Ils étaient repartis dans la direction d’un village,
Là où ils se reposeraient et rencontreraient des mages,
Dans le but de s’instruire et de prendre de l’expérience,
Pour arriver à leurs fins, le transpercer d’une lance,
Patseu agenouillé,
Sur la terre verdoyante il s’allongera, tué.
Pendant le voyage jusqu’au hameau,
Que de beautés de la nature, rien n’était artificiel, faux.
Des milliards d’hectares d’arbres gigantesques
Ornaient la plaine de leur majestueuse fresque.
Les feuilles étaient arc-en-ciel,
Cette nature instaurait la même douceur que le miel.
Des centaines d’animaux accompagnaient dans leur course nos compagnons,
Ark galopant plus vite que le son.
Les écailles au vent,
Fïro battant de ses ailes plus grandes que les pins, notre jeune héros les cheveux ondoyants.
Il était sur Ark et regardait la mer bleue au-dessus de sa tête,
Des moutons de nuages la gambadant joyeusement dans un air de fête.
En cours de voyage ils rencontrèrent un jeune marchand itinérant.
Ils lui achetèrent toutes ses belles pommes, sans se faire prier ils les croquèrent à belle dent.
Le village se distinguait à l’horizon,
La nuit merveilleuse enrobée d’étoiles symboliques de sa magnificence se montrant dans le fond,
Ils savaient que demain ils arriveraient,
Que la quête à l’information commencerait.
Daisuke, je te laisse la main

!