Bienvenue à Nyallywood, la Mecque du cinéma où Pompo est la reine des films commerciaux à succès. Le jour où elle décide de produire un film d'auteur plus personnel, elle en confie la réalisation à son assistant Gene. Lui qui en rêvait secrètement sera-t-il à la hauteur ?
Franceinfo Culture 4/5
Une jolie surprise, originale et entraînante, comme c'est souvent le cas de l'animation japonaise.
Le Monde 4/5
Mêlant par instants le réalisme figuratif et une forme d’abstraction, le film témoigne d’une dimension didactique plutôt réussie, apte à passionner tout en instruisant un public jeune.
Le Parisien 4/5
Un humour à plusieurs degrés, avec des répliques et situations clairement destinées aux adultes qui électrisent ce tableau onirique mû par l’amour du cinéma…
Les Echos 4/5
Pompo The Cinephile tient à la fois de l'hommage au grand cinéma américain et de la satire amusé.
Les Fiches du Cinema 4/5
Takayuki Hirao se lâche avec un film bourré d’idées qui raconte le tournage d’un premier film. Épique et trivial, déjanté, mais au service d’une vraie réflexion sur le cinéma, Pompo the Cinephile pourrait séduire un public bien au-delà des fans d’anime japonais.
Mad Movies 4/5
Les trois actes du récit respectent intelligemment la chronologie créative d'un film (...), en donnant au spectateur novice les armes pour comprendre les enjeux de chaque étape. Mais en plus de cela, le dernier tiers, voyant le héros rechercher à tout prix un point de vue, une thématique et une signification profonde dans la montagne de rushes qu'il a accumulée, suffit à propulser Pompo The Cinephile au-dessus de la mêlée des comédies dramatiques méta.
Première 4/5
Le film va s'engager dans une ode affolante à la création et la bidouille en mode shonen, en s'interrogeant au passage sur la notion même de film — ou même d'œuvre d'art en général, tiens.
L'Obs 3/5
Un animé baroque, inspiré, démesuré, mais un peu criard, en hommage (pointu) au septième art et à la cinéphilie.
Le Point 3/5
Le résultat est une friandise acidulée et réconfortante, un plaisir loin d'être négligeable par les temps qui courent.
Télérama 3/5
Pompo the Cinephile est une véritable plongée dans les rouages de la fabrication d’un film, et notamment le montage. Mieux vaut, toutefois, avoir des affinités avec la culture et l’esthétique du manga pour pleinement apprécier cette œuvre hybride, entre pédagogie et divertissement.
Dernières Nouvelles d'Alsace 2/5
Takayuki Hirao assume pleinement son ton résolument sentimental et naïf dans sa célébration du septième art. Il en ressort une légèreté qui se dissipera en souvenir fugace.
Le Dauphiné Libéré 2/5
Le réalisateur entend exalter la joie et l’euphorie qui accompagnent la création collective d’un film.
Pour ceux l'ignorant, le réalisateur de ce film est un ancien veteran de Ufotable qui a nottament réalisé le 5ème film de Kara no Kyoukai (le meilleur de la série) et la série God Eater (quasiment tout les épisodes qu'il a aussoi scenarisé, le studio l'ayant totalement abandonné pour faire Unlimited Blade Works)