description : Voici le groupe où l'on parlera de foot en général. Pas prises de tête, juste un lieu où se rencontrent les footeux (et non les footix, au possible...), le tout dans une ambiance saine et respectueuse. N'hésitez pas à vous inscrire et à voter. ;)
Le Paris-SG a indiqué mardi qu'il entendait «faire valoir l'ensemble de ses droits en saisissant le tribunal administratif dans l'objectif de participer à la Coupe de la Ligue 2008-2009», alors que le conseil fédéral a confirmé mardi son exclusion. Il refuse ainsi la proposition du CNOSF, qui avait suggéré, lundi, de remplacer l'exclusion du PSG par un match à huis clos en L1, à choisir parmi les six premières journées. Le comité olympique avait estimé que cette sanction, prise après le déploiement de la banderole anti-Ch'tis en finale contre Lens (2-1), en mars dernier, était trop sévère.
L'Union nationale des footballeurs professionnels a indiqué mardi qu'elle avait jugé «tout à fait recevable la solution prônée par le CNOSF», un huis clos pour le Paris SG, plutôt que l'exclusion de la Coupe de la Ligue confirmée par le conseil fédéral. «Il est évident que l'exclusion pénalise, avant tout, l'équipe et les joueurs professionnels alors qu'ils n'étaient pas impliqués dans les faits hautement répréhensibles et dénoncés par notre syndicat comme par l'ensemble du football français à l'époque», explique l'UNFP dans un communiqué.
Le président du Stade rennais, Frédéric de Saint-Sernin, n'aura pas laissé longtemps à Jimmy Briand pour que ses déclarations au Parisien exercent leur effet. Mardi en fin de matinée, il a publié un communiqué sur le site officiel de son club, dans lequel il écrit que «cette affaire n'a que trop duré» et «affirme une nouvelle et dernière fois que le joueur sera rennais cette saison».
«Nous en avons assez de subir les agissements d'un club qui déstabilisent fortement un joueur du Stade Rennais FC et mettent en danger notre début de saison, écrit le patron du club breton, s'adressant davantage au Paris-SG qu'à Jimmy Briand. Nous n'avons cessé d'expliquer au Paris Saint-Germain que nous ne souhaitions pas nous séparer de Jimmy Briand. Nous avons répondu sur tous les tons à chacune de leurs propositions qu'en aucun cas nous n'étions intéressés. Les différentes offres du club parisien ne pouvaient certainement pas nous faire changer d'avis. J'ai mis un terme définitif aux échanges avec le Paris-SG mardi dernier avant le départ en stage de l'équipe et notre premier match officiel de la saison.»
Troisième intervention en quelques semaines
«Certains, poursuit Frédéric de Saint-Sernin, ont compté sur l'enlisement de la situation pour faire céder le Stade Rennais. Ces procédés ne sont pas corrects et nous les regrettons. Jimmy sera rennais cette saison. Il doit se concentrer sur sa préparation et mettre son talent et son énergie au service du Stade Rennais.» C'est la troisième fois depuis le mois de juin que le président du Stade rennais adopte une attitude ferme et solennelle pour remettre son attaquant sur le droit chemin. Celui-ci déclarait ce matin sa détermination à rejoindre le club de la capitale («je suis Parisien dans ma tête depuis de longues semaines») et à ne plus jouer pour le club breton («C'est catégorique, je l'ai répété au coach, au président et au directeur sportif»).
En début de semaine dernière, les deux clubs avaient adopté une communication qui avait pour le moins refroidi la piste Briand, après le refus d'une proposition à 8,5 millions d'euros plus 15% sur une éventuelle revente. Rennes, qui ferme aujourd'hui complètement la porte, aurait peut-être agi différemment avec une offre à 10 millions d'euros. Aujourd'hui, le PSG semble s'être éloigné de l'international A'. Il vise surtout Mateja Kezman (Fenerbahçe) et éventuellement Louis Saha (Manchester United). Rennes, à onze jours de la reprise de la L1, commence à trouver le temps long. Briand est le choix numéro un de Guy Lacombe en attaque. Un secteur où il a perdu, lundi, Daniel Moreira, prêté à Grenoble.
Le bureau du conseil fédéral, réuni mardi en urgence, par voie téléphonique, n'a pas accepté de réintégrer le Paris-SG pour la Coupe de la Ligue 2008-09. Il refuse ainsi la proposition du CNOSF, qui avait suggéré, lundi, de remplacer l'exclusion du PSG par un match à huis clos en L1, à choisir parmi les six premières journées. Le comité olympique avait estimé que cette sanction, prise après le déploiement de la banderole anti-Ch'tis en finale contre Lens (2-1), en mars dernier, était trop sévère. Pour la FFF, elle est «appropriée à la nature particulière et à la gravité des faits», rapporte l'Agence France-Presse.
Deux analyses totalement différentes
La FFF ne fait ici que confirmer une deuxième fois la décision prise en première instance par la commission de discipline de la Ligue (le 30 avril), confirmée ensuite par la commission supérieure d'appel de la Fédération (le 29 mai). Le bureau souligne aussi que «s'étant produits en Coupe de la Ligue, il était logique et adapté que la sanction concerne la Coupe de la Ligue et non le Championnat de France de L1.»
Les conciliateurs du CNOSF, Bernard Foucher et Dominique Remy avaient au contraire «mis en doute le caractère proportionné de la mesure d'exclusion de la Coupe de la Ligue 2008-2009» pour le PSG, car il s'agissait de la «sanction la plus sévère». Ils avaient aussi amené leur contribution au vieux débat sur la responsabilité d'un club vis à vis de ses supporters.
Plus de recours possible devant la justice sportive
La réunion en urgence du bureau du conseil fédéral avait été demandée lundi par Frédéric Thiriez, le président de la LFP, qui avait besoin de connaître avec précision le plateau de la Coupe de la Ligue 2008-2009, dont le tirage au sort est prévu cette semaine. «Dans cette affaire, chaque instance prend les décisions qu'elles croient justes en son âme et conscience, sereinement et en toute indépendance, a-t-il confié mardi à l'AFP. Si la justice est saisie elle en fera de même.»
Ce ne sera manifestement pas le cas. Le Paris-SG avait fair savoir, lundi, par son président Charles Villeneuve : «Nous respectons la décision du conseil fédéral.» Le vainqueur de la Coupe de la Ligue a épuisé ses recours devant la justice sportive. Il lui reste l'hypothèse d'une improbable bataille devant la jurisprudence administrative.
«Le PSG n'est pas visé mais il fallait rester ferme face à ce qui dénature le sport» : ainsi la position de la FFF a-t-elle été résumée par son président Jean-Pierre Escalettes, après la décision de maintenir la suspension du club de la capitale pour la Coupe de la Ligue 2008-2009. L'avis et l'argumentation du CNOSF n'ont pas convaincu le gouvernement du football français, profondément choqué par la banderole anti-Ch'tis.
«Jean-Pierre Escalettes, qu'avez-vous pensé de la proposition du CNOSF de transformer l'exclusion du PSG de la Coupe de la Ligue en un match à huis clos en L1?
Ce qui nous a choqués c'est d'entendre le CNOSF dire que cette sanction était ''disproportionnée''. Nous pensons que c'est une sanction adaptée. A l'époque, on nous avait reproché d'avoir pris une sanction qui n'était pas suffisante, on nous avait accusé de laxisme, et aujourd'hui on nous dit que c'est trop sévère... C'est une question d'appréciation. C'est celle des juges du CNOSF, que nous respectons d'ailleurs. Mais, comme nous sommes souverains en matière de décision -on dit oui ou non, mais on ne propose pas d'autres peines- nous avons maintenu la première sanction. C'est un statu quo. Et puis, il était logique que des faits qui s'étaient produits en Coupe de la Ligue débouchent sur une sanction dans cette compétition. On aurait pu nous reprocher de fausser le championnat si nous avions pris une sanction par rapport au championnat, alors que cela s'est passé dans une autre compétition.
Aller dans le sens du CNOSF aurait-il pu remettre en cause le principe de la responsabilité des clubs vis à vis de leurs supporters?
Non, car le CNOSF estime que le club est responsable, puisqu'il proposait de sanctionner par un match à huis clos, ce qui est tout de même pénalisant pour un club. Le principe de responsabilité n'était pas remis en cause. Mais par rapport aux faits concernés, le CNOSF jugeait que l'exclusion de la Coupe de la Ligue était trop sévère.
La décision du conseil fédéral est-elle un message de fermeté?
Oui. Le PSG n'est pas visé. Nous voulons rester cohérents, être ferme face à ce type de comportement qui dénature le sport. »
Voilà, pour ceux qui ne sont pas encore couchés, j'ai décidé de vous mettre une tite vidéo en guise de "bonne nuit"! En effet, il s'agit de Guti, joueur sous-médiatisé pas rapport aux galactiques qu'ont été Zidane, Ronaldo, Roberto Carlos ou encore Beckham mais qui est au club depuis plus de 10 ans. Dans cette vidéo, vous pourrez admirer son jeu de passes ainsi que quelques magnifiques buts Bon visionnage
Les principaux mouvements
> Sébastien Puygrenier (Nancy) signe finalement au Zenit Saint-Pétersbourg
> Diego Placente (San Lorenzo) signe à Bordeaux
> Eric Mouloungui (Strasbourg) signe à Nice
> Le jeune malien Mahamane Traoré signe au Havre
> Oumar N'Diaye (Caen) est prêté à Vannes
> Grenoble s'intéresse à Henri Bédimo (Châteauroux)
> Châteauroux s'intéresse à Jimmy Juan (Grenoble)
> Le Lensois Sidi Keita est suivi par Malaga (Espagne)
> L’Espagnol Sergio Garcia (Saragosse) intéresserait Lyon et le PSG
> Le Néerlandais Mustapha Riga (ex levante) signe à Bolton
> Cesc Fabregas reste à Arsenal après avoir dit non au Real Madrid
> Marc Crosas (Barcelone) intéresse le Celtic Glasgow et le FC Séville
> Gaël Genevier (Pise) intéresse le Torino
> Robbie Keane (Tottenham) a signé un contrat de quatre ans Liverpool
1899. La légende écrit sa préface. Le ballon rond s’installe à Marseille. Le début du XXe siècle est dominé par les clubs parisiens. L’OM se dresse le premier pour stopper cette hégémonie. En 1924, il chamboule, non sans fierté, la hiérarchie en s’imposant 3-2 en finale de la coupe de France, contre le FC Cette.
Son premier trophée national fera vite des petits. Les Olympiens récidivent en 1926 et 1927. La pléiade d’internationaux français qui composent l’effectif phocéen fait des ravages. Rien n’arrête les Alcazar, Allé, Crut, Devaquez, Gallay, et Jean Boyer. 1929 voit d’ailleurs l’OM décrocher le titre de champion de France.
En 1932, le club s’engage dans une nouvelle ère. Celle du professionnalisme. La coupe revient sur la Canebière en 1935 (victoire 3-0 contre Rennes), les lauriers du champion aussi (en 1937) avant qu’un cinquième succès, en 1938, ne vienne placer l’OM en position de recordman de la coupe de France. Statut renforcé en 1943 (4-0 en finale contre Bordeaux).
A l’exception notable d’une nouvelle couronne de champion de France en 1948, l’après-guerre ne sourit d’abord pas aux Marseillais. Malgré la perle noire Larbi Ben Barek. Malgré l’unique Gunnar Andersson et ses 169 buts inscrits sous le maillot blanc.
Le bleu et le blanc se colorent à l’encre triste. A la fin de la saison 1958/59, l’équipe chute en deuxième division. Les « sixties » seront sombres. Le public tourne le dos à son OM. La désaffection est telle qu’à peine 434 spectateurs sont au Stade Vélodrome le 23 avril 1965 pour la réception de Forbach.
L’arrivée aux commandes de Marcel Leclerc marque le début du renouveau. Le volubile président a de l’argent (un peu) et surtout une solide volonté à réussir. Le recrutement Josip Skoblar et Roger Magnusson tire la formation vers les sommets. Le coaching avisé de Mario Zatelli fait le reste. En 1969, Marseille est en liesse. 150 000 personnes attendent les vainqueurs de Bordeaux en finale de la Coupe de France.
Le titre de 1971, le doublé de 1972, le soulier d’or européen pour Skoblar (44 buts en un championnat), le défi lancé à l’Ajax d’Amsterdam. L’OM se couvre de gloire et déchaîne les passions, en étant le seul club à oser concurrencer l’AS Saint-Etienne.
La page Leclerc se tourne difficilement. Les Marseillais ne se signalent plus que par une coupe de France conquise en 1976 contre Lyon. Pis, ils descendent en deuxième division en bout de décennie, et la disparition du club sera même un temps susurrée.
Les dettes se sont accumulées, et la survie ne tient qu’à un fil. Heureusement il est entre de bonnes mains, celles des «Minots». Les jeunes du club sauvent leur OM, et lui font même la courte échelle vers l’élite en 1984.
Un nouvel âge d’or débute alors, à l’arrivée de Bernard Tapie deux ans plus tard. De 1989 à 1993, l’Olympique de Marseille rafle tout sur son passage. Papin, Waddle, Pelé, Francescoli, Stojkovic. Les artistes sont en blanc. Et les supporters rêvent comme jamais. La suprématie est totale (cinq titres de champion, une coupe de France). Aucune miette n’est laissée alors que l’ambition s’appelle désormais Europe.
L’échec de Bari (après l’élimination de l’AC Milan en quarts de finale) face à l’Etoile Rouge de Belgrade ne calme pas ces ardeurs. Le 26 mai 1993, Basile Boli offre la première (et seule) Ligue des Champions à la France d’un coup de tête magistral face au grand Milan.
Treize années se sont depuis écoulées.
Le club a survécu à sa rétrogradation en D2 après l’affaire VA-OM. Une place de dauphin en 1999, deux finales de coupe de l’Uefa en 1999 (contre Parme à Moscou), en 2004 (contre Valence à Göteborg), et une de coupe de France en 2006 contre Paris sont venus pimenter ses saisons.
Le 12 Mai 2007 Marseille perd une nouvelle finale de coupe de france mais cette fois ci contre Sochaux aux tirs aux buts, apres prolongation (2-2) et fini 2 eme du championnat.
Pour la saison 2007-2008 Marseille fini 3 eme in-extremis pour accrocher le tour préliminaire de la ligue des champions.
La légende continue...
Les différents logos:
De 1899 à 1935: De 1935 à 1972: De 1972 à 1986: De 1986 à 1990: De 1990 à 1993: De 1993 à 1998: De 1998 à 1999: De 1999 à 2004: De 2004 à nos jours:
Le palmarès:
Vainqueur coupe de france: 1924,1926,1927,1935,1938,1943,1969,1972,1976,1989.
Champion de France: 1929,1937,1948,1971,1972, 1989,1990,1991,1992,1993.
Champion d'Europe: 1993.
Finaliste de la C1: 1991.
Finaliste de la coupe UEFA: 1999 et 2004.
Et non il n'y a pas eu d'attaque de l'ETA mais c'est tout de même un véritable coup de tonnerre au Pays Basque. L'Athletic Club de Bilbao va imprimer, dès cette saison, un sponsor sur ses maillots, pourtant vierges de toute publicité depuis plus de 110 ans. L'heureux pionnier s'appelle Petronor, marque de raffinerie implantée à Musques, qui a signé un contrat de trois ans avec le club et lui versera seulement 2 petits millions d'Euro par saison. Bilbao était le dernier club professionnel d'Europe à ne pas arborer de logo sur le devant du maillot, depuis le partenariat entre le FC Barcelone et l'Unicef, conclu en 2006.
En France, c'est l'Olympique Lyonnais qui détient le record du sponsoring, Novotel lui versant 9 millions d'euros par an, et Ticket Restaurant payant 6 millions par saison pour que le septuple champion de France en titre exporte la marque sur toutes les pelouses de Ligue 1. A l'étranger, la Juventus de Turin détenait le record absolu en 2005, lorsque Tamoil déboursait 24 millions d'euros par an pour que les Bianconeri portent l'enseigne sur leur maillot. Le contrat a été rompu en 2006, lorsque la Vieille Dame a été reléguée en Serie B. Le record actuel est à attribuer aux Reds Devils de Manchester United, le club touchant 18 millions d'euros par saison grâce au partenariat avec AIG. A côté de cela, Bilbao ne touchera seulement que 2 millions d'euros. Les socios ne comprennent pas, à juste titre, pourquoi les dirigeants sacrifient cette fierté basque pour aussi peu d'argent, plus de sept fois moins que Lyon. Quoiqu'il en soit, tous les clubs professionnels d'Europe arborent à présent un logo sur leur maillot. L'argent n'en finit plus de changer les traditions.
Carlos Tevez, l'attaquant de Manchester United, a été définitivement transféré chez les Red Devils, pour la somme de 40,5 millions d'euros, rapporte le Daily Mail. L'international argentin, qui appartenait à la société MSI (Media Sports Investment), dirigée par l'homme d'affaires Kia Joorabchian, avait été prêté la saison dernière du côté d'Old Trafford. L'ancien joueur de West Ham va désormais signé un contrat avec Manchester United, qui possède désormais 100% de ses droits.
Amis de la nuit, courageux du matin, bonsoir ou bonjour!
FC Barcelona Clan ...mais qu'est ce qu'il nous écrit le Yui?
Le FC Barcelona Clan est une Penya Blaugrana Françophone du FC Barcelone.
Reconnue par le club, elle regroupe des socios, mais pas seulement, et possède un site, au même nom de domaine donc: http://www.fcbarcelonaclan.com/
Sur ce site tout les intéressés y trouveront des articles quotidiennement traduits et rédigés par une équipe de traducteurs/rédacteurs/correcteur au point, prenant leurs informations sur le club à partir des sources de médias les plus proches du club Barcelonais, c'est à dire donc les journaux quotidiens d'Espagne.
Sur ce site vous trouverez aussi une section Live, ou tout les matchs du Barça seront commentés, ainsi qu'un tchat.
Un forum est aussi en place, en béton dirais-je, qui est à la portée de tous.
A tout les intéressés, à tout les passionnés qui, peut-être, y trouverons leur compte, je m'adjoins au Clan pour vous souhaiter une future bienvenue.
Cependant, pour un soucis de qualité du forum, nous demanderons à tout nouveaux inscrit de passer lire la charte du forum avant de poster : http://forum.fcbarcelonaclan.com/viewtopic.php?f=24&t=984