Après avoir lutter durement contre mon maître, je me reposa auprès de Firo [prononcé Faïro], mon ami dragon, jusqu'à ce que un jeune homme vienne, il semblait solennel, mais il était essouflé comme si il avait couru plusieurs kilomères sans s'arréter. A y regarder de plus près je connaissais cet homme, il s'agît de l'un de mes amis d'enfance du village d'où je suis originaire...Il me tendit une lettre sans dire un mot où je lis: Cette lettre est destiné à la personne qui posséde le baton des quatres éléments, un sorcier terrorise la partie sud du pays, vous devez vous y rendre pour le combattre, attention vous risquez d'affronter plusieurs armées alliées à lui, faites bien attention. Il se dégageait une étrange atmosphére de cette lettre, je la relis plusieurs fois, elle m'était bien destinée, depuis que j'avais battu le maître ce baton m'appartenait. Je demandais à l'homme qui me l'a apportait d'où tenait-il cette lettre, il me répondit qu'il avait voyagé jusqu'au sud pour apprentissage, et que il devait remettre cette lettre au propriétair de ce baton qui habite ce dojo, il devait surement penser à mon maître. Ce qui me parut plus étrange, c'est que le sud est d'habitude une contrée tranquille, sans grande difficultés à gérer les problêmes de ce genre. Je sentais que la nuit qui allait précéder notre départ serait longue. J'essayais de dormir après avoir fait les baluchons, mais rien à faire l'excitation m'avait gagné depuis que je savais que j'allais partir rencontrer de lointaines contrée qui m'était inconnu, je m'imaginais déjà sur le dos de mon cheval avec la lame du vent [une épée légendaire que personne n'a jamais retrouvé mais qui est l'une de mes quêtes aussi] mon baton des quatres éléments, courant à travers la plaine avec Firo à mes côtés. Pour me changer les idées j'alla me promener en dehors du dojo, la nuit était superbement étoilée, et il n'y avait pas de lumière pour déranger l'obscurité.Seuls la lumière de ces astres m'éclairait au milieu de la grande plaine infinie, j'entendais des petits animaux courir à travers les hautes herbes, les hiboux qui nous faisaient partager leur chant de la nuit, et les derniers dragons sauvages qui volaient vers leur nid. Firo vint me rejoindre au pied de ce ciel, d'une manière silencieuse, comme pour ne pas troubler ce silence, pour semble-t-il admirer un ciel qu'il a toujours explorer mais jamais eu le temps d'admirer, mon cheval, Arkaton, que j'appelle souvent Ark pour faire plus court, venait aussi à coté de moi pour avoir un peu de réconfort avant ce long voyage. Je savais que j'étais pas loin de Maître Fyu, qui était en train de faire sa méditation de la nuit, il ne pertubait rien dans les ténébres, il ne bougeait pas, des lucioles s'étaient rassemblé autour de lui comme pour faire une danse de la célébration.Ces lucioles étaient de toutes les couleurs, on allait du blanc jusqu'au noir en passant par du rouge, du bleu, du vert, du mauve, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel étaient réuni autour de Maître Fyu. Cela m'étonnait et m'enchanter de voir un tel spectacle. Je garda mes distances pour ne pas le troubler. Au loin, on pouvait voir aussi quelques montagnes dont le sommet était blanc, il se distinguait du noir par la lumière qu'elles dégageaient à cause des gardiens de la montagne qui veillaient jour et nuit pour que l'habitat des dragons soit protégé. Firo n'y préta pas attention, il ne venait certainement pas de cette contrée pour ne pas y jeter un coup d'oeil. Je finis par m'endormir sur l'herbe douce, par fatigue ou par réverie? Tout cela n'est plus important; demain se dessine le grand voyage.