Pour une fille d'esprit à qui la vie sourit
Pour une fille de sagesse dont l'amour rougit
Pour une fille de corps dont celui-ci s'embellit
Pour une fille tout court à qui s'adresse cet écrit.

A celle qui comprend la philosophie de Sénéque le pensant
Cette brieveté de la vie, et également Marx, ce fou manifestant
Pour une égalité, à celle qui en est folle, folle de tout ces fous
Dont le discours ferait rire le premier chef politique, le moindre ripoux.

A celle qui aime penser que le monde est bien sombre de nos jours
Qu'il est perdu car l'homme est bien envahissant avec son imagination
Et qu'un jour peut-être notre situation sera au point dit de non-retour
Au fond, celle qui pense ça, elle a vraiment raison.

A celle qui se trouve pas très belle, elle dit qu'il y a mieux qu'elle
C'est pas vrai, lui rétorquai-je ça dépend des goûts, comme la tour Eiffel
Certains la trouve belle d'autres pas. Ben moi je te trouve belle et je sais pas
Pour les autres filles, mais tu es belle comme tu es, et pour ça je ne ment pas.

A celle dont l'âme à su m'impressionner, à celle dont mon coeur s'est charmé
A celle dont mon amour s'est intéressé, à celle dont mon esprit voudrait l'embrasser
A celle dont ma vie voudrait vivre une passion avec elle
A celle à qui je pourrais parler tout le temps, à celle à qui je pourrais dire je t'aime tel
Rimbaud, Baudelaire, Lamartine, Hugo, et tant d'autres qui m'échappent de l'esprit
A celle que je voudrais embrasser, enlasser entre mes bras, ici.

Enfin à celle que j'aime, à dans quelques années surement pas vrai?..

Pollution et classes sociales

Appel à la population !
A cause de vous,
Écervelés immatures,
La pollution s'abat sur nous,
Sur la nature.

Voyez ces dégâts,
Ingrats !

Le printemps en Hiver !
Est-ce normal ?
Chaleurs anormales,
Tornades meurtrières,
Actes immorales,
Et vous vous en êtes fiers ?

Des choses si simples à faire,
Mais vous préférez les gaz à effets de serre !

Au lieu de prendre la voiture,
Écervelés immatures,
Prenez les transports en commun !
Mais pour vous, commun rime avec commun des mortels,
Vous ne désirez pas faire comme les autres,
Se mettre à côté d'une chienne bâtarde qui fait la belle
Vous rebute à un tel point,
Bande d'esprits malsains !

Mais par contre votre chère Mercedes,
La voiture, et non la compagne,
Qui vous caresse
De son velours et de sa vitesse,
Pollue dans un même temps la campagne,
La terre des anciens,
L'espace de votre vie,
Vauriens !

Le jour où la Terre tournera mieux,
Ce sera quand les riches et les pauvres vivront ensemble,
Entre eux.



Une devise à retenir :

Quand on pense que les gens sont cons,
Il faut se regarder soit même dans une glace,
Pour vérifier qu'on en est pas une soi même.





Un petit poème vite fait pour annoncer que Imagine reprend du poil de la bête et que les idéalistes farfelus d'Imagine font leurs come-back ! Imagine vous souhaite une re-bienvenue ! Les poèmes à gogos, la troupe Imagine vous en fait cadeau !

Mélodie...

Il y a cette mélodie qui se répéte dans ma tête
Cette musique qui sonne en moi comme une fête
Ce prénom qui fait chavirer mon coeur vers la joie

Une petite mélodie entétante qui file à travers mes pensées
Comme un cours d'eau que rien ne pourrait arréter
Mélodie, répéte toi encore et encore en moi...

Mélodie, rejoue ton air pour me porter vers la lueur
Que je puisse toucher les nuages de ton coeur
Les dissiper pour laisser passer cette douce lumière

Qu'elle envahisse tout à travers les notes de ta vie
Tes mots qui ouvre mon coeur vers cette envie
D'aimer, d'écouter pour m'échapper de cette Terre...

Révons, grâce à cette Mélodie, d'un avenir meilleur
Cette Mélodie qui nous rassure de ne plus avoir peur
Je voudrai tellement l'aider à poursuivre sa chanson
De la vie, prend ma main, continuons la ensemble, vivons!



Mes ami(e)s, je tiens à m'excuser de la part de toute l'équipe d'Imagine d'avoir du interompre l'activité de ce blog; mais cela est dû à des raisons personnelles propres à chacun. Je me ferais un plaisir de relancer ce blog dès ce soir...En vous souhaitant une agréable lecture

Mais bon, on va arrêter.
On va arrêter
Souviens-toi, souviens-toi de la pluie
Souviens-toi du ruissellement d'épanouies
Fleur de chrysantème, admirer
N'est pas aimer.

Tout s'envole, le soleil meurt dans les bras du silence
La noirceur du désert, le sable est jaune, il danse
Flûte alors
Palambrée, le vrai bonheur ne révèle pas ses sources
L'once d'un jour devient l'intensité de l'éternel
Chaque seconde est épicurienne, elle est heure
Il est l'heure
L'heure de prendre;
Prend ton temps à l'or que sont le simple
Le simple et l'intense. Poursuit un exil
L'imbécile
Privation et abstention
Sorcellerie mais, ici, point de démons
Enivrer des odeurs et la chair

A vous aussi, peupliers, mes chers
A vous aussi, vent de Bout
Teille a sorti le bateau
Les vagues ne sont pas l'eau
Mais, à la fin, qu'est-ce un rêve?

Mixer les images
Au profit des sensations.
Mon Dieu, les blasphèmes!
Sont des pléonasmes!
Torturer la langue
Française, français
Pourquoi Diable aimer?

Je jure à la sérénité
Que la pitié n'est point enviée
On a avancé avec le temps
La désillusion des ambitions, les tueurs de talents
Uniforme, complexes des plans
Acier se mêle pour, encore, les sensations
Faîtes rêver le rouge
Si ce n'est du sang

Intercéder ou céder?
Proxénètes de l'intelligence!
Dire qu'on vous appelait monsieur
Ou pire: madame!
Mais on a su empirer
Empirer pour mieux s'endormir aux creux des écueuils
A éviter
Les choses dans les livres
Dessinées sur le sable, pendant que la lune pleurait
où sont-elles passées?
Foulé est le zénith.
Toujours ces choses crées
A moitié!

Du corail dans le coran?
Un biberon dans la Bible?
Souvenez-vous des paysages
Enivrants pour les pauvres paysans
mais les riches préfèrent l'argent.

Préfèrent l'argent
Aux montagnes immaculée de blanc
Babylone
Vieillir pour mourir, ensuite
Mais avez-vous seulement vu comme les étoiles rient?

Avez-vous seleument vu l'éclosion
Des bébés, comme s'il en pleurait
Comme si Barbara pleuvait sur Rennes
Carême
Est stoïcienne
Ma tendre reine
J'ai bien aimé, un peu tout, en fait.

La neige est inviolée
Les glaciers transpirent
(Babylone)
La fumée voila la mer
Comme on me viola mercredi.

Comme le sang a pu coulé
Entre l'aube et l'éternité
Entre, mon hibou de sagesse
Entre, dévoile-nous tes faiblesses.

Je me lève un peu tard
mais pour pouvoir penser
Il nous faut du temps
La vie est belle, hein,Tryo
Vous laissez pas faire
Allez là-haut, voir comment va notre univers.

Sur la mer, on a jeté des fleurs
Elles ne flottent plus, à présent
Pourquoi?
Tu le sais, toi?
Admirer la nature
A nous, les riches, le superflu est notre seule nécessité.
Sautez par dessus les murs!
Sautez, oh oui, sautez.

Tirer une balle, sa fenêtre est ouverte
Mais le sol est dur
Et pis les gens aiment pas la cervelle.



Et puis, aussi, la vie est tellement belle.

Une très jolie chanson, dont les paroles méritent, je pense, leur place sur ce blog.




J'ai passé tant de nuits à briller sous mille soleils
A butiner les fleurs de ma bohème
Et pour rien au monde, je n'changerai le goût de ce miel
Mais voilà, vous me posez un sérieux problème
Non pas que vous ayez changé la couleur de mon ciel
Mais les choses aujourd'hui ne sont plus les mêmes
Et c'est non sans regret que j'ai eu vent de la nouvelle.

Une information à mettre au conditionnel,
Mais il semblerait bien que je vous aime.

Et même si la rumeur se fait de plus en plus belle
Et qu'elle crie sous mon toit que vous êtes une crème
S'il devient évident que vous semblez être celle
J'ai le coeur enchaîné à mon vieux théorème
C'est à mon grand regret que je n'peux que vous l'énoncer comme tel.

Une information à mettre au conditionnel,
Mais il semblerait bien que je vous aime.

Faut-il que je songe enfin à me brûler les ailes ?
Ne croyez surtout pas que j'en ai la flème
C'est sans doute par crainte que je chasse le naturel
Mais il tombe dans vos bras.
C'est commun, les mortels
Bientôt je serai prêt, je serai l'homme le plus formel.

Une information à mettre au conditionnel,
Mais il semblerait bien que je vous aime.....

On ne voit plus Jakal, normal, c'est la rentrée des classe,
Ce mot terrible qui vous changerai un coeur en glace ,
On ne voit plus Asuka, normal, c'est le début d'une année,
Des rencontres, des amis, et un peu moins de temps à donner,
On ne voit plus Daisuke, normal, il a reçu son nouveau livre de mathematiques,
Un guerrier breton barbare qui etudie l'algèbre et mange de l'arithmetique ,
On ne me voit plus . Il est passé où Kento , vous l'avez pas vu ?
Un feignant l'air un peu perdu, comment ça ça court les rues ?

Et pourtant .. Et pourtant ..

Maitre Jakal du haut de sa tour élabore un plan pour changer le monde, changer la vie ,
Deesse Asuka dans son Donjon pense activement à la recherche d'une utopique utopie ,
Prince Daisuke de ses terres sauvages défend la cause de sa vie, la liberté à tout prix ,
Et le pauvre petit troubadour Kento .. ? il y a une chose qu'il veut plus que tout, des amis .

Nuit sans Lune

Lune s'ennuie

Bonjour et bienvenue.

Une petite nouveauté sur Imagine, parce que la musique adoucie les moeurs, dans la zone de l'accueil, on vous a mis à dispositions quelques musiques en écoute, des musiques d'ambiances surtout.
Parce que la vie, c'est une symphonie, la verison orchestrale de Simple and clean [la BO de Kingdom heart] est en écoute pour votre visite.
Et vu que ça suffit pas pour vous, la chanson théme de KH2, Passion, aussi en écoute .
Mais aussi, parce que A Perfect Circle est l'un des groupes phrares du blog, en écoute aussi, When the levee breaks .
Pour finir la première fournée, voici la musique de menu de FF IX, la musique à la flute
Voilà donc bonne visite, bientôt de nouveaux ajouts dans les chansons

Daisuke et toute l'équipe d'Imagine

edit: sous la demande de Jakal, voici l'ajout de Still Lobing you By Scorpion

Vu que l'on fait de tout à Imagine voici une petite nouvelle de ma composition:

Angel.

Lundi soir, 17heures 56, Le Havre, Sa chambre.
-Baisse un peu ta musique on s'entend plus!
Ce cri résonnait encore à travers l'appartement vers Angel, qui pour une fois n'écoutait rien de violent. Mais là Angel se fichait complétement que ce soit lent ou pas, et se plongeait dans ce métal mélancolique qui avait un goût particulier aujourd'hui. Angel n'arrétait pas de penser à sa journée, qui commençait comme toutes ses journées, se lever, prendre son petit-déjeuner, se laver, vérifier ses affaires et Angel s'en allait pour prendre son bus, pour aller à son lycée encore une fois.
Lundi matin, 07h45, le Havre, lycée Claude Monet, le hall.
Angel arrivait toujours à la même heure, rencontrait et saluait les mêmes personnes. Mais ce jour-là il manquait quelqu'un, quelqu'un à qui Angel pensait toujours, peu importe le temps, peu importe la musique, peu importe le moment, elle parcourait toujours ses pensées. Elle, c'était Océane, un prénom rare pour une belle fille qui partageait les goûts d'Angel, que ce soit en musique, en lecture ou en film, ces deux-là s'entendaient très bien. Mais Angel a développé des sentiments qui les a rendu plus intimes, Océane ne les partageait pas complétement. Durant toute la matinée, Angel demanda à tous ses amis et amies où était Océane. Mais ils ne lui donnérent que des réponses négatifs, ne sachant pas où elle était. Angel avait son numéro de portable, tenta de lui téléphoner mais n'arréta pas de tomber sur son répondeur. Angel croyait que tout cela avait à voir avec la soirée de samedi. Océane et Angel l'ont passé ensemble.
Lundi midi, 12H58, le Havre, lycée Claude Monet, cours.
Angel avait une heure de pause en plus après le repas de midi. Ayant son numéro de domicile, Angel en profita pour tenter de savoir où Océane était passé auprès de ses parents. Le téléphone sonnait, et une voix fébrile teinté de tristesse répondi:
Allô?
C'est toi Océane? répondit Angel.
Non, c'est sa petite soeur, grande soeur est dans sa chambre, papa et maman l'ont interdit d'aller à l'école, Océane aurait un amoureux et elle veut pas le dire à maman et papa, ce qui les a mis en colére...
Et pourquoi tu pleures?
Ils ont tapé Océane et moi je pleure parce que grande soeur a eu mal...
A ce moment-là, un élan de râge envahissait Angel, lui donnant l'envie de balancer son téléphone portable par terre, à aller chez Océane pour dire ses quatres vérités à ses parents. Mais Angel contenu sa colére, et continua à parler au téléphone:
Tu peux me la passer ta grande soeur?
Non, elle a pas le droit au téléphone.
Ah ok, tu peux lui dire qu'Angel a appelé?
Ok je lui dirais une fois que papa et maman l'auront laissé sortir...
Angel en revenait pas, celle qui partageait ses joies, ses passions, ses peines, et le temps d'une nuit ses sentiments était enfermée....
Lundi après-midi 14h45, Le Havre, lycée Claude Monet, cours de mathématique.
Angel était pensive, et regardait par la fenêtre, le cours de math ne l'intéresse plus mais cela ne faisait pas grand chose, Angel avait des résultats qui dépassait la bonne moyenne des éléves de Claude Monet, mais le professeur tenait à ce que ses éléves suivent son cours.
Bon Angel, vous pouvez arréter de flanner et de regarder les nuages, plutôt que de suivre mon cours?
Angel se remi à suivre le cours mais avait du mal à se concentrer. D'ailleurs, dans l'un de ses excercices, elle fit une faute d'innatention. Océane hantait ses pensées et la nuit de samedi lui trottait dans la tête. C'était décidé, après les cours Angel allait voir ses parents pour que Océane soit innocentée. Mais tout ceci aller s'avérer être dur, et la moindre erreur d'innatention pouvait coûter cher à Angel et à Océane.
Lundi, 15h52, le Havre, ligne 7, arrêt Marconi.
Angel descendait du bus qui l'ammenait vers son destin, mais durant tout le trajet, Angel n'arrétait pas de penser à cette nuit, où Angel invita Océane à venir dormir à son domicile dans la même chambre, début d'une nuit remplie de passion.
Angel s'avança vers la porte de la maison où Océane habitait, passa le portail noir et sonna à la porte, sonnette qui sonnaît un air mélancolique. C'est son père qui ouvrit la porte, d'un air imposant. Il reconnu tout de suite Angel:
-Ah bonjour Angel comment allez-vous? [il avait pour habitude de vouvoyer les amis d'Océane]
-Euh bien, euh...j'étais venu voir Océane....
-Ben pour l'instant elle est punie, elle nous a désobéi...
-Justement j'étais venu...
Soudain, un visage apparut derrière le père d'Océane, c'était elle, le visage en pleure encore, et qui ne disait pas un mot, elle ne releva pas la tête, mais quand elle entendit la voix d'Angel, elle lui sauta au cou, en bousculant son père, qui l'a repris par le bras, en lui chuchotant à l'oreille:
-Je croyais t'avoir dit que t'avais pas le droit de sortir de la maison...
Angel l'interrompi:
-Justement j'étais venu vous voir à propos de cette punition, je voulais que vous arrétiez de vous en prendre à Océane, elle est innoncente, c'est moi qui l'est entrainé là-dedans...
Le silence s'installa quelques secondes, et Angel comprit que il n'était plus possible de faire marche arrière....Le visage du père d'Océane s'assombrissait et Océane était toujours plonger dans un silence profond...Depuis ce samedi soir, où leurs corps n'ont fait qu'un le temps d'une nuit d'amour et de passion non dissimulés, leur destin était cellé....
-C'est vous qui avez couché aavec ma fille?! Comment avez vous osez l'entrainer là-dedans! lui cria dessus le père et il lui présenta Océane, en la tenant comme un bouclier.
Ben embrassez-là qu'est-ce que vous attendez! Pelotez vous! Si c'est votre choix!
Océane recommençait à pleurer, et Angel ne savait plus quoi faire....
-Si je vous revois une seule fois près de ma fille, je vous préviens que je n'hésiterais pas à appeler les flics et j'hésiterais pas à vous taper pour que vous ne vous approchiez plus de ma fille!
La porte se referma violemment sur Angel, et on entendait les cris d'Océane qui pleurer encore.
L'amour était un crime pour Angel et Océane....On ne pouvait rien y faire...
Lundi soir, 17heures 56, Le Havre, Sa chambre.
La chanson résonné comme l'écho d'un cri de détresse dans des chaînes d'immenses montagnes, mais la musique fut interrompu par le bruit du téléphone. Angel entendait son père dire ah bonjour mr Durant [le nom de famille d'Océane] mauvais signe. Quelques minutes plus tard, son père frappait à la porte, en forçant Angel à ouvrir.
Angel avait fait deux erreurs par son passé: coucher avec Océane, lui donner de sa passion, de son amour pour elle, et avoir passer la meilleure nuit de sa vie, corps nu contre corps nu, à jouir de la puissance de cette amour, et être une fille.


Qu'en dites vous?

Ce sera la première fois que je me lance dans la prose sur ce Blog mais je m'y lance car je sens déjà que de littérature je n'ai pas ma dose. Essayons de laisser les rimes de côté pour faire place à la spécialité de Daisuke. Et donc c'est ainsi que l'univers se créa... Un Big Bang qui éclata et qui forma notre Terre. Mais l'histoire parle d'un Big Bang de feu. Moi j'ai toujours pensé à un Big Bang d'eau qui aurait rempli notre Terre Bleue. Car je penses que l'eau est arrivée pour faire rêver. Nous ne pouvons nous passer d'eau, car elle est le symbole du rêve. Se passer du rêve serait comme se séparer de son âme. Aller au coucher du soleil au bord de la plage admirer la couleur orangeâtre de L'Etoile disparaissant à l'horizon de l'océan, un océan infini. Dans ces moments là on se repasse sa jeunesse et sa vie, et on se dit qu'un jour on l'atteindra, cette Etoile si majestueuse. C'est à cet instant que l'océan augmente la mélancolie de la beauté. Le reflet du Demi-Soleil l'autre moitié a déjà disparue dans l'eau, à cet instant il nous suffit juste de plonger dans cet océan pour rejoindre ce soleil. Une eau si pure que le sel qu'elle contient n'existe plus. C'est pourquoi le soleil est indispensable au rêve, que le rêve est indispensable pour l'humain, que l'humain à besoin d'eau. Je vous laisse à vos songes car la nuit est aussi une source, mais moins grande car le cauchemar existe. Alors que dans cet océan orange, il n'existe pas.

C'est grâce à Daisuke et Another que j'ai eu envie de me lancer dans la prose. Bon c'est que ma première prose, c'est pas génial, soyez indulgents s'il vous plaît

C'est moi, la fille qui parle ainsi?
Est-ce moi, ce semblant d'ombre?
Je ne sais pas, pour quoi se poser des questions, parce que les gens méritent des réponses mais le soleil de L' Amérique latine brûle les peaux déjà noires de la Pauvreté.
Capitaliste, c'est bien, mais vols facultatifs.... noir désir
Moi, moi, moi, qui est moi, moi, je ne suis pas les autres, donc je suis moi?
Moi, moi, je veux comprendre, je veux comprendre.
Le miroir est différent, il n'est pas moi, donc il est autre. Si deux droites sont parrallèles dans un triangle, alors ab sur bc est égal à ad sur df ?
Si la Triforce faisait succès, Mathieu l'aurait-il montrée? Trois Thalès, passions imbriquées. Les cheveux blancs, vieux prématuremment, souffle dans la voile, souffle dans le cadre.
Un papillon n'est pas un triangle droit et vulguaire, et qui dure, sur le papier, avec l'encre.
Un papillon meure au bout d'un jour, fragile battement de paupières, miroitement de la lune sur les rides de la Mer.
Les tombeaux sont notre seule richesse.
Et On a jeté notre Descendance en Prison.

Prolétaires

Tout est noir et gris, les mots blessent
L'intérieur de velours, la déjantée
Est raisonnable et raisonnée ...Du moins, si l'on accepte la vérité.


Marier les mots et les images,
La mer avec la ville
Le rouille des jambes écorchées
Et la guerre, la dansante réalité.
Orange n'est pas safran,
Lumière n'est pas calmant,
Nuit n'est point mensonge
Les rêves sont vrais quand on y songe.


Longtemps, je me suis couché de bonne heure.

Un titre ne se lit pas, une prison a des barreaux
Le soleil est en bas, la lune est en haut.

Lorsque je parle, c'est comme si les autres se taisaient tout le temps.
Partir dans un délire, renoncer. Je renoncerais. La vie n'est pas pour moi, autant crever, mais y-a-t-ilquelquechosedeplusimportantquel'amour?
Allez, allez dire ça
A une Romantique comme moi!

Une chanson m'as inspiré, un monsieur qui parlait,
Un visage carré et un air un peu blazé.
Des paroles qui veulent dire quelquechose, cet homme sais jouer avec la prose.
Ses rimes te percutent dans la tête, tu ne penses à rien tu te sens juste bête.
C'est simple et il ne cherche pas la difficulté, c'est simple et j'en redemande à volonté.
Soit t'accroche soit t'accroches pas, une chose est sûr c'est que t'en ressors sans voix.
Je me demande s'il a déja vécu tout ce qu'il raconte, ça a l'air vrai pourtant, pas de blague c'est pas un conte.
Si je le croise un jour je lui demanderai, ce qu'il pense de tout ça s'il veut bien prendre un thé.
Pas grand chose à ajouter quelqu'un veut le micro ? je vous laisse gerer tout ça moi demain je me lève tôt.

De la part d'Another

Ce soir, je me suis posé la question de la foi. Ai-je vraiment la Foi? Je ne suis pas croyant, dont je suis athé [souhait], mais pourtant j'ai la Foi. J'ai la Foi d'un petit enfant devant son rêve, celle d'un chercheur qu'il trouve ce qu'il cherche [enfin!], celle du professeur content de ses éléves, une Foi qui s'appelle la vie. Comme l'a dit Pascal, Il vaut mieux rajouter de la vie dans ces années, que des années à sa vie, cette perpetuel recherche de l'immortalité attendra bien pour moi, j'ai la Foi, de profiter de chaque instant, ce qui m'est donné, peu importe que ce soit des moments douloureux, joyeux et autres, chaque moment est unique dans la vie. Je profiterai de chaque instant, je l'ai toujours fait, et je le fera, peu importe que ce soit avoir mon premier gamin, faire l'amour jusqu'à pas d'heures pour finalement s'endormir dans les bras l'un de l'autre et se dire je t'aime, que ce soit voir l'un de mes buts accomplis que ce soit avoir du bonheur ou du malheur, je ne manquerai aucun moment, la mort attendra, car ma vie, j'en profite, la Foi m'hante et me posséde. Je ne la lacherai pas de sitôt .

[au passage petite dédicace à Asu, qui je le sais penses comme moi sur ce sujet là on a quasiment les mêmes pensées donc ]

Au fond pourquoi toujours pensé que lebonheur est ailleurs? Peut-être il est pas loin de chez toi, de chez moi.....Mais bon, ce qui est sur c'est qu'une part du bonheur est ailleurs, loin de chez nous, plus loin que notre télévision, que notre jardin ou balcon. Plus loin que ta ville, ou que ton département? Même à l'autre bout du monde?Ca, je ne sais pas j'ai pas encore été voir. Je recherche comme tout le monde un bonheur complexe, celui de posséder pleins de technologies pourêtre à la pointe, mais je fouille dans mes poches tout de suite, qu'est-ce que je trouve? Une balle de golf jaune, mon portable au cas où, sinon je l'utilise pas souvent, et des sous. Ah, les deux derniers, symbole de l'avancée moderne, qu'est-ce que l'on ferait sans? Sans argent on va pas loin, les portes ne nous sont pas toutes ouvertes....Sans portable, tupasses pour un raté sans argent....Par contre la balle nous est dispensable, je l'ai ramassé sur la plage, elle était toute seule, et j'aime bien m'amuser avec les choses simples un peu....Mais au fond, je voudrais bien me détacher de toute civilisation pour partir loin d'ici, loin de chez moi, avec ma guitare, à manger, de quoifaire du feu, une couchette et quelques amis pour chanter le soir sur la plage des chansons qui n'ont aucun sens, qui peuvent paraître muette dans un temps où le vrai parler prime, des chansons peut-être un peu trop lyrique, peu trop sentimentale, un peu trop tout, qui rêve d'ailleurs.....Si il y avait une époque à laquelle j'aurai voulu vivre, c'est l'époque du romantisme, quoique j'en fais beaucoup du romantisme avec quelques amis, on est un peu le renouveau....