher à son endroit préféré le matin; la cascade d'eau. Les oiseaux chantaient comme au printemps, et le maître était debout sous la cascade d'eau fraiche, torse nu, les poissons venaient lui caresser les jambes, sans savoir que c'était un homme. Il ne bougeait pas d'un centimètre, il semblait être un roc sous l'eau qui ruisselait sur sa peau comme un torrent de perle. Un arc-en-ciel s'était formé autour de lui comme pour signaler qu'il faisait parti de la nature elle-même. Je n'osa pas le déranger, de peur de tout perturber. Je m'en allais vérifier une dernière fois mes sacs, pour savoir is j'avais tout pris, une épée forgé de la main du meilleur forgeron de la région, mon maître lui-même, le baton des quatres éléments de celui-ci, à manger et à boire, des piéces pour payer en besoin....Je ne puis m'empécher d'admirer une dernière fois le jardin magnifique du dojo, il était en fleur. Je sortis du dojo et là un spectacle magnifique s'offra à moi, pendant que Fïro et Ark dormait, deux autres dragon nous offraient leur parade nuptiale. C'était touchant, on n'entendait rien, leurs gestes n'étaient pas du tout agressives, et il volait l'un en face de l'autre en laissant derrière eux des trainés. Ils s'accrochaient par les pattes et s'en allérent au loin. Ce qui me laissa sans voix mais pleins d'admirations devant ces forces de la nature. A ce moment-là Fïro et Ark se réveillait doucement pour eux aussi partir. Je chargea Ark, qaund mon maître arriva.
-Tu sais que ce long voyage sera surement, et il formera ton esprit à être plus fort, je connais le sorcier que tu vas affronter il s'agit d'un homme très puissant. Mais tu pourras le battre, l'épée que je t'ai forgée n'est pas une épée comme les autres, je me souviens que tu m'avais dis te lancer dans la quête de l'épée du vent, Pour te dire vrai, l'épée du vent en elle-même n'éxiste pas, mais c'est un esprit du vent, Faijin, qui entre en possesion de l'épée pour la faire devenir l'épée du vent, une épée extrémement rapide et possédant des pouvoirs qui dépassent notre imagination. Je ne l'ai pas possédé mais je l'ai vu à l'oeuvre, le porteur était un jeune général de l'armée de Liu Shao, un seigneur très puissant qui défendait le pays contre un grand guerrier maudit, Solaï. Ce jeune guerrier du nom de Ping eu le temps d'un combat gigantesque en lui la possession de Raijin. Toute son armée attendait l'ordre pour attaquer, mais lui chargea seul dans les lignes ennemies, des milliers et des milliers d'hommes fonça sur lui telle un éboulement sur un pauvre petit animal sans défense...Mais il ne recula pas et entra dans la mélée; d'un coup d'épée il pouvait envoyer des centaines d'hommes valdinguer à travers l'horizons, mais l'armée ennemie ne semblait pas faiblir, elle était constamment alimentée par l'arrivée de renforts, arrivant par milliers eux aussi. C'est là que je vis la scéne la plus impressionante de ma vie; le jeune Ping se fit submerger par le nombre impressionant des soldats ennemies, mais d'un coup un silence se dégageait de cette bataille, aucun cliquetis d'armes, aucun cri, rien ne se faisait entendre, quand d'un coup on vit une lumière verte gigantesque émané du corps de Ping, qui était arrivé au milieu de la foule gigantesque. De cette lumière partit un dragon vert, long, fin qui fit une sorte de spirale autour du corps de Ping, qui montait dans les airs, et qui repris vie comme par miracle. Mais il avait changé, il n'était plus le jeune passioné de combat, il était devenu quelqu'un d'en coléren presque haineux, ses yeux avaient perdu leurs couleurs bleu/vert naturelles,pour devenit d'un vert opale presque transparent, il semblait terrifier les soldats ennemis à sa proximité. Son corps s'élevait de plus en plus haut dans le ciel et d'un coup il fit un signe étrange comme un cruxifix couché sur le côté, le dragon se mit à tourner de plus en plus vite pour former des vents d'une rare violence qui renversa d'un coup toute l'armée ennemie, lorsque la poussiére de dissipa, il ne restait plus que l'armée de Liu Shao, et Solaï qui se défiait. Solaï se retira et Liu Shao fut vainqueur dans un état stupéfait...

Mon Amour



Tout a commencé quand nos regards se sont croisés,
Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré.
Un vent d'amour m'a fait perdre la tête
Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit de jour en jour
Je te laisse entrer et ferme mon coeur à double tour.

Tout deviens beau et merveilleux
Quand je vais me noyer au large de tes yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées
Il faut les conserver et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler
Dans un monde doux et sucré.

La flamme de mes yeux s'est allumée
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
A nous seul de savoir prendre le même chemin.
Mon amour pour toi est le plus grand
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.

Je t'aime!

Faire de ce monde ténébreux un monde joyeux,
Voilà ma principale quête à laquelle s’ajoutait mon esprit preux.
Je m’étais réveillé, enfin le grand jour.
Sur mes paupières se dessinait mon combat lourd.
L’épopée commençait, enfin,
Patseu allait trépasser, déjà j’avais battu deux cents de ses hommes, maintenant, il me craint.
Cette rencontre s’était passée lorsque j’atteignait la région de Praïtos,
Région où les habitants s’abstenaient d’aller,
Cette partie de notre planète faisant office de Tour de garde pour l’ensemble de la vallée.
Là, des centaines d’hommes de Patseu m’attendaient,
Au loin je les regardais.
Quand j’arrivai au niveau de la Porte,
Grâce à celle-ci on peut passer à la région de Craorte,
Région méprisée du Nord-Ouest,
J’étais obligé d’y passer avant d’atteindre le Sud-Est.
Ils vinrent m’accoster, me demandant ma carte pour passer,
Je descendis d'Arkaton alias Ark, je les regardais maintenant sans baisser,
Le menton haut, signe de défis,
Ils me répondirent en sortant leurs armes, mon bâton des quatre éléments étant sorti.
Enfin j’allais l’essayer,
Son pouvoir magistral m’était attribué.
Un des hommes de main se jeta sur moi,
Au cou je lui assenai coup, il gisait par terre, sans voix.
Là, une quinzaine vint m’affronter,
D’enchaînement ils étaient tombés.
Quand tout à coup, un cri mélodieux sonna,
Je compris tout de suite que l’alarme était sonnée, là, le bâton du pouvoir serait ma voie,
Pour m’en sortir,
Je n’avais que ça, derrière moi j’entendais un rire.
Patseu se tenait devant moi,
Sans baisser le regard, il m’observa.
Il lança des rires sarcastiques puis il claqua des doigts.
Il s’évapora sous mes yeux ébahis, faisant place à deux cents soldats.
Ils coururent tous en même temps vers mon corps tremblant.
Le courage repris, je me concentrais, le bâton posé sur mon torse verticalement,
Tout à coup, je fus envahi d’un étrange sentiment,
La colère contenue dans mon esprit avait soudainement sorti par ma bouche,
Rejoignant le bâton, j’avais désormais les yeux rouge, j’étais devenu farouche.
Là, je dessinais un cercle dans le vide, guider par ma conscience,
Un cercle mythique était apparut, à cet instant mon cerveau ne voulait plus que je pense.
Je reculai instinctivement le bâton et asséna un violent coup sur le cercle qui s’était divisé.
Quatre choses distinctes se précipitaient vers les soldats qui, de peur, reculaient :
Une bourrasque, une boule de feu, un marrée d’eau et un roc énorme les tua,
Tous, ils s’écroulèrent, plus un bruit, le cercle divisé se dissipa.
Je maîtrisais le bâton,
La colère le faisait marcher, leur compte était bon.
Mais ma quête vers le sud, regagner le sorcier qui terrorise cette région,
Je me remettais en route sur le dos d’Arkaton, derrière nous suivait le dragon.