L’humain par ci, le martien par là
Bientôt la rencontre,
Entre deux mondes séparés par le chronomètre de la montre,
L’astronome se prépare,
Ils arrivent dans une heure au plus tard.
Tout le monde est à l’affût devant sa télévision,
C’est enfin la rencontre du troisième type, ce n’est plus une fiction.
L’imagination entre en action :
Les petits hommes verts aux grands yeux, leur caractère a un bon fond.
Tout à coup un tube vertical en gravitation arrive,
L’homme regardant de plus près le téléviseur, lâchant son endive.
La vérité allait éclater,
Leur forme, leur langue,
L’homme si intrigué tangue,
Prêt à s’évanouir,
Choc trop dur à soutenir.
L’objet tubulaire volant se posa,
Les yeux grands ouverts, l’homme s’épongea.
La porte du vaisseau s’ouvrit,
Une lueur intense s’en échappa, puis on entendit un cri.
Une ombre familière apparue,
La crise cardiaque pour l’humain en vue.
Le martien avança,
Et là,
La surprise la plus grande se présenta.
Il ressemblait exactement à un chien,
Le même que celui qu’on élève, que l’on plaint.
Le monde entier se retourna,
Voir leur animal de compagnie, un doute s’installa.
Tous les animaux de cette race se tenaient désormais sur leurs deux pattes arrière,
Regardant le ciel, ne pensant plus à ceux qui les ont élevés, à leur pères et mères.
Tous au même moment disparurent, puis réapparurent à côté du martien,
Se tenant sur le maintient que ses prochains.
Tous les chiens entrèrent dans le vaisseau,
Laissant en plan leurs maîtres, bouche en o.
Si notre imagination permet d’inventer de nombreux peuples,
La nature nous la rend
En nous surprenant.
Continuer à croire,
Continuer à s’émouvoir
De nos songes,
Nous permettent de pouvoir mieux être surpris,
Voir mieux être épris
De cette envie
De réfléchir
A notre avenir,
A notre Terre qui évoluera,
A nos enfants qui connaîtrons la révolution de l’électronique, du franchissement de la barrière du réel par un simple pas.

Roswell powaaaaa!