Sûrement la nostalgie des temps anciens... Peut-être la solitude de l'anéantissement des chansons d'antan... Ou tout simplement un petit coup de gueule à la culture d'aujourd'hui... Toujours est-il que l'amour de la poésie et de la gaieté est perdu, maintenant, dans nos contrées... Précarité ? Non... C'est ce que tout le monde s'imagine, s'invente pour comédie, prouver que le manque d'imagination et de musique est normal... Une preuve à ce que j'avance. Jadis... Et oui, ce mot fait rougir de colère les uns, protester les autres, mais c'est le maître mot de cette réponse. L'inventivité des groupes d'avant était tel que la liberté transparaissait sur le visage de tous et de toutes. Rien qu'a écouter John Lennon... Ah, ce mot est désormais une chose horrible. Alors que c'est grâce à lui, à eux, aux musiciens et chanteurs oubliés des ''temps anciens'', que la musique de maintenant existe. Écoutez ''Imagine'' ou ''Get Back''... La positivité est telle, que la renaissance d'un nouveau monde est apparu. La Beatles Mania... Est-ce que aujourd'hui ont dirait une Mania pour un groupe ? Non, on le dit pour la littérature... On dit la Harry Potter Mania. Une littérature si intense que la chaleur de liberté et d'espoir en ressort, le songe d'un autre monde qui revient. Alors dire que maintenant, la précarité est au centre de tout : de nos chansons, de nos livres... C'est une fausse route. Prendre de l'avant et du recul, repenser au passé, savoir penser à l'espoir, c'est la seule chose qui peut nous sortir de ce pétrin. Croyez moi que les chansons de cet instant sont montées sans estime de la part de l'auteur : la copie d'un artiste est tout le temps présente. Écouter un morceau de rock d'aujourd'hui, c'est comme écouter un Pink Floyd ou un Deep Purple... en moins bien. Voilà, mon coup de gueule de la soirée, je sais, dur à accepter, mais admettez : l'espoir n'est plus là, on ne peut plus avancer dans la société tant que cette mentalité sera ici.