Une famille emménage dans une nouvelle maison, où une mystérieuse présence hante les lieux.
Franceinfo Culture 4/5
Dans ce huis clos – on ne sortira jamais de la maison – Steven Soderbergh fait peu à peu monter la tension jusqu'à l'épouvante, avec un scénario plein de surprises servi par une réalisation inventive.
Le Parisien 4/5
(...) une intrigue au départ obscure, mais qui prend ensuite une tournure insoupçonnée, devient subitement raccord avec l’actualité, avant de finir sur une conclusion aussi brutale que logique.
Les Inrockuptibles 4/5
Deux personnages discutent dans une pièce. Qui est ce troisième terme, également “présent”, et qui nous permet miraculeusement de les regarder ? Le processus d’enregistrement a-t-il un pouls ?
Libération 4/5
La question même de la mise en scène de cinéma en général, la tension au cœur du médium, devient le sujet d’un film, sous la forme de l’épouvante.
Télérama 4/5
Une prouesse de cinéma et un film captivant.
Le Monde 3/5
La caméra spectrale ne renouvelle pas grand-chose, mais applique un vernis moderniste sur une histoire bien essorée. La peur en est absente, car décentrée, et Soderbergh contraint d’appuyer sur les effets sonores comme sur les coupes arbitraires, pour instiller un peu d’incertitude. Une maison hantée a plus besoin d’ombre et de brume que de ce regard clinique et fouineur pour lequel rien ne demeure caché.
Les Fiches du Cinéma 3/5
Une famille emménage dans une maison hantée... Filmé intégralement du point de vue de la “présence”, le nouveau Soderbergh peine à orchestrer le mariage de la carpe et du lapin : un scénario très (trop ?) classique et un dispositif (relativement) expérimental.
Première 3/5
La vive tension découle également du scénario de David Koepp (auteur de L’Impasse, Snake Eyes ou Panic Room), qui multiplie les pistes thématiques et déploie un malicieux labyrinthe d’insécurités contemporaines. Au-delà du coup de maître esthétique, Presence tend au final un éprouvant et fascinant miroir à l’Amérique de 2025.
Rolling Stone 3/5
C’est de Steven Soderbergh dont il est question ici, passé maître dans l’art de se jouer de la forme et du fond. Usant (abusant ?) du grand-angle, sa caméra-présence peut dès lors se muer en témoin privilégié des fêlures et craquelures au sein de cette famille comme de ceux qui vont s’y frotter, quand elle ne va pas les creuser ou les provoquer. Angoissant, mais pas forcément au sens où on l’entend…
Cahiers du Cinéma 2/5
À l’opposé de toute inquiétude métaphysique, la caméra fantôme n’est qu’un prétexte pour déployer un regard omniscient, bien plus satirique que fantastique, qui sonde les rapports de force au sein de la famille.
Dernières Nouvelles d'Alsace 2/5
Un huis clos où la maison elle-même semble respirer, témoin muet de la désagrégation des liens familiaux.
L'Obs 2/5
Huis clos conceptuel, donc, écrit par le scénariste David Koepp (« Panic Room »), dont on se demande ce que Soderbergh cherche à faire. Une satire familiale ? Amusante. Un thriller surnaturel ? Raté. Un drame de la soumission chimique ? Un peu court.
Le Point 1/5
Presence est un drame familial original et distingué avec une pointe de surnaturel, mais il n'est à aucun moment la proposition de renouvellement du genre épouvante que laissait envisager (sciemment) sa bande-annonce. De là à parler d'escroquerie…
Le Figaro 1/5
La grande idée de Soderbergh est de tout filmer en caméra subjective, à travers le regard de la « présence », entité invisible et inodore nichée dans tous les recoins de la maison ou dans les placards, à la fois menaçante et protectrice. (...) Le dispositif lasse rapidement.
akinen y'a un truc qui s'appelle avoir un avis. Tu sais le truc subjectif qui te fait dire que t'as aimé un truc et que la personne a côté de toi déteste ce même truc.
Pourquoi à chaque fois y'a des personnes qui écrivent ça. C'est pas un test de machine à laver.
La vie serait tellement chiante si on aimait tous la même chose bordel.
cyr
Et il y a différent genre de film . Si on aime pas les film d'action, science fiction etc. Inutile d'aller voir le film en question.
Et bien pour une fois je suis d'accord avec toi ! je ne comprends pourquoi certains ont besoin de cracher par exemple sur un jeu qui n'est pas dans un genre qu'ils apprécient, il y a assez de jeux sur le marché, pas besoin que tous les jeux nous soient destinés
zekkpourquoi certains ont besoin de cracher
tu tiens la le fondement de notre belle société de merde....tout le monde donne son avis sans avoir le film, le jeu, la musique ect ect...putain que je déteste de plus en plus cela.
- meilleure film jamais tourné
- bof, ça passe le temps
#critiqueprofessionnel
Les goûts et les couleurs.
Perso je fait jamais confiance au avis.
Si le film m'intéresse, par rapport à la bande annonce ou autre, alors il y a des chances que j'aille au cinéma....
Pourquoi à chaque fois y'a des personnes qui écrivent ça. C'est pas un test de machine à laver.
La vie serait tellement chiante si on aimait tous la même chose bordel.
Et si j'avais trouver une nouvelle voiture dans une couleur inhabituel, je l'aurais prise.
Le monde est déjà trop triste. Alors si en plus on doit être des mouton de panurge......
Et il y a différent genre de film . Si on aime pas les film d'action, science fiction etc. Inutile d'aller voir le film en question.
Et il y a différent genre de film . Si on aime pas les film d'action, science fiction etc. Inutile d'aller voir le film en question.
Et bien pour une fois je suis d'accord avec toi ! je ne comprends pourquoi certains ont besoin de cracher par exemple sur un jeu qui n'est pas dans un genre qu'ils apprécient, il y a assez de jeux sur le marché, pas besoin que tous les jeux nous soient destinés
tu tiens la le fondement de notre belle société de merde....tout le monde donne son avis sans avoir le film, le jeu, la musique ect ect...putain que je déteste de plus en plus cela.