Je fait court car je suis un peut dégouter ce soir ( la Roma a été battu chez elle par le FC Cluj un club de roumanie)

Bref voici les résultats:

Groupe A.

Chelsea - Bordeaux: 4-0
Roma - Fc Cluj: 1-2

Groupe B.

Panathinaïkos - Inter: 0-2
Werder Brême - Anorthosis Famagouste: 0-0

Groupe C.

FC Barcelone - Sporting Portugal: 3-1
FC Bâle - Chakhtior Donetsk: 1-2

Groupe D.

PSV Eindhoven - Atletico Madrid: 0-3
Marseille - Liverpool FC: 1-2

En ouverture de la deuxième journée de la Serie A, la Roma s’est inclinée sur la pelouse de Palerme. Les deux équipes en présence ont livré une prestation exceptionnelle au Barbera mais finalement, les hommes de Ballardini l’ont emporté.

Palerme – AS Roma : 3-1
Buts : Miccoli (20e, 57e), Cavani (73e) ; Baptista (8e)

L’équipe de José Mourinho s’est imposée à domicile contre Catane. Le premier but de Ricardo Quaresma sous ses nouvelles couleurs a rétorqué à l’ouverture du score des protégés de Walter Zenga.

Inter - Catane : 2-1

Buts : Quaresma (43') - Christian Terlizzi (48' csc.) / Gianvito Plasmati (42')

Dominatrice de bout en bout, la Vieille Dame est sortie victorieuse dimanche soir du duel qui l’opposait à Udinese, en clôture de la 2e journée du championnat italien. Un but d’Amauri a suffi au bonheur des Piémontais, qui reviennent à la hauteur de l’Inter Milan au classement.

Juventus de Turin – Udinese : 1-0
But : Amauri (67e)

L’info du jour est bien évidement la défaite des Rossoneri à Gênes (2-0) et le faux-pas de la Viola à Naples (2-1). La Lazio, accompagnée de la surprenante Atalanta, est en tête de la Serie A avec six points grâce à sa victoire sur la Sampdoria (2-0).

Lazio Rome - Sampdoria Gênes : 2-0
Buts : Zarate (6e), Pandev (71e)

Bologne - Atalanta Bergame : 0-1
But : Guarente (9e)

Genoa - Milan AC : 2-0
Buts : Sculli (30e), Milito (90e sp)

Naples - Fiorentina : 2-1
Buts : Hamsyk (48e), Maggio (73e) ; Mutu (40e)

Reggina - Torino : 1-1
Buts : Di Loreto (43e csc) ; Amoruso (13e)

Lecce - Chievo Verone : 2-0
Buts : Caserta (47e), Castillo (83e)

Sienne - Cagliari : 2-0
Buts : Calaio (10e), Ghezzal (94e)

Voilà deuxième journée du Championnat Italien et deuxième défaite du Grand Milan.
C'est sans doute le dernier match de Carlo Ancelotti à la tête du Club. En effet suite à la non participation en Ligue des Champions on savait que l'entraineur était sur la sellette et voilà que le club enchaine une nouvelle piètre performance.

Une défaite 2-0 chez la Genoa qui a amplement mérité sa victoire face au club Lombard grâce notamment à trio offensif de feu (milito) et voilà que le nouveau de l'entraineur se fait déjà attendre. Mais qui? qui pour remplacer l'entraineur champion d'Europe. Qui pour prendre en main un effectif déséquilibré?

les réponses dans les prochains jours après sans doute le déplacement en UEFA chez le FC Zurich.

Sinon les résultats de cette journée avant le match de la Juventus ce soir face à l'Udinese :

Palerme (1 3-1 AS Rome (
nter Milan ( 2-1 Catane (6)
Lazio Rome 2-0 Sampdoria Gênes (
Reggina (14) 1-1 Torino (2)
Bologne (4) 0-1 Atalanta Bergame (6)
Lecce (20) 2-0 Chievo Verone (4)
Naples ( 2-1 Fiorentina (
Genoa (16) 2-0 Milan AC (14)
Sienne (16) 2-0 Cagliari (19)
Juventus T( - Udinese (3)

Je pense que ce championnat ca être palpitant pour une fois surtout après les corrections de l'AS ROMA/Fiorentina/MILAN

Je suis flemmard, c'est pour cela que je ferais le classement plus tard (et ça va me prendre du temps u_u).

Programme de cette cinquième journée de L1, les matchs :

Samedi 13 Septembre 2008 :

19h00
Auxerre - Nancy
Le Mans - Toulouse
Lyon - Nice
Monaco - Lorient
Rennes - Le Havre
Valenciennes - Grenoble

21h00
Bordeaux - Marseille


Dimanche 14 Septembre 2008 :

17h00
Caen - ASSE
Sochaux - Lille

21h00
PSG - Nantes

Collectivement à la dérive, l'équipe de France a été battue en Autriche (1-3) lors de son premier match de qualifications vers la Coupe du monde 2010. Raymond Domenech ne survivrait pas à une absence de réaction mercredi contre la Serbie.

Il y a ce que dit l'histoire : la France ne s'est jamais qualifiée pour une Coupe du monde après avoir perdu son premier match des éliminatoires, ni en 1968 (0-1 contre la Norvège), ni en 1992 (0-2 contre la Bulgarie). Il y a surtout ce que dit le terrain. Sa vérité a été confondante, samedi à Vienne, où les Bleus ont été battus par l'Autriche, sa cent-unième place au classement FIFA et ses «pieds carrés» (Mexès) (1-3). Il fallait oublier l'Euro. Sur la pelouse où l'Espagne avait régalé, l'équipe de France a fait pire que se rappeler à son mauvais souvenir : elle a poursuivi sa dérive, à toutes enjambées, n'offrant rien qui puisse la sauver du désastre à part une détermination séquentielle et désordonnée. Contre la Roumanie (0-0), elle s'était cachée derrière sa présumée solidité défensive. Contre les Pays-Bas (1-4), derrière son nombre d'occasions. Contre l'Italie (0-2), derrière l'expulsion d'Abidal. Il n'y a presque plus d'argument aujourd'hui. L'Autriche a terrassé les Bleus sur deux longs coups de pied arrêtés lancés dans le tas, déviés de façon heureuse par Janko (8e) puis Afhauser (41e), joueurs patauds mais pas suffisamment pour ne pas gagner leur duel devant Mexès puis Gallas. Le même genre de buts que celui de France - Sénégal à la Coupe du monde 2002 (0-1), en stéréo cette fois. Le même genre de buts, surtout, que la France encaisse à foison depuis des années. LE danger dont elle était prévenue.


A l'heure où, revenue à 1-2, elle espérait se relancer dans un système en 3-2-3-2 avec Gourcuff à la baguette, un penalty indiscutable provoqué par une ceinture de Mexès sur Harnik a clos l'affaire (but d'Ivanschitz, 71e). Manquer de réussite à ce point n'est pas facile à admettre. C'est peut-être ce qu'a pensé Evra lorsqu'il a vu son centre dévié par Prödl sur la transversale (15e). Mais manquer de tout le reste du temps n'est pas le fruit du hasard. C'est le résultat d'une vacuité de projet dont la responsabilité incombe forcément au leader survivant de cette équipe, Raymond Domenech, sur lequel l'étau se resserre de jour en jour. Même la plus élémentaire solidité défensive - son vieux fonds de commerce - a été noyée dans le tourbillon de l'échec. Les Français restent sur onze buts encaissés en quatre rencontres : c'est encore plus que Nantes, l'équipe malade de la Ligue 1 (neuf). Il n'a fallu que quelques minutes pour observer une équipe désarticulée, étirée, sans la moindre consistance collective, incapable d'opposer une réponse cohérente à une équipe lente mais organisée, décomplexée et portée par la foule. Scènes vues en quelques secondes au coeur de la première période : l'équivalent d'une steppe russe abandonnée au milieu aux pauvres Toulalan et Diarra ; puis Gallas, Mexès et Evra se marchant dessus pour le même ballon... Toulalan est redevenu ce que Claude Puel ne veut plus voir à Lyon : un marathonien qui joue arrière droit et arrière gauche en même temps.


La qualification est déjà menacée

Offensivement, en dehors de quelques séquences de jeu court, habiles mais assez loin du but, ce fut une collection de tentatives individuelles. Certaines auraient pu sauver les apparences : Toulalan a vu sa frappe très pure repoussée sur l'équerre par Manninger (65e). Si ça passait, ça faisait 2-2. Govou avait inscrit son troisième but en deux matches cinq minutes plus tôt (61e, sur un centre d'Evra) et l'Autriche cherchait alors sa respiration. Elle finirait pourtant par aller au bout de son rêve. De la tribune où il était relégué, Malouda a dû penser à la même chose que Jean-Pierre Escalettes et tous les décideurs fédéraux : les cas individuels sont devenus anecdotiques dans le groupe déboussolé qu'est désormais l'équipe de France. Ce qui ne s'était pas produit grâce au retour des anciens en 2004-2005 pend désormais au nez du football français : quelques années de disette telles que celles qui avaient suivi la Coupe du monde 1986. A l'époque, cela avait coûté deux phases finales de Mondial. Celle de 2010 est déjà menacée. Si les Bleus ne corrigent pas franchement leur affaire mercredi contre la Serbie, ils deviendront outsiders dans ce groupe pourtant moyen. Encore faudra-t-il y arriver. Vu d'où ils partent, ce serait une divine surprise

Liga, le début de la fin ?



Le FCB a déjoué à l'extérieur contre un promu, alors qu'il n'y avait pas même le moindre blessé ou absent côté barcelonais ...Tentative de mise au point de cette horreur.


Plus qu'une erreur, ce match fut une horreur. Valdés aux cages, normal. Une défense composée de Dani Alvés, Marquez, Puyol et Abidal. Jusque-là, mis à part l'énigmatique arrière gauche, tout est de très bonne qualité, du moins sur le papier. En milieu défensif, Touré Yaya, alors que devant lui se situe la paire de lutins que sont Xavi y Iniesta. Toujours dans la composition classique du Barça, le trident Henry, Eto'o et Messi complètent le tout. Sans blessés, sans le moindre absent, nous pouvons alors ne prévoir que le meilleur.

La rencontre débute, nous avons le ballon. Seulement voilà, dés les premières minutes les bases sont posées. Pour plus de clarté, je ne les citerais point en ligne, mais comme ceci :

- Puyol sur le côté gauche de la charnière centrale, une erreur si Abidal est à côté !
- Alvés qui ne trouve pas réellement sa place.
- Messi positionné d'avantage comme un 10, une erreur.
- Le fantomatique Iniesta.
- L'impossibilité de jouer avec les attaquants, que ce soit Eto'o ou Henry.
- La "paresse" collective, mis à part quelques éléments.


A présent, développons !


Premier point : Nous avons assisté à une défense Alvés-Marquez-Puyol-Abidal. Concrètement, je reproche quoi à cette défense? Au niveau du positionnement, rien à dire sur Alvés et Abidal, [b][size=115]au niveau de la défense seulement[/size][/b]. Le problème est dans l'inversement (?) des postes entre Marquez et Puyol. Inversement selon moi, et peut-être selon moi seul, puisque j'ai d'avantage vu Puyi sur le côté droit de la défense centrale, par exemple lorsqu'il y avait Milito. Bon là c'est le Mexicain, c'est autre chose. Venons-en aux faits. Lorsque Alvés monte, qui va courir pour rattraper l'adversaire qui contre-attaque? Marquez? Haha. Moi je ferais plutôt confiance à Puyol, mais j'admets que ce premier raisonnement peut paraitre futile. Seconde raison : Puyol est incompatible avec Abidal. Combien de fois les a t'on vus (pas juste durant le but que l'on s'est pris durant ce match) charger le même adversaire, alors qu'il y en a un autre à côté de démarqué? Combien de fois les a t'on vus dégager le ballon ensemble, jusqu'à se rentrer dedans? Trop de fois, du moins j'ai cru voir cela trop de fois.

Second point : Alvés ne trouve pas réellement sa place, offensivement parlant. D'après ce que j'ai vu, la plupart du temps il a le couloir droit pour lui tout seul. Pas même de Messi dans les parages. Alors premièrement il centre sans trop monter, ce qui peut-être bien lorsqu'on a des Makaay, des Kanouté, des Toni dans son équipe, mais des Henry ou Eto'o je n'en suis pas certain, quand bien même l'on essaierai de glisser le ballon derrière la défense. Ensuite, monte t'il trop haut et trop longtemps? La question est à se poser. Quelque part nous l'avons recruter pour apporter d'avantage de danger, de par ses centres, ses une-deux, mais aussi de par son travail défensif. Et bien il a perdu le ballon, Numancia a fait une contre-attaque, hop hop et but. Bon. J'attribuerais d'avantage ce but à une faillite offensive et défensive collective, sur cette action du moins, qu'à la faute de trois protagonistes qui seraient Alvés, Abidal et Valdés. Bref tout cela pour dire qu'Alvés, pour moi, s'égarait ce soir.

Troisième point : J'ai lu beaucoup de choses sur le topic Messi. Devrait-on le faire jouer au milieu, profitant de son talent -infini?-, ou bien jouons les conservateurs et laissons le sur l'aile droite, afin qu'il brise les os de toute personne se mettant en travers de son chemin? Je ne sais trop que penser, seulement une chose est certaine. Je n'ai pas aimé le rôle de Messi ce soir. J'ai eu l'impression que de par son positionnement parfois en MOC donc, il "enlevait" du travail à Iniesta et Xavi, qui eux-même, par moment, ne savaient pas non plus où se placer. Il en était de même pour Alvés, les deux jouent bien ensemble, nous l'avons vu. Pourquoi ne pas recoller Messi sur l'aile droite, afin qu'Alvés est un repère, et que chacun reprenne son "meilleur" rôle?
J'ai de plus en plus l'impression qu'en effet, Léo est le point clé de cette équipe. Je veux dire ...s'il n'avait pas joué ce soir, je pense que l'on aurait gagner. Pourquoi j'en viens à dire cela? Simplement parce que je me dis que Messi attire de lui-même tout les ballons, (erf et j'ai du mal à m'expliquer là ...) et que de ce fait, le petit Argentin est un élément perturbateur au milieu du terrain. Il faut le recoller sur l'aile droite, du moins si la contre performance de l'équipe continue. Son influence est pour moi si grande sur l'équipe, que même s'il joue bien et juste, et est au-dessus de ses coéquipiers, ces derniers se disent que Léo fera tout, entre autres. Messi est le bien et le mal de ce Barça, toujours selon moi bien sur.

Quatrième point : Contrairement à Xavi, il était difficile de penser qu'Iniesta était bien sur la pelouse. Pourtant, il était bien présent. Afin d'expliquer ce fait, je m'en réfère au précédent paragraphe.

Cinquième point : Alors là ...quasi-impossibilité de trouver Henry ou Eto'o dans les pieds, du moins dans la surface adverse. Un adversaire fut plus prompt, les passes étaient molles ou à trois mètres du joueur visé, les attaquants ne furent que des mauvais appels ...Ou encore Alvés (qui au contraire d'Abidal) qui centrait, mais mettait trop de force, où du moins dosait mal. Et non ce n'est ni Luis Fabiano ni Kanouté mon pote ...Tout le monde ne semble pas encore avoir compris les faiblesses du jeu Barcelonais lorsqu'il est question de le pratiquer dirait-on. Ca viendra, je n'en doute pas.

Sixième et dernier point : La "paresse" collective. Si vous avez déjà tout lu, vous aurez à peu près cerné mon avis quant à ce point-ci. Positionnement de Messi, manque d'envie des joueurs, peut-être la chaleur allez-vous savoir ...seulement, mis à part Messi et Xavi (je ne compte pas Puyol, Marquez ni Valdés, et je met d'avantage Alvés dans la rubrique "maladroit", ou égaré), personne n'a vraiment joué, quoique je donnerais un crédit à Eto'o.


Voilà pour ma "petite" analyse. Je reste perplexe et déçu quant à ce premier match ...j'attends les deux-trois prochains avant de tirer une quelconque conclusion.

A savoir aussi que le titre que j'ai donné est simplement un titre à effet, quoique, quoique ...

Au passage, le joueur du soir qui n'a servi à rien, et dont l'inconnu est de savoir s'il servira à quelque chose est ...non, non ce n'est pas Abidal. Rooh arrêtez, taquineurs! Je parlais de Hleb ... u_u

En cette première journée de Liga -tant attendue-, les surprises se sont surtout comptées au chiffre de deux. D'une part le Real, champion d'Espagne, d'autre part le rival, le Barça. Les deux clubs rivaux ont chutés lors de la première journée, contre toutes attentes. Concernant le FCB, rendez-vous dans le prochain article, qui traitera des problèmes de l'équipe lors de ce premier match.

Résultats de la première journée de Liga :

La Corogne 2 - 1 Real Madrid
Athletic Bilbao 1 - 3 U.D Almería[g]
[g]Atlético Madrid 4 - 0 Málaga
Betis Séville 0 - 1 Recreativo Huelva
Sporting De Gijón 1 - 2 Getafe C.F
Santander 1 - 1 FC Séville
C.D Numancia 1 - 0 FC Barcelone
Osasuna 1 - 1 Villarreal
FC Valence 3 - 0 Majorque
Espanyol 1 - 0 Valladolid

Classement après cette première journée de Liga :

(à venir, je cherche à faire un screen, et je suppose que tout le monde dort là)

Le club anglais de Manchester City a frappé un grand coup sur le marché des transferts lors de ce dernier jour en faisant main basse sur l’ailier Brésilien Robinho. Le club de Real Madrid perçoit un montant de 45 millions d’euros en échange.

En disgrâce avec ses responsables Merengue, Robinho ne se voyait pas jouer une année de plus du côté de Santiago Bernabeu. L’ancien sociétaire de Santos l’avait manifesté publiquement dimanche après avoir vu son transfert à Chelsea capoter. Conscients qu’il était préférable de ne pas conserver le joueur contre son gré, le Real a finalement accepté de libérer l’international auriverde, mais au profit d’un autre club anglais, en l’occurrence Manchester City.

Mark Hughes, le manager citizien, qui a aussi cherché à recruter Dimitar Berbatovdurant cet ultime jour du mercato, n’a pu contenir à sa joie à l’idée de pouvoir désormais compter sur l’un des joueurs les plus talentueux de la planète de foot : « Je suis très content de pouvoir travailler avec un talent de la trempe de Robinho. J’ai dit auparavant que pour pouvoir rivaliser avec les meilleures équipes de la Premier League, on avait besoin des joueurs du grand calibre,Robinho en fait incontestablement partie. Je suis impatient à l’idée de l’introduire de l’équipe et le faire découvrir à nos fans. Ce transfert en dit long sur les ambitions grandissantes de Manchester City ».

Âgé de 24 ans,Robinhoévoluera donc en Angleterre pendant les quatre prochaines années. En Espagne, il aura passé deux saisons et demies, durant lesquelles il aura joué 101 matches de la Liga et marqué 25 buts.

Le champion d’Italie en titre n’a pu faire mieux que match nul en ouverture de la nouvelle saison de la Serie A, face à Sampdoria de Gênes,

Le Milan AC s’est incliné à domicile face à Bologne, pourtant promu sur le score de deux buts à un.

La Roma a été tenue en échec sur sa pelouse par la solide et belle équipe de Naples (1-1).

Enfin, la Lazio de Rome a débuté au mieux en étrillant Cagliari quatre buts à un.

Buteur à une minute de la fin, Alberto Gilardino a évité dimanche soir à sa nouvelle équipe de la Fiorentina de se faire battre à domicile en clôture de la première journée par la Juventus (1-1).

Tous les résultats:

Udinese 3-1 Palerme
Sampdoria Gênes 1-1 Inter Milan
Milan AC 1-2 Bologne
Cagliari 1-4 Lazio Rome
AS Rome 1-1 Naples
Torino 3-0 Lecce
Chievo Verone 2-1 Reggina
Catane 1-0 Genoa
Atalanta Bergame 1-0 Sienne
Fiorentina 1-1 Juventus Turin