Bonjour, Bonsoir à vous les petits clous avides de tests objectifs. Votre serviteur revient aujourd'hui pour donner sa rasade habituelle de propos philosophiques (BHL Style) et phrases dévergondées.

Aujourd'hui, vous êtes sacrément chanceux car tandis que mon ami pingouin teste pour vous un jeu dans lequel vous verrez des gitans en slip chasser des carrés, moi je m'occupe d'ados tourmentés qui auraient pu se mettre en slip justement pour réhausser l'intérêt de l'aventure... En même temps vu l'âge qu'ils ont ce serait peut être un peu ... Bref, vous l'avez deviné on va tester une coquille vi... euh un RPG typiquement japonais !

Welcome dans un monde aussi léger qu'une feuille de PQ, Tales of Symphonia.



Comme tout bon JRPG, Tales of Symphonia est niais, mais vraiment niais. Surement de par le fait qu'on joue une fois encore des ados pré puberts qui sont encore à l'école primaire au début du jeu.

Le début du jeu d'ailleurs est surprenant, prenant place dans l'école de nos héros en herbe, la frigide Raine Sage nous fait un cours sur qui sont les méchants et qui sont les gentils. Ouf ! Nous sommes les gentils et on doit amener la pucelle du village faire une cérémonie pendant laquelle elle doit mourir mais on s'en fout car tout le monde est content et c'est le plus important !

Au fond de la classe, y'a le héros Lloyd Irving. Alors lui tu sais pas trop pourquoi mais apparement il est puni, il porte des seaux d'eau sur ses épaules, ça doit se faire au japon je sais pas.

Et puis dernier héros (ce qui nous fait une moyenne de 15 ans avec Raine inclus) Genis Sage, le petit frère de Raine, aussi intelligent que moche.



Après avoir survécu à cette avalanche de nunucherie, la guerre arrive comme un poil de cul dans ma soupe à la tomate. Les méchants attaquent le temple des gentils ! Vite amenez les soldats, les armées, le GIGN, Barack Obama !!! Bah non, en fait dans ce village de gros nazes les seuls gens qui savent se battre sont les 3 morveux de 12 ans... Impressionnant.



S'en suit un tuto sur le système de combat qui est surement le plus mauvais des systèmes de combat vu dans un Tales of (mise à part Legendia mais bon Legendia avait le mérite de proposer quelque chose à côté LUI !) A pour envoyer des coups d'épée en mousse, X pour se protéger et B pour les ougi (a.k.a techniques pour les kékés du RPG qui jouent uniquement en français).



Le tout est très mou, vraiment très mou et on a limite envie de mettre le DVD de Star Ocean 4 dans sa bobox c'est dire le drame qui se profile devant nous. Et surtout une honte comparé aux Tales précédents.




Le casting restant est tout aussi impressionnant avec par ordre d'apparence : Kratos, le méchant pas méchant mais plutôt gentil , Sheena la voleuse espiègle copiée sur Yuffie, Regal qui restera menotté tout le temps du jeu à cause de ses nombreux abus de Fist Fucking et Presea une naine façon mimi mathy autrefois victime des farouches poings de Regal. J'oubliais aussi Zelos, l'homosexuel du groupe.




Au final, ce Tales of Symphonia est surement le plus mauvais de la série, une vrai ôde au mauvais goût et autre japoniaiseries dégueulasses, prendre un verre de Symphonia c'est comme prendre un mixeur, y mettre de la diarhée, et de la banane, y'a un léger gout sucré mais punaise qu'est ce ça pue !



Symphonia est pareil, par moment il laisse entrevoir un petit coup de mieux et puis finalement il laisse s'échapper ce doux fumet d'étron... A éviter autant que possible et préférez un Legendia, Abyss voire même Eternia si vous êtes aussi désespérés que ça.



Heureusement ! Le filon Symphonia est préservé grâce à la horde de mouton qui a apprécié de lancer des "boules de feu" et d'attaquer grâce à la "pluie d'épée beta", alors Namco a pensé à eux en sortant un nouveau spin off pourtant boudé par les joueurs Nintendo...